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Léon Cogniet

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Léon Cogniet
Autoportrait (vers 1817-1818), musée des beaux-arts d'Orléans.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Cimetière du Père-Lachaise, Grave of Léon Cogniet (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
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Fratrie
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Autres informations
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Membre de
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Élève
Genres artistiques
Distinctions
Liste détaillée
Prix de Rome en peinture ()
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()
Officier de la Légion d'honneur‎ ()
Ordre Pour le Mérite pour les sciences et arts (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Œuvres principales
Scène de juillet 1830 (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Vue de la sépulture.

Léon Cogniet est un peintre et lithographe néoclassique et romantique français, né le à Paris et mort le à Paris 10e[1].

Biographie

Hélène délivrée par Castor et Pollux, prix de Rome de 1817. Paris, École nationale supérieure des beaux-arts.

Né de Joseph Cogniet, artiste dessinateur de papiers peints et de Marguerite Metuel, fille d'artisans fortunés, Léon Cogniet entre en 1812 à l'École des beaux-arts de Paris où il est l'élève de Pierre-Narcisse Guérin qui déclare dans une lettre à Léon Cogniet : « Croyez-bien que j'ai été votre ami plus encore que votre maître[2] ».

Dans l'atelier de Guérin, il rencontre Eugène Delacroix, Théodore Géricault, Jean Alaux et Ary Scheffer. Il fréquente également l'atelier de Jean-Victor Bertin. En 1814, il est prix de perspective et, en 1815, prix du Torse, ce qui lui ouvre les portes du concours pour le prix de Rome. Il s'y présente en 1815, peignant Briseis pleurant Patrocle pendant les Cent-Jours, et y est reçu deuxième prix. Il retente le concours l'année suivante. Après un échec en 1816 avec Œnone refusant de secourir Pâris blessé[3], son Hélène délivrée par Castor et Pollux lui vaut le prix de Rome en 1817. La même année, il débute au Salon. Il est pensionnaire de l’Académie de France à Rome de 1817 à 1822.

L'amitié avec Géricault

En 1818, selon Charles Blanc, Théodore Géricault dépose sa toile du Radeau de la Méduse dans l’atelier de Léon Cogniet : « quand il l’eut retirée de l’exposition, n’ayant pas d’atelier assez grand pour la recueillir (il l’avait peinte dans le foyer du théâtre Favart), il pria M. Léon Cogniet de vouloir bien s’en charger et lui donner asile dans son atelier de la rue Grange-aux-Belles, lui demandant cela comme une insigne faveur[4] ».

Léon Cogniet réalise au moins deux lithographies d'après son ainé Géricault.

Le voyage en Italie

Une vue sur la montagne bleue, musée des beaux-arts d'Orléans. Étude peinte pendant son séjour à Rome.
Portrait de Michallon (détail), musée des beaux-arts d'Orléans.

Avant de partir en Italie, il réalise les portraits de son père, de sa mère et de sa sœur Marie-Amélie et son autoportrait. Il part à Rome, avec le sculpteur Antoine-Martin Garnaud, le graveur Sylvestre Brun et le peintre paysagiste Achille-Etna Michallon, dont il peint le portrait. À Rome, Cogniet découvre et pratique le paysage dans l'esprit de Pierre-Henri de Valenciennes. Il rencontre François-Marius Granet. Conformément au règlement de l'époque, Leon Cogniet réalise une copie d'après un marbre antique et doit envoyer à Paris un grand tableau d'histoire : Marius sur les Ruines de Carthage (1824, musée des Augustins de Toulouse) qui est présenté au Salon avec Scènes de massacre des Innocents (musée des beaux-arts de Rennes). Les deux toiles de Léon Cogniet obtiennent un franc succès, la première est vendue au roi et la seconde au banquier Laffitte.

Une figure du Salon au service de la Monarchie de Juillet

Une Femme du pays des Esquimaux (1827), Cleveland Museum of Art.
Le Massacre des Innocents, musée des beaux-arts de Rennes. Le premier succès de Cogniet au Salon de 1824.

