Libourne
Libourne | |
Le pont de pierre sur la Dordogne et la flèche de l'église Saint-Jean. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Gironde (sous-préfecture) |
Arrondissement | Libourne (chef-lieu) |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Libournais |
Maire Mandat |
Philippe Buisson 2014-2020 |
Code postal | 33500 |
Code commune | 33243 |
Démographie | |
Gentilé | Libournais |
Population municipale |
24 595 hab. (2014) |
Densité | 1 192 hab./km2 |
Population agglomération |
36 150 hab. (2009) |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 54′ 58″ nord, 0° 14′ 34″ ouest |
Altitude | Min. 2 m Max. 28 m |
Superficie | 20,63 km2 |
Élections | |
Départementales | Libourne (chef-lieu) |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-libourne.fr |
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Libourne est une commune du sud-ouest de la France située dans le département de la Gironde dont elle est une des sous-préfectures, en région Aquitaine.
Cette ancienne bastide fondée au XIIIe siècle par Roger de Leyburn (ou de Leybourne), est aujourd'hui la principale ville du nord du département. Forte de 24 595 habitants en 2014, au cœur d'une aire urbaine de 36 150 habitants[1], elle s'inscrit dans l'axe Arcachon-Bordeaux-Libourne, aire métropolitaine concentrant près de 1 250 000 habitants.
La cité, qui s'est développée au confluent de l'Isle et de la Dordogne, au centre d'une riche région viticole, est dès l'origine un port important par où transitent des marchandises en provenance de toute l'Europe. Longtemps deuxième ville du nord de la Guyenne après Bordeaux, elle entretient avec cette dernière des rapports ambivalents : « filleule » de la capitale aquitaine durant le court règne du Prince noir, elle est aussi sa rivale en matière de commerce ou de fiscalité. Importante ville de garnison (elle abritera notamment plusieurs régiments de cavalerie et d'infanterie, ainsi que l'école nationale des officiers de réserve de santé) jusqu'à une date assez récente, elle est aujourd'hui un pôle économique et commercial rayonnant sur le nord du département, fortement influencé par une agglomération bordelaise en constante progression.
Libourne compte également sur un patrimoine monumental varié : pont de pierre, église Saint-Jean, tour du Grand Port, hôtel de ville, immeubles à arcades de la place Royale, témoignent ainsi de la prospérité de la ville au cours des siècles.
Géographie
La ville de Libourne se trouve au confluent de l'Isle et de la Dordogne, au cœur des célèbres vignobles de saint-émilion et de pomerol.
Communes limitrophes
Libourne est limitrophe de neuf autres communes.
Voies de communication et transports
Infrastructures routières
Libourne est située sur l'axe allant de Bordeaux à Clermont-Ferrand. L'A89 permet de faciliter les communications entre l'Aquitaine et l'Auvergne, Lyon et la Suisse. L'autoroute contourne la ville par l'ouest via le viaduc des Barrails et le viaduc du Mascaret. La ville se situe à 31 km par la route nationale 89 (voie express à 2×2 voies) du centre de Bordeaux et à 98 km d'Arcachon.
Infrastructures ferroviaires
La ligne TGV Atlantique Paris-Bordeaux, la ligne de Libourne au Buisson et la ligne de Lyon à Bordeaux passent par la gare de Libourne.
Transports en commun
Libourne possède 7 lignes de bus :
- 5 lignes de jour,
- 2 lignes scolaires.
La municipalité, après avoir rendu gratuit l'usage du réseau pour les moins de 18 ans depuis le 1er janvier 2009, a généralisé cette gratuité des transports en commun à l'ensemble des Libournais à compter du 28 août 2010[2],[3]
Toponymie
La ville tient son nom de son fondateur, Roger de Leybourne , qui, sur l'emplacement du village romain de Fozera, en réalisa le tracé en 1270. Au cours des années, son nom fut légèrement déformé. Il se transforma en Libourne.
En occitan/gascon, le nom de la commune est Liborna.
Ses habitants sont appelés les Libournais[4].
Histoire
À l'époque de sa fondation, la vocation de Libourne était celle d'un port maritime pour le commerce du vin et fluvial pour le commerce du bois, ultime destination des gabares descendant la Dordogne chargées, entre autres, de bois de noisetier destiné aux vignobles.
