Saint-Amé

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Saint-Amé
Saint-Amé
Le centre.
Blason de Saint-Amé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté de communes de la Porte des Vosges Méridionales
Maire
Mandat
Arnaud Jeannot
2020-2026
Code postal 88120
Code commune 88409
Démographie
Gentilé Stamésiens
Population
municipale
2 151 hab. (2021 en diminution de 1,28 % par rapport à 2015)
Densité 267 hab./km2
Population
agglomération
13 004 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 01′ 32″ nord, 6° 40′ 14″ est
Altitude Min. 385 m
Max. 773 m
Superficie 8,07 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Vagney
(ville-centre)
Aire d'attraction Remiremont
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Remiremont
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Amé
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Amé
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Saint-Amé
Liens
Site web saint-ame.fr

Saint-Amé est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Amé est située à 4 km de Vagney[1], ville la plus proche, à 8 km de Remiremont, à 22 km de Gérardmer et 34 km d'Epinal (préfecture des Vosges).

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

D'abord centré dans le hameau de Celles, le village s'est étendu vers la vallée au fil des siècles. Les forêts occupent 503 hectares.

Le Centre de Géologie de St Amé-Le Syndicat (Terrae Genesis) consacre l’un de ses quatre départements à l'histoire du granite et à l'aventure des gens du Granite utilisé en construction dans les Vosges[2].

Le site du Massif vosgien, inscrit au titre de la loi du 2 mai 1930, regroupe 14 Schémas de cohérence territoriale (SCOT) qui ont tout ou partie de leur territoire sur le périmètre du massif des Vosges[3].

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselotte, le ruisseau de la Cleurie et le ruisseau des Voues[4],[Carte 1].

La Moselotte prend sa source sur la commune de La Bresse, à 1 280 mètres d’altitude, entre Hohneck (1 363 mètres) et Kastelberg (1 350 mètres), à proximité des sources de la Vologne et de la Meurthe et de la Crête supérieure des Vosges. Elle se jette dans la Moselle au niveau de la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont[5].

Le Cleurie, d'une longueur totale de 18,9 km, prend sa source dans la commune de Gérardmer et se jette dans la Moselotte au Syndicat, après avoir traversé sept communes[6].

Le syndicat intercommunal d'assainissement du Haut-des-Rangs couvre un territoire de cinq communes des Vosges : Rupt-sur-Moselle, Vecoux, Dommartin-lès-Remiremont, Saint-Amé, Le Syndicat.

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Amé.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 381 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 10,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vagney », sur la commune de Vagney à 4 km à vol d'oiseau[9], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 472,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,4 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Statistiques 1991-2020 et records VAGNEY (88) - alt : 805m, lat : 48°02'32"N, lon : 6°45'01"E
Records établis sur la période du 01-08-2006 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,9 −1,7 0,7 4,3 7,4 10,9 12,7 12,4 9,3 6,2 2,4 −0,6 5,2
Température moyenne (°C) 0,5 1,2 4,4 8,7 11,7 15,4 17,2 16,9 13,5 9,6 5,2 1,8 8,8
Température maximale moyenne (°C) 2,9 4,1 8 13,1 16 19,8 21,7 21,3 17,7 13,1 7,9 4,1 12,5
Record de froid (°C)
date du record
−12,9
05.01.10
−17,5
05.02.12
−11
24.03.08
−7,7
04.04.22
−2
06.05.19
2,3
05.06.12
4,9
02.07.11
4,1
11.08.16
0,8
17.09.08
−6,2
29.10.12
−10,2
30.11.10
−19,4
20.12.09
−19,4
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,4
01.01.22
19,3
27.02.19
21,9
30.03.21
26,3
28.04.12
28,6
25.05.09
33,9
26.06.19
34,5
25.07.19
34,4
07.08.15
30
05.09.23
24,7
23.10.19
21
08.11.15
16,9
28.12.15
34,5
2019
Précipitations (mm) 156,2 116,3 105,9 76,3 130,9 128,7 108 122,2 106,9 123,1 131,9 166,3 1 472,7
Source : « Fiche 88486003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
2,9
−1,9
156,2
 
