Saint-Georges-les-Bains

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Georges-les-Bains
Saint-Georges-les-Bains
Église et mairie.
Blason de Saint-Georges-les-Bains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Tournon-sur-Rhône
Intercommunalité Communauté de communes Rhône Crussol
Maire
Mandat
Geneviève Peyrard
2020-2026
Code postal 07800
Code commune 07240
Démographie
Gentilé Saint-Georgeois
Population
municipale
2 412 hab. (2021 en augmentation de 9,59 % par rapport à 2015)
Densité 171 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 43″ nord, 4° 48′ 36″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 527 m
Superficie 14,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Charmes-sur-Rhône
(ville-centre)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rhône-Eyrieux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Georges-les-Bains
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Georges-les-Bains
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Voir sur la carte topographique de l'Ardèche
Saint-Georges-les-Bains
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Saint-Georges-les-Bains
Liens
Site web saint-georges-les-bains.fr

Saint-Georges-les-Bains est une commune française située dans le département de l'Ardèche, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Saint-Georgeois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Bien que située en Ardèche —ancienne province du Vivarais—, la commune de Saint-Georges-les-Bains est située à treize kilomètres au sud-ouest de Valence, préfecture de la Drôme. Outre le bourg central (ou « village ») celle-ci comprend deux autres hameaux : Château Rouge et Blod. Le village est un véritable belvédère sur la vallée du Rhône. La commune est rattachée à la communauté de communes Rhône Crussol.

L'altitude s'élève de 98 mètres dans l'Île à 520 mètres sur le Serre de Planèze.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 953 mm, avec 7,1 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Pape », sur la commune de Saint-Laurent-du-Pape à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 027,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La partie sud-est du territoire communal est bordée par le Rhône. Le Turzon, torrent qui traverse la commune en cascades rocheuses successives, finit en ruisseau apaisé dans le canal d'amenée du Rhône.

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'ancienne route nationale 86 qui a été déclassée en route départementale — RD86 —. Cette route, qui se présente selon un axe nord-sud, relie historiquement la ville de Lyon à celle de Nîmes.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-les-Bains est une commune urbaine[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Charmes-sur-Rhone, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[10] et 9 150 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), zones urbanisées (14 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6 %), eaux continentales[Note 3] (5 %), cultures permanentes (4,6 %)[15].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Georges-les-Bains est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône et la Basse Ardèche, mais non loin de la limite orientale de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[16].

Terminologie des zones sismiques[17]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponyme[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village reprit le nom de Saint-Georges-les-Bains en 1858, lors de la restitution des limites d'antan : Saint Georges et Saint-Marcel de Crussol.

Saint-Georges[modifier | modifier le code]

Saint-Georges appartenait à l'abbaye de Cluny, son village s'est donc développé autour du prieuré dont il ne reste que l'église. Son église date de la période médiévale, comme en témoigne le chœur roman semi-circulaire. Dans ce même lieu, un vitrail représente le saint patron du village : saint Georges (patron des soldats) terrassant le dragon.
Le village doit en partie son nom à une source d'eau alcalino-sulfureuse à température constante (24°), permettant de développer à l'époque romaine une petite station thermale dont la fermeture se situe vers 1900, après 600 ans d'existence. Au XVIIIe siècle, les grands de ce monde (dont Napoléon Bonaparte) venaient s'y baigner pour soigner les nombreuses maladies de la peau. L'efficacité des eaux de Saint-Georges était célèbre : « M. Daumont prétend que c'est à tous ces gaz réunis que naît le bien que chaque individu en reçoit pour sa santé et surtout pour les maladies de peau[18] ». De l'établissement thermal il ne reste que la piscine et l'ancien hôtel des Bains actuellement centre de soins et de réadaptation, propriété de l'Armée du salut.

Saint-Marcel[modifier | modifier le code]

De l'autre côté du ravin, creusé par le Turzon, se trouve le village de Saint-Marcel qui est aujourd'hui un quartier du village. Saint-Marcel qui abritait autrefois, accroché aux flancs de la colline, un château, dont l'origine remonte aux environs de l'an 1000, mais aussi une petite cité fortifiée. De cette époque féodale, il ne reste que des ruines.

De 1242 à la Révolution, le village faisait partie du comté Crussol-Uzès.

