Pouzay

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Pouzay
Pouzay
La mairie et la poste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Val de Vienne
Maire
Mandat
Françoise Morin
2020-2026
Code postal 37800
Code commune 37188
Démographie
Population
municipale
900 hab. (2021 en augmentation de 6,51 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 04′ 58″ nord, 0° 32′ 06″ est
Altitude Min. 32 m
Max. 99 m
Superficie 14,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Maure-de-Touraine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Pouzay
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Pouzay

Pouzay est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Pouzay est un petit village baigné par la Vienne qui se situe à proximité de l'axe autoroutier A10 reliant Paris (279 km) au nord-est à Bordeaux (319 km) au sud—sud-ouest. Sur cet axe, les villes les plus importantes sont Tours (43 km) au Nord-Est, Châtellerault (42 km) et Poitiers (74 km) au Sud-Sud-Ouest.



Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Pouzay.

La commune est bordée par la Vienne (2,319 km), qui constitue sa limite territoriale ouest. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 9,77 km, comprend également six petits cours d'eau dont les Gaudeberts (0,452 km)[1],[2].

La Vienne, d'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source sur le plateau de Millevaches, dans la Creuse, à une altitude comprise entre 860 et 895 m et se jette dans la Loire à Candes-Saint-Martin, à 30 m d'altitude, après avoir traversé 96 communes[3]. La station de Nouâtre permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Vienne. Le débit mensuel moyen (calculé sur 61 ans pour cette station) varie de 60 m3/s au mois d'août à 355 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 2 480 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 8,61 m le [4],[5]. Sur le plan piscicole, la Vienne est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

Une zone humide a été répertoriée sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau des Trois Moulins »[7],[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Épain à 7 km à vol d'oiseau[11], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 745,6 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pouzay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,8 %), eaux continentales[Note 3] (3,8 %), forêts (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), zones urbanisées (3 %), prairies (2,8 %), cultures permanentes (1,9 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Pouzay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2003[23],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pouzay.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 74,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 459 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 346 sont en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Carte de Cassini[26], seconde moitié du XVIIIe siècle.

Pouzay — Pouziacus au XIIe siècle (Archives d'Indre-et-Loire, G, 326-335) serait d'origine celtique[27].

On[Qui ?] donne à croire que Pouzay signifierait le lieu de la fontaine ou la fosse.

À titre indicatif, nous remarquons sur le plan cadastral[28] relevé en 1857 qu'il existe, entre autres, un ruisseau affluent du Ruau qui s'appelle Les Fontaines Blanches et un ancien fief relevant de Dorée (commune de Parçay-sur-Vienne) et lieu-dit important le Profond Fossé (commune de Trogues) sur lequel est érigé le plus ancien manoir du canton[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sadi Carnot, président de la République française décréta la dissolution du conseil municipal de Pouzay le afin de « mettre fin à un état de choses, qui est de nature à compromettre gravement les intérêts de la commune ». Le conseil municipal avait systématiquement refusé, depuis la session de , de délibérer sur les affaires intéressant la commune, notamment sur les projets de budgets primitif de 1890 et additionnel de 1889[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1965 2019 Jean André Savoie-Taillefer[Note 4] DVD puis UMP-LR Entrepreneur en bâtiment, n.20.05.1923 à Pouzay - d.22.02.2019 à Pouzay - 95 ans
Conseiller général du canton de Sainte-Maure-de-Touraine (1997-2015)
2019 En cours Françoise Morin   Institutrice retraitée, née le 11.05.1954 - élue le 16 mai 2019

Jumelage[modifier | modifier le code]

La commune n'a établi aucun jumelage[32].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes de Touraine Val de Vienne. Créée le , cette structure intercommunale regroupe quarante communes issues de la fusion des anciennes intercommunalités du Bouchardais, du Pays de Richelieu et de Sainte-Maure-de-Touraine, à l'exception des communes de Sainte-Catherine-de-Fierbois et Villeperdue qui ont été rattachées à la communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre.
Son siège se situe 14 route de Chinon à 37220 Panzoult.

Instances judiciaires[modifier | modifier le code]

Il n'y a pas d'administrations judiciaires à Pouzay.
Toutes les juridictions sont regroupées à Tours, à l'exception de la Cour administrative d'appel qui se situe à Nantes (Loire-Atlantique), la Cour d'appel et le Tribunal administratif qui se situent à Orléans (Loiret)[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Vie locale[modifier | modifier le code]

Une fête ancestrale se déroule chaque année au  : la foire aux melons et aux canards.

