La Baume-Cornillane

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Baume-Cornillane
La Baume-Cornillane
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Dominique Sylvestre
2020-2026
Code postal 26120
Code commune 26032
Démographie
Gentilé Balmois, Balmoises
Population
municipale
453 hab. (2021 en augmentation de 2,49 % par rapport à 2015)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 28″ nord, 5° 02′ 28″ est
Altitude Min. 320 m
Max. 1 014 m
Superficie 14,42 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Baume-Cornillane
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Baume-Cornillane
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Voir sur la carte topographique de la Drôme
La Baume-Cornillane
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
La Baume-Cornillane

La Baume-Cornillane est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Balmois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Baume-Cornillane est située à 15 km de Crest, à 18 km de Valence.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La Raye depuis le Pas de la Croix, La Baume Cornillane, Drôme
Panorama depuis le Pas de la Croix : le Vercors, La Raye et la vallée du Rhône

La commune de La Baume-Cornillane s'étage de 320 à 1014 mètres d'altitude[1] , dans la région de la Gervanne, sur les contreforts du Vercors drômois, massif calcaire constitué de roches formées par sédimentation au cours du Jurassique moyen, au fond de la Téthys alpine.

Carte de la topographie et des régions du Vercors
Carte topographique avec les régions du Vercors.

Sites particuliers[2] :

  • la Raye (1015 m) ;
  • Pas de la Croix (872 m) ;
  • Pas du Pont ;
  • Peychotard (441 m)
  • Serre du Buis (441 m) ;
  • Serre Perrier (532 m).

Géologie[modifier | modifier le code]

Le « Centre de la Pangée »[modifier | modifier le code]

Selon le Dauphiné libéré qui évoque des déclarations de spécialistes (sans les nommer), la commune se trouverait à l'emplacement de ce qui a été le centre du très ancien continent appelé la Pangée (du grec ancien πᾶν (pân) « tout », et γαῖα (gaïa) « terre », qui devient en latin pangaea), il y a 240 millions d’années[3]. Ce continent unique a commencé à se disloquer il y a 200 millions d'années, ce qui a donné naissance à la Laurasia (au Nord) et au Gondwana (au Sud). Par la suite, les continents se séparèrent et dérivèrent.

Selon le site officiel de la commune qui utilise le conditionnel[4], la crête rocheuse, relevée lors de la formation des Alpes, qui se dresse derrière les ruines du château, symboliserait ce lieu hypothétique[5]. Bien que la commune de la Baume Cornillane ne soit pas la seule commune à revendiquer sa position de centre de la Pangée, cette originalité a été mise en avant sur le plan touristique[6]. La Communauté d'agglomération Valence Romans n'a pas démenti[7].

Pour commémorer la chose, une association de pâtissiers drômois a eu l'idée d'un gâteau appelé « La Pangée » (élu meilleur biscuit de France en 2004)[8]. Le journal Le Point, ironisait, dans un article publié en 2012, sur cette prétention[9].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[2] :

  • la Bionne ;
  • la Peyrière ;
  • l'Ecoutay ;
  • le Rif ;
  • ruisseau de Biégaire ;
  • ruisseau de Tisserand.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Alpes du sud »[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 055 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 4,8 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valence-Chabeui »sur la commune de Chabeuil à 9 km à vol d'oiseau[12], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D208, D208a et D745[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Baume-Cornillane est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[16],[17],[18].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (50,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,7 %), terres arables (25 %), zones agricoles hétérogènes (15,7 %), prairies (10,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose de trois parties : la plaine, le contrefort du massif du Vercors et la montagne.

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[2] :

  • Bon Temps
  • Chalamet
  • Champ de Role
  • Champey
  • Coli
  • Ferme Bouchet
  • la Bouchesse
  • la Côte
  • la Graire
  • la Lozière
  • la Maladière
  • le Barlet
  • le Champ du Roure
  • le Coquillon
  • le Franquet
  • le Luc
  • le Mazoyer
  • le Moutet
  • le Prieuré
  • les Barlez
  • les Bayettes
  • les Bertons
  • les Bois
  • les Chainons
  • les Chollières
  • les Clabeylauds
  • les Comtes
  • les Garis
  • les Granges
  • les Maillets
  • les Marais
  • les Moulins
  • les Perrots
  • les Pialoux
  • les Pias
  • le Vieux Village
  • l'Osaret
  • Marquet
  • Olivière
  • Petit Jean
  • Terraillon
  • Théolet
  • Tisserand

