Saint-Étienne-lès-Remiremont

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Saint-Étienne-lès-Remiremont
Saint-Étienne-lès-Remiremont
Hôtel de ville
Blason de Saint-Étienne-lès-Remiremont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté de communes de la Porte des Hautes-Vosges
Maire
Mandat
Michel Demange
2014-2020
Code postal 88200
Code commune 88415
Démographie
Gentilé Stéphanois
Population
municipale
3 870 hab. (2014)
Densité 114 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 27″ nord, 6° 36′ 19″ est
Altitude Min. 370 m
Max. 819 m
Superficie 33,81 km2
Élections
Départementales Remiremont
Localisation
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Liens
Site web ville-st-etienne-remiremont.fr

Saint-Étienne-lès-Remiremont est une commune française située dans le département des Vosges en région Lorraine.

Ses habitants sont appelés les Stéphanois.

Géographie

Localisation

La ville se situe à la confluence de la Moselle et de la Moselotte[1], [2].

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 3 381 hectares ; son altitude varie entre 370 et 819 mètres[3].

La forêt occupe 70 % du terrain communal[4], couvrant deux massifs opposés dont l'un, le Fossard[5], situé au nord, culmine à 819 m.

Hydrographie

Au cours du XXe siècle, deux crues importantes sont à signaler à Remiremont et Saint-Étienne-lès-Remiremont. L'une s'est produite en décembre 1947. 77 ménages, représentant 267 personnes avaient subi des dégâts à la suite de ces inondations. La seconde, d'une ampleur plus faible que la crue de 1947, a eu lieu en février 1990. Elle a eu notamment pour conséquence d'inonder le site industriel des filatures de la Madelaine, provoquant ainsi d'importants dégâts[6].

C'est la conséquence du lac depuis la moraine frontale d'un glacier qui butait sur les roches de Noirgueux, la Moselle prenant alors pour déversoir un passage à Raon-aux-Bois qui devint "La Niche". À la Suche, sur la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont, le ruisseau de Purifaing vient lui aussi buter sur le pied de la moraine, ouvrant des brèches, creusant le sable au pied des rochers de Noirgueux et entraînant les remblais qui forment bouchon.

Mais, assez curieusement, il faudra les importantes crues dans le Vaucluse qui, le 1er octobre 1993, avaient causé d’importants dégâts dans la région de Bollène et de Valréas pour que soit engagée une réflexion plus générale sur les politiques de prévention des inondations incluant nos vallées[7].

Un Syndicat Intercommunal de la Moselle[8], qui regroupe 9 communes dont une seulement n'est pas riveraine de la Voie Ferrée, a été créé le 10 juin 1999[9], pour la remise en état du cours et Seuil (barrage) de la Moselle et de la Moselotte,

Un plan de prévention du risque inondation a finalement été arrêté par le Préfet des Vosges le 18 novembre 2008[10],[11].Le PPRI reçu en mairie le 9 décembre 2008 implique que la limite des zones affectées de l’indice « i » devant coïncider exactement avec les limites du PPRI. Ces modifications sont alors actées par une modification du PLU[12].

Climat

Voies de communication et transports

Que s’est-il passé depuis janvier 1971 ? (date d'achèvement des études de faisabilité pour la réalisation du parc nautique sur le site du plan d’eau de Noirgueux)[13]:

  • Les voies rapides d’accès ont été réalisées de Nancy / Épinal à Remiremont (le tracé a respecté les perspectives de projet de lac en « canalisant » la face Nord de celui-ci, et d’autres voies sont en cours (vers la Bresse, Bâle-Mulhouse et la Franche-Comté). La réalisation intelligente de la voie express a également canalisé la Moselle en réduisant les zones inondables, ce qui a permis par la même occasion de restituer des terrains à vocation industrielle.
  • Après le TGV qui desservait la gare de Remiremont, la LGV Est européenne, (Ligne à Grande Vitesse), est devenue une réalité. Ce qui réduit les durées de trajets à 2 h 45 Remiremont / Paris, en assurant ainsi un réel désenclavement des vallées,
  • Le tunnel de Sainte-Marie-aux-Mines a été mis aux normes européennes, ce qui ouvre de réelles perspectives de développement interrégionaux et transfrontaliers,
  • Le Canal de l'Est qui, avec ses 394 km en deux parties, était le plus long de France, est - semble-t-il - bien entretenu. Dans un but de promotion touristique, les tronçons ont été renommés respectivement "Canal des Vosges" et "Canal de la Meuse"[14],[15],[16].
  • Une Voie verte des Hautes-Vosges a été créée en utilisant notamment l'ancienne voie ferrée de la Ligne d'Épinal à Bussang, qui desservait la haute vallée de la Moselle, quasiment jusqu’à la source de la Moselle,
  • La plupart des communes se sont équipées de stations d’épuration, et la Loi sur l'eau et le Droit de l'environnement sont fort heureusement devenus plus contraignants pour sauvegarder l'environnement et la protection de l’eau[17],

Urbanisme

Morphologie urbaine

Une commune où l'intercommunalité a été prépondérante

Dès 1947, la commune demande l’établissement d’un plan d’aménagement et d’urbanisme en cherchant à y associer les communes de Remiremont et Saint-Nabord, afin de réaliser les équipements nécessaires à l’agglomération dans son ensemble[18].

En 1852, le Préfet des Vosges, à la demande de la ville de Remiremont qui a décidé de construire un nouvel abattoir en amont du Pont-le-Prieur, rive droite de la Moselle, sur un terrain que lui a cédé à M. Henry Géliot, décide d’annexer cette parcelle de terrain située une partie du territoire de la commune de Saint-Étienne dont la limite naturelle est la Moselle[19].

Un projet de fusion avec la ville de Remiremont a été élaboré en mai 1954, mais celui-ci a été refusé par cette dernière. Une Communauté de communes de la Porte des Hautes-Vosges sera finalement créée le 1er janvier 2004. Elle regroupe cinq communes : Dommartin-lès-Remiremont, Remiremont, Saint-Étienne lès Remiremont, Saint-Nabord et Vecoux. Le projet de schéma départemental a proposé en 2011 d’inclure dans son périmètre la commune d’Eloyes dans la communauté de communes.