 
 
4,1
−1,7
116,3
 
 
 
8
0,7
105,9
 
 
 
13,1
4,3
76,3
 
 
 
16
7,4
130,9
 
 
 
19,8
10,9
128,7
 
 
 
21,7
12,7
108
 
 
 
21,3
12,4
122,2
 
 
 
17,7
9,3
106,9
 
 
 
13,1
6,2
123,1
 
 
 
7,9
2,4
131,9
 
 
 
4,1
−0,6
166,3
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Amé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vagney, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[17] et 13 004 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Remiremont, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,1 %), zones urbanisées (23,1 %), prairies (15,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

  • Commune accessible par les départementales D417 depuis Remiremont et Gérardmer, D246 depuis Vagney.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Risque sismique[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité modérée[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Saint-Amé a connu de nombreuses appellations depuis le Moyen Âge[28] : Saint Amat (XIVe siècle), Saint Amei (1419), Sainct Amat (1447), Sainct Amait (1469) ; Sancto Amato alias de Selles (1515) ; Sainct Amet (1552) ; Sainct Aymez (1593) ; Sainct Avet (1594) ; Cellæ (1768) ; Lanol dit Saint-Amé (XVIIIe siècle, carte Cassini), Saint Amé (an II) ; La Nol-sur-Moselle (an II, Révolution française)[29] ; Maison commune d'Amé (an III)

Ses habitants sont appelés les Stamésiens et les Stamésiennes. Le gentilé actuel a été introduit dans les années 1970 par le maire René Barlogis.

Auparavant, les habitants de Saint-Amé et du Syndicat étaient appelés Poterlacats, « qui lèchent le pot », référence à une querelle légendaire et humoristique entre deux bonnes gens, mari et femme, si pauvres qu'ils devaient râcler le fond des pots pour se nourrir[30]. Il existait d’ailleurs un restaurant « Le Poterlacat ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Le moine colombaniste Amé[31] fonde en 620 sa retraite spirituelle au Saint-Mont[32], sur les ruines d'un oppidum gallo-romain.

Acteur essentiel dans la fondation du monastère féminin du mont Habend, archétype de l'époque du « chercheur de Dieu », passionné de solitude radicale au cœur de l'élément naturel (forêts, grandes contrées sauvages et retirées), mystique intransigeant, prédicateur itinérant à la parole efficace. Ce personnage fut aussi le premier abbé du monastère fondé par Romaric (dont Amé était le père spirituel), vivant d'une humilité profonde et vraie, reconnaissant ses erreurs et ses égarements jusqu'aux dernières heures de son existence. En dépit des difficultés des récits hagiographiques qui alourdissent le merveilleux et altèrent la réalité historique par des schémas et des standards codés, on peut se laisser séduire par le récit de son existence.

Une partie de la ville de Saint-Amé, Sainct-Amet, était du ban de Moulin dont la seigneurie appartenait à la grande prévôté du chapitre de Remiremont. L'autre partie dépendait de la mairie de Celles dont la seigneurie était à l'abbesse de Remiremont. En 1594, la commune dépendait du bailliage des Vosges, prévôté d'Arches, en 1751, du bailliage de Remiremont et maîtrise d'Épinal et en 1790, du district de Remiremont, canton de Vagney. À cette époque, elle prit brièvement le nom révolutionnaire de Nol-sur-Moselle.

Au spirituel, la commune dépendait de la paroisse de Celles, dont le patronage était au chapitre de Remiremont, qui se trouvait sous l'invocation de saint Amé. L'ancienne église paroissiale était située sur le rocher qui servit de retraite à saint Amé. Elle fut démolie en 1727 et la nouvelle église fut construite au hameau de la Nol, actuel territoire de la commune du Syndicat.

