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== Vie personnelle ==
== Vie personnelle ==
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== Publications ==
== Publications ==

Version du 1 février 2018 à 19:14

Vikash Dhorasoo
Image illustrative de l’article Vikash Dhorasoo
Dhorasoo en 2006 avant un match du Paris SG.
Biographie
Nom Vikash Rao DhorasooVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité Français
Naissance Modèle:Date sport
Harfleur (France)
Taille 1,68 m (5 6)
Période pro. 1993-2007
Poste Milieu offensif
Parcours junior
Années Club
1980-1983 Le Havre Caucriauville
1983-1993 Le Havre AC
Parcours professionnel1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1993-1998 Le Havre AC 137 0(4)
1998-2004 Olympique lyonnais 161 (11)
2001-2002 Bordeaux 040 0(2)
2004-2005 Milan AC 012 0(0)
2005-2006 Paris SG 037 0(1)
2007 Livourne Calcio 000 0(0)
Total 479 (20)
Sélections en équipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
1994-1995 France militaire 005 0(0)
1994-1996 France espoirs 012 0(2)
1996 France olympique 004 0(0)
1999-2006 France 018 0(1)
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve.
2 Matchs officiels.

Vikash Dhorasoo (prononcé [vi.kaʃ dɔ.ʁa.sɔ]), né le Modèle:Date sport à Harfleur (Seine-Maritime), est un footballeur international français évoluant au poste de milieu offensif. Il s'est reconverti comme consultant footballistique et joueur de poker, et a également participé à quelques films et livres.

Biographie

Carrière de footballeur (1993-2007)

Origine et jeunesse au Havre (avant 1993)

Les parents de Vikash Dhorasoo sont originaires de l'île Maurice[1], ses arrière-grands-parents venaient d'Inde[2], de la région qui est devenue l'État de l'Andhra Pradesh[3]. Bien avant sa naissance, son père a émigré de Maurice en France pour travailler aux chantiers navals du Havre[4]. Vikash Dhorasoo grandit à Caucriauville[2], un quartier populaire périphérique du Havre.

Il commence des études universitaires en économie avant de s'engager dans le football professionnel.

Débuts professionnels au HAC (1993-1998)

Vikash Dhorasoo entame sa carrière professionnelle au Havre Athletic Club, où ses performances font rapidement parler de lui.

En août 1993, il débute en professionnel contre l'AS Saint-Étienne. La saison suivante, il devient international espoirs. Lors de la saison 1996-1997, l'Atlético de Madrid s'intéresse à lui mais son président s'oppose à son départ[5].

Milieu de terrain offensif, capable d'accélérations balle au pied, doté d'un jeu de passe très précis, il s'affirme alors comme l'un des grands espoirs du football français. Il remporte l'Étoile France Football couronnant le meilleur joueur du championnat de France 1997-1998.

Au terme d'une saison 1997-1998 charnière, le jeune Normand s'impose comme l'un des meilleurs meneurs de jeu du Championnat. Denis Troch, son entraîneur, lui attribue le brassard de capitaine malgré ses 24 ans. Sur le terrain, Dhorasoo prend le jeu à son compte en véritable numéro 10. « Ma mission est de donner de bons ballons aux attaquants, d'être dans tous les coups ». Lionel Prat et Cyrille Pouget, ses partenaires en attaque, en sont les premiers bénéficiaires. Ses talents sont désormais reconnus dans le football français mais aussi à l'étranger : le Deportivo La Corogne et des clubs anglais se mettent sur les rangs pour le recruter. Mais, dès janvier, l'Olympique lyonnais affiche clairement son intérêt pour l'espoir havrais. Pour 28 millions de francs, l'OL récupère le prodige pour la saison suivante. Dhorasoo termine la seconde partie de la saison au sein du club havrais, se montrant déterminant durant plusieurs rencontres et participant à la totalité des rencontres du championnat[5].

Olympique lyonnais (1998-2004)

Transfert à Lyon

Après cinq ans passés au HAC, Vikash Dhorasoo est transféré en 1998-1999 à l’Olympique lyonnais. Ses trois premières saisons dans son nouveau club sont très concluantes. Le petit (1,68 m) milieu de terrain, très rapide et technique, s’impose comme une pièce majeure de l’effectif lyonnais. Ses bonnes prestations l’amènent également en équipe de France, et il connaît sa première sélection face à l’Ukraine, le .