1971 est la date à laquelle les études de faisabilité pour la réalisation du parc nautique sur le site du plan d’eau dit « Lac de Noirgueux » ont été achevées. Mais le projet, pourtant prévu au plan d'occupation des sols[20], n'a pas, à ce jour, abouti. Le plan d’occupation des sols, qui a précédé l’institution d’un Plan local d’urbanisme indiquait, pour la zone "Noirgueux", au chapitre III du Règlement applicable à la zone III NA (Caractère de la zone III NA) « Zone naturelle non équipée, destinée à une urbanisation ultérieure dans le cadre de l’aménagement d’un plan d’eau et des équipements sportifs, touristiques et en général de loisirs qui y sont liés. L’aménagement de la zone III NA sera possible dans le cadre d’une ZAC ou, à défaut, dès la réalisation après modification du POS d’opérations s’inscrivant dans un plan d’aménagement d’ensemble ». Mais l'institution du PLU le 5 décembre 2008 n'a pas maintenu ce zonage[13].

Les crues importantes de la Moselle, les 14 et 15 février 1990, ont occasionné des dommages importants aux filatures de la Madelaine[21].

L'évolution de l'urbanisme

Le plan d'urbanisme du "Plateau de la May" approuvé en 1961, qui avait permis la construction de 100 logements HLM et la mise en preuve d'une politique d'urbanisation fixant des perspectives d'installations collectives, a été le point de départ de l'évolution de l'urbanisme de la commune et la réalisation d'équipements publics :

En 1966, deux projets importants aboutissent : la construction de deux réservoirs et d’une station de pompage et l’agrandissement du réseau d’eau de la commune. Parallèlement l’électrification des derniers écarts de Saint-Étienne-lès-Remiremont est réalisée. Un périmètre de protection des ouvrages de captage d'eau potable a été arrêté par le Préfet des Vosges le 12 juillet 2010[22]. Le besoin de protéger la station de pompage et l'eau de la Moselle de tout risque de pollution a été réaffirmé par l'Association de protection de l'environnement de Saint-Étienne-lès-Remiremont[23] à l’occasion de l’installation d’une usine de bitume,[24]. Le périmètre de protection des captages d’eau potable, arrêté par monsieur le Préfet des Vosges le 12 juillet 2010 disposant que les « limites des périmètres de protection et les servitudes inhérentes soient inscrites dans le PLU sous 18 mois », c'est la raison pour laquelle le zonage a justifié là aussi d'une modification du PLU. Celle-ci n'est intervenue en 2011[12].

Selon les rapports d'étude, les capacités de « production d’eau » répondant à l’essentiel des besoins (si on exclut celle fournies par la ville de Remiremont) la municipalité de Saint-Étienne a estimé que la priorité d’investissement serait le stockage de l’eau par la création d’un nouveau réservoir[25].

Un nouveau plan d’occupation des sols (POS) a été approuvé le 15 mai 1992.

En 1993, un assainissement collectif est réalisé par la commune jusqu'au lieudit "Saint-Romary", en prévision de l'extension de l'urbanisation de ce secteur et pour permettre, dans l'immédiat, le raccordement des maisons du hameau et du restaurant.

Un plan local d'urbanisme (PLU) approuvé le 5 décembre 2008, succède au plan d'occupation des sols.

Le PLU a été révisé le 19 août 2011[26]. L’enquête publique a été réalisée du 30 mai au 28 juin 2011 et un rapport établi par M. Jacky Lajoux, Commissaire enquêteur[27],[28],[29]. La zone Na, spécialement créée pour l’auberge de Saint Romary étant ainsi définie « seules sont autorisées les constructions et installations liées à la restauration » et le nouveau propriétaire envisageant la construction d’un hôtel, la municipalité estime donc qu'il y a lieu d’adapter le règlement pour répondre à cette éventualité. Cette procédure, conforme à l’article L.123-13 du code de l’urbanisme, vise donc à une modification préalable à une révision prévue pour 2012[30].

Logement

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 747, alors qu'il était de 1 613 en 1999[a 1].

Parmi ces logements, 93,0 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 61,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 38,2 % des appartements[a 2].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 58,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (56,9 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 19,2 % contre 20,4 % en 1999[a 3].

Travaux et aménagements réalisés

Ancienne place d’arme aménagée
  • 2013 L'ancienne caserne Victor est actuellement utilisée pour des bâtiments administratifs (hôtel de ville, poste) et pour le logement collectif. La place d'armes, terrain stabilisé où le foot a été pratiqué durant de nombreuses années, a été réaménagée pour devenir un lieu de rencontre[31].
  • Maison de retraite « Le Home Fleuri »[32].Cette maison de retraite a été ensuite transformée en une "résidence séniors autonomes" comportant 33 appartements[33].
  • Ouverture des cellules commerciales de la zone de la coliche, concourant au développement de l'activité économique.

Toponymie

Le lieu est connu dès le VIIe siècle sous le nom de Sancti Stépha. Remiremont vient du nom de « Romaric » qui fonda, sur le Saint Mont ou mont Habend, deux monastères, un d'hommes et un de femmes[34].

Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommé simplement Saint-Étienne, porte le nom de Valmoselle[35].

C'est en 1937 que la précision lès-Remiremont a été ajouté au nom de la commune[35].

Histoire

La commune fut l'enjeu des rivalités opposant les ducs de Lorraine aux Chanoinesses de Remiremont.

Le monastère de femmes, transféré en 870 dans la vallée, est à l'origine de la ville. Exempté en 1070 de la juridiction épiscopale et relevant directement de l'empereur, le chapitre devient un « chapitre noble » très fermé : l'abbesse avait rang de princesse du Saint-Empire. Au XVe siècle, les ducs de Lorraine établirent leur suzeraineté sur le chapitre en prenant le titre de comtes de Remiremont[36], et dont l'érection de la Grande Borne marqua la fin en 1492.

Les Kyriolés. Jusqu’à la Révolution, tous les lundis de Pentecôte, huit paroisses dépendant du chapitre (Dommartin-lès-Remiremont, Ramonchamp, Rupt-sur-Moselle, Saint-Amé, Saint-Nabord, Saint-Étienne, Saulxures-sur-Moselotte et Vagney) envoyaient des jeunes filles qui se présentaient à l’église de Remiremont et y entonnaient des cantiques en français[37],[38].

La peste, dont nous conservons l'histoire à travers la chapelle de « La Madeleine » qui fut le centre d'une léproserie médiévale[39] À la sortie de la ville de Remiremont, à droite de la route qui conduit vers Bussang et Mulhouse se trouve la Chapelle de la Madeleine. La lèpre, et les guerres successives, réduisirent sa population à 60 habitants en 1710, avant qu'en 1766, Saint-Étienne - comme toute la Lorraine - devienne française.

Autorisation, sous certaines conditions, est donnée les 12 et 13 juillet 1775, par les membres de l’hôtel de ville de Remiremont, aux religieux du Saint-Mont de prendre de l’eau sur les vannes des grands moulins pour fertiliser un de leurs champs sis à la Grande-Borne[40].

