Les lignes sont déclarées d'utilité publique le 30 janvier 1893[1].
Le chemin de fer était surnommé le petit Mairat, du nom d'un élu charentais : Paul Mairat (1865-1924), conseiller général de Champagne-Mouton, qui avait œuvré pour sa construction.
La maison Corpet-Louvet située à La Courneuve a fournit aux C.E.C la totalité de son parc de locomotives. Ces machines étaient toutes de type 030 tender.
no 1 et 2 : Corpet-Louvet, livrées en 1898, n°constructeur 688-689[7]
no 21 à 33 : Corpet-Louvet, livrées en 1898, n° constructeur 600-612
no 34 à 48 : Corpet-Louvet, livrées en 1903, n° constructeur 924-948
no 49 à 68 : Corpet-Louvet, livrées en 1909, n° constructeur 1247-1266
no 69 à 88 : Corpet-Louvet, livrées en 1910, n° constructeur 1278-1299
no 89 et 90 : Corpet-Louvet, livrées en 1912, n° constructeur 1387-1388
Henry Le Diraison et Yvette Renaud, Voyages en Charente au temps de la vapeur, La Couronne, Centre départemental de la documentation pédagogique de la Charente, coll. « Cultures et traditions charentaises », , 304 p. (ISBN2-903770-48-4, présentation en ligne).