Passage à Bordeaux

En 2001, Vikash Dhorasoo remporte la coupe de la Ligue avec Lyon mais quitte le club peu de temps après. En délicatesse avec son entraîneur Jacques Santini mais également avec certains cadres de l'équipe (notamment le gardien Grégory Coupet), il est prêté aux Girondins de Bordeaux pour la saison 2001-2002. Avec son nouveau club il remporte à nouveau la coupe de la Ligue, aux côtés, entre autres, du buteur Pedro Miguel Pauleta qu'il retrouvera au PSG quelques années plus tard.

Retour à Lyon

En 2002, Vikash Dhorasoo retourne à Lyon, où il effectue deux saisons pleines, jouant plus de 30 matchs par saison, avec deux titres de Champion de France à la clé. Ces deux saisons sont également l'occasion pour lui de se montrer dans un registre différent puisqu'il évolue la plupart du temps au poste de milieu défensif.

Milan AC, Paris SG et fin tumultueuse (2004-2007)

En désaccord avec l’entraîneur Paul Le Guen, Vikash Dhorasoo quitte l’OL au terme de la saison 2003-2004 pour rejoindre le championnat d’Italie et le prestigieux Milan AC, après avoir remporté pour la deuxième fois l'étoile France Football couronnant le meilleur joueur du championnat de France. Mais au sein d'un effectif pléthorique, il n'est que rarement aligné sur le terrain et doit se contenter de suivre la finale de la Ligue des Champions 2004-2005 du banc de touche.

À l'intersaison 2005, il est transféré au Paris Saint-Germain. Il y remporte notamment la coupe de France 2005-2006 face à l'Olympique de Marseille en marquant le but de la victoire sur une frappe de 25 mètres (le moment le plus fort de sa carrière, selon ses dires). Dans le quotidien sportif L'Équipe daté du 26 avril 2006, l'international français confie qu'il compte rester au PSG pour honorer la deuxième année de son contrat avec le club parisien. « Tout n'a pas été facile, mais si on repart l'année prochaine avec la volonté de gagner quelque chose, ça me convient », déclare-t-il.

Laissé sur la touche par l'entraîneur du Paris Saint-Germain Guy Lacombe au début de la saison 2006-2007, il donne du 23 au une série d'interviews au cours desquelles il critique ouvertement celui-ci[6]. Blessé à la cheville, le joueur est alors mis à pied par le PSG le 26 septembre. Le , il est convoqué à un entretien préalable avec le président du Paris SG Alain Cayzac, au siège du club. Le 11 octobre, il est licencié du club, fait extrêmement rare dans l'histoire du championnat de France. Il annonce par la suite son intention de faire appel de cette décision aux Prud'hommes, mais le désaccord est finalement réglé à l'amiable avec le PSG.

Il est contacté par le FC Sochaux à l'issue de la saison 2006-2007 mais le club, après une rencontre avec le joueur, ne donne pas suite au dossier et lui préfère Stéphane Dalmat. Fin juin 2007, il s'engage avec le club italien de Livourne. N'ayant participé à aucun match officiel, il résilie son contrat en novembre 2007[7]. En décembre 2007, le quotidien sportif français L'Équipe annonce qu'il serait sur le point de s'engager avec le Grenoble Foot 38[8]. Le 28 décembre 2007, Dhorasoo annonce son refus d'intégrer le club pour des raisons personnelles et le 11 janvier 2008, il annonce mettre un terme à sa carrière de footballeur faute de club et d'ambitions. « J'aime jouer au foot et j'aimerai ça toute ma vie, mais je n'étais plus prêt à cet investissement »[9]

En sélection (1999-2006)

Alors grand espoir du milieu de terrain, Vikash Dhorasoo découvre l'équipe de France en 1999 à l'occasion d'une blessure de Zinédine Zidane pour la réception de l'Ukraine (0-0) lors des matchs de qualifications à l'Euro 2000. Il fête sa seconde sélection (et première titularisation) au Camp Nou, à Barcelone, contre Andorre cette même année. Pris en grippe par les cadres, notamment suite à une « humiliation » infligée à l'entraînement à Didier Deschamps[10], il ne sera pas rappelé par Roger Lemerre. Le successeur de ce dernier n'est autre que Jacques Santini, qui l'avait écarté de Lyon.

Paradoxalement, sa saison 2004-2005 presque blanche en Italie est également la saison de son retour en équipe de France.

