Andrest

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Andrest
Andrest
Église Saint-Barthélemy.
Blason de Andrest
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes Adour Madiran
Maire
Mandat
Louis Dintrans
2020-2026
Code postal 65390
Code commune 65007
Démographie
Gentilé Andrestois
Population
municipale
1 360 hab. (2021 en diminution de 3 % par rapport à 2015)
Densité 220 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 19′ 03″ nord, 0° 03′ 43″ est
Altitude Min. 241 m
Max. 266 m
Superficie 6,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vic-en-Bigorre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Andrest
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Andrest
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Andrest
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Andrest

Andrest est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Andrestois.

Communauté paroissiale de Vic-Bigorre, Andrest et Enclaves

Diocèse de Tarbes & Lourdes

Géographie

Localisation

Carte

La commune d'Andrest se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

Elle se situe à 10 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 8 km de Vic-en-Bigorre[3], bureau centralisateur du canton de Vic-en-Bigorre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Gayan (1,7 km), Siarrouy (2,0 km), Sarniguet (2,2 km), Aurensan (2,5 km), Marsac (2,5 km), Talazac (2,6 km), Lagarde (2,6 km), Villenave-près-Marsac (2,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Andrest fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Communes limitrophes d’Andrest[6]
Siarrouy Pujo Marsac
Gayan Andrest Sarniguet
Oursbelille Bazet Aurensan

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 619 hectares ; son altitude varie entre 241 et 266 mètres[7].

Hydrographie

Le territoire de la commune est traversé du nord au sud par le canal du Moulin et par le ruisseau de la Pouge[8],[9].

Climat

Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Andrest.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[10].

Milieux naturels et biodiversité

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune et ses abords.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[11], le « réseau hydrographique de l'Échez » (392 ha), couvrant 26 communes dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 23 dans les Hautes-Pyrénées[12].

Urbanisme

Typologie

Andrest est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,8 %), zones urbanisées (21 %), prairies (12,8 %), forêts (1,4 %)[18].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Logement

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 622[19].
Parmi ces logements, 92.9 % sont des résidences principales, 0.8 % des résidences secondaires et 6.2 % des logements vacants.

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 87,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (85,5 %)[I 1].

Risques naturels et technologiques

Voies de communication et transports

Cette commune est desservie par la route départementale D 935 et par les routes départementales D 27 et D 835.

Toponymie

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Andrest au nord ouest de Tarbes

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[20] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Nom occitan : Andrest.

Histoire

Préhistoire et antiquité

Des vestiges archéologiques témoignent d'une activité humaine dès le néolithique et durant la période gallo-romaine.

Moyen Âge

Au Moyen Âge, ce territoire est composé de deux paroisses distinctes soit Andrest et Trougnan. En 1272, le comte de Bigorre Esquibat de Chavannes échange ces deux seigneuries avec le vicomte de Lavedan Raymond Garcie IV contre la vallée de Barèges[21].

En 1303, Arnaud, successeur de ce dernier, lui octroie une charte de franchises et entreprend d'importants aménagements fondant le village actuel. En contrepartie, les habitants doivent en effet se rassembler autour d'une nouvelle église et d'un nouveau château. Le village correspond ainsi au type des bastides.

Un incendie ravage l'église en 1569.

Époque moderne

En 1758, l'intendant d'Etigny supervise l'édification d'une nouvelle voie entre Tarbes et Vic.

Le château est détruit en 1762.

La maison communale est édifiée en 1776[22].

XIXe siècle et période contemporaine

Au XIXe siècle, le village se dote d'une gare, d'écoles et d'un bureau de poste[23]. En 1848, une maison est aménagée pour accueillir l'école des filles, une première école ayant été établie au sein de la maison communale. En 1859, la ligne de chemin de fer est inaugurée par Napoléon III.

Cadastre napoléonien d'Andrest

Le plan cadastral napoléonien d'Andrest est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[24].