Célèbre, Cogniet présente au Salon des toiles romantiques au thème surprenant comme, en 1827, Une Femme du pays des Esquimaux (Cleveland Museum of Art) ou, en 1828, littéraire avec l'Enlèvement de Rebecca d'après Walter Scott (Wallace Collection, Londres). Il présente également des scènes de guerre napoléoniennes, Scène Militaire, Guerre d'Espagne ou Scène Militaire, campagne de Russie, ou encore Le général Foy (1775-1825) au combat d'Orthez le (musée des beaux-arts d'Orléans, personnage politique populaire, député de la Somme qui s'oppose aux réformes constitutionnelles. En 1827, il réalise une série de peintures sur la vie de saint Étienne pour l'église Saint-Nicolas-des-Champs de Paris. Il peint pour le Conseil d'État son Numa Pompilius donnant les lois à Rome (musée de Monbéliard).

En 1830, Cogniet s'engage dans les journées des Trois Glorieuses qui voit la prise de pouvoir de Louis-Philippe. Il peint les Drapeaux (musée des beaux-arts d'Orléans) drapeaux royalistes couverts du sang des héros morts pour la liberté, sur le ciel bleu : (bleu, blanc, rouge) hissés sur les tours de Notre-Dame de Paris mais également Courage et Humanité qui était présenté au Salon de 1831, à côté de La Liberté guidant le peuple d’Eugène Delacroix. À partir de cette date, les deux amis semblent se séparer, ne se visitant plus[5]. Il soutient la Pologne envahie par le tsar Nicolas 1er. Le nouveau monarque Louis-Philippe 1er commande, peu de temps après son avènement, quatre toiles (dont trois sont aujourd'hui disparues) à Paul Delaroche, Jean-Victor Schnetz, Martin Drolling et Cogniet pour décorer l'Hôtel de Ville de Paris. L'esquisse de Cogniet, représentant Bailly proclamé maire de Paris, est conservé au musée du Nouveau Monde[6]. Puis, il peint L’Expédition d’Égypte sous les ordres de Bonaparte pour l'un des plafonds (6,35 × 10,29 m) du palais du Louvre entre 1833-1835, toile où l'on distingue à peine Napoléon entouré de savants et d'artistes à l'ombre d'une tente. La toile obtient un succès mitigé, comme en témoigne la critique de Paul Mantz, « Cogniet a rapetissé la donnée ; il l’a traduite en prose ; il n’a fait qu’une vignette, à la façon d’une illustration de journal à images. Des personnages vulgaires et noirs pratiquent des fouilles dans un terrain café au lait : voilà tout[7] ». En 1834, Cogniet reçoit commande de La Garde Nationale de Paris par pour l'armée en , pour le château de Versailles. En 1836, il reçoit la commande Les Saintes Femmes au tombeau pour l'église de la Madeleine. En 1837, plusieurs toiles pour illustrer les campagnes du Directoire. Cogniet se fait aider, entre autres, par ses élèves Félix Philippoteaux et Karl Girardet pour réaliser ses tableaux historiques. En 1840, il reçoit une dernière commande pour Versailles, qu'il ne réalise finalement pas et dont il ne reste que des esquisses, Ruines, pour Le Siège d'Anvers (musée des beaux-arts d'Orléans).

Tintoret peignant sa fille morte

Portrait de la veuve Clicquot et de sa petite fille, (vers 1860-1862), château de Brissac.

Son plus grand succès lui vient en 1843 avec Le Tintoret peignant sa fille morte qu'il présente au Salon de la même année. Charles Baudelaire dans ses critiques remarque à propos du triomphe de Cogniet et de l'absence de Delacroix du Salon, la rupture entre les deux anciens amis :

« Monsieur Cogniet a pris la meilleure place de la salle ; il y a mis son Tintoret. […] Nous n'avons rien vu de Monsieur Delacroix […] — Il y a là-dedans plus à pleurer qu'à rire. — M. Cogniet, qui a si bien dissimulé son illustre maître, a-t-il donc craint de soutenir son illustre condisciple ? M. Dubufe se serait mieux conduit. Sans doute ces messieurs seraient fort respectables à cause de leur faiblesse, s'ils n'étaient en même temps de méchants envieux[8]. »

Après quoi Léon Cogniet ne peint plus que des portraits, dont de nombreux portraits officiels comme ceux du roi Charles X, du général Nicolas-Joseph Maison, du roi Louis-Philippe, d’Eugénie-Louise-Adélaide d'Orléans, sœur du roi, de Léopold II, de George Washington ou de Champollion… mais aussi de nombreux portraits mondains comme ceux d'Armand de Polignac (1847) ou de la comtesse de Noailles (1846), de la duchesse d'Uzès, et celui que sa reproduction sur les étiquettes de bouteilles a rendu le plus célèbre : le portrait de la veuve Clicquot (1851-1861), propriétaire des fameux champagnes.