Nommée Val Moselle sous la Révolution[41], elle comptait 1 322 habitants en 1804.

Le 11 octobre 1936, la commune a pris son nom actuel.

La commune a connu une expansion très importante au XXe siècle avec l'industrie textile et, jusque dans les années 1960, une agriculture florissante.

L’industrie textile a eu une forte influence sociale et culturelle sur la vie des vallées vosgiennes aux XIXe et XXe siècles, à Saint-Étienne comme ailleurs[42].

Accueil des Américains, par le maire Antoine Dinkel[43]

Saint-Étienne-lès-Remiremont est devenu le siège de garnisons des célèbres 5e bataillon de chasseurs à pied et 15e bataillon de chasseurs à pied[44].

Durant la Seconde Guerre mondiale, un groupe de résistants de la commune s’est constitué dans la région de Remiremont en unité de combat, le maquis du Haut-du-Bois, en vue de la libération du secteur contre l'occupation allemande. Ce groupe de résistants a payé un lourd tribu comme on peut le voir sur le monument aux morts[45] .

Le 25 septembre 1944, 7 Maquisard appartenant au Maquis du Haut-du-Bois tombaient dans une embuscade tendue par les troupes allemandes. Aménagé en 1983, le monument de Ménafaing est un lieu de recueillement et de respect en l'honneur des 7 FFI[46] qui y ont glorieusement trouvés la mort[47],[48].

La libération de Remiremont, d'Éloyes et de Saint Nabord est intervenue le même jour, le 23 septembre 1944 par l’armée américaine (36e division d’infanterie). Le 25 septembre 1944, la libération de Saint-Étienne-lès-Remiremont n'a été effective qu'après la Fusillade de Ménafaing[49].

En mars 1945, une délégation américaine est accueillie à Saint-Étienne-lès-Remiremont.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs[50]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1863 janvier 1870 Toussaint Leduc    
février 1870 août 1879 Jean-Baptiste Guyon    
août 1879 janvier 1881 Charles Creusot    
janvier 1881 mai 1888 Jacques Mathieu    
mai 1888 septembre 1892 Emile Desjardin    
septembre 1892 mai 1896 Jean-Baptiste Baunin    
mai 1908 janvier 1914 Emile Desjardin    
janvier 1914 janvier 1919 Emile Galland    
janvier 1919 mai 1940 Joseph Claude    
octobre 1940 avril 1945 Auguste Broqué    
avril 1945[Note 1] juin 1970 Antoine Dinkel Sans étiquette Nommé maire honoraire en 1973[51]. Président directeur général entreprise Grégoire & Dinkel[52]
juin 1970 mars 1971 Maurice Couval    
mars 1971 mars 1977 Maurice Briqué    
mars 1977 mars 2001 Jean Valroff PS Professeur de l'enseignement technique, député (1981-1986)
mars 2001 mars 2008 Claude Bonnard    
mars 2008 En cours Michel Demange[53]    

Budget et fiscalité de la commune

Les comptes 2005 - 2013 de la commune s'établissent comme suit[54],[55],[56],[57]:

Évolution financière
Postes 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Produits de fonctionnement 3 793 000  2 646 000  3 707 000  3 703 000  3 965 000  3 800 000  4 168 000  4 060 000  4 005 000 
Charges de fonctionnement 3 248 000  3 195 000  3 484 000  3 360 000  3 441 000  3 412 000  3 905 000  3 455 000  3 598 000 
Ressources d’investissement 1 017 000  688 000  2 706 000  556 000  1 068 000  401 000  758 000  778 000  1 224 000 
Emplois d’investissement 1 086 000  1 089 000  1 509 000  1 136 000  621 000  606 000  600 000  1 046 000  2 000 000 
Dette 2 279 000  2 167 000  3 372 000  3 364 000  3 230 000  3 073 000  3 185 000  3 024 000  2 854 000 
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[58].
Éléments de fiscalité locale 2013
Postes en milliers d’euros en euros par habitant Moyenne de la strate
Taxe d’habitation (y compris THLV) : taux voté : 23,01 % 1 028 000  258  243 
Taxe foncière sur les propriétés bâties : taux voté : 19,22 % 711 000  178  191 
Taxe foncière sur les propriétés non bâties : taux voté : 33,61 % 30 000  11 
Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : taux voté : 38,75 % 1 000 
Cotisation foncière des entreprises : taux voté : 21,14 % 239 000  60  77 
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[59]:

Montant total des dettes dues par la commune : 2 854 000  pour 3 990 habitants, soit 715  par habitant

Politique environnementale

Ville fleurie avec deux fleurs attribuées par le Conseil national au Concours des villes et villages fleuris[60].

Jumelages

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[63],[Note 2].

En 2014, la commune comptait 3 870 habitants, en diminution de −0,44 % par rapport à 2009 (Vosges : −1,78 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
1 1271 2291 3081 3461 4221 4331 4221 4201 351
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 5761 5721 5871 7291 6551 7753 1563 2893 446
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
3 7932 7122 5982 7862 8602 7123 2093 3693 741
1975 1982 1990 1999 2008 2013 2014 - -
3 9364 4974 0854 0573 8793 8483 870--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

  • École primaire de Seux,
  • École élémentaire du Fossard,
  • École maternelle La Tortue Bleue[65].

Manifestations culturelles et festivités

Manifestation organisées sous l’égide du Comité Municipal des Sports, de la Culture et des Loisirs[66] :

  • Reconnaissance de la marche populaire,
  • Parcours du cœur,
  • Fête de la musique,
  • La fête du jeu[67].

Santé

La commune dispose de deux médecins généralistes, d’un cabinet dentaire, d’une infirmière, d’un kinésithérapeute, d’un opticien et d'une pharmacie.

Sports

Cultes

Le territoire de la commune dépend de la paroisse catholique du Saint-Mont au sein du diocèse de Saint-Dié. Cette paroisse regroupe les clochers de Remiremont, Saint-Nabord et Saint-Étienne-les-Remiremont[68]. Les Stéphanois disposent de trois lieux de culte : l’église de l’invention[69],[70], la chapelle du Saint Mont ou mont Habend[71],[72] et la chapelle Sainte Claire[73],[74].

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 802 , ce qui plaçait Saint-Étienne-lès-Remiremont au 19 880e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[75].

Emploi

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 2 518 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,9 % d'actifs dont 63,8 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs[a 4].

On comptait 1 479 emplois dans la zone d'emploi, contre 1 354 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 612, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 3] est de 91,7 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu moins d'un emploi par habitant actif[a 5].