Le plan cadastral actuel, rénové en 1933, est en cours de remaniement, afin d'améliorer sa qualité et sa précision. Le nouveau plan entrera en vigueur courant avril 2016.

Politique et administration

La mairie en 2017.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[25].

Tendances politiques et résultats

Au premier tour des élections municipales de 2014, les 15 candidats de la liste « divers gauche », seule liste en lice, ont été élus dès le premier tour, recueillant 100 % des suffrages exprimés, le taux d'abstention était de 37,30 %. Le conseil municipal est donc constitué de ces 15 membres issus de la liste[26].

Liste des maires

Le foyer rural en 2019.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1944 1959 Dominique Léopold Pène    
1959 1960 François Sabathier    
1960 mars 1971 Benjamin Salies    
mars 1971 juin 1995 Yvan Souptès PCF Conseiller général du canton de Vic-en-Bigorre

(1973-1979)

juin 1995 mars 2001 Raymond Costa PCF  
mars 2001 mars 2014 Anne-Marie Saint-Martin PCF  
mars 2014[29] mars 2020 Francis Plénacoste DVG Dentiste
mars 2020[30] en cours Louis Dintrans SE  

Rattachements administratifs et électoraux

Historique administratif

Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Vic, canton de Vic-en-Bigorre (depuis 1790)[31].

Intercommunalité

Andrest appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.

Services publics

La commune d'Andrest dispose d'une agence postale.

Jumelages

Au , Andrest n'est jumelée avec aucune commune[33].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35]. En 2021, la commune comptait 1 360 habitants[Note 5], en diminution de 3 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
644682657767866822826864864
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
824851800723745719679697702
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
647648590621641641668682738
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
7138811 0021 2531 2291 3031 3061 4141 402
2020 2021 - - - - - - -
1 3711 360-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Population et société

L’école primaire en 2019.

Enseignement

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[38].

L’école des petits, au premier plan à gauche, date de 2007. L’école des grands « Simone-Veil », au fond, date de 2017.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de 31 643 , ce qui plaçait Sumène au 12 990e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[39].

En 2009, 43,0 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables[I 2].

Emploi

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 859 personnes, parmi lesquelles on comptait 72,5 % d'actifs dont 65,5 % ayant un emploi et 7,0 % de chômeurs[I 3].

On comptait 164 emplois dans la zone d'emploi, contre 131 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 568, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 6] est de 28,8 %, ce qui signifie que la zone d'emploi n'offre qu'un peu plus d'un emploi pour quatre habitants actifs[I 4].

Entreprises et commerces

Au , Andrest comptait 102 établissements : 22 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 7 dans l'industrie, 13 dans la construction, 51 dans le commerce-transports-services divers et 9 étaient relatifs au secteur administratif[I 5].

En 2011, 9 entreprises ont été créées à Andrest[I 6], dont 5 par des autoentrepreneurs[I 7].

Culture locale et patrimoine

L'église Saint-Barthélemy en 2017.
L'église.

Lieux et monuments

La commune compte un monument inscrit à l'inventaire des monuments historiques[40] et aucun lieu ou monument répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[41]. Par ailleurs, elle compte trois objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[42] et aucun objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[43].

Lieux et monuments remarquables

L'Église Saint-Barthélemy d'Andrest est inscrite au titre des Monuments historiques depuis le [44]. Elle a été construite au XIVe siècle et remaniée au XVIIIe siècle. Elle est surplombée d'un imposant clocher-porche à trois clochetons, un fronton et de légers contreforts renforçant la monumentalité du portail. Elle renferme un riche mobilier dont plusieurs retables dorés et un baldaquin aux colonnes de marbre.

Autres lieux et monuments

Le lavoir en 2017.

La mairie aux encadrements de briques servit également d'école.
Un Moulin témoin du XVIIIe siècle longe le canal.
Un lavoir qui est daté de 1911.
La voie antique de La Poutge a été découverte à l'est du village.
La motte fossoyée, au nord-ouest de la commune, constitue un témoignage des noyaux d'habitats connus au Xe siècle.
Plusieurs places arborées ont été aménagées.