La bastide de Libourne, au confluent de la Dordogne et de l’Isle, avec un port fluvial et maritime sur la Dordogne, a été conçue en 1268-1270 pour devenir le débouché naturel des vins de la vallée de la Dordogne – vins du Saint-Émilionais, du Bergeracois, etc. – exportés dès la fin du XIIIe siècle en Angleterre. Les rois d’Angleterre octroyèrent à la ville de Libourne, de même qu’ils l’avaient fait pour Bordeaux, une « coutume » exemptant de droits de douane l’exportation de ces vins. La grande période de ce trafic se situe entre 1305 et 1336.
Pour la petite histoire, il se dit que le pavage du port est en pierre anglaise transportée dans les bateaux qui venaient chercher du vin. En effet, ceux-ci ne pouvant venir d'Angleterre à vide, il fallait les lester pour qu'ils puissent naviguer sur l'Atlantique.
Libourne fait partie du type de villes construites autour d'une place entourée d'arcades pour créer un marché, les bastides.
De par son adhésion, en 1379, à l'alliance bordelaise de défense contre les troupes françaises, la ville fortifiée de Libourne fut qualifiée de filleule de Bordeaux[5] ; cette alliance favorisa de nombreux échanges commerciaux avec la capitale girondine.
Afin de la récompenser de sa fidélité, Louis XI confirma encore ses privilèges par les lettres patentes en octobre 1461[6] ainsi qu'en juin 1472 à la suite de la mort du duc Guyenne, son frère[7],[8],[9].
Libourne est touchée par la révolte des pitauds en 1548 : en 1541, la gabelle est imposée à la Saintonge et à l’Angoumois, provinces qui ne payaient pas cet impôt sur le sel. La révolte éclate près d’Angoulême, et Libourne est prise par les révoltés pendant l’été[10]. Lors des guerres de la Fronde (1648 à 1652), Bernard de Nogaret de La Valette, duc d'Épernon gouverneur de Guyenne, fit fortifier Libourne dans le but d’affaiblir Bordeaux dont les échanges dépendaient de deux fleuves, la Garonne mais aussi la Dordogne. La ville est à nouveau assiégée par les troupes françaises en 1652[11]. Le commerce du port de Libourne, de même que celui de Bordeaux, eut à souffrir du blocus continental opéré lors de la guerre de la Ligue d’Augsbourg (1688-1697) par les Puissances maritimes (Angleterre, Provinces-Unies, Empire et Espagne). Pour avoir du vin, elles firent appel davantage qu’auparavant au Portugal et à l’Espagne. Après la révocation de l'édit de Nantes (1685), la « diaspora » des protestants a renoué des liens commerciaux privilégiés, ainsi entre Bergerac et la Hollande (les vins de Bergerac étaient expédiés depuis Libourne).
À l’époque de Tourny, intendant de Guyenne au milieu du XVIIIe siècle, Libourne se dota d’allées, de fontaines, de lavoirs et améliora ses quais et ses ports.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Jumelages
Au 26 novembre 2012, Libourne est jumelée[13] avec :
- Schwandorf (Allemagne) depuis 1965 ;
- Keynsham (Grande-Bretagne) depuis 1977 ;
- Logroño (Espagne) depuis 1979 ;
- Pu'er (Chine) depuis 2012.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[14],[Note 1]. En 2014, la commune comptait 24 595 habitants, en augmentation de 3,21 % par rapport à 2009 (Gironde : 5,99 %, France hors Mayotte : 2,49 %). |
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (24,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21,4 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54,5 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 45,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 23 %, 30 à 44 ans = 19,4 %, 45 à 59 ans = 20,6 %, plus de 60 ans = 19,7 %) ;
- 54,5 % de femmes (0 à 14 ans = 13,9 %, 15 à 29 ans = 18,5 %, 30 à 44 ans = 18,2 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 29,3 %).