En 1845, Charles Baudelaire commente au Salon :

« Léon Cogniet : Un très beau portrait de femme dans le Salon Carré. M. Léon Cogniet est un artiste très-élevé dans les régions moyennes du goût et de l'esprit. — S’il ne se hausse pas jusqu'au génie, il a un de ces talents complets dans leur modération qui défient la critique. M. Cogniet ignore les caprices hardis de la fantaisie et le parti pris des absolutistes. Fondre, même, réunir tout en choisissant, a toujours été son rôle et son but ; il l'a parfaitement bien atteint. Tout dans cet excellent portrait, les chairs, les ajustements, le fond est traité avec le même bonheur[9]. »

En 1868, il ajoute, dans ses Curiosités Esthétiques :

« Que dirai-je de M. L. Cogniet, cet aimable éclectique, ce peintre de tant de bonne volonté et d’une intelligence si inquiète que, pour bien rendre le portrait de M. Granet, il a imaginé d’employer la couleur propre aux tableaux de M. Granet, – laquelle est généralement noire, comme chacun sait depuis longtemps[10]. »

Un professeur et une académie

À partir de 1843, n'exposant que rarement au Salon, Léon Cogniet se consacre essentiellement à l'enseignement dont il est une des figures les plus importantes du XIXe siècle[11]. Il est professeur de dessin à Paris au lycée Louis-le-Grand de 1831 à 1876, où il a pour élève Edgar Degas[12], et à l'École polytechnique de 1847 à 1861. En 1849, Léon Cogniet est élu et nommé membre de l'Institut. Il est nommé professeur de peinture à l'École des beaux-arts de Paris en 1851. Il en démissionne en 1863 après avoir enseigné à plusieurs générations d'artistes. « L’atelier Cogniet est une sorte d’école mutuelle dont les moniteurs sont MM. Axelfeld, Barrias, Girardet, Frère, Hillemacher, Lecomte, Luminais, Richter, Rigo, Vignon, Villain, Rodakowski. Nous avons compté dans les salles de l’exposition jusqu’à cent neuf élèves de M. Cogniet, et certainement nous en avons omis plusieurs. […] N’oublions pas cependant qu’elle se glorifie de M. Meissonier l’enfant sublime de la maison[13] ». Selon Ernest Vinet, en 1862, Léon Cogniet ne peint pas beaucoup : « Toujours plus soucieux des autres que de lui-même, sa grande préoccupation, depuis des années, c’est d’ouvrir les voies à la jeunesse artiste, de la guider, de la soutenir avec une persistance et une sagesse que l’on ne saurait trop louer[14] ». Il s'intéresse autant à la peinture qu'à la sculpture et collectionne les œuvres de ses élèves, comme Dominique Papety, Charles Octave Blanchard, Joseph-Fortuné-Séraphin Layraud, Eugène Ernest Hillemacher, François Chifflart ou encore Jean-Louis-Ernest Meissonier, Jean-Paul Laurens, Léon Bonnat, Edmond Lebel.

En 1831, sa sœur, Marie-Amélie Cogniet, qui a été son principal assistant, exécute des vues du grand atelier parisien de son frère au no 9 rue de la Grange-aux-Belles (musée des beaux-arts d'Orléans). Entre 1840 et 1860, il ouvre un atelier féminin très fréquenté dont il confie la direction à sa sœur Marie-Amélie[15], au no 50, rue des Marais-Saint-Martin[16], puis à une autre de ses élèves, Catherine Caroline Thévenin (1813-1892), qui devient sa femme en 1865.

Les dernières années

Eugène Disdéri, Léon Cogniet (vers 1865), Paris, Bibliothèque nationale de France.
Léon Cogniet, portrait gravé vers 1880 par Léopold Massard.

