Utilisateur:PixelPastel/Brouillon Violence conjugale 2

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Violence conjugale

Violence conjugale

Classification et ressources externes
eMedicine
article/805546
MeSH D017579

Wikipédia ne donne pas de conseils médicaux Mise en garde médicale

À faire :

Violence domestique : violence familiale ?[modifier | modifier le code]

Peut-être cette notion de violence familiale est-elle plus utilisée dans le monde anglo-saxon (domestic violence) ?
Deux citations d'un rapport de l'OMS[b 1] (dans lequel « violence exercée par le partenaire intime » remplace « violence conjugale ») :
« Les programmes familiaux qui encouragent une communication constructive et des relations saines et qui cherchent à prévenir la violence familiale, pourraient également avoir des effets préventifs sur la violence dans le couple et la violence sexuelle, vu l’importance des facteurs familiaux dans la genèse de ces violences. » (p. 53-54).
« Ce programme visait en premier lieu à réduire le taux de suicide au sein des USAF, mais il a également eu pour effet de réduire la « violence familiale », notion qui englobe la violence entre partenaires intimes et la maltraitance des enfants. » (p. 54).
Dans un rapport de l'ONU[b 2] :
« Les formes de violence familiale qu’une femme peut subir durant toute sa vie vont de la violence avant la naissance à la violence perpétrée contre les femmes âgées. Les formes de violence familiale à l’égard des femmes communément recensées sont notamment : l’administration de coups et d’autres formes de violence conjugale, y compris le viol conjugal; la violence sexuelle; les violences liées à la dot; l’infanticide des filles; les violences sexuelles contre les enfants de sexe féminin du ménage; les mutilations génitales des femmes et d’autres pratiques traditionnelles préjudiciables aux femmes; les mariages précoces; les mariages forcés; la violence non conjugale; la violence perpétrée contre les employées de maison; et d’autres formes d’exploitation. » (p. 43).

Références :

  1. Organisation mondiale de la santé, Prévenir la violence exercée par des partenaires intimes et la violence sexuelle contre les femmes : intervenir et produire des données, , 101 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  2. Organisation des Nations unies, Mettre fin à la violence à l’égard des femmes : des paroles aux actes, , 196 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).

Ruban pourpre[modifier | modifier le code]

L'ancienne illustration, ou un ruban violet utilisé aux États-Unis pour sensibiliser à la violence familiale ?

Avez-vous déjà vu ce ruban de sensibilisation violet ? J’ai l’impression qu’il n’est pas utilisé en francophonie. Je ne l’ai trouvée qu’aux États-Unis. J'ai cherché « ruban pourpre » et « ruban violet ». En dehors des banques d'images, il y a cette liste sur un site français qui n'a pas de ruban pour la violence conjugale (sauf dans un commentaire qui lui associe le blanc). Le violet est utilisé en Suisse, mais pour les MICI. Au Canada (1, 2) et en Australie ce serait un ruban blanc pour les violences faites aux femmes. Aux États-Unis, le violet est utilisé pour la violence familiale (domestic violence). De même sur cette autre liste d'un site basé au Canada, et sur Wikipédia en anglais (List of awareness ribbons, Management of domestic violence). L'illustration a été insérée en 2015 par une IP. J’envisage de déplacer l’image plus loin dans l’article. Et je crois que « violet » est une meilleure traduction de purple (que « pourpre »).

(ou plus loin dans l'article, en précisant la légende, par exemple dans les sections « Législation et action publique » ou « Prévention » ? Et/ou dans l'article violence familiale ?

La place de cette illustration est-elle dans l'infoboîte ? D'autre part, en anglais c'est le terme purple qui est employé à chaque fois. Dans cette liste