De ce village, abandonné pendant plusieurs siècles, il ne subsiste aujourd'hui qu'un élément de la tour forte sur le site castral, avec une porte d'accès et plusieurs murs de défense avec leurs créneaux et l'amorce du chemin de ronde. Toujours dans la partie castrale, on rencontre les restes d'une église où se trouvait un autel paléochrétien, actuellement conservé au Musée des Antiquités Nationales de Saint-Germain-en-Laye. Tout en bas du village, se trouve la porte d'entrée connue sous le nom de Porte de Cholet donnant sur la rue principale conduisant à la poterne, et bordée de vestiges de maisons. Saint-Marcel possédait deux fours, des hospicios (auberges) et, un peu en dehors, le moulin d'Autigour. Quelques habitations hors les murs constituaient les faubourgs.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
17 mars 1989 28 mai 2020 Bernard Berger[19] RPR puis
UMP puis LR
Assistant expert-comptable
Conseiller général (1992-1998)
Suppléant d'Amédée Imbert (1993-1997)
28 mai 2020 En cours Geneviève Peyrard DVG Professeure de lycée
5e vice-présidente de la CC Rhône Crussol (depuis 2020)

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 2 412 habitants[Note 4], en augmentation de 9,59 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
259269250361816855952870915
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
882874870765870702693705766
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
695701658500554563505555532
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 1101 0158731 2571 5571 7161 9772 0652 244
2021 - - - - - - - -
2 412--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-les-Bains dépend de l'Académie de Grenoble. Les élèves commencent leur scolarité dans l'école élémentaire Lucien Roux de la commune[24], après être passés à l'école maternelle "les Lavandières"[25].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-les-Bains sera ville étape du Tour cycliste féminin international de l'Ardèche 2019.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition de Privas.

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique[modifier | modifier le code]

La communauté catholique de Saint-Georges-les-Bains est rattachée à la paroisse « Saint-Nicolas-du-Rhône » qui fait elle-même partie du diocèse de Viviers[26].

Culte protestant[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Industrie et artisanat[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Situé à moins d'un kilomètre à l'extérieur du village, l'ancien hôtel « Le Belvédère » (aujourd'hui « Le Château ») édifié en 1889 par M. Chalvet, docteur à Valence, pour héberger la clientèle attirée par les eaux thermales, dont la source existe encore en bas dans la vallée. Eaux connues depuis le XIIe siècle et qui avaient attiré des personnages illustres. Entre autres, le jeune lieutenant Napoléon Bonaparte, en garnison à Valence en 1785, affecté par un érythème dû aux exercices à cheval. Le bâtiment à l'extérieur garde son remarquable aspect originaire, tout comme l'esplanade avec sa balustrade en pierre d'époque, d'où on peut admirer un magnifique panorama qui s'étend dans la vallée du Rhône jusqu'aux montagnes du Vercors. À la suite du déclin de la station thermale le siècle dernier, il devient « Le Château » un centre de l'Armée du Salut. Pendant la Seconde Guerre mondiale il accueille femmes et enfants de prisonniers de guerre. Successivement colonie de vacances, il est actuellement Centre de soins de réadaptation. L'esplanade est accessible au public sur demande à l'entrée.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique et logotype[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Georges-les-Bains Blason
Tranché : d'or et de gueules, l'or chargé de saint Georges à cheval d'argent tuant le dragon du même chargeant le gueules avec une lance de sable posée en barre et brochante, le cavalier accompagné en chef d'une croix cléchée, pommetée de douze pièces et vidée de gueules, le tout enfermé dans une bordure d'azur, réduite en flancs et en pointe, chargée en chef de trois fleurs de lis d'or, au listel d'azur chargé de la devise de la commune d'or, brochant sur le tout en pointe senestre[27].
Devise
Lo coratge se manca pas (Le courage ne manque pas).
Détails
Armes parlantes. (Saint-Georges)
Adopté le 25 juillet 1978.

Le logo de la commune, dévoilé en 2020, est composé de quatre éléments complémentaires présentant la pluralité basée sur l'héritage avec le blason existant : le heaume du chevalier Saint-Georges, une fleur de lys du Vivarais, les eaux de la commune et la devise[28].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Georges-les-Bains et Saint-Laurent-du-Pape », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Laurent Pape », sur la commune de Saint-Laurent-du-Pape - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Laurent Pape », sur la commune de Saint-Laurent-du-Pape - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Charmes-sur-Rhône », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  17. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  18. Arnulphe Daumont, médecin de Valence, collaborateur de l'Encyclopédie, cité par G. Lenotre - Historia 1954 -
  19. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. école communale
  25. école maternelle de la commune
  26. Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Nicolas-du-Rhône.
  27. « Saint-Georges-les-Bains », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  28. « Une nouvelle identité », Le Petit Saint-Georges, no 2,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).