Entreprises et commerces

Au 31 décembre 2010, Saint-Étienne-lès-Remiremont comptait 263 établissements : 19 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 26 dans l'industrie, 40 dans la construction, 161 dans le commerce-transports-services divers et 17 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].

En 2011, 16 entreprises ont été créées à Saint-Étienne-lès-Remiremont[a 7], dont 7 par des autoentrepreneurs[a 8].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Monuments remarquables

La commune compte quatre lieux et monuments protégés au titre des monuments historiques et deux lieux et monuments recensés par le service régional de l'inventaire général du patrimoine culturel[76].

  • Croix de Révillon ou de la Magdeleine

Cette croix monumentale en pierre, date du XVIe siècle. Située à la sortie du hameau, sur la R.N. 66, elle est inscrite sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 25 avril 1942[77].

  • Le site archéologique et la chapelle, situés sur le sommet du Saint-Mont

Ce site est situé à cheval sur les territoires des communes de Saint–Étienne-lès-Remiremont et Saint-Amé.Il est inscrit sur l’inventaire des sites par arrêté du 25 janvier 1944, puis sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du 7 juillet 1995[78]. La chapelle du Saint Mont contient un sarcophage en pierre d'époque mérovingienne qui aurait été réutilisé en 1077 pour l'inhumation de l'abbesse Gunégonde de Remiremont[72].

  • La Pierre de Kerlikin, entre le Morthomme et la chapelle Sainte Sabine.

En breton, Kerlinkin signifie « la pierre de Merlin »[79].

  • Le Pont des fées

Cet ouvrage est inscrit sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis le 4 février 1988, il est constitué de vestiges gallo-romains et d’époques postérieures[80].

  • La Haute Borne

Cette borne date de 1492. Dite « La Haute Borne », elle est classée au titre des monuments historiques depuis le 1er mars 1966[81],[82].

  • Ferme

Cette ferme, situé au lieu-dit Pré-Peltier date de 1777[83].

  • Groupe de 17 maisons et fermes

Ces maisons et fermes sont datées des années 1796, 1827, 1843, 1851, 1862 et 1865[84].

Autres lieux et monuments

Au village :

  • Église de l’invention

L'église de Saint-Étienne-lès-Remiremont date du XVIIIe siècle[85], consacrée en 1759, et son orgue de 1872 des frères Géhin[86],[87],[88]. La cloche en bronze de l’église, de 1777[89]. Le tableau représentant « Madame de Raigecourt-Gournay, chanoinesse de Remiremont présentée par saint Romary à Saint Arnould, évêque de Metz » l'a été depuis le 27 décembre 1907[90]. Les vitraux, dans le cœur, réalisés en souvenir du 2e centenaire de l’église, en l’’An 1951, rappellent « l’union de tous les Stéphanois ».

  • Monuments aux morts[91],[92],[93].
  • Grotte érigé en ex-voto, dans le site derrière l'église.
  • Chapelle Sainte-Claire

La chapelle a été bâtie vers 1730 par les chanoines qui habitaient le St-Mont. Cette chapelle, comme en témoigne l’inscription au-dessus de la porte, a été dédiée à Ste-Claire[94] (la troisième abbesse du St-Mont) et à St-Romaric[95] (l’un des fondateurs du monastère). C’est vers la fin du XIe siècle que le monastère d’hommes disparut.

  • Étang, creusé en 1731, à proximité de la chapelle Sainte-Claire,
  • Colonnes du XIe s, et peut-être même antérieures, réemployées dans l'ancienne ferme St-Romary.
  • Pavillon du XVIIIe siècle avec son escalier extérieur clos recouvert de tavaillons, situé entre la chapelle et la ferme restaurant.

À 500 mètres environ de l’auberge de St-Romaric, à proximité de l'ancienne ferme de « La Piotte », ancienne métairie des chanoines, une petite chapelle construite en 1690[96],

Sur le flan méridional du Saint-Mont :

  • Fontaine « miraculeuse » dite de Sainte-Claire.
  • Chapelle Sainte-Sabine

Cette chapelle a été construite au XVIIIe siècle sur l'oratoire primitif, au lieu-dit « Sainte-Sabine »[97],[98] sur la montagne du Fossard[99], du XVIIIe siècle, avec éléments du XI ou XIIe siècle. Un pèlerinage s'y tient le dernier samedi du mois d'août. À proximité de la chapelle se trouve la fontaine miraculeuse[100].

  • Pierre « Kerlinkin »[101] , située entre le Morthomme et la chapelle Ste Sabine[102],[103], datée de l'ère préhistorique, Menhir ou pierre dressée, portant des inscriptions druidiques, dans le massif du Fossard[104], vient de cairn (tas de pierres),
  • Site néolithique du Moury dans la forêt du Fossard[105].
  • Casernes Marion et Victor, construites de 1884 à 1892[106].

Légendes et traditions populaires

Les légendes, traditions populaires, réalités historiques étayées par des recherches documentaires et archéologiques et de nombreux circuits de randonnées balisés par le « Club vosgien »[107] ont assuré aux différents sites de la commune une notoriété certaine[108],[109].

Personnalités de Saint-Étienne-lès-Remiremont

  • Adrien Bailly[110] (1875-1955), directeur des Écoles Professionnelles de Thaon-les-Vosges et de Mulhouse, oncle de l'écrivain Henri Thomas.
  • Paul George dit Georges Airelle[111] (1882-1947), instituteur, syndicaliste, auteur de plusieurs ouvrages.
  • Charles Guyon, né à Saint-Etienne, Conseiller général du canton de Remiremont en 1888[112]

Héraldique

Blason Blasonnement :
Tiercé ondé en pairle renversé au premier d'or à une clef et une croix de Lorraine de sable mise en pal ; au deuxième d'or à un clocher de gueules ajouré de sable et couvert d'argent ; au troisième d'argent à la quenouille de gueules mise en fasce.
Commentaires : L'emblème stéphanois a été adopté en 1986. L'onde en pairle évoque la confluence des deux rivières, la clé et la croix rappellent l'histoire de la cité, le clocher très particulier est celui de l'église paroissiale construite au XVIIIe siècle et la quenouille représente l'industrie textile qui a présidé au développement de la ville.