Enseignement
Libourne compte plusieurs collèges et lycées :
- collège Eugène-Atget
- collège Marguerite-Duras
- collège des Dagueys
- collège Saint-Joseph (privé)
- lycée Max-Linder
- lycée professionnel Jean-Monnet
- lycée professionnel Henri-Brulle
- lycée Montesquieu (privé)
Ainsi que plusieurs lieux d'enseignement supérieur :
- Un institut de formation en soins infirmiers (IFSI)
- 3 brevets de technicien supérieur (BTS) en établissement public : maintenance industrielle ; management des unités commerciales ; assistant de direction.
- 3 BTS en établissement privé : assistant de gestion PME/PMI ; négociation relation clientèle ; management des unités commerciales.
- le centre de formation de l'Insee (Cefil).
- 1 BTSA technico-commercial.
Sports
La ville compte un certain nombre de clubs :
- Handball Club Libourne en championnat de France de handball masculin de Nationale 1, soit l'équivalent de la division 3.
- Union athlétique libournaise en championnat de France de rugby à XV de 2e division fédérale, soit l'équivalent de la division 4.
- Football Club Libourne en Division supérieure régionale de la Ligue d'Aquitaine de football, soit l'équivalent de la division 6.
- Association Sportive Libournaise Athlétisme ou ASPTT de Libourne dont les filles évoluent en division nationale 2B des championnats de France interclubs d'athlétisme.
- ASL Basket qui évolue en promotion excellence du championnat départemental de Gironde, soit l'équivalent de la division 10.
- Libourne Natation.
- Club Nautique de Libourne au plan d'eau des Dagueys, situé sur le site naturel des Dagueys.
- Lors du Tour de France 1957, Libourne fut ville d'arrivée de la 20e étape du contre-la-montre individuel Bordeaux-Libourne[19] et de départ de la 21e étape Libourne-Tours[20].
- Un contre-la-montre par équipes s'est déroulé à Libourne lors de la 4e étape du Tour de France 1992[21].
Équipements sportifs
- 7 stades dont :
- Stade Jean-Antoine-Moueix
- Stade d'athlétisme Robert-Boulin
- 7 salles et gymnases dont :
- Palais des sports Georges-Kany
- Gymnase Jean-Mamère
- Salle de Gymnastique des Bleus de Saint-Ferdinand
- Dojo municipal
- Salle d'escrime René-Legendre
- Piscine municipale
- Hippodrome de Cantereaux
- Pôle nautique international des Dagueys
Culture
- Musée des beaux-arts de Libourne qui présente une remarquable collection de peintures, sculptures, dessins etc. datant du XIVe au XXe siècle.
- Fest'arts - Festival de théâtre de rue. Tous les ans, en août[22].
- Chapelle du Carmel, ancien couvent de carmélites, expositions temporaires.
- Médiathèque municipale Condorcet.
- Théâtre le Liburnia.
- Cinéma grand écran 8 salles.
Secrétariat du Père Noël
En 1962, après que deux receveuses (Odette Ménager dans un bureau de poste de Maine-et-Loire et Magdeleine Homo dans la Seine-Maritime[23]) aient fait connaître leur frustration de ne pouvoir acheminer le courrier destiné au Père Noël jusqu’à ce dernier et aient pris l'initiative d'ouvrir le courrier[24], le ministre des PTT, Jacques Marette, décide de créer le secrétariat du Père Noël, un service spécialement chargé de répondre aux enfants envoyant des lettres au Père Noël[25], seul service de la Poste autorisé à ouvrir le courrier[26]. Il confie la création de la carte-réponse du Père Noël à une rédactrice, sa propre sœur qui n'était autre que la célèbre pédiatre et psychanalyste Françoise Dolto (la première « secrétaire du père Noël ») et à un illustrateur qui garde l'apparence du Père Noël (barbe blanche et houppelande rouge[27]) mais change régulièrement au cours des années ses moyens de locomotion (satellite des télécommunications, hélicoptère, nuage, étoile, etc.). Le secrétariat se situe alors au sixième étage de l'hôtel des Postes du 52, rue du Louvre à Paris, au service des « rebuts » (le rebut désigne un objet postal dont la distribution est impossible) où les postiers « secrétaires » sont spécialement sélectionnés pour rompre un dogme de la poste, l'inviolabilité du secret de la correspondance[28].