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[22] :

  • 1298 : mention de la paroisse : cura de Balma Cornillyana (cartulaire de Léoncel, 283).
  • 1332 : Balma Cornilliana (Gall. christ., XVI, 129).
  • 1391 : La Balme Cornilhe (choix de documents).
  • 1438 : Balma Curnilhana (terrier de Montvendre).
  • 1442 : Balma Cornillana (choix de documents, 275).
  • XVe siècle : mention de la paroisse : cura Balme Cornilhane (pouillé de Valence).
  • 1527 : La Balme Cornilhane (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence], 283).
  • 1626 : La Baulme Cournilhanne (rôle de tailles).
  • 1630 : La Beaume Cornilliane (rôle de tailles).
  • 1891 : La Baume Cornillanne, commune du canton de Chabeuil.

Non daté[réf. nécessaire] : La Baume-Cornillane.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Panneau du chemin des Cornillans, La Baume Cornillane, Drôme
Panneau du chemin des Cornillans, avec le blason des Cornillan

Le nom de Balma Cornillane serait apparu en 1305 alors qu'Albert de Cornillan était seigneur de cette terre. Ses armoiries portent trois corneilles (du latin populaire cornicula) (voir plus bas : paragraphe héraldique).

La Baume Cornillane (Balma cornillana) doit son nom à la présence d’une grotte (balme / baume) dite de la Dame, cette Dame étant Catherine de Cornillan, grande famille de seigneurs locaux dont les armes sont trois corneilles[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Dans son étude historique[24], Théophile Vernier consigne que des vestiges archéologiques, fragments de silex taillés en pointes de flèches, en haches et en couteaux, retrouvés aux alentours de la grotte et dans les champs voisins prouvent une occupation humaine du site depuis l'âge de pierre.

Antiquité[modifier | modifier le code]

Dans son étude historique[24], Théophile Vernier affirme que le village gallo-romain, dont on a retrouvé des vestiges (tuiles, poteries, cimetière), s'est peu à peu converti à la foi chrétienne, comme en témoigne l'épitaphe de Constantinus (sous-diacre), une inscription datée du VIe siècle, gravée sur une pierre de l'ancien prieuré. Une première église aurait donc été bâtie vers l'an 500.

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, le village s'établit autour d'une église paléochrétienne qui devient un prieuré clunisien de Marcigny sous le vocable de Saint-Étienne. Le second village, fortifié, s'établit vers l'an 1100 sur la hauteur, autour du donjon dont se dressent encore les vestiges[24].

Les Cornilhan, ou Cornillan, sont les premiers seigneurs du lieu[24].

La seigneurie[22] :

  • Au point de vue féodal, La Baume-Cornillane était une terre (ou seigneurie) du fief des comtes de Valentinois.
  • Possession des Cornilhan.
  • Milieu XVIe siècle : passe (par mariage) aux Eurre.
  • 1579 : passe (par héritage) aux Alrics.
  • 1685 : passe (par héritage) aux Berton de Crillon, derniers seigneurs.

Refuge des Vaudois puis des protestants[25].

XVIe siècle : Catherine de Cornillan, dernière descendante des Cornillan (ou Cornilhan), adopte la religion réformée. Dans son testament de 1579, elle demande à sa descendance d'associer son nom à celui de leur père Thierry d'Eurre, d'entretenir la réforme protestante sur ses terres et d'être inhumée dans le temple protestant. Une grotte porterait son nom, « la Grotte de la Dame »[réf. nécessaire].

Introduit dans le midi de la France au XVe siècle, le mûrier, dit «l'arbre d'or», très répandu à La Baume-Cornillane au XVIe siècle, apporte aisance à plusieurs foyers[24].

1589 (démographie) : 100 familles[22].

1789 (démographie) : 130 chefs de famille[22].

Avant 1790, la Baume-Cornillanne était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et de la sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence. Son église était sous le vocable des Saints-Philippe-et-Jude et les dîmes appartenaient au prieur du lieu qui présentait à la cure[22].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune fait partie du canton de Chabeuil[22].

La nouvelle répartition de la propriété conduit au déplacement du vieux village dans la plaine au XIXe siècle[24]. Les progrès de l'agriculture apporte prospérité à de nombreux foyers.