Pour approfondir

Bibliographie

Documentation sur le patrimoine de la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont et Remiremont[113]

  • J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,
    dépôt légal n°28 Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 1 : Les Temps Premiers, Chapitre 2 : Le Monastère sur la montagne, Chapitre 3 : Les Translations dans la Vallée, Chapitre 20 : La Fin
  • Paul Chevreux, Léon Louis, « Saint-Étienne », dans Le Département des Vosges, description, histoire, statistique, Tome VII, Dictionnaire historique et statistique des communes, hameaux, écarts, fermes... Epinal, 1889.
  • Damien Parmentier, Vosges Massif d’histoire, terre de liberté, Strasbourg, La Nuée bleue / DNA, , 179 p. (ISBN 978-2-7165-0667-0)
    Plan de la forêt de Fossard au XVe siècle, établissant les limites de propriété des différents terrains : forêts appartenant au roi et au chapitre de Remiremont
  • Charles Kraemer et Michel Rouillon, Guide historique et archéologique du Saint Mont et ses environs, Epinal, Groupe de recherches archéologiques des Hautes Vosges (GRAHV),
  • Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes, , 427 p. (ISBN 2-85944-516-1)
    Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaître. Pages 109 à 119, par Marie-Hélène Colin – Université de Nancy 2 : Des saints vosgiens de la montagne ? Amé, Romaric et Claire p 109; Le Saint-Mont : un haut lieu p 110; Des saints vosgiens de la montagne ? p 111; Le « discours » sur les saints p 112; Des saints vosgiens de la montagne ? p 113; Le culte des saints du Saint-Mont p 113; Les Kyrolés p 116; Carte : les saints du Saint-Mont p 119
  • Bernard Puton, Promenades aux mégalithes des environs de Remiremont
  • Charles Kraemer, Le Peuplement des Vallées de Haute Moselle et de Moselotte au Haut Moyen Âge, , 15 p.
    Conférence de la Société d'Histoire Locale
  • Catalogue des manuscrits conservés : Prieuré du Saint-Mont
  • Les Saints(es) et Bienheureux(ses) vosgien(ne)s selon un ordre chronologique les biographies de nos aïeux dans la foi, d’après l’ouvrage du Chanoine André Laurent publié en 1979.
  • Pierre-Henri Mathieu, La vie rurale et son patrimoine, l’eau, la forêt et l’agriculture de montagne dans la région d’Éloyes, Épinal, Association de recherches archéologiques, histoire et patrimoine d'Éloyes et de ses environs, , 654 p. (ISBN 2-9513453-2-1)
    * Ière partie : Introductions générales ; * IIème partie : L’eau, la forêt, la vie à la campagne ; * IIIème partie : Les communes, histoire et patrimoine, comprenant les communes de : Arches, Archettes, Bellefontaine, Cheniménil, Cleurie, Docelles, Éloyes, Faucompierre, Hadol, Julienrupt, (Le Syndicat), La Forge, Le Tholy, Pouxeux, Raon-aux-Bois, Rehaupal, Saint-Amé, Saint-Étienne-lès-Remiremont, Saint-Jean-du-Marché (commune de La Neuveville-devant-Lépanges), Saint-Nabord, Tendon, Xamontarupt ; * IVème partie : Le Massif du fossard, la forêt, population et patrimoine ; * Vème partie : Annexes : 1ère Guerre Mondiale et 2ème Guerre Mondiale.
    • Voir en particulier la IIème partie : L'eau, la forêt, la vie à la campagne puis le détail des recherches présenté dans chaque commune : pp. 460 à 476 : Saint-Étienne-lès-Remiremont

Bibliographie concernant plus particulièrement le mobilier de Saint-Étienne-lès-Remiremont et Remiremont

  • Helga D. Hofmann, Lothringische Skulptur der Spätgotik, Sarrebrück, librairie Karl Funk,
  • Bernard Puton, Promenades aux mégalithes des environs de Remiremont
  • Francis Puton, Fiches documentaires et notices de repérage établies en 1969 sur l’ensemble du patrimoine architectural et mobilier de Saint Étienne lès Remiremont, Service régional de l'inventaire de Nancy

Articles connexes

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Liens externes

Notes et références

Notes

  1. À la fin de la guerre 1939-1945, Antoine Dinkel fut, sur avis du comité départemental de libération en raison de son activité au sein du maquis du Haut-du-Bois, désigné par le Préfet pour administrer Saint-Étienne-lès-Remiremont. Élu au scrutin du 6 mai 1945 et maire le 26 mai 1945, il devient à 31 ans le plus jeune maire de France
  2. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  3. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Références

Insee

  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  5. EMP T5 - Emploi et activité.
  6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

