Gaugeac

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gaugeac
Gaugeac
Le château de Saint-Germain.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Robert Rougier
2020-2026
Code postal 24540
Code commune 24195
Démographie
Gentilé Gaujacois
Population
municipale
107 hab. (2021 en diminution de 10,08 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 39′ 34″ nord, 0° 52′ 48″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 231 m
Superficie 10,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Gaugeac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Gaugeac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Gaugeac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Gaugeac

Gaugeac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Dans le quart sud-est du département de la Dordogne et limitrophe du département de Lot-et-Garonne, la commune de Gaugeac est située dans l'extrême sud-est du Bergeracois, entre les vallées du Lot et de la Dordogne. Elle est arrosée par le Dropt.

La commune n'a pas de bourg, le lieu-dit « le Bourg » étant limité à l'église et à quelques bâtiments. Entre les lieux-dits la Bonnetie, Mongiscal et le Moulin de David, la mairie est située, en distances orthodromiques, deux kilomètres et demi au sud-sud-ouest de la bastide de Monpazier, et onze kilomètres à l'est-nord-est de Villeréal.

Le territoire communal est desservi par la route départementale 2 qui longe le Dropt.

En provenance au nord des communes de Monpazier et Marsalès, le sentier de grande randonnée GR 36 traverse le territoire communal en direction du sud sur près de sept kilomètres, et continue vers les communes de Biron et Vergt-de-Biron.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Gaugeac est limitrophe de huit autres communes dont une, Parranquet, dans le département de Lot-et-Garonne, par un quadripoint. Au nord, le territoire communal est distant d'une cinquantaine de mètres de celui de Lavalade.


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Gaugeac est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[2].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c4b-c, date du Santonien moyen à supérieur, composée de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex et rudistes (formation de Saint-Félix-de-Reillac), faciès pouvant évoluer vers des sables fins et grès carbonatés à rudistes. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].

Carte géologique de Gaugeac.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 120 m[6] dans le sud-est, là ou le Dropt quitte la commune et entre sur celle de Vergt-de-Biron, et 231 m[6] dans le nord-est, à l'ouest-sud-ouest du lieu-dit Bonneville[Carte 1],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[10],[11].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,17 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 10,26 km2[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Garonne au sein du Bassin Adour-Garonne[15]. Elle est drainée par le Dropt et le Soulauret, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[16],[Carte 2].

Le Dropt, d'une longueur totale de 132,47 km, prend sa source dans la commune de Capdrot et se jette en rive droite de la Garonne en limite de Caudrot et de Casseuil, face à Barie[17],[18]. Il traverse la commune du nord-est à l'ouest sur trois kilomètres et demi dont un kilomètre en limite de Vergt-de-Biron.

Son affluent de rive gauche le Soulauret arrose le sud du territoire communal sur plus de deux kilomètres.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dropt ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin versant du Dropt, d'une superficie de 1 522 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte EPIDROPT[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [20].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 3].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[21]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[22].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 896 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lacapelle-Biron à 6,73 km à vol d'oiseau[24], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm[25],[26]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[27].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[28],[29].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[29].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2023, une ZNIEFF est recensée sur la commune d’après l'INPN[29].

Cette ZNIEFF de type 2[Note 4], la « vallée du Dropt », concerne les prairies humides ou inondables sur la presque totalité de son cours dans le département de la Dordogne (seule la partie en amont du lieu-dit le Pont de la Tabatière à Capdrot en est exclue) et les vallées de certains de ses affluents, d'amont en aval : le ruisseau de Moulinio, le Brayssou et son affluent le ruisseau de Pont Traucat et ses sous-affluents (le Catory et le ruisseau de Fonsalade), la Bournègue et ses affluents (le Pontet, le Noël et le Pontillou), la Douyne, la Banège et son affluent le Courbarieux, le ruisseau de Lacalège et l'Escourou, jusqu'à sa confluence avec ce dernier cours d'eau, sur trente-deux communes, depuis Capdrot à l'est jusqu'à Eymet, Agnac et La Sauvetat-du-Dropt[31],[32]. L'intérêt majeur de cette ZNIEFF réside dans la présence de quatre espèces déterminantes de plantes phanérogames, la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Jacinthe romaine (Bellevalia romana), l'Orchis à fleurs lâches, (Anacamptis laxiflora) et l'Orchis incarnat (Dactylorhiza incarnata subsp. incarnata)[33].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gaugeac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[34],[35],[36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37],[38].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), prairies (31,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Il n'existe aucun bourg à Gaugeac, le lieu-dit le Bourg se limitant à l'église et quelques rares bâtiments ; le territoire communal se compose de hameaux, ainsi que de lieux-dits[40] :