En 1859, il reçoit une nouvelle commande pour l'hôtel de ville de Paris (incendié en 1871) dont il ne reste qu'une esquisse au Petit-Palais à Paris. À partir de 1865, il reprend la pratique du paysage en Normandie à Langrune, ou en Picardie avec des vues de bord de mer et de vagues qui évoquent les peintures de Normandie de Richard Parkes Bonnigton.

Il meurt dans le 10e arrondissement de Paris le et est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 15).

Les commentaires et les hommages évoquent sa générosité, sa modestie, son dévouement pédagogique, sa rigueur. Mais ils notent aussi son manque de folie et son goût consciencieux du travail bien fait. Peintre du « juste milieu », aussi raisonnable et timoré que l'idéal bourgeois. « Le peintre fut timide comme l'homme l'était lui-même. Sans doute le rêve ancien et heureux de la Villa Medicis l'a bercé et quand il s'est réveillé, le siècle avait pris son essor, le goût tout autre, la foule préférait Matronne à Vénus[17]. » Pour Paul Manz, « comme peintre, Léon Cogniet est une figure un peu indistincte, elle s’estompera vite. Elle a cependant une certaine valeur historique[18] ». Marie-Edmée Pau, son élève, le décrit sous ces mots : « M. Léon Cogniet mon professeur, est venu au cours pour la quatrième fois depuis mon arrivée. […] On tremble tant soit peu, lorsque la première porte de l’atelier s’ouvre, et quand il s’arrête sur le seuil de la seconde, on entendrait voler une mouche. Alors je me retourne, et je vois près de moi un homme de taille moyenne, à cheveux gris, des traits fins, le regard et le front d’un homme supérieur. Il examine le modèle, puis vient s’asseoir devant chaque étude tour à tour[19]. » Selon David d'Angers, en 1855 :

« Léon Cogniet est certainement un homme très excentrique. On ne peut savoir ce qu’il pense sur l’art. Vous le voyez, pendant des heures entières, l’œil fixe et l’oreille tendue devant la personne qui parle ; il est impossible de deviner, sur l’expression de son visage, s’il approuve ou non ce qui vient d’être dit. Un autre personne parle dans un sens opposé, c’est encore la même attitude d’attentive curiosité, mais jamais rien ne décèle son jugement sur l’objet du débat. Lorsqu’il est d’un jury, on a toutes les peines du monde à lui faire dire son avis, et encore c’est avec une circonspection très grande qu’il s’exécute. Je lui crois un génie très lent, et beaucoup de timidité[20]. »

Sa veuve, Caroline Thévenin, meurt le [21] après avoir donné sous condition à sa sœur Rosalie, qui meurt le [21], l'atelier du peintre pour le remettre au musée d'Orléans. Au printemps 1892, 1 240 dessins et 167 peintures sont donnés au musée des beaux-arts d'Orléans, où ils sont toujours conservés. En 1990, David Ojalvo, alors conservateur de ce musée, lui a consacré une exposition.

La Ville de Paris a donné son nom à une rue du 17e arrondissement.

Œuvres dans les collections publiques

Aux États-Unis

En France

En Italie

Au Royaume-Uni

Galerie

Estampes

Chevaux conduits à la foire, d'après Théodore Géricault, lithographie.
  • Chevaux conduits à la foire (1822), lithographie d'après Théodore Géricault.
  • Le Maréchal-ferrant flamand (1821), lithographie d'après Théodore Géricault.

Publications

  • Cours de dessin d'après Julien avec 29 têtes d'études, planches, Paris, 1835.