Les Kyriolés. Jusqu’à la Révolution, tous les lundis de Pentecôte, huit paroisses dépendant du chapitre (Dommartin-lès-Remiremont, Ramonchamp, Rupt-sur-Moselle, Saint-Amé, Saint-Nabord, Saint-Étienne-lès-Remiremont, Saulxures-sur-Moselotte et Vagney) envoyaient des jeunes filles qui se présentaient à l’église de Remiremont et y entonnaient des cantiques en français[33],[34].

Aujourd'hui, la « paroisse Saint-Amé des 3 vallées »[35] regroupe les secteurs de Saint-Amé, Cleurie, La Forge, Le Syndicat, Vecoux et Dommartin-lès-Remiremont.

L'école des garçons et la mairie datent de 1848 ; l'école des filles de 1869 et l'école enfantine de 1884. La commune a compté 500 habitants en l'an XII, 569 habitants en 1830, 932 habitants en 1867.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]

La mairie.

En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 745 000 , soit 798  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 476 000 , soit 675  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 520 000 , soit 24  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 183 000 , soit 83  par habitant.
  • endettement : 1 089 000 , soit 498  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 8,75 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 39,73 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 26,01 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2019 : Médiane en 2019 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 030 [37].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[38]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1900 1904 Honoré Genay    
1904 1921 Napoléon Marchal   Filateur
1921 1935 Auguste Virieux    
1935 1935 François Grosdemange    
1935 1945 Camille Faure    
1945 1945 Julien Duchêne    
1945 mars 1971 Marc Thiriet    
mars 1971 juin 1995 René Barlogis    
juin 1995 mars 2001 Jean Pizzato    
mars 2001 mars 2008 Annette Fleurence DVD-UMP Conseillère régionale de Lorraine (2004 → 2010)
mars 2008 septembre 2009
(démission)
Alain Sanchi   Responsable commercial retraité
1eroctobre 2009 2020 Marcelle André UDI Retraitée de l'enseignement
2020 En cours
(au 7 novembre 2020)
Arnaud Jeannot   Cadre administratif et commercial d'entreprise. Sixième Vice Président, Délégué à la culture et aux sports de la Communauté de communes de la Porte des Vosges Méridionales.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture-élevage[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Gîtes, Chalets, Chambres d'hôtes, Hôtels, Restauration, Bar[42].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces de proximité.
  • Carrière de granit[43].
  • Artisanat et Industrie[44].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

En 2021, la commune comptait 2 151 habitants[Note 4], en diminution de 1,28 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
463476502563642693662672740
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
8719329271 0511 0631 1531 2051 2041 124
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
1 1781 0621 0801 0801 1621 2351 3751 5531 924
1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
2 1012 0072 0332 0122 0982 1112 1792 1542 151
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissement d'enseignements[48] et professeurs[49]:

  • Maternelle et Elémentaire (à Saint-Amé)
  • École primaire ("Les Bruyères"; "Les Tilleuls")

Secondaire[modifier | modifier le code]

  • Collèges à Vagney et Remiremont,
  • Lycées à Remiremont.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[50] :

Cultes[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine architectural

  • Chapelle du vieux Saint Amé, site où vécut saint Amé[55], moine du VIIe siècle.
  1. Situé dans les hauts de Celle, proche de la grotte où Saint Amé s’était retiré pour prier et faire pénitence[56]
  2. Pèlerinage annuelle au Vieux Saint-Amé

Patrimoine mobilier

  • La clôture de chœur de l'église (appui de communion), classée au titre des objets mobiliers par arrêté du 4 septembre 1956[70].
  • Monument aux morts[71].
  • Statue de Pomone[72], déesse de l'agriculture, érigée par le maire Napoléon Marchal en 1909[73],[74].
  • Oratoire moderne[75]
  • Jardin paroissial : Mémorial du Saint-Mont[76], inauguré en septembre 1936. Une statue en bronze de saint Amé se dresse au bout d'une allée bordée de huit stèles à médaillon en granite des Vosges représentant chacun un saint lié à l'histoire du Saint-Mont : sainte Perpétue, sainte Gébertrude, sainte Claire, saint Romaric, saint Arnould, sainte Mactefelde, saint Adelphe et saint Emmon[77],[78].
  • L'école des filles.