Autres références

  1. Réseau Natura 2000 (directive habitat), sur Remiremont et Saint-Étienne-lès-Remiremont : Confluence Moselle-Moselotte
  2. Liste des masses d'eau superficielles et des masses d'eau souterraine de la commune de Saint-Etienne-lès-Remiremont
  3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
  4. La Forêt Communale de Saint-Étienne-lès-Remiremont
  5. La Forêt Domaniale de Fossard
  6. Les crues de la Moselle dans l’histoire des valléesl
  7. Les Politiques publiques de prévention des inondations : rapport au Premier ministre, La Documentation française, novembre 1999, 56 pages. Descriptif : Rappel des caractéristiques spécifiques ou non des crues (gestion du risque, nécessité d'information et de formation au risque, besoins de structures de débat). Le rapport rappelle la nécessité d'intégrer la notion de risque aux réflexions et aux attitudes des décideurs et des planificateurs, recense les structures de concertation au niveau local et national et propose d'en créer d'autres avec des objectifs, des missions et une organisation administrative précisés. Enfin il propose des ajustements législatifs sur l'indemnisation des catastrophes naturelles.
    • Page 11. Yves Dauge a été placé auprès de la ministre de l’aménagement du territoire et de l’environnement pour l’exercice de sa mission. Il s’est appuyé sur un groupe de travail validé par la ministre, composé d’élus et d’experts compétents dans le domaine des inondations et composé notamment de MM Philippe Duron, député du Calvados, rapporteur de la loi d’orientation et aménagement durable du territoire ; Thierry Mariani, député maire de Valréas, rapporteur de la commission d’enquête sur les inondations ; Jean Valroff, maire de Saint Étienne lès Remiremont, vice président de l’association nationale des élus de montagne; Michel Durand, France nature environnement ; Daniel Duband, société hydrotechnique de France ; GIP hydrosystèmes…
  8. Historique de la voie verte des Hautes Vosges et création du Syndicat Intercommunal de la Moselle
  9. La création d’un syndicat intercommunal pour la remise en état du cours de la Moselle a été approuvé par le Conseil municipal de Saint-Étienne-lès-Remiremont le 09 juin 1989. Cette proposition avait déjà été formulée en mars 1989 par l’association « Pour une gestion réaliste de la commune » (PGRC) de Saint-Étienne-lès-Remiremont, association enregistrée au répertoire départemental sous le no 11230 (cf. "Lettre d'information des stéphanois", no 2 du 16 juillet 1989)
  10. Prise en compte dans l'aménagement : Plan : PPRn Inondation : Bassin de risque : Moselle ; Prescrit le 14/03/2004 ; Enquête le 16/07/2007 ; Approuvé le 18/11/2008
  11. Extrait du Plan de Prévention du Risque "inondation" de la Moselle amont
  12. a et b Enquête publique réalisée du 30 mai au 28 juin 2011 inclus par le commissaire enquêteur Jacky Lajoux, 1re modification du plan local d »’urbanisme. Rapport du 8 juillet 2011. Page 3 : à la suite de la deuxième révision du PLU approuvée le 5 décembre 2008, il est apparu nécessaire de corriger certaines incohérences et de mettre le PLU en concordance avec différents documents réglementaires
  13. a et b Argumentaire produit au commissaire enquêteur, dans le cadre de l'enquête publique pour la révision d'un plan local d'urbanisme d'une des communes concernées (Saint-Étienne-lès-Remiremont) : Commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont, Enquête publique sur la révision du Plan local d’urbanisme (2e révision) : Contestation, le 05 février 2008, de certaines orientations du projet de PLU et de l’absence de consultation des instances intercommunales pour les projets liés à la zone de la Moselle. Extrait du rapport du commissaire enquêteur Claude Pierret, 21 mars 2008, p. 15 « Suite au développement de l’argumentaire sur le bien-fondé de projet de lac de « Noirgueux », ses atouts ; le bénéfice à en espérer (…) M. le maire de Saint-Étienne-lès-Remiremont que j’ai interrogé sur ce projet, m’a averti que par délibération du conseil municipal de Saint-Nabord, celui-ci a entériné l’abandon de ce dossier intercommunal. Ceci est également rappelé page 65 du rapport de présentation, point 4,4. »
  14. Histoire & Patrimoine des Rivières & Canaux, Histoire & Patrimoine des Rivières & Canaux
  15. Du canal de l’Est au Canal des Vosges
  16. Vue du canal et de la Moselle
  17. Depuis les années 1980, les trois Communes du Bassin Romarimontain (Remiremont, Saint-Étienne-les-Remiremont et Saint-Nabord) se sont constituées en Syndicat pour épurer leurs eaux usées avant rejet en milieu naturel.
  18. Sources : Quotidiens La Liberté de l’Est et L’Est républicain du 02-04-1974, au décès de M. Antoine Dinkel
  19. Rapports et délibérations - Vosges, Conseil général des Vosges (Epinal)-Conseil général du département des Vosges, Session ordinaire de 1852, séance publique du 23 août, p. 25-26
  20. Plan d’occupation des sols : Chapitre III, Règlement applicable à la zone III NA, Caractère de la zone III NA. Zone naturelle non équipée, destinée à une urbanisation ultérieure dans le cadre de l’aménagement d’un plan d’eau et des équipements sportifs, touristiques et en général de loisirs qui y sont liés. L’aménagement de la zone IINA sera possible dans le cadre d’une ZAC ou, à défaut, dès la réalisation après modification du POS d’opérations s’inscrivant dans un plan d’aménagement d’ensemble
  21. Conseil d’État statuant au contentieux, no 182791, Département des Vosges, relatif à l’indemnisation vis-à-vis de la société « Filatures de la Madelaine » et la « société anonyme d’assurances Allianz » des conséquences dommageables des crues de la Moselle du 15 février 1990
  22. Arrêté no 1712/2010 du 12 juillet 2010 de déclaration d’utilité publique
  23. Association de protection de l'environnement de Saint-Étienne lès Remiremont
  24. Ministère chargé de la santé - Résultats des analyses du contrôle sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine
  25. Rapport annuel sur le Prix et la Qualité du Service public de l’eau potable. L'eau est stockée dans 3 réservoirs semi-enterrés :
  26. Délibération du Conseil municipal du 05 décembre 2008 : no 159 : Zonage d’assainissement ; Délibération no 160 : Approbation du PLU
  27. Première modification du plan local d’urbanisme de la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont : Les délibérations entérinant les avis du Commissaire enquêteur sont les suivantes : no 106 : Périmètres de protection des captages- Protection rapprochée – Constitution de servitudes ; 107 : Protection des captages – Protection immédiate – Acquisition celle – no 108 : Modification du plan local d’urbanisme ; no 109 : Révision simplifiée du P.L.U. En diffusant le rapport et les conclusions du commissaire enquêteur sur la première modification du PLU, les services de la mairie précisent toutefois que « cette modification du PLU ne concerne pas le coteau de Saint-Romary qui fera l’objet de la révision simplifiée »
  28. Délibérations 106-107-108 Modification du Plan local d’urbanisme pour la mise en concordance du PLU avec d’autres documents d’urbanisme : Plan de Prévention des risques d’Inondation ; Le zonage d’assainissement ; Le périmètre des captages d’eau potable
  29. Un permis de construire est accordé le 30 janvier 2013 pour une construction située Chemin de la Promenade des Dames : (dossier n° PC 088 415 12 P0032) : « Considérant qu’en l’état actuel, le projet ne respecte pas le plan local d’urbanisme mais qu’il peut y être remédié : « Prescriptions fixées par l’article 2 : L’alimentation se fera par le réseau privé situé sur le chemin de la Promenade des Dames. La parcelle n’étant pas desservie par un moyen d’incendie et la commune n’ayant pas l’intention d’effectuer les travaux, la sécurité incendie sera assurée par l’étang du Moulin situé à environ 35 m à « vol d’oiseau » (…) »
  30. Enquête publique, Rapport du 8 juillet 2011
  31. Esquisses de l'aménagement de la Place de l'Hôtel de Ville.
  32. Le Home Fleuri
  33. SETPH infos 2013 p. 6 et 28
  34. Habendum le Saint Mont, La montagne des quatre saints : le monastère du Saint Mont
  35. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. J.J. Bammert, * Les Nobles Dames de [Remiremont] 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont (Prix Erckmann-Chatrian, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont, (Vosges), 4e trimestre 1971.
  37. J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,
    dépôt légal n°28 Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 15 (10 pages) : Les kyriolés : En 1049, Ode I de Luxembourg étant abesse, furent institués les Kyrioletzs ou Criaulés, dans les domaines de l’Abbaye de Remiremont
  38. Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes, , 427 p. (ISBN 2-85944-516-1)
    Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaitre. Les rites des fêtes de saint Amé et de saint Romaric. pp. 114 à 119 : Les Kyriolés. Dans chaque cantique, saint Romaric est présent. Ainsi, les huit paroisses demandaient au patron de la ville d’entrer dans Remiremont. Vagney invoquait et demandait au saint de lui ouvrir ses portes en ces termes :
    • Criaulé, ô bienheureux saint Romary.
    • Criaulé, nous vous demandons vos portes ouvrir.
    • C’est saint Lambert qui veut entrer par sa bonté.
    • Et tous ceux qui sont après et prient Dieu (Kyriolés ou Cantiques qui sont chantés à l’église de Mesdames de Remiremont, op. cit).