L'agriculture et l'élevage restent jusqu'à ce jour la ressource principale de l'économie locale.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 Louis Blache    
1995 2001 René Soulat    
2001 2008 René Soulat   maire sortant
2008 2014 René Soulat   maire sortant
2014 2020 Jean Meurillon   retraité
2020 En cours
(au 20 janvier 2021)
Dominique Sylvestre (mr.)[26][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 453 habitants[Note 3], en augmentation de 2,49 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
478322401535560559543539506
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
512503458451482448401406388
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
369357386338327305277271230
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
240203186245321396430438448
2014 2019 2021 - - - - - -
449452453------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Les communes de la Baume Cornillane et d'Ourches fonctionnent en Regroupement Pédagogique Intercommunal (RPI) depuis 1983. Les classes de petites et moyennes sections sont accueillies à Montmeyran. Ourches accueille les enfants de la grande section au CP et La Baume accueille les enfants du CE1 au CM2.

Les collégiens sont accueillis au collège Marcelle Rivier de Beaumont les Valence. Pour le lycée, l’établissement dont dépend la commune est la Cité scolaire Algoud/Laffemas à Valence[31].

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le terrain devant la Grotte de la Dame est un lieu de rassemblement pour les joueurs de didgeridoo[réf. nécessaire].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, arbres fruitiers, ovins, caprins, porcins[25].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ruines féodales (donjon carré) du château des Cornillans bâti au XIIe siècle. Le site est marqué par les destructions de Simon de Montfort (croisade contre les Albigeois) en 1217 et par celles des troupes de Louis XIII en 1626[24].
  • Ruines du vieux village, démonté au XIXe siècle, après la nouvelle répartition de la propriété, pour être rebâti dans la plaine[24].
  • Fermes fortes[25].
Le temple.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Panorama sur le Vercors et la plaine de Chabeuil[25].
  • Grotte de la Dame[2],[25].
  • La Cascade du Rif

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Catherine de Cornilhan (XVIe siècle) : châtelaine, fervente huguenote, qui donna son nom à la «grotte de la Dame»[24].

Charles des Alrics de Cornillan (XVIe siècle) : petit-fils de Catherine de Cornilhan, «mestre de camp» de l'armée huguenote sous le commandement du Baron des Adrets, gouverneur de Valréas (1563), de Corps et de Nyons (1568), récompensé par Henri IV pour sa bravoure et sa noble conduite[24].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de La Baume-Cornillane Blason
De gueules à la bande d'or chargée de trois corneilles de sable posées à plomb[34].
Détails
Le blason de la commune reprend celui de la famille Cornillan, ou Cornilhan, seigneurs du lieu du XIIe au XVIe siècles. Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • 1906 : Théophile Vernier (pasteur), Un village protestant du Dauphiné (étude historique).
  • 1966 : Théophile Vernier, La Baume Cornillane, un village du Dauphiné (2ème édition, revue et augmentée).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Histoire et patrimoine - La Baume Cornillane - Bienvenue sur le site de la Baume Cornillane ».
  2. a b c d et e https://www.geoportail.gouv.fr/
  3. Site ledauphine.com, article Plongée au centre du monde, à La Baume-Cornillane, consulté le 17 décembre 2021.
  4. Site labaumecornillane.fr, page "Tourisme"
  5. Site terre-horizon.fr, page Voyage au centre de la Pangée.
  6. « La Pangée, centre de la Terre », sur Drôme Tourisme (consulté le ).
  7. martinm#ldap, « Rando patrimoine à La Baume Cornillane », sur www.valenceromansagglo.fr, (consulté le ).
  8. « Gourmandise drômoise - L'Arbre à fils et la Tortue », sur perezannik.canalblog.com, (consulté le ).
  9. Matthieu Noli, « Ravioles, caillettes, biscuits, chocolat, vive la gastronomie drômoise ! », sur Le Point, Le Point, (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre La Baume-Cornillane et Chabeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Valence-Chabeui », sur la commune de Chabeuil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Station Météo-France « Valence-Chabeui », sur la commune de Chabeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a b c d e et f J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 25 (La Baume Cornillanne).
  23. « Histoire et patrimoine - La Baume Cornillane - Bienvenue sur le site de la Baume Cornillane » (consulté le ).
  24. a b c d e f g h i et j Théophile Vernier (pasteur), Un village protestant du Dauphiné, Paris Genève, 1906, 2nd édition 1966 https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb332143453
  25. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Baume-Cornillane.
  26. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. https://www.labaumecornillane.fr/au-quotidien/enfance-2/
  32. « Cloche Notice no PM26000011, base Palissy, ministère français de la Culture. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. « La Baume Cornillane : le temple protestant », sur temples.free.fr (consulté le ).
  34. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.