Patrimoine naturel

  • Au massif des Corbelières, le Grand Rocher de Saint-Amé est un site local réputé pour l'escalade[79].

Autre type de patrimoine

Animations

  • L'organisation du « Trail du Saint-Mont » (à pied), parcours de 17 km avec des difficultés croissantes, prévu à partir de 2016[82], contribuera à la valorisation des sites paysagers.

Parcours de santé et équipements sportifs[83]

  • Parcours sportif, de santé dans les forêts de Saint-Amé
  • Salle Polyvalente
  • Courts de tennis
  • Mur d'escalade (le grand rocher et le petit rocher)
  • Terrain de football

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Tranché d'or à un sapin arraché de sinople et de gueules à une croix de Lorraine d'or ; au filet en bande de sable brochant sur le tout.
Commentaires : Le sapin symbolise les Vosges et la croix à double traverse est de Lorraine[89].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Documentation sur le Saint Mont

  • Archives départementales des Vosges, Série H, Clergé régulier avant 1790, Répertoire numérique détaillé établi par André Philippe, archiviste départemental (1905-1937), présenté par Raymonde Florence, Epinal 1924 / 2004 : p. 137 à 181 : 7 H Prieuré du Saint-Mont : Les archives sont importantes ; elles sont riches notamment pour quelques localités telles que Bayon, Dommartin-lès-Remiremont (depuis le XIIIe siècle), Saint-Amé (depuis le XIVe siècle), et Saint-Étienne-lès-Remiremont (depuis le XIIIe siècle). Biens du prieuré (Sommaire du fond VII H : p. 141) : *Bayon, La Bresse et Biffontaine ; *Domartin-lès-Remiremont ; *Éloyes et Laveline-du-Houx ; *Ramonchamp et Rancourt ; *Remiremont ; *Rupt ; *Saint-Amé ; *Saint-Étienne ; *Saint-Nabord, Le Thillot et Vagney ; *Les Vallois et Chaillon (Meuse) ; *Divers
  • Département des Vosges. Documents relatifs à la vente des biens nationaux : Saint-Amé, p. 252 à 257 et 431-629-631-632
  • Cartes postales anciennes, sur vosgescpa.fr/
  • Helga D. Hofmann, Lothringische Skulptur der Spätgotik, Sarrebrück, Librairie Karl Funk,
  • Chanoine Renaud, (728-1792), écolâtre du chapitre, Histoire du St Mont
    Manuscrit à la bibliothèque de Remiremont
  • J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,
    dépôt légal n°28 ; Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 1 : Les Temps Premiers, Chapitre 2 : Le Monastère sur la montagne, Chapitre 3 : Les Translations dans la Vallée, Chapitre 20 : La Fin
  • Paul Chevreux, Léon Louis, « Saint-Amé », dans Le Département des Vosges, description, histoire, statistique, Tome VII, Dictionnaire historique et statistique des communes, hameaux, écarts, fermes, Epinal, 1889.
  • Pierre Lucas, Vieux papiers de la vieille paroisse de Celles. Saint-Amé, Le Syndicat, Cleurie. Remiremont, 3 vol.
  • Abel Matthieu, Histoire du St-Mont, Cornimont, Imprimerie Girompaire,
    Il a dressé un bilan des informations archéologiques sur le site, complétant ce que l'on peut déjà apprécier à travers l’histoire du Chapitre de Remiremont
  • Bernard Puton, Promenades aux mégalithes des environs de Remiremont
