Chronologie des alternatives (1921 à 1940)

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On trouvera ci-après la chronologie des alternatives, entre 1921 et 1940, des matadors ayant laissé quelque trace dans l’histoire de la corrida, avec, dans la mesure du possible, les noms du parrain et du témoin de la cérémonie ainsi que celui de la ganadería (élevage)[1].

1921[modifier | modifier le code]

  • 25 septembre : Mariano Montes (Espagnol). Cordoue (Espagne). Parrain, « Joseíto de Málaga » ; témoin, « Serranito de Córdoba » ; taureaux de la ganadería de la Viuda de Antonio Guerra.

1922[modifier | modifier le code]

1923[modifier | modifier le code]

1924[modifier | modifier le code]

  • 21 septembre : Manuel Martínez (Espagnol). Madrid. Parrain, « Valencia II » ; témoin, « Facultades » (qui confirmait son alternative) ; taureaux de la ganadería de Guadalest.

1925[modifier | modifier le code]

1926[modifier | modifier le code]

1927[modifier | modifier le code]

1928[modifier | modifier le code]

1929[modifier | modifier le code]

  • 15 décembre : Jesús Solórzano (Mexicain). Mexico, plaza « El Toreo ». Parrain, Félix Rodríguez ; témoin, Heriberto García ; taureaux de la ganadería de Piedras Negras. Après avoir renoncé à cette alternative, il en prendra une nouvelle le à Séville (Espagne).

1930[modifier | modifier le code]

1931[modifier | modifier le code]

1932[modifier | modifier le code]

1933[modifier | modifier le code]

1934[modifier | modifier le code]

1935[modifier | modifier le code]

1936[modifier | modifier le code]

1937[modifier | modifier le code]

1938[modifier | modifier le code]

  • 18 décembre : David Liceaga (Mexicain). Mexico. Parrain, « Armillita Chico » ; témoin, Silverio Pérez ; taureaux de la ganadería de La Punta. Il avait pris une première alternative le à Mexico, à laquelle il avait par la suite renoncé ; ll avait ensuite pris une deuxième alternative le à Barcelone (Espagne), à laquelle il avait renoncé en 1938.

1939[modifier | modifier le code]

  • 10 décembre : Ricardo Torres (Espagnol). Mexico. Parrain, Pepe Ortiz ; témoin, Francisco Gorráez ; taureaux de la ganadería de Lorenzo Garza. Il avait pris une première alternative le à Barcelone (Espagne), alternative à laquelle il avait par la suite renoncé.

1940[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Notes[modifier | modifier le code]

  1. Aucune liste exhaustive ne semble possible : nombre de matadors ont pris l’alternative, sans que leur notoriété ait jamais dépassé les frontières de leur province, voire celles de leur village, et n’ont pas laissé la moindre trace dans l’histoire.