Il est en effet boudé par les différents sélectionneurs nationaux jusqu'à Raymond Domenech. Utilisé à divers postes du milieu de terrain (meneur de jeu, milieu gauche, milieu droit, milieu relayeur), Dhorasoo participe ainsi à la qualification des Bleus pour la Coupe du monde 2006. Il marque son premier but contre Chypre en octobre 2005 (victoire 4-0). Il est alors sélectionné par Domenech pour la Coupe du monde en Allemagne où il participe à deux matchs en phase de poules. Relégué au rang de remplaçant pendant le tournoi, il filme la vie de l'équipe de France de l'intérieur avec une caméra amateur Super 8 et en tire un film, Substitute, qui sort en salle début 2007. La presse indienne souligne qu'il s'agit « du premier joueur ayant des racines indiennes à participer à une phase finale de coupe du monde »[11]. Ceci n'est pas exact, le joueur néerlandais Aron Winter, natif du Surinam et d'origine indienne, ayant participé aux phases finales des Coupes du monde 1990, 1994 et 1998 avec les Pays-Bas.

Le , il critique Raymond Domenech à mots couverts puis déclare : « Pour moi l'équipe de France, c'est fini. Après la Coupe du monde… Ça ne m'intéresse plus. Je ne refuserai pas une sélection mais ce n'est pas ça le problème. Je n'ai plus très envie. Je n'annonce pas ma retraite internationale car tout le monde s'en fout. »

Reconversion

Expériences de président de club

Fin avril 2009, Vikash Dhorasso refait parler de lui dans les médias en annonçant officiellement sa volonté de prendre la présidence du Havre Athletic Club, son club formateur, à la suite de la saison catastrophique vécue par le club doyen du football français. Interviewé sur Europe 1 le 30 avril, l'ancien meneur de jeu havrais reste assez vague sur son projet mais assure disposer de moyens financiers personnels et bénéficier du soutien d'investisseurs indiens et d'une équipe dirigeante compétente prête à prendre les rênes du club.

Le 1er mai, le club annonce sur son site internet que Vikash Dhorasso est invité le 11 mai au siège du club afin d'apporter le contenu précis et étoffé de son projet devant le Conseil de surveillance du club. Après un vote effectué le 11 mai 2009, 97 % des actionnaires votants jugent défavorable l'arrivée de l'ancien joueur havrais.

Fin juin 2009, il annonce dans le quotidien Le Parisien, qu'il devrait devenir le prochain président de l'Entente Sannois Saint-Gratien, club du Val-d'Oise tout juste relégué en CFA. Le 22 juillet 2009, il devient enfin président d'un club de foot. Après son échec sur le dossier havrais, l'ancien milieu de terrain international est nommé président de l'Entente SSG, à la place de Luc Dayan. Il envisage d'en devenir actionnaire à court terme.
Cependant, il abandonne la présidence dès octobre 2009, estimant ne pas avoir les soutiens financiers nécessaires pour mener à bien le projet de l'Entente Sannois Saint-Gratien[12].

Engagement politique et associatif

Vikash Dhorasoo a créé, en partenariat avec le Havre Athletic Club et le club de football de Gonfreville-l'Orcher (reconnue en 2004 ville la plus sportive de France par le quotidien l'Équipe), un stage de football pour les 8-14 ans et il reversera intégralement ses intéressements à une association venant en aide aux enfants en difficulté sociale.

Il s'est toujours prononcé contre le sectarisme et la discrimination dans le sport et dans la vie en général. En 2005, il a choisi d’être le parrain du Paris Foot Gay[13], un club de football qui lutte contre l'homophobie et toute autre forme de discrimination dans le sport. Vikash contribue aussi activement à la lutte contre la pauvreté dans des pays comme l'Inde[3] et a mis en place plusieurs programmes pour réaliser cet objectif.

Le 1er mai 2007, il assiste au concert-meeting au stade Charléty, en soutien à Ségolène Royal, candidate à l'élection présidentielle, après avoir évoqué ses craintes à l'égard de Nicolas Sarkozy dans la presse. Sa carrière sportive maintenant achevée, Dhorasoo s'investit un peu en politique. Il a soutenu Bertrand Delanoë à Paris lors des municipales de 2008.

Le 29 novembre 2008 il signe un contrat d'un an avec la ville de Paris en tant qu'éducateur sportif auprès des jeunes des secteurs classés "politique de la ville"[14].