Dans le cadre de la décentralisation, ce service des rebuts des PTT doit être transféré en province. Robert Boulin, alors secrétaire d'État au Budget et maire de Libourne, use de son influence pour obtenir le déménagement de ce service dans sa ville en 1967, offrant aux PTT un terrain pour accueillir le centre de recherche du courrier et le secrétariat du Père Noël. Depuis lors, le Père Noël reçoit son courrier à Libourne[28].
Dans les années 1940, la Poste estimait le flux annuel de courrier destiné au Père Noël à 3 000. En 1962, ce secrétariat a reçu le courrier de deux mille enfants. Le nombre de lettres reçues a augmenté régulièrement de 10 % par an, pour atteindre 1 430 000 plis et 181 200 courriels en 2007, les missives arrivant de 130 pays différents[26]. Cette évolution se stabilise depuis la fin des années 2000[23]. Il s'agit principalement des lettres d'enfants de 3 à 9 ans mais une recrudescence de lettres envoyées par des adultes (liée à leur isolement, leur solitude) a conduit le secrétariat à abandonner en 2011 les cartes-réponses personnalisées au profit de réponses-type uniquement pour les adultes[28]. La France est un des rares pays avec la Finlande (Rovaniemi) et le Canada à disposer d'un secrétariat de ce type[24].
En 2014, toute l'histoire du secrétariat du Père Noël de La Poste est racontée pour la première fois dans un livre scientifique[29].
Médias
Quatre radios émettent sur Libourne[30] :
- ARL (Aquitaine Radio Live)
- Gold FM
- Mélodie FM
- France Bleu Gironde
Politique internet et numérique
En 2013, la commune de Libourne a été récompensée par le label « Ville Internet @@[31] ».
Économie
Libourne est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Libourne. Elle gère l’aérodrome de Libourne - Artigues-de-Lussac.
Plusieurs grandes entreprises sont présentes à Libourne :
- Arena (équipementier) : La direction d'Arena-France a délocalisé le 19/03/2007 sa production de maillot de bain, notamment en Chine et en Grèce.
- Botalo Tradition de fabrication de bottes en cuir pour les morutiers depuis 1850.
- Ceva Santé Animale (siège social), laboratoire vétérinaire fabriquant des produits phytosanitaires et ayant des filiales dans de nombreux pays.
- Fayat, une des principales entreprises françaises du bâtiment et des travaux publics.
Le 10 octobre 2008, le ministère de l'intérieur a annoncé la fermeture de l'École de sous-officiers de la gendarmerie nationale[32].
Libourne envisage de tester des « lampadaires absorbeurs de CO2 ». Munis d'un réservoir contenant des algues, ils absorberaient le dioxyde de carbone et émettraient de l'oxygène[33].
Libourne a sa propre monnaie locale complémentaire, la Monnaie d'intérêt économique local, dont les prestataires se trouvent dans une zone comprenant les pays Libournais, Créonnais, Castillonnais, Pays de Coutras et Landes girondines.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'école de gendarmerie qui remplace l'école des officiers de réserve du service de santé des Armées (restée célèbre dans la mémoire des appelés pharmaciens et médecins qui y faisaient leur période de classes, aujourd'hui dissoute).
- La tour du grand port est un des derniers vestiges des fortifications qui protégeaient Libourne depuis le Moyen Âge. Elle est classée monument historique.
- Le pont de pierre de Libourne de 1822 est également un magnifique témoignage du riche passé de la ville.
- L'hôtel de ville, XVIe siècle, amplement remodelé au début du XXe siècle, abritant le musée des beaux-arts de Libourne au deuxième étage, classé monument historique.
Ces monuments sont mis en valeur, et éclairés la nuit pour le bonheur des touristes et des Libournais.
- Le château de Sales, XVIIe siècle, en partie sur la commune de Lalande-de-Pomerol, inscrit aux monuments historiques.
- Le château du Pintey et son pigeonnier, XVIIIe siècle, inscrits aux monuments historiques.
- L'église Saint-Jean, reconstruite en style néo-gothique au XIXe siècle tout en conservant son chœur du XIVe siècle, inscrite aux monuments historiques.