  • Beauséjour
  • le Bois de la Combe
  • la Bonnetie
  • Bonneville
  • le Bourg
  • Casse de las Bolos
  • Château Saint-Germain
  • les Eyrials
  • les Fargues
  • les Faures
  • les Français
  • Fontaine de Bézenou
  • Fontaine de Soubirou
  • Grammensac
  • Grand Cazal
  • Laborde
  • Larthe
  • Maran
  • Mongiscal
  • le Moulin du Bos
  • le Moulin de David
  • Moulin de Larthe
  • le Moulin de la Rousselle
  • le Moulin de Roussie
  • le Moulin de Serre
  • Neguebio
  • Pech de Conque
  • Péchalves
  • les Potences
  • la Rivière
  • la Rouquette
  • la Rousselle
  • Ségala
  • Ségalassou
  • Sivadou
  • Tendou
  • Tendounet
  • la Tousière
  • la Vignasse.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Gaugeac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[41]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[42].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Dropt. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1997, 1999, 2003 et 2008[43],[41].

Gaugeac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gaugeac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[48]. 83,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[49].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[41].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La plus ancienne mention connue du lieu concerne son église nommée Sanctus Petrus de Gauiac en 1153[50] dans une bulle d'Eugène III[51].

La graphie Gaujac apparaît vers 1500 dans la « liste des châtellenies et paroisses », puis Gaugeac à partir du XVIIIe siècle dans les registres paroissiaux, les deux alternant ensuite jusqu'à l'appellation actuelle[51].

Le nom de Gaugeac provient du nom d'un personnage gallo-roman Gaudius suivi du suffixe -acum indiquant la propriété[50]. Le lieu signifie donc « domaine de Gaudius ».

En occitan, la commune porte le nom de Gaujac[52],[51].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune a été occupé par les hommes préhistoriques, depuis la période acheuléenne jusqu'à l'âge du fer, comme le prouvent les silex taillés qui y ont été récoltés[G 1]. Au château de Bonneville a été découvert un four de potier gallo-romain[G 1].

Un crâne humain et des os d'animaux datant du Paléolithique supérieur ont été trouvés en 1990 dans un souterrain qui débouchait au niveau du lavoir communal[G 2].

Gaugeac est mentionné au milieu du XIIe siècle pour son église[50] qui dépendait alors de l'abbaye de Sarlat[G 3]. Surplombant la vallée du Dropt, le château de Saint-Germain, ou château Saint-Germain, a été bâti au XVe siècle sur les ruines d'un ancien repaire noble qui servait de sentinelle pour le château de Biron situé trois kilomètres plus au sud[53]. Son seigneur, vassal du seigneur de Biron[G 4], a été tué en 1310 lors d'un « jugement de Dieu » en la bastide de Molières[54]. En 1318, la paroisse de Gaugeac est attribuée à la collégiale de Capdrot[G 3]. Au Moyen Âge, les condamnés à mort par la justice de la bastide de Monpazier sont pendus dans le sud de l'actuel territoire communal, au lieu-dit les Potences[G 5].

Lors des guerres de Religion, en 1574, le château de Saint-Germain et la paroisse de Gaugeac sont pris par les protestants, puis repris par les garnisons locales aidées d'une troupe royale[G 2].

La commune de Gaugeac (appelée d'abord Gauzac puis Gaujac) a été créée dans les premières années de la Révolution française[6].

Le hameau des Fargues où étaient installées des forges est détruit en 1820 par un violent incendie, et rébâti vers 1830[G 1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Gaugeac est rattachée au canton de Monpazier qui dépend du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[55]. La commune est alors rattachée électoralement au canton de Lalinde pour l'élection des conseillers départementaux à partir de 2015.

Pour les élections législatives, la commune fait partie de la deuxième circonscription de la Dordogne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Initialement, Gaugeac intègre la communauté de communes du Monpaziérois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[56],[57].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1989[58]
(réélu en mai 2020)
En cours Robert Rougier PS[59] Agriculteur

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire se situait près du lieu-dit la Bonnetie ; depuis 1975, les élèves vont en classe à Monpazier[G 1].

Santé[modifier | modifier le code]

Plusieurs professionnels de santé sont installés dans la commune voisine de Monpazier[60] : un médecin généraliste, un cabinet infirmier, un masseur-kinésithérapeute, un orthoptiste, un ostéopathe, une pharmacie et un podologue, ainsi qu'une clinique vétérinaire.

Les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) les plus proches de la commune sont situés à Lolme et à Capdrot[61].

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Gaugeac relève[62] :

Sécurité[modifier | modifier le code]

Pour la sécurité, la commune dépend de la brigade de gendarmerie de Beaumontois en Périgord[63].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Gaugeac se nomment les Gaujacois[64].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[66].