En 2010, lors de la coupe du monde de football, il s'exprime de manière très critique envers l'équipe de France qui représente selon lui la France des banlieues où « le pouvoir a été abandonné aux caïds et c'est ce que l'on retrouve en équipe de France »[15].

En octobre 2011, il s'affiche à un meeting de François Hollande, lors de la primaire citoyenne pour désigner le candidat socialiste à l'élection présidentielle de 2012.

En janvier 2016, il participe à un collectif de personnalités favorables à une primaire des socialistes et des écologistes en vue des élections présidentielles à venir[16].

En novembre 2017 dans une interview pour le média en ligne Brut, il se dit proche des idées de la France Insoumise et croyant en l'existence de la lutte des classes[2]

Tatane

Vikash Dhorasoo est à l'origine en avril 2011 du mouvement collectif Tatane, qui signifie « chaussure » dans le langage populaire. Il a rédigé le manifeste de ce mouvement en coopération avec Brieux Férot du magazine So Foot et Pierre Walfisz, producteur. Ce mouvement prône un football festif et durable. Aujourd'hui, environ 5000 membres font partie de cette association dont certains sont des personnalités célèbres : Emmanuel Petit, François Bégaudeau, Fred Poulet, Benoît Forgeard, Ernest Pignon-Ernest, Thierry Frémaux, Vincent Delerm, Daniel Cohn-Bendit, Rudy Ricciotti, Xavier Beauvois, etc.

L'enjeu pour le mouvement Tatane est de défendre un football originel en remettant le jeu et le lien social au cœur de la pratique du football avec 4 objectifs précis :

  • valoriser le football comme un lieu de jeu sans enjeu: la défaite doit être dédramatisée et la victoire relativisée ;
  • développer la dimension de politique publique du football : le sport est un lien social comme les autres ;
  • démocratiser radicalement la vie des clubs et associations sportives : le sport est une cité qui a besoin de ses citoyens ;
  • mettre fin au marché spéculatif dans le football : vers la suppression des indemnités de transferts.

Cette promotion d'un nouveau modèle de football se traduit sur le terrain par des rencontres, des débats, sa fameuse traditionnelle « Tatane party » mensuelle itinérante, des participations à des réunions et des forums, par l'organisation de performances au sein d’événements culturels, par la rédaction de chroniques ou de blogs dans des magazines ou journaux.

En , il présente sa candidature au sein de la liste Tatane pour la présidence de la Fédération française de football. Le , la liste Tatane est jugée inéligible[17].

Le , il fait paraître le livre Tatane. Rédacteur de la préface, il s'est entouré de quatre dessinateurs prestigieux (Pénélope Bagieu, Charles Berberian, Jul et Guillaume Bouzard) chargés de créer une illustration ou un gag en contrepoint de 50 règles alternatives. Ces 50 propositions fantaisistes et humoristiques portent les titres suivants : Pieds carrés, la Lionel Jospin, la JPP revient, la Patrick Bruel, la Rabbi Jacob, la Gilbert Montagné, la Zlatatane, la Francis Lalanne, la Brandao, la Chirac, la Mimie Mathy, etc.

Joueur de poker

Vikash Dhorasoo est un joueur de poker passionné et est un ancien membre du Team Winamax. En janvier 2008, il finit 5e du Planet 50 NLHE au cercle Gaillon, et gagne 21 150 €. En janvier 2009, il termine 15e de l'European Poker Tour de Deauville, il remporte 18 600 €.

En mai 2009, il finit 3e du Grand Prix de Paris à l'Aviation Club de France, il gagne 157 320 €. En juillet 2009, il remporte le Sunday 500 sur le site internet PokerStars, il remporte 69 410 $ (deal à 3)[18]. En septembre 2009, il termine 11e du Main Event du World Championship of Online Poker sur PokerStars et gagne 75 040 $.

Le 14 novembre 2010, il remporte la finale du Barrière Poker Tour à Enghien-les-Bains et 177 000 €[19]. Ses gains en tournois live s'élèvent à plus de 480 000 dollars américains.

Vikash Dhorasoo est licencié FSGT[20] au Winamax Football Club (équipe « corpo » de la société Winamax) depuis la saison 2010-2011. Il a remporté lors de sa première saison le championnat de football à 7 du lundi soir (niveau F).

Médias

Lors de la saison 2008-2009, Vikash Dhorasoo fait régulièrement partie des chroniqueurs de l'émission On va s'gêner, animée par Laurent Ruquier sur Europe 1.