  • Charles Kraemer et Michel Rouillon, Guide historique et archéologique du Saint Mont et ses environs, Epinal, Groupe de recherches archéologiques des Hautes Vosges (GRAHV),
  • Charles Kraemer, Le Peuplement des Vallées de Haute Moselle et de Moselotte au Haut Moyen Âge, , 15 p.
    Conférence de la Société d'Histoire Locale
  • Le Saint-Mont, Berceau du christianisme, Édité par Comemag,
    Massif des Vosges n°23, pp 30-31
  • Abel Mathieu, Saint-Amé et la Vallée de Cleurie,
  • Pierre-Henri Mathieu, La Seconde Guerre mondiale dans la région d'Éloyes, Epinal, Association de recherches archéologiques et d'histoire d'Éloyes et dans ses environs, , 513 p. (ISBN 2-9513453-1-3)
    Chapitre XIV-Saint-Amé-Le Syndicat-Julienrupt, pp. 323 à 331
  • Pierre-Henri Mathieu, La vie rurale et son patrimoine, l’eau, la forêt et l’agriculture de montagne dans la région d’Éloyes, Épinal, Association de recherches archéologiques, histoire et patrimoine d'Éloyes et de ses environs, , 654 p. (ISBN 2-9513453-2-1)
    * Ière partie : Introductions générales ; * IIème partie : L’eau, la forêt, la vie à la campagne ; * IIIème partie : Les communes, histoire et patrimoine, comprenant les communes de : Arches, Archettes, Bellefontaine, Cheniménil, Cleurie, Docelles, Éloyes, Faucompierre, Hadol, Julienrupt, (Le Syndicat), La Forge, Le Tholy, Pouxeux, Raon-aux-Bois, Rehaupal, Saint-Amé, Saint-Étienne-lès-Remiremont, Saint-Jean-du-Marché (commune de La Neuveville-devant-Lépanges), Saint-Nabord, Tendon, Xamontarupt ; * IVème partie : Le Massif du fossard, la forêt, population et patrimoine ; * Vème partie : Annexes : 1re Guerre Mondiale et 2e Guerre Mondiale.**Voir en particulier la IIème partie : L'eau, la forêt, la vie à la campagne puis le détail des recherches présenté dans chaque commune : pp. 444 à 454 : Saint-Amé
  • Les 1400 ans du Saint-Mont
  • Approche d’un périmètre de classement
Pré-étude de classement du site du Saint Mont (88)
Les paysages du Saint-Mont, DREAL Grand-Est. Étude préalable au classement du Saint-Mont (Vosges). A ciel ouvert, "Atelier des paysages quotidiens" - Paysagistes DPLG, Juin 2018, sur https://webissimo.developpement-durable.gouv.fr/ 38 pages
3A. Les entités paysagères Autour du Saint-Mont : Au sud du Massif du Fossard; Principaux éléments pittoresques du site et ses abords
3B. découvrir Le Saint-Mont : Accéder et découvrir le Saint-Mont; Composition de la partie sommitale; Les fouilles archéologiques; Les chapelles du Saint-Mont; La Haute-Borne et le Pont des Fées; Le Vieux Saint-Amé,
3C. Le Massif du Fossard : Aux Abords du Saint-Mont; Le domaine de l’abbaye; Les vallons du Xennois et de Miraumont; Le Morthomme et l’ancien ermitage de Saint-Arnould; Le col de la Pierre Kerlinquin; La colline et le vallon Sainte-Sabine; Le Fardeau Saint-Christophe et la Roche des Loups; Le Thin; La Charme et quelques autres sites d’intérêt scientifique majeur
3D. Les Ambiances paysagères
3E. Les Aires visuelles depuis Le Saint-Mont
3F. Les Aires visuelles donnant à voir Le Saint-Mont : Depuis l’espace urbain; Depuis la vallée de la Moselle.