En 2021, la commune comptait 107 habitants[Note 7], en diminution de 10,08 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
354319324346355322353378417
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
376324329312314284287272249
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
280241219175187196191166146
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
131125122121123118115114118
2018 2021 - - - - - - -
109107-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[67].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Fête votive le deuxième dimanche d'août, bien que Saint-Pierre-ès-Liens soit normalement fêté le , afin de ne pas se confronter aux courses hippiques de Monpazier sur l'hippodrome de Marsalès[G 1].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2020[68], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante-trois personnes, soit 39,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (sept) a augmenté par rapport à 2014 (cinq) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,3 %.

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Dix établissements[Note 8] sont implantés à Gaugeac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[69].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 10 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
0 0.0 % (10,2 %)
Construction 2 20,0 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
5 50,0 % (31,3 %)
Information et communication 0 0.0 % (1,7 %)
Activités financières et d'assurance 0 0.0 % (3,4 %)
Activités immobilières 2 20,0 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
0 0.0 % (14,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
0 0,0 % (11,5 %)
Autres activités de services 1 10 % (9,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente la moitié du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 10 entreprises implantées à Gaugeac), contre 31,3 % au niveau départemental[70].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Saint-Germain, ou château Saint-Germain. Ce château, fortin avancé du très puissant château de Biron, permettait de contrôler la circulation dans la vallée étroite du Dropt. Le château fête ses 900 ans en 2022, mais le corps actuel du bâtiment date principalement du XVe siècle, avec des modifications aux XVIe et XVIIIe siècles. Il est inscrit partiellement à l'inventaire des monuments historiques depuis 1984 pour ses façades, toitures et les communs : ses cheminées du premier étage sont classées à la même date[53].
  • Château de Bonneville. Ce château appartenait aux Dufau à la fin du XVe siècle. En 1680, le château est acheté par Étienne de Laval aux Dufau de Fontanelle grâce à la dot de son épouse, Françoise d'Escayrac. Cette dernière étant catholique et Étienne de Laval protestant, il s'est converti au catholicisme pour pouvoir se marier en 1685[Note 10].
  • Tour hexagonale du hameau de Péchalves probablement construite en 1598 d'après une inscription dans la tour. Le manoir de Péchalves[71] a appartenu à la famille Pourquery du XVe au XVIIIe siècle. Daniel Pourquery est le premier consul de Monpazier en 1594, avocat au parlement, pendant la première révolte des Croquants qui s'appelaient eux-mêmes les Tards Avisés[72].
  • Église Saint Pierre-ès-Liens, mentionnée en 1153 (Sancti Petrus de Gaviac), rattachée en 1317 à la collégiale de Capdrot[73].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Élisée Cérou, « La commune de Gaugeac », dans Cahier du Groupe archéologique de Monpazier, no 5, 1992 (lire en ligne), 12 p.
  1. a b c d et e p. 2.
  2. a et b p. 3.
  3. a et b p. 1.
  4. p. 4.
  5. p. 6.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[13],[14]
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[30].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. La famille de Laval de la Loubrerie est originaire du Quercy (L. Esquieu, Essai d'un armorial quercynois. Additions et corrections, dans Bulletin de la Société des études littéraires, scientifiques et artistiques du Lot, 1909, p. 154-155 lire en ligne). Une branche des Laval s'était établie à Monpazier à la fin du XVIe siècle. Géraud de Laval avait dû s'établir dans la « marchandise » pour assurer la subsistance des siens et déroger à la noblesse.
    Son petit-fils, argentier du maréchal de Biron a pu rétablir la situation de la famille et s'est marié à Marie de Canolle d'une importante famille bourgeoise de Sarlat.
    En 1623, Louis XIII a donné des lettres de réhabilitation de noblesse aux Laval de Monpazier. Ils étaient « sieur de Faure » (Note, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1914, p. 38-39 lire en ligne).
    À la fin du règne de Louis XV, un Étienne de Laval de Bonneville, qui a été capitaine au régiment Dauphin-infanterie et chevalier de l'ordre de Saint-Louis, est maire de Monpazier. En l'absence d'hôtel de ville à Monpazier, le corps de ville et les magistrats se réunissent dans les maisons des particuliers, dont celle de M. de Laval qui donnait sur les remparts, près de la porte du Paradis (Éric Mousson-Lestang, Les bâtiments publics de la ville de Monpazier sous l'Ancien Régime, dans Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier, no 7 lire en ligne). Maintenu dans ce poste au début de la Révolution, il démissionne en 1791.
    Il s'est marié avec Pétronille de Constantin de Castelmerle dont il a eu Pierre de Laval (1754-1824) (Paul Montarlot, Les Emigrés de Saône-et-Loire, Première partie, dans Mémoires de la Société Éduenne, 1924, p. 21 lire en ligne) qui a été sous-préfet de Bergerac de 1811 à 1814, Marc de Laval (†1825), Honorée de Laval.