Personnalités liées à la commune

Il s'est rendu à plusieurs reprises au village pour y rencontrer les enfants de l'école[45],[46],[47],[48]. Ce sont eux qui ont réalisé les dessins qui, avec ceux du peintre René Moreu, illustrent le conte Chantepierre et Gras-gras-gras, paru en 1973. L'atelier-théâtre d'Andrest a, de plus, créé sa pièce La Rose tsigane (1983) et a par ailleurs fourni à Pierre Gamarra le titre du dernier tome de sa trilogie sur Toulouse, 72 Soleils (1975)[48]. La bibliothèque municipale porte son nom[49]. Elle devient médiathèque au printemps 2014[50].

Héraldique

Blason Blasonnement :
Coupé : au premier d'argent à trois corneilles de sable becquées et membrées de gueules, au second d'argent à la grappe de raisin de pourpre pamprée et feuillée de deux pièces de sinople.
Commentaires : Vérifié auprès de la mairie (avril 2015).

Voir aussi

Le monument aux morts municipal, œuvre de Firmin Michelet.

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

Insee

  1. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  2. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.
  3. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  4. EMP T5 - Emploi et activité.
  5. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  6. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  7. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

Autres sources

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Andrest », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Andrest et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Andrest et Vic-en-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Andrest », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  8. « ours d'Eau : Canal du Moulin », sur le système d'information sur l'eau du bassin Adour-Garonne (consulté le ).
  9. « Canaux et moulins », sur le site de Claude Larronde (consulté le ).
  10. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  11. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Andrest », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF le « réseau hydrographique de l'Échez » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Tarbes », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Andrest
  20. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  21. M. Marie Armand Pascal d'Avezac, Essais historiques sur le Bigorre : accompagnés de remarques critiques, de pièces justificatives, de notices chronologiques et généalogiques, vol. 2, J.-M. Dossun, 1823, [lire en ligne].
  22. Panneau d'information face à l'église Saint-Barthélemy.
  23. Page consacrée à Andrest sur le site de la communauté de communes de Vic-Montaner.
  24. « Résultats de recherche - Andrest.- Tableau d'assemblage - Archives départementales des Hautes-Pyrénées », sur www.archivesenligne65.fr (consulté le ).
  25. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  26. « Résultats de l'élection municipales 2014 », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  27. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2012 à Andrest » (consulté le ).
  28. Ministère de l'Intérieur - Hautes-Pyrénées (Occitanie), « Résultats de l'élection présidentielle de 2017 à Andrest » (consulté le ).
  29. « Andrest. Un relais et une continuité », sur le site du quotidien La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  30. JPA, « Louis Dintrans a été élu maire », Le Petit-Journal,‎ (lire en ligne).
  31. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  32. « Liste des juridictions compétentes pour Andrest », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  33. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  39. « Fichier RFDM2011COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2011 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  40. « Liste des monuments historiques de la commune d'Andrest », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Liste des lieux et monuments de la commune d'Andrest à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Liste des objets historiques de la commune d'Andrest », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Liste des objets de la commune d'Andrest à l'inventaire général du patrimoine culturel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. « Église Saint-Barthélemy », notice no PA00095311, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. René Trusses, « Hommage à Pierre Gamarra », sur le site de l'association « La Malle d’aurore », (consulté le ).
  46. « Bibliothèque Pierre-Gamarra », sur le site du quotidien La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  47. « PIERRE GAMARRA, cet écrivain immense… », sur le site de René Trusses, (consulté le ).
  48. a et b « Andrest. Hommage à un écrivain « passeur » », sur le site du quotidien La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  49. « Bibliothèque Pierre-Gamarra », sur le site du quotidien La Dépêche du Midi, (consulté le ).
  50. La Dépêche, 4 juin 14, Inauguration de la Médiathèque Pierre-Gamarra à Andrest.