Documentation générale[modifier | modifier le code]

Territoire communal : Occupation du sol (CORINE LAND COVER); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD LISA; Cartes piézométriques.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Amé » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Itinéraires et lieux
  2. Les matériaux de construction
  3. Le schéma interrégional du massif des Vosges à l'horizon 2020 : un projet de développement durable, une ambition pour le massif
  4. « Fiche communale de Saint-Amé », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. Sandre, « la Moselotte »
  6. Sandre, « le ruisseau de la Cleurie »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  11. « Station Météo-France « Vagney », sur la commune de Vagney - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
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  25. Fluo Grand Est
  26. Gare routière de Remiremont
  27. Didacticiel de la règlementation parasismique
  28. Paul Marichal, Dictionnaire topographique de la France comprenant les lieux anciens et modernes, Paris, (lire en ligne [PDF]), p. 379.
  29. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. « Histoire de Saint-Amé ! », sur saint-ame.fr (consulté le ).
  31. Charles Kraemer, « Le Saint-Mont : Première implantation monastique de Lorraine (Essai d'une topographie historique) », Archéologie médiévale, no 19,‎ , p. 57-79 (lire en ligne) :

    « Saint Amé, premier abbé du Saint-Mont »

    .
  32. « Saint Aimé, Ermite (+ v. 629) », sur Nominis.
  33. J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,
    dépôt légal n°28 ; Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 15 (10 pages) : Les kyriolés : En 1049, Ode I de Luxembourg étant abbesse, furent institués les Kyrioletzs ou Criaulés, dans les domaines de l’Abbaye de Remiremont
    .
  34. (en) Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes, Publications de la Sorbonne, , 427 p. (ISBN 2-85944-516-1)
    Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaitre. Les rites des fêtes de saint Amé et de saint Romaric. pp. 114 à 119 : Les Kyriolés. Dans chaque cantique, saint Romaric est présent. Ainsi, les huit paroisses demandaient au patron de la ville d’entrer dans Remiremont. Vagney invoquait et demandait au saint de lui ouvrir ses portes en ces termes :*Criaulé, ô bienheureux saint Romary.*Criaulé, nous vous demandons vos portes ouvrir.*C’est saint Lambert qui veut entrer par sa bonté.*Et tous ceux qui sont après et prient Dieu (Kyriolés ou Cantiques qui sont chantés à l’église de Mesdames de Remiremont, op. cit). Les représentants de la commune de Saint-nabord se présentaient et entonnaient :*Criaulé saint Pierre et saint Romary.*Priez pour ceux qui sont ici.*À Saint-Nabord donnez l’entrée, ô criaulé, ô criaulé. *En Jésus-Christ, oyez nos vœux.*Et tous les saints, et toutes les saintes, oyez nos vœux
    .
  35. « Paroisse Saint-Amé des 3 vallées »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur catholique-vosges.fr.
  36. Les comptes de la commune de Saint-Amé
  37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  38. Historique des maires de 1900 à nos jours, sur saint-ame.fr
  39. (fr + it) L'histoire et la géographie de Schignano
  40. Élevage canin
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  42. « Saint-Amé - Vie économique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saint-ame.fr (consulté le ).
  43. Carrière de granit
  44. « Saint-Amé - Vie économique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saint-ame.fr (consulté le ).
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. Établissement d'enseignements
  49. « Ecoles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  50. Professionnels et établissements de santé
  51. Le Centre Hospitalier de Remiremont
  52. Paroisse Saint-Amé-des-Trois-Vallées
  53. Mémorial des saints de l'abbaye du Saint-Mont
  54. Découverte dans la grotte dite du « Vieux saint Amé »
  55. Le site de la chapelle du Vieux Saint-Amé
  56. « CHAPELLE DU VIEUX SAINT AME »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  57. La Chapelle du Saint-Mont
  58. « Pont des Fées », notice no PA00107272, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Ouvrage dit Pont des Fées
  59. Notice no PA00107286, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture Ouvrage dit Pont des Fées (également sur commune de Saint-Amé)
  60. Sites inscrits de Lorraine : Le Saint Mont situé à cheval sur les communes de Saint-Amé et Saint-Étienne-lès-Remiremont
  61. « Site archéologique du Saint-Mont », notice no PA00135425, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  62. Romaric (saint)
  63. Saint Amé (Amatus) (vers 560 – vers 628)
  64. L’Obituaire du Saint-Mont (1406), Gabriel Bucelin, aquarelle, 1665. Le Saint-Mont (Éditions en ligne de l' École des chartes (ELEC)
  65. Le saint Mont ou mont Habend en 1665