En janvier 2010, il devient chroniqueur permanent dans l'émission 100 % Foot de Vincent Couëffé sur M6 aux côtés d'Éric Di Meco, Julien Cazarre et Vincent Duluc.

Il signe aussi des articles et des interviews dans le mensuel footballistique So Foot.

Son caractère et style de jeu atypiques ont fait de lui un héros du dernier recueil de nouvelles sportives de Philippe Delerm, qui le qualifie de « footballeur de la mélancolie »[21].

En janvier 2018, il rejoint l'équipe des Grosses Têtes de Laurent Ruquier.

Palmarès

En club

En équipe de France

But en sélection

Buts en sélection de Vikash Dhorasoo
# Date Lieu Adversaire Score Résultats Compétitions
1 Stade de France, Saint-Denis Chypre 3-0 4-0 Éliminatoires de la Coupe du monde 2006

Distinctions Individuelles

Statistiques et repères

Vie personnelle

Il est marié à Émilie, sa compagne de longue date, et a deux filles, Rose, née le 8 mars 2003, et Sara, née le 13 mars 2005.[23]

Publications

Filmographie

Hommage

En 2009, Vikash Dhorasoo fait l'objet d'une chanson de la part du groupe de rock indépendant Ldion, intitulée Remplaçant, allusion non dissimulée à son film Substitute, sorti deux ans plus tôt[24].

Notes et références

  1. http://www.lexpress.mu/article/vikash-dhorasoo-%C2%AB-je-suis-mauricien-donc-je-suis-la-disposition-des-mauriciens-%C2%BB
  2. a b et c « Brut », sur www.facebook.com (consulté le )
  3. a et b http://inde.aujourdhuilemonde.com/vikash-dhorasoo-se-mobilise-pour-les-enfants-des-rues-indiens
  4. http://www.lesinrocks.com/2011/04/06/actualite/vikash-dhorasoo-mon-enfance-en-normandie-1117147/
  5. a et b Nicolas Gettliffe, « Joueur de la saison : Vikash Dhorasoo », Onze Mondial, no Spécial bilan 1997-1998,‎ , p. 35 (ISSN 0995-6921)
  6. http://www.liberation.fr/sports/2006/09/25/le-psg-et-le-cas-vikash_5058
  7. Serge Pueyo, « Dhorasoo à Grenoble ? », (consulté le )
  8. « Dhorasoo vers Grenoble ? » sur lequipe.fr
  9. Les vérités grinçantes de Dhorasoo
  10. Grégory Schneider, « Dhorasoo, le désaccord permanent », Libération.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. http://www.thaindian.com/newsportal/uncategorized/former-french-player-dhorasoo-to-help-indian-football_100152967.html
  12. Cela en est « nulle part. J'ai arrêté, j'ai décidé de ne rien faire. Les élus ont coupé les subventions. (...) Quand je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas d'argent, j'ai fait marche arrière. Un club de CFA a besoin d'environ 1 000 000 euros de budget, selon moi. Là, il y avait 100 000 euros pour démarrer. » Vikash Dhorasoo, entretien au site internet 10 Sport, 1er octobre 2009
  13. http://parisfootgay.free.fr/fr/association/parrains.php
  14. http://www.mairie18.paris.fr/mairie18/jsp/site/Portal.jsp?page_id=528
  15. Daniel Riolo, Racaille Football Club, éditions Hugo, 2013, p. 49
  16. Un collectif de personnalités réclame une primaire à gauche en 2016 - article du 11/01/2016 - Le Monde
  17. « Dhorasoo se fait bâcher par la FFF », sur Le 10 Sport.com,
  18. http://www.joueraupoker.fr/news-poker/vikash-dhorasoo-remporte-sunday-500-pokerstars-752.html
  19. Le Havrais Dhorasoo empoche 177 000 € au poker Paris Normandie.fr, 17 novembre 2010
  20. « Dhorasoo : "Le foot est en crise parce que la peur de perdre empêche de jouer" », sur Le Monde.fr,
  21. Philippe Delerm, La Tranchée d'Arenberg et autres voluptés sportives, éd. Panama, 2007.
  22. Fiche de Vikash Dhorasoo sur le site de la FFF
  23. « “JE SUIS FIÈRE DE VIKASH” », sur http://www.5plus.mu
  24. Paroles de la chanson sur Sportvox.com

Liens externes

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