    Les représentants de la commune de Saint-Nabord se présentaient et entonnaient :

    • Criaulé saint Pierre et saint Romary.
    • Priez pour ceux qui sont ici.
    • À saint-Nabord donnez l’entrée, ô criaulé, ô criaulé.
    • En Jésus-Christ, oyez nos vœux.
    • Et tous les saints, et toutes les saintes, oyez nos vœux
  39. Inscrite sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques le 16 juillet 1991, et en qualité de site inscrit le 24 janvier 1944, est, avec ses abords, située à cheval sur les communes de Remiremont et Saint-Étienne-lès-Remiremont. C’est le seul édifice qui reste des bâtiments de cette ancienne léproserie créée lors de la seconde épidémie de lèpre en Lorraine. Le sol de la nef comporte plusieurs pierres tombales
  40. Archives départementales des Vosges, SÉRIE H Clergé régulier avant 1790 - 7 H, Prieuré du Saint-Mont, Répertoire numérique détaillé : VII H 41 (Liasse).
    • 9 pièces parchemin ; 46 pièces papier ; 1 plan.
    • Grange de Miraumont.
      • Pied-terrier de la métairie et des héritages de Miraumont (1662).
      • Plan topographique de Miraumont, Saint-Étienne, Xennois et du Bois Baudoin (XVIIIe s.).
      • Baux anciens de la métairie de Miraumont (1617-1761). — Reconnaissance des droits que le fermier de Miraumont et les autres habitants de Saint-Étienne, ont de prendre du bois dans la forêt de Miraumont (1634, 4 juillet).
    • Autorisation, sous certaines conditions, donnée par les membres de l’hôtel de ville de Remiremont aux religieux du Saint-Mont de prendre de l’eau sur les vannes des grands moulins pour fertiliser un de leurs champs sis à la Grande-Borne (1775, 12 et 13 juillet)
  41. (fr) Noms des communes des Vosges sous la Révolution française : Val Moselle, Saint-Étienne-lès-Remiremont
  42. Pierre Durupt, Hommes et femmes du textile dans les Hautes-Vosges, Remiremont, Société d’histoire de Remiremont et de sa région, , 193 p.
    Influences sociales et culturelles de l’industrie textile sur la vie des vallées vosgiennes aux XIXe et XXe siècles, n° 130
    • Le triomphe du paternalisme patronal moralisateur : b) à Saint-Étienne-lès-Remiremont et à Rupt-sur-Moselle : Un paternalisme imprégné de catholicisme social. « Il ne faut donc pas s’étonner qu’en 1921, ce soient les établissements H. Géliot qui financent l’agrandissement de la tribune de l’église paroissiale.

    Autres aspects du paternalisme (p. 118) La coopérative Géliot et p. 120 : Le foyer social de la société cotonnière H. Géliot à Saint-Étienne-lès-Remiremont, vers 1950.