- Les vestiges de l'église de l'ancien couvent des Cordeliers, XIIIe et XIVe siècles, inscrits aux monuments historiques.
- La chapelle de Condat, XIe et XVe siècles, inscrite aux monuments historiques.
- L'ancienne chapelle du Carmel, aujourd'hui centre culturel.
- La synagogue, XIXe siècle, inscrite aux monuments historiques.
- L'INSEE y a aussi son centre de formation.[Où ?]
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Dominé par la tour du grand port, le confluent de l'Isle (en face) et de la Dordogne
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Tour du grand port
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Hôtel de ville
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Arcades, place Abel-Surchamp
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Balcon de l'hôtel de ville
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Place Abel-Surchamp
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Temple protestant
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Église Saint-Jean
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Portail de l'église Saint-Jean
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Flèche du clocher de l'église Saint-Jean
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Centre culturel du Carmel (ancienne chapelle)
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Vue panoramique depuis l'Isle
Personnalités liées à la commune
Nées à Libourne
XVIIIe siècle
- Jacques Lacaze, révolutionnaire français né le († )
XIXe siècle
- Paul-Romain Chaperon (1808-1879), pionnier[34] du chemin de fer, ingénieur de la ligne de Strasbourg à Bâle.
- Colonel de Groulard, militaire né le († )
- Pierre-Charles-Marie Princeteau, dit René, peintre né à Libourne le († )
- Charles-Édouard Princeteau, général de division né le († )
- Aimée Tessandier, comédienne née le († 1923)
- Jules Roulleau, sculpteur
- Eugène Atget, photographe né le († )
- Théodore Steeg, homme politique né le († )
- Fernand de Brinon[35], avocat et journaliste, agent de la collaboration française avec les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale né le († ).
XXe siècle
Par dates de naissances :
- Pierre Lewden, athlète français spécialiste du saut en hauteur né le à Libourne, († ).
- Ivan Peychès, membre de l'Institut (Académie des Sciences) né le († ).
- Jean Carbonnier, juriste et professeur de droit né le († ).
- Jean Freustié, romancier né le († 1983).
- Jean Madiran, journaliste et essayiste d'orientation nationaliste et catholique traditionaliste né le († ).
- Jean-Marie Londeix, saxophoniste et pédagogue né le .
- Alain Labrousse, journaliste, sociologue et géopoliticien, né le .
- Jean-René Fourtou, homme d'affaires né le .
- Jacques Soppelsa, né à Libourne le , universitaire français, spécialiste de la géopolitique et ancien président de la fédération française de rugby à XIII.
- Jean-Pierre Martinet (1944-2003), écrivain.
- Georges Friedenkraft (1945), poète et écrivain français.
- William Leymergie, animateur et producteur de télévision né le .
- Michel Rolland, œnologue né le .
- Noël Mamère, homme politique et journaliste né le .
- Christian Manon, acteur né le .
- Jean Mamère, journaliste né le , († ).
- Christine Cicot, judoka française médaillée olympique.
- Doriand, chanteur né le .
- Juliette Danion, née le , est une grimpeuse française.
- Mickaël Delage, coureur cycliste né le .
Décédées à Libourne
- Gaston de Foix (1444-1470), prince héritier de Navarre.
- Bernard de Susbielle (1808-1893), général de division.
- Jean-Pierre Martinet (1944-1993), écrivain.
