Montguyon

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Montguyon
Montguyon
Les ruines du donjon de Montguyon
Blason de Montguyon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Julien Mouchebœuf
2020-2026
Code postal 17270
Code commune 17241
Démographie
Gentilé Montguyonnais
Population
municipale
1 567 hab. (2021 en diminution de 1,63 % par rapport à 2015)
Densité 86 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 58″ nord, 0° 11′ 14″ ouest
Altitude Min. 30 m
Max. 121 m
Superficie 18,18 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Trois Monts
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Montguyon
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Montguyon
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Montguyon
Liens
Site web www.montguyon.fr

Montguyon /mɔ̃.gɥi.jɔ̃/ est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Montguyonnais et les Montguyonnaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

La commune de Montguyon est situe dans le sud du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au midi de la France — on parle plus précisément de « midi atlantique »[2], au cœur de l'arc atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français.

Montguyon est un des pôles d'équilibre du canton des Trois Monts, en Haute Saintonge, dans la partie sud du département et aux confins de la forêt de la Double saintongeaise.

Cette petite ville est située à l'est de Montlieu-la-Garde, au carrefour de la D.730, route de Royan à Ribérac et de l'ancienne route nationale 10bis, de Chevanceaux à Libourne. Elle est une des étapes d'un sentier de grande randonnée balisé, le GR 360.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montguyon est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (56,3 %), forêts (26,5 %), zones urbanisées (7,2 %), cultures permanentes (3,2 %), terres arables (2,4 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), prairies (1,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montguyon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Palais et le Mouzon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1999, 2010 et 2012[11],[9].

Montguyon est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de la Double saintongeaise, un massif classé à risque dans le plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI), élaboré pour la période 2017-2026 et qui fait suite à un plan 2007-2016[12]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’article L.131-1 du code forestier et l’arrêté du règlementent l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions[13]. Un autre arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[12],[14],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montguyon.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[16]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 867 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 711 sont en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1996, 2003, 2005, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Monte Guidonis en 1121 et 1281, signifiant "mont de Guy". On prononce le "u" de Montguyon[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le site du Bois Clair, au sud-est de Montguyon, a livré plusieurs niveaux d’occupations paléolithiques récurrentes depuis le Moustérien jusqu'au Tardiglaciaire[21].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

En 1380, dans le cadre de la Guerre de Cent Ans, Louis de Sancerre fait le siège de la ville. Participe à cette action Jean II Le Meingre, dit Boucicaut.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie de Montguyon.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 mai 2020 François Bastère UMP-LR Retraité
mai 2020 En cours Julien Mouchebœuf    
Les données manquantes sont à compléter.

Région[modifier | modifier le code]

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[22].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 1 567 habitants[Note 3], en diminution de 1,63 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4501 2981 2991 4211 4711 4571 4541 4151 422
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4041 5131 5421 5091 5341 6591 6841 6501 572
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6161 6741 6191 5221 5371 5671 5451 4671 542
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 7371 8411 6481 6621 6471 4621 4551 4531 506
2018 2021 - - - - - - -
1 5691 567-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,5 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 738 hommes pour 831 femmes, soit un taux de 52,96 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (52,15 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,4 
90 ou +
4,1 
10,6 
75-89 ans
12,5 
24,5 
60-74 ans
22,7 
18,0 
45-59 ans
20,3 
15,0 
30-44 ans
13,1 
14,0 
15-29 ans
11,8 
15,4 
0-14 ans
15,4 
Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,7 
75-89 ans
12,4 
21,9 
60-74 ans
23,1 
20,2 
45-59 ans
19,8 
16,2 
30-44 ans
15,7 
15,2 
15-29 ans
12,8 
15,6 
0-14 ans
13,7 

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le Château de Montguyon[modifier | modifier le code]

L'entrée du château, "mi-anglois mi-françois".

La première mention du château de Montguyon remonte à 1082. La forteresse actuelle date du XIIIe siècle et fut remaniée au XVIe siècle.

Propriété des familles de Montguyon, de la Rochefoucauld et de Rohan, les ruines du château appartiennent aujourd'hui à la commune de Montguyon.

De célèbres batailles se sont déroulées ici notamment celle de 1451 où l'armée du roi Charles VII commandée par Jean d'Orléans, comte de Dunois chassa les occupants anglais. Les rois Henri IV et Louis XIII ont séjourné dans le château.