    • Saint-Étienne-lès-Remiremont (pp. 134 à 142) : Les Cités Géliot à Saint-Étienne. La condition ouvrière au XXe siècle. Les 20 cités à 4 logements, édifiées en 1908 par les Ets Géliot, démontrent un souci de rigueur et de régularité avec leur plan en damier. S’impose ici un habitat planifié en fonction de l’espace industriel sans tenir beaucoup compte du caractère préexistant du milieu.
  43. Antoine, René, Alphonse Dinkel
  44. Historique du 5e Bataillon de Chasseurs
  45. Pierre-Henri Mathieu, La Seconde Guerre mondiale dans la région d'Éloyes, Epinal, Association de recherches archéologiques et d'histoire d'Éloyes et dans ses environs, , 513 p. (ISBN 2-9513453-1-3)
    Chapitre XI-Saint-Étienne-lès-Remiremont, pp. 335 à 351
  46. Maurice Nurdin, Marcel Bichotte, Raymond Varoy, André Brosselmeyer, Louis Trinquard, Robert Cipolini, Ernest Pierre
  47. Réaménagement du site de Ménafaing
  48. Cérémonie de Ménafaing en 2012
  49. Progression des alliés dans les Vosges : libération du département (1944-1945)
  50. De la IIIe République à nos jours, d'après les plaques sur lesquelles ont été inscrits les noms des Maires de la commune depuis sa création, depuis la IIIe République. Ces plaques en granit sont visibles dans les locaux de l'Hôtel de Ville. L'inauguration de ces plaques a eu lie le 26 juillet 1994
  51. Nommé aux termes d’un arrêté publié au recueil des actes administratifs du département des Vosges n° 13 du 12 juillet 1973. C’était la première fois dans le département des Vosges que l’honorariat institué par la loi n°72 1201 du 23 décembre 1972 avait été conféré.
  52. Entreprise créée en 1945, aujourd’hui intégrée au Groupe Livio péduzzi qui compte aujourd’hui 377 collaborateurs et des participations dans vingt sociétés
  53. Résultats officiels des élections municipales 2008 à Saint-Étienne-lès-Remiremont sur le site officiel du ministère de l'Intérieur
  54. Les comptes détaillés de la commune de Saint-Étienne-lès–Remiremont : Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement
  55. Communauté de Communes « Porte des Hautes-Vosges »
  56. Proxiti Lorraine : Informations locales concernant la Commune de Saint-Étienne-les-Remiremont
  57. Saint-Étienne-les-Remiremont: la dette en 2012
  58. Finances locales 2013 sur la base Alize du ministère des Finances.
  59. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (année 2013)
  60. Villes et Villages Fleuris de France
  61. St-Étienne est jumelée avec Vila Das Aves, depuis décembre 1986
  62. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
  63. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
  64. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  65. Écoles
  66. Manifestations diverses
  67. La fête du jeu
  68. La Paroisse du St Mont
  69. L’église paroissiale de l’invention
  70. L’église de l’invention
  71. Saint Romary, fondateur de Remiremont
  72. a et b Chapelle du Saint Mont
  73. Les Saintes du Saint Mont
  74. Chapelle Saint Claire à Saint Romary
  75. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  76. « Liste des notices pour la commune de Saint-Étienne-les-Remiremeont », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  77. « Croix en pierre à la sortie du hameau », notice no PA00107261, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  78. « Site archéologique du Saint-Mont », notice no PA00135425, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  79. Le Saint Mont et la Pierre de Kerlinkin
  80. « Ouvrage dit Pont des Fées (également sur commune de Saint-Ame) », notice no PA00107286, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  81. « Borne dite La haute Borne », notice no PA00107285, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  82. A la découverte de la Haute Borne
  83. « Ferme », notice no IA88000175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  84. « Maisons, fermes », notice no IA88000174, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  85. La Paroisse du St Mont regroupe les clochers de Remiremont, St Nabord et St Étienne les Remiremont
  86. Source : Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 559 à 561
    Présentation de l'orgue de la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont
  87. (fr) Site sur les orgues du Département des Vosges : Page sur l'orgue de l’église de Saint-Étienne-lès-Remiremont
  88. Saint Etienne-lès-Remiremont, orgue de l’église Saint Etienne
  89. Cloche classée au titre des objets mobiliers par arrêté du 02 décembre 1922
  90. Base de données Palissy. Tableau représentant Madame de Raigecourt-Gournay
  91. Synthèse des morts pour la France à Saint-Étienne-lès-Remiremont
  92. Monument commémoratif Indochine et Algérie (Relevé no 36940)
  93. Saint-Étienne-lès-Remiremont Description du monument et informations
  94. Sainte Claire, sainte du Saint-Mont
  95. Saint Romary, fondateur de Remiremont
  96. Chapelle de la Piotte
  97. Sainte Sabine
  98. Sainte Sabine, religieuse dans les Vosges (+ 917)
  99. La montagne du Fossard et sa forêt regorgent de curiosités naturelles et historiques : La chapelle de Sainte Sabine
  100. Vosges-en-lithographies-anciennes : Chapelle Sainte sabine. Lithographies de E. Ravignat de sites vosgiens réalisées dans la première moitié du XIXe siècle. Celles-ci ont été diffusées et commentées par Charles Charton dans un ouvrage intitulé ; Revue des Vosges, pittoresque
  101. Notice no PA00107256, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Monolithe, Deux menhirs dits « Pierre-Fitte » ou « Pierre Kerlinquin », en forêt (CL. MH : liste de1887)
  102. Le Saint Mont et la pierre Kerlinkin
  103. Gilbert Altenbach et B. Legrais, Lieux magiques et sacrés d’Alsace et des Vosges : « Les hauts lieux vibratoires de la santé », éditions de Rhin, (ISBN 2 86339 012 0)
    p. 33 : Les Vosges spirituelles ; pp. 119 à 124 : Le « Menhir » Kerlinkin, Ondes de vie harmonieuse de la forêt de Frossard et de la chapelle Sainte-Sabine
  104. Les massifs montagneux : Le massif de Fossard
  105. Civilisation girondine, comprenant Menhirs érigés par l’homme et un dolmen , Randonnée au massif du Fossard
  106. Monument inauguré le jour de la Saint-Étienne en l’an 2000 : Saint Étienne rend hommage aux siècles passés. Le granit de ce monument a été offert par la Société granite Leaders.
    L’histoire de Saint-Étienne-lès-Remiremont
    • 1492 Haute borne
    • Au VIIe siècle « Sancti Stépha »
    • 1759 L’église est consacrée
    • 1789 Saint Étienne s’appelle Val Moselle
    • 1805 Construction de la mairie-école du Tabois (Fossard)
    • 1822 Moulin Guilgot
    • 1844 Naissance du textile à Saint Étienne
    • 1856 Le Moulin devient usine textile
    • 1878 Reprise des Grands moulins par Géliot
    • 1884-1892 Construction des casernes Marion et Victor
    • 11 avril 1937 Saint-Étienne devient Saint-Étienne-lès-Remiremont
    • 25 septembre 1944 Libération de Saint-Étienne – Fusillade de Ménafaing
    • Septembre 1977 Arrivée de la Gendarmerie Mobile -5e et 15e BCP
    • 19871999 Départ et fin du textile – Reconversion économique
  107. Fédération du Club Vosgien
  108. Gabriel Gravier, Lorraine 1, Légendes des Vosges,, Collection du Mouton bleu, , 239 p. (ISBN 2-905126-01-9)
    * pp. 216 à 218 : La chapelle et la fontaine de Sainte Claire, abbesse de Remiremont (canton de Saint-Dié), pèlerinage du 12 août, jour de la fête de Sainte Claire d’assise * pp. 24 et 25 : Le Pont des fées de St Étienne et Saint Amé, construction élevée par d’antiques populations pour réunir deux montagnes sacrées ? barrage édifié par les Gaulois ou les Romains ? ou par des moines pour défendre le Saint-Mont ? La tradition populaire, elle, tranche la question et dit que ce pont est, comme son nom l’indique, l’œuvre des fées ! * pp. 108 à 112 : Le Pont des fées de Remiremont. Un château couronna le Saint-Mont, qu’habitaient un jeune seigneur Aimery et la princesse Aliénor, laquelle fut enlevée par le sorcier Marlus qui lui affecta à sa garde un dragon * p. 118, Les fées de l’étang de Xennois * pp. 122 à 128 : La vie légendaire des saint Amé, Romaric, Adelphe et des Saintes Claire et sabine : Les miracles et autres prodigues qui ornent la légende de saint Romaric,…
  109. M. Ch. Charton, Les Vosges pittoresques et historiques, Nîmes, C. Lacour, éditeur, 421 p. (ISBN 2-84692-074-5)
    Chapitre XIII Remiremont, le Saint-Mont et ses monastères, pp. 185 à 197
  110. Biographie vosgienne : Adrien Bailly
  111. Biographie vosgienne : George Paul dit Georges Airelle
  112. Biographie vosgienne : Charles Guyon, né à Saint-Etienne
  113. Archives départementales des Vosges : Liens utiles Direction régionale des Affaires culturelles de Lorraine, Service Régional de l’Archéologie de Lorraine ; Service régional de l’Inventaire de Lorraine ; Centre de Documentation du Patrimoine ; Base « Généalogie des Vosges en ligne » ; Conservation régionale des Monuments historiques de Lorraine ; Service territorial de l’Architecture et du Patrimoine des Vosges ; Conservation départementale des antiquités et objets d’art, Base « Mérimée » (ministère de la Culture) : édifices, Base « Palissy » (ministère de la Culture) : objets mobiliers classés…
  114. 03406X0055/F - 03762X0004/S3 - 03762X0006/S1 - 03762X0010/S - 03762X0023/HY - 03762X0025/HY - 03762X0026/PB - 03762X0027/PC - 03762X0084/HY - 03762X0085/HY - 03762X0086/HY - 03762X0087/HY - 03762X0109/CHAMBR - 03762X0111/P2 - 03762X0119/SCE - 03762X0120/SCE