Héraldique
Les armes de Libourne se blasonnent ainsi : D'azur au vaisseau équipé d'argent, les voiles ferlées, voguant sur des ondes du même mouvant de la pointe, les trois mâts sommés chacun d'une fleur de lys d'or, les ondes chargées d'un croissant de sable. En 1462, Louis XI vint à Libourne où il reçut un accueil des plus chaleureux. En signe de reconnaissance, il concéda à la ville le droit de surmonter d’une fleur de lys chacun des mâts du vaisseau que portaient les armes de la ville. La devise latine de la ville est « INSULA LIBURNIUM DURANIUS » (Libourne entre l'Isle et la Dordogne)[36]. |
Voir aussi
Bibliographie
- Charles Higounet, Histoire de l'Aquitaine, éd. Privat, 1971.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'office du tourisme
- Libourne sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
Références
- http://www.insee.fr/fr/bases-de-donnees/esl/comparateur.asp?codgeo=au2010-177
- « Libourne plonge dans la gratuité », Ville, rail & transports, no 502, , p. 14 (ISSN 2104-0028)
- « Libus, un service de la ville de Libourne », sur http://www.ville-libourne.fr, (consulté le )
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
- (fr1835) Gabriel de Lurbe et Jean Darnalt, Chronique Bourdeloise, Bordeaux, Simon Millanges, , 65 p. (lire en ligne), p. 33
- http://books.google.fr/books?id=4-ZZAAAAYAAJ&pg=PA165 Lettres patentes de Louis XI, Tours, octobre 1461
- http://books.google.fr/books?id=OJ-b2-CLz7EC&pg=PA435 Lettres patentes de Louis XI, Saintes, mai 1472 (Louis XI était à Saintes en mai et juin 1472, non en juin 1471.)
- http://books.google.fr/books?id=OJ-b2-CLz7EC&pg=505
- http://books.google.fr/books?id=j3kUAQAAMAAJ&pg=PA327 Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, le 24 janvier 1478 (1477 avant Pâques)
- Suzanne Citron, Le mythe national : l’histoire de France en question, Paris : coédition Les Éditions ouvrières/Édition et documentation internationale, 1991, p. 229. ISBN 2-85139-100-3, ISBN 2-7082-2875-7
- Martin Barros, Nicole Salat et Thierry Sarmant (préf. Jean Nouvel), Vauban - L’intelligence du territoire, Paris, Éditions Nicolas Chaudun et Service historique de l'armée, , 175 p. (ISBN 2-35039-028-4), p. 166.
- Démissionnaire à cette date.
- Jumelages de Libourne sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures, consulté le 14 décembre 2014. Celui avec Pu'er n'est pas encore référencé.
- L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
- « Évolution et structure de la population à Libourne en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- « Résultats du recensement de la population de la Gironde en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Etape 20 : Bordeaux - Libourne (c.l.m.) sur le site La Grande Boucle, consulté le 1er mai 2013.
- Etape 21 : Libourne - Tours sur le site La Grande Boucle, consulté le 1er mai 2013.
- Etape 4 : Libourne - Libourne (c.l.m. par équipes) sur le site La Grande Boucle, consulté le 1er mai 2013.
- Site officiel de Fest'Arts
- Pierre Sauvey, « Le Père Noël de Libourne n'a que 50 ans », sur La Dépêche,
- Hajdenberg, « Un service pour des lettres et des perles par milliers », sur liberation,
- Jean-Pierre Guéno, Cher Père Noël ! : un siècle de lettres au Père Noël, Télémaque, , 300 p. (ISBN 2753301638)
- « Le secrétariat du Père Noël a repris son service », sur lefigaro.fr,
- En 2001, l'illustrateur ose le déshabiller pour faire apparaître son prénom en rouge sur son caleçon : Alphonse
- « Les 50 ans du secrétariat du Père Noël », documentaire d'Olivier Chaumelle et Françoise Camar sur France Culture, 4 décembre 2012
- Valérie-Inés de La Ville & Antoine Georget, Le Père Noël de la Poste : La surprenante histoire de son secrétariat (1962-2012), Bruxelles, PIE Peter Lang, , 197 p. (ISBN 978-2-87574-231-5, lire en ligne)
- Fréquence Radio Libourne, consultée le 26 août 2011.
- Palmarès 2013 des villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 7 mai 2013.
- Le Monde
- Archives du Monde lampadaires à algues-absorbeurs de CO2 de Libourne, proposés par la sté Tyca
- Auguste Perdonnet, Notions générales sur les chemins de fer: suivies Des biographies de Cugnot, Séguin et George Stephenson; d'un mémoire sur les avantages... et d'une bibliographie raisonnée, E. Lacroix, 186?, p. 56 intégral (consulté le 22 mai 2011).
- La famille de Brinon portait « d'azur au chevron d'or au chef denté du même » (Charles d'Hozier, Armorial général de France, rééd. 1876)
- Blog Libourne, histoire d'en parler, consulté le 28 janvier 2010.