L'imposante forteresse fut incendiée par la foudre en 1793. Le donjon s'est en partie effondré le , mais a été ensuite consolidé.

De 1980 à 1986, une association, l'A.S.P.H.M., a œuvré à la restauration des écuries du château et à la remise en valeur du site. Puis l'A.S.V.P.M. a restauré les remparts de 1996 à 2000 et organisé chaque année de 1998 à 2010 un son et lumière historique, trophée de la région Poitou-Charentes et labellisé "sites en scène" par le Département de la Charente-maritime[29].

Les écuries du château et les remparts sont classés à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le , grâce à l'action de l'A.S.V.P.M[30].

L'allée couverte de Pierre Folle[modifier | modifier le code]

L'allée couverte de Pierre Folle est une construction mégalithique érigée il y a 4 500 ans environ; classé Monument historique en 1889[31], elle se trouve sur un terrain privé.

L'entrée est orientée vers le soleil levant, et le monument ENE / WSW. L'ensemble, de style aquitain, était recouvert de terre à l'origine en tumulus, et servait de sépulture. Il fait 16 m de long sur 4,2 m de haut.

La plus grosse pierre pèse 30 tonnes. Selon la légende, « quand la cloche de l'Vassiac sonne la messe de minuit à Noël, elle fait trois tours sur elle-même ».

Un dolmen, construit il y a 4 500 ans, est adossé sur sa paroi nord à l'ouest.

Les pierres proviennent d'un rayon de 2,5 km.

Beaucoup d'autres mégalithes ont été érigés dans la région, dans un rayon de 6 km, comme la Pierre Folle de Chierzac, de Saint-Palais-de-Négrignac, le dolmen de Teurpin (Saint-Martin-d'Ary), les tumuli de la Goujonne (détruit en 2014)[32] et Ardeuil, et le menhir (disparu) de la Haute Borne (Saint-Martin-d'Ary)[33],[34]

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur Dolmen de Montguyon.

Église de Vassiac[modifier | modifier le code]

L'église de Vassiac.

L'église paroissiale Saint-Vincent est située à Vassiac, faubourg de Montguyon. Elle date des XIIe et XVe siècles et est inscrite aux Monuments historiques depuis 1947[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Tranché : au 1er d’azur à la tour ronde terrassée d’argent maçonnée de sable, mouvant de la partition, et à l’arbre aussi d’argent mouvant du flanc senestre, brochant sur la tour et la terrasse, au 2e de gueules à l’allée couverte d’argent sur une terrasse du même, surmonté d’une branche de gui d’or fruitée aussi d’argent posée en bande[36].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Montguyon », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Réglementation des feux en extérieur. », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « Les Obligations Légales de Débroussaillement (OLD). », sur charente-maritime.gouv.fr, (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montguyon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Jacques Duguet, Noms de lieux des Charentes, éd. Bonneton, , 232 p. (ISBN 2-86253-185-5, présentation en ligne), p. 15
  21. [Bernard-Guelle et al.] Sébastien Bernard-Guelle, Alexis Taylor, Mathieu Rué, Paul Fernandes, Aurélie Ajas, Aude Coudenneau, Marion Hernandez et Norbert Mercier, « Le site stratifié du Bois Clair à Montguyon (Charente-Maritime, France) : récurrences paléolithiques, brièveté des occupations et aires de débitage spécialisées », Paléo, no 28,‎ , p. 31-69 (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ).
  22. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montguyon (17241) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
  29. « Cirque et pyrotechnie », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  30. « Château de Montguyon », notice no PA00104814, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. « Dolmen de Montguyon », notice no PA00104812, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Sud-Ouest : « Montguyon : disparu, le tumulus »
  33. Panneau d'information sur le site, A.S.V.P.M.
  34. Bernard Bordelais, président de l'A.S.V.P.M., Le "Grand Temple" de Haute-saintonge, Le Croît Vif, , 145 p. (ISBN 2-916104429, présentation en ligne)
  35. « Église de Montguyon », notice no PA00104813, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Gaso.fr »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le grand temple de Haute-Saintonge (ou le mystérieux nombre d'or des dolmens et du donjon de Montguyon), Bernard Bordelais, éditions Le Croît Vif.

Liens externes[modifier | modifier le code]