Cette manifestation très populaire en Indre-et-Loire est clôturée en soirée par un grand spectacle pyrotechnique tiré en bord de Vienne.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 900 habitants[Note 5], en augmentation de 6,51 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
390408408463502434450437460
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
452493476470498530565558520
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
528542556487538538498558676
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
732759696736696755788797835
2018 2021 - - - - - - -
892900-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement et Culture[modifier | modifier le code]

L'école primaire publique est rattachée à l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B).
Cet établissement est composé d'une école maternelle et élémentaire.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Depuis 2003, la compétence en matière de gestion et traitement des déchets ménagers et assimilés, auparavant communale, a été transférée à la communauté de communes puis déléguée au SMICTOM (Syndicat Mixte pour la Collecte et le Traitement des Ordures Ménagères) du Chinonais.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Légende du plan cadastral de Pouzay réalisé le 25 mai 1827 sous la mandature de monsieur René Chapelle.

D'après les plans cadastraux anciens dits "napoléoniens" levés de 1807 à 1838[38] :

  • Section A - BRETONNIERE (LA) :

Barboise (La)[Note 6],[39], Biscotière (La), Bouchet (Le), Bretonnière (La), Buvinière (La), Haute rue (La), Marais (Le), Renaudière (La), Rue de Fortune (la), Thomassaye, Tisserie (la), Touraudière (la).

  • Section B - LE BOURG (LE) :

Aubiers[Note 7],[40] Bourassée (La), Chenevelles, Croix (La), Lavau, Moulins (Les), Piraudière (La), Pouzay, Rosiers.

  • Section C - SOULANGÉ :

Delletière (La), Douce, Gaudeberts (Les), Houdrière (La), Morillière (La), Plessis (Le), Ridois (Les), Soulangé

  • Section D - MARNAIZE :

Marnaize, Noraie (La), Vernières (Les)

L'église[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame de Pouzay.

L'édifice entier a été bâti au XIIe siècle, mais le chœur et l'abside ont été reconstruits postérieurement. L'église Notre-Dame a été reconstruite en 1869 (nef) selon les plans de l'architecte Étienne Charles-Gustave Guérin[41] dit "Gustave" (1814-1881)[Note 8]. Par contre, son clocher carré date du XIIe siècle et il est surmonté d'une flèche hexagonale en pierre du XVe siècle.
Ce clocher appartient à la paroisse Saint-Maurice.

Le monument commémoratif[modifier | modifier le code]

Monument aux morts de Pouzay.

Le relief du monument est l'œuvre du marbrier Narcisse Bordeaux (Bonnes 1874 - Châtellerault 1945). Il exécuta un autre exemplaire pour le monument de Verrue (Vienne)

Dominique Antoine Constant Aroche[44], Eugène Barateau[45], Georges Blanchard, Severain Eugène Bouloizeau[46], Camille Auguste Breyon[47], Alexandre Bureau, Armand Chevard[48], Charles Creuzon[49], Louis Drouard[50], Jean Baptiste Louis Dumas[51], Albert Duvigneau, Théophile Adémise Gerberon[52], Honoré Arsène Gouron[53], Louis Guibert[54], Aimé Guilloteau, Désiré Adrien François Joly[55], Mathurin Marie Le Tulzo[56], Siméon Le Tulzo[57], Félix Léon Moreau[58], Louis Désiré Nossereau[59], Jean Louis François Pelloquin[60], Delphin Plisson[61], Armel Gustave Robin[62], Georges Louis Constant Rouget[63], Adrien Victor Thibault[64], Jules Victor Désiré Thibault[65], Marcellin Etienne André Tranier[66], Albert Louis Vallet[67]

Edmond Balzeau, Georges Vincent Bouin[69], Raymond Edouard Noël[70], Marius Pelletier[71], Marcel Signolet[72]

Quelques curiosités[modifier | modifier le code]

  • Sculpture sur linteau

Nous pouvons découvrir une sculpture sur le linteau d'une porte cochère en face de l'église.

Elle représente une ancienne balance à grains sur laquelle est posé un sac comportant un nom (LEBLANC) et une année (1873).

Elle a été élaborée l'année de leur mariage par Paul Leblanc (1844-1903) natif de Parçay-sur-Vienne qui exerçait le métier de marchand de blé et Clémentine Octavie Bouquaire (1849-1919) native de Theneuil, son épouse.

  • Sarcophage

Un sarcophage en millarge[Note 11] a été trouvé dans un champ appartenant à Marie-Thérèse Coursault au lieu-dit « Le Moulin à Vent », lors de labours effectués par le commis Maurice Plisson le [73].

Un second sarcophage fut trouvé quelques jours après le premier et tous deux ont été placés au milieu d'un massif près de l'église.