    René Dinkel, L’encyclopédie du patrimoine, 1514 p, Paris (éditions Les Encyclopédies du patrimoine), septembre 1997 (ISBN 2-911200-00-4), Chapitre V page 137 : Fig.V3 Source ancienne extraite de l’ouvrage). Pour les monuments religieux, on peut citer des ouvrages comme celui du Père bénédictin Gabriel Bucelin (1599-1681). Durant ses voyages il a réalisé un journal agrémenté de dessins d’abbayes. Celles-ci sont conservées à la bibliothèque du Land de Baden-Württemberg à Stuttgart (mss HB V 15 a). Il fut prieur de Saint-Jean à Feldkirch (province du Vorarlberg, Autriche), qui dépendait de l’abbaye de Weingarten. Traduction de la légende du dessin (en latin du XVIIe siècle en haut et à gauche de l’illustration) : le mont Saint-Romaric, communément désigné « Saint-Mont », situé à 683 mètres d’altitude, au-dessus de la ville forte du même nom appelée Remiremont, est un monastère de l’ordre de Saint-Benoît, relevé de ses ruines dans un site très élevé et remarquable

  66. Source : Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, (ISBN 2-87692-093-X)
    Présentation de l’orgue de l’église Saint-Amé : pages 525 à 529
    .
  67. Les facteurs d'orgues : l'orgue de Saint Amé
  68. Saint Amé, orgue de l’église Saint Amé
  69. .Restauration des orgues
  70. Clôture du chœur présentée sur la base de données Palissy
  71. Synthèse des morts pour la France à Saint-Amé
  72. Statue Pomone, sur petit-patrimoine.com/
  73. « Fontaine de Pomone – Saint-Amé », sur e-monumen.net (consulté le ).
  74. Logo de Saint-Amé
  75. Oratoire moderne
  76. Mémorial du Saint Mont dans le jardin paroissial
  77. Lucas, abbé, Inauguration du mémorial du Saint-Mont (septembre 1936) : quelques impressions, quelques souvenirs, Saint-Amé, , 59 p..
  78. La montagne des saints : le monastère du Saint Mont
  79. Grand rocher (60 m)
  80. Celles, le plus ancien hameau de Saint-Amé ? (pages 41-42); Le château de Celles, Bien national, puis bien d'émigré sous la Révolution (pages 46 à 48), par Jean-Marie Lambet. Article extrait de "La révolution dans le pays de Remiremont", rue de la Société d'Histoire locale de Remiremont et de sa région. No 9 - 1989.
  81. Collection de documents inédits dans l'histoire économique de la révolution française, publiés par les soins du ministre de l'instruction civique : Saint Amé : pages 82 et 253 : Château de Celles
  82. Trail du Saint-Mont
  83. « Parcours De Santé, Saint-Amé (88120) », sur cartes-2-france.com (consulté le ).
  84. Fiche sur Ricochet-jeunes.org
  85. Histoire abrégée du Saint-Mont
  86. Biographie vosgienne : Étienne et Jean-Baptiste Géhin, facteurs d’orgues
  87. Étienne Géhin, facteur d'orgue
  88. Jean-Baptiste Géhin, facteur d'orgues
  89. L'Armorial des villes et villages de France : Saint-Amé