Salons

Élèves

Distinctions

Notes et références

  1. Son acte de décès est visible sur le site des Archives de Paris en ligne, acte 5025 dressé le 21/11/1880, vue 17 / 31.
  2. « Lettre de Guérin à Cogniet, Rome, 5 mars 1833 », citée dans Le temps des passions, collections romantiques des musées d’Orléans, Orléans, musée des Beaux-Arts, 1997, p. 65.
  3. Musée de Fécamp.
  4. Cité par Charles Blanc dans L’histoire des peintres français au XIXe siècle, p. 425.
  5. Avant cette date les deux amis se corrigent mutuellement leurs travaux respectifs, in Eugène Delacroix, Journal, José Corti, 2009, p. ?.
  6. « Fiche de l'œuvre », sur Alienor.org (consulté le )
  7. Paul Mantz, « Léon Cogniet », Gazette des Beaux-Arts, 1881, p. 34.
  8. Charles Baudelaire, Œuvres complètes, Arvensa éditions, p. 660.
  9. Charles Baudelaire, « Salon de 1845 », in Œuvres complètes, Arvensa éditions.
  10. https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Baudelaire_-_Curiosités_esthétiques_1868.djvu/162
  11. voir Michael Vottero, sur tristan.u-bourgogne.fr.
  12. Annick Notter, Léon Cogniet, Musée des beaux-arts d'Orléans, 2005, pp. 52-53.
  13. Alfred Busquet, «Salon de 1857», Le portefeuille de l’amateur, n°7, 1er novembre 1857, p. 27.
  14. Ernest Vinet, « M. Léon Cogniet », Revue Nationale et étrangère, politique, scientifique et littéraire, Paris, Charpentier, 1862, p. 273.
  15. Voir la fiche Marie-Amélie Cogniet, dans The National Museum of Woman in the Arts (en ligne).
  16. in Charles Gabet, Dictionnaire des artistes de l’école française, au XIXe siècle, Paris, 1831, p. 154.
  17. Léon Cogniez, [catalogue], Musée d'Orléans, pp. 56-57.
  18. Paul Mantz, «Léon Cogniet», Gazette des Beaux-Arts, 1881, p. 34.
  19. Marie-Edmée Pau, Le Journal de Marie-Edmée, Paris, 1876, p. 290.
  20. Michaël Vottero, « “Le cri de la conscience”: Léon Cogniet et ses ateliers », in Image de l'artiste, sous la direction d'Éric Darragon et Bertrand Tillier, « Territoires contemporains », nouvelle série, n°4.
  21. a et b Paris 10, actes 905 et 906.
  22. « Le Bourreau, Léon Cogniet, sur Cat'zArts »
  23. Sous la direction d’Emmanuelle Brugerolles, Le dessin romantique, de Géricault à Victor Hugo, Carnets d’études 50, Beaux-Arts de Paris les éditions, 2021, p 91-94, Cat. 16
  24. « Expédition en Egypte », sur Base Cartel du Louvre (consulté le )
  25. Catalogue de la 27eExposition d'Amiens de 1885, organisée par la Société des Amis des Arts de la Somme, p.21.
  26. Hippolyte Michaud sur le site de la Ville de Beaune [1].
  27. a b et c « Cote LH/560/44 », base Léonore, ministère français de la Culture

Annexes

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Bibliographie

  • Dictionnaire Bénézit.
  • Michaël Vottero, « Le cri de la conscience, Léon Cogniet et ses ateliers », dans Image de l'artiste, sous la direction de Éric Darragon et Bertrand Tillier, Territoires contemporains, nouvelle série 4.
  • Paul Mantz, « Léon Cogniet », Gazette des Beaux-Arts, 1881, pp. 33-34.
  • Anatole de la Forge, La peinture contemporaine en France, Paris, Amyot, 1856, pp. 315-316.
  • Ernest Vinet, « Léon Cogniet », Revue nationale et étrangère, politique, scientifique et littéraire, Paris, éd. Charpentier, 1862, p. 273.
  • Henri Delaborde, Notice sur la vie et les ouvrages de Mr Léon Cogniet, Paris, Firmin-Didot, 1881, pp. 16-17.
  • Alfred Busquet, « Salon de 1857 », Le portefeuille de l'amateur, no 7, , p. 27.
  • Henry Jouin, « Léon Cogniet », dans Maîtres contemporains, Paris, éd. Perrin et Cie, 1887, pp. 143-144-149.
  • David Ojalvo, "Léon Cogniet, 1794-1880, catalogue de l'exposition, 1990, musée des Beaux-Arts d'Orléans", 197 pages, co-auteur : Françoise Demange
  • Collectif, « Autour de Léon Cogniet et Charles Chaplin, la formation des femmes peintres sous le Second-Empire », Histoire de l'Art, no 63, , pp. 57-66.

Iconographie

Liens externes