Il n'en subsiste malheureusement plus qu'un seul.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Jean Savoie

Quelques "Pouzéens" qui ont combattu entre 1792 & 1815 au sein de la Grande Armée de Napoléon sont décorés de la médaille de Sainte-Hélène en 1857 : François Bourassé (fusilier au 29e de ligne), François Dien (Marin de la Garde Impériale), René Enault (Fusilier au 82e de Ligne), Gabriel Gaultier (fusilier au 3e de Ligne) et Louis Herpin (Marin de la Garde Impériale)[74].

Claude Pierre Paul Louis Balland, né le à Pouzay, a été nommé chevalier de la Légion d'honneur le en qualité de médecin capitaine[75].

Jean André Savoie-Taillefer, était maire de la commune depuis 1965, ancien premier vice-président du conseil général d'Indre-et-Loire avait été réélu conseiller général du canton de Sainte-Maure-de-Touraine en . Il est décédé le vendredi . À 95 ans, il était le maire le plus âgé d'Indre-et-Loire et le vice-doyen des maires de France.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Jean André Savoie-Taillefer meurt en cours de mandat le [31].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Toponyme dérivé de barboter désignant un lieu boueux, des bourbiers
  7. Des textes datés du XVe au XVIIIe siècles donnent le nom de "Poëlle d'Aubiers" à un domaine attenant au fief d'Aubiers à Pouzay, près de la source du Ridois : "Le logis et fresche du Poille d'Aubiers en ladite paroisse de Pouzay… proche le village d'Aubiers". La source du Ridois forme une zone marécageuse entre Rosiers et la Morillère
  8. Ancien élève de l'école des Beaux-Arts de 1830 à 1833, il fut choisi comme architecte municipal par la ville de Tours en 1836 et désigné l'année suivante comme architecte de la préfecture, des bâtiments diocésains et édifices départementaux. Le 20 décembre 1848, il fut confirmé par le ministère des cultes dans ses fonctions d'architecte diocésain de Tours ; il conserva ce poste jusqu'en 1880, date à laquelle il fut remplacé par Paul Boeswillwald. Il fut nommé Chevalier de la Légion d'honneur le 18 juillet 1876.
  9. Ne figurent pas dans la base des Morts pour la France de la Première Guerre Mondiale du Secrétariat général pour l'administration, Mémoire des Hommes : Georges Blanchard, Alexandre Bureau, Albert Duvigneau & Aimé Guilloteau
  10. Ne figure pas dans la base des militaires décédés pendant la Seconde Guerre mondiale du Secrétariat général pour l'administration, Mémoire des Hommes : Edmond Balzeau
  11. Il s’agit d’une roche calcaire principalement détritique qui présente la propriété d’être à la fois dure et friable. (Consulter les carrières de sarcophages de Panzoult par Daniel Morleghem

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Pouzay », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - la Vienne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique L7000610, la Vienne à Nouâtre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  7. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  8. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Pouzay et Saint-Épain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Saint-Épain », sur la commune de Saint-Épain - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Saint-Épain », sur la commune de Saint-Épain - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Pouzay », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui
  27. Bibliothèque nationale de France, Bulletin de géographie historique et descriptive - Ernest Leroux (Paris) 1904 - page 236 par le Comité des travaux historiques et scientifiques (France)
  28. Archives Départementales d'Indre-et-Loire, Collection des plans parcellaires communaux du cadastre napoléonien (Pouzay : cadastre rénové en 1969).
  29. Ministère de la Culture et de la Communication, Inventaire général du patrimoine culturel, Base architecture - Mérimée -.
  30. Bibliothèque nationale de France, Journal Officiel no 98 du 11.04.1890 page 1870
  31. « Jean Savoie, le maire le plus âgé d'Indre-et-Loire est décédé ce vendredi à 95 ans », sur France Bleu (consulté le ).
  32. Association Française du Conseil des Communes et Régions d'Europe, consulté le 20.09.2014.
  33. Ministère de la Justice et des Libertés, Liste des juridictions compétentes pour 37800 Pouzay, consulté le 20 septembre 2014
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Archives Départementales d'Indre-et-Loire, Sous-série 3 P
  39. Bibliothèque nationale de France, Bulletin de la Société Archéologique de Touraine, 2001, Toponymie et microtoponymie des lieux humides en Indre-et-Loire, page 186
  40. Bibliothèque nationale de France, Bulletin de la Société Archéologique de Touraine, 1993, Le gaulois pol-, "étang, marais" en Indre-et-Loire, page 398
  41. Bibliothèque nationale de France, Bulletin de la Société archéologique de Touraine, Tome V -1880-1882, Catalogue des Travaux de Gustave Guérin, page 20
  42. Secrétariat général pour l'administration, Mémoire des Hommes, Morts pour la France de la Première Guerre Mondiale
  43. Commune de Pouzay, Célébration du centenaire de la Première Guerre mondiale par Paul-Marc Heudre
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