    Dans l'article "Un Monpaziérois dans les Cours d'Europe", dans 'Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier", no 5 (lire en ligne), Éric Mousson-Lestang a écrit que Jean Charles François de Laval de Loubrerie (ru) (1761-1846) est le fils d'Étienne de Laval de Bonneville. D'autres articles le disent fils et petit-fils de banquiers à Montauban puis à Marseille qui seraient issus d'une branche des Laval de la Loubrerie ayant dérogé à la noblesse, né à Marseille en 1761 (Revue des études napoléoniennes, notes p. 218-219 lire en ligne). Ayant émigré en Russie, Jean Charles François de Laval est nommé en 1801 par le tsar chambellan de la Cour. Il a alors reçu du tsar des terres au bord du lac Ladoga. Après l'assassinat du tsar, remplacé par Alexandre Ier, il a conservé une position importante à la cour. La tsar a favorisé son mariage en 1799 avec une riche héritière, Alexandra Grigorievna Kozitskaya (1772-1850), fille de Grigorii Kozitsky (1724-75), secrétaire de Catherine II, ayant des biens importants dans l'Oural. Le tsar l'a nommé conseiller d'État et l'a admis dans la noblesse russe avec le titre de comte en 1817. Le tsar est intervenu auprès de Louis XVIII pour valider ce titre de comte en France, en 1823. Il a fait construire un palais à Saint-Petersbourg (Saint-Petersbourg : L'hôtel particulier de Laval) au no 4 quai des Anglais.
  • Cartes
  1. « 231 » sur Géoportail (consulté le 12 décembre 2023)..
  2. « Réseau hydrographique de Gaugeac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  3. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  3. « Carte géologique de Gaugeac » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  4. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Gaugeac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  5. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  6. a b c d e et f Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Repères géographiques du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. « Portrait du Bergeracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Gaugeac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  15. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  16. « Fiche communale de Gaugeac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  17. « Confluence Dropt-Garonne au nord-est du bourg de Caudrot » sur Géoportail (consulté le 4 août 2022)..
  18. Sandre, « le Dropt »
  19. « SAGE Dropt », sur gesteau.fr (consulté le ).
  20. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  22. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  23. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  24. « Orthodromie entre Gaugeac et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  25. « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  26. « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  27. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  28. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  29. a b et c « Biodiversité dans les territoires - commune de Gaugeac », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  30. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  31. « Carte de la ZNIEFF vallée du Dropt (en vert clair) » sur Géoportail., consulté le .
  32. « Carte de la ZNIEFF vallée du Dropt (en vert clair) à Gaugeac » sur Géoportail., consulté le .
  33. [PDF] Vallée du Dropt (Identifiant national 720030006), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  34. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  36. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  37. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  38. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  40. « Commune de Gaugeac » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2023).
  41. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Gaugeac », sur Géorisques (consulté le ).
  42. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  43. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  44. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  45. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  46. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  47. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  48. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  49. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  50. a b et c Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Cahors, Éditions Fanlac, , 447 p. (ISBN 2-86577-215-2), p. 166.
  51. a b et c Jean Roux, Dictionnaire toponymique des communes de Dordogne, Périgueux, Novelum IEO, , 735 p. (ISBN 978-2-917451-35-9), p. 280-281.
  52. Le nom occitan des communes du Périgord - Gaujac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  53. a et b « Château Saint-Germain », notice no PA00082564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  54. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet et Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Luçon, Ouest-France, , 441 p. (ISBN 2-85882-842-3), p. 253.
  55. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  56. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.
  57. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
  58. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 19 août 2014.
  59. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 14.
  60. Professionnels de santé, Mairie de Monpazier, Modèle:Consultée le date.
  61. Annuaire des EHPAD, Portail national d'information pour les personnes âgées et leurs proches, consulté le .
  62. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  63. Compétence territoriale gendarmerie et police nationales, site du Gouvernement français, consulté le . Pour accéder à l'information à partir du code Insee de la commune, télécharger le fichier national à droite de « Voir les données ».
  64. Fiche commune Gaugeac, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.
  65. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  66. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  67. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  68. Dossier complet - Commune de Gaugeac (24195) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le .
  69. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2020 à Gaugeac » (consulté le ).
  70. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au en Dordogne » (consulté le ).
  71. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest, , 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 204.
  72. Michel Coste, Monpazier, les clés d'une bastide, Librairie du château, 2002, p. 120-122 (ISBN 978-2-95152794-2).
  73. Guy Penaud, Églises et chapelles en Périgord, La Crèche, La Geste, , 464 p. (ISBN 979-10-353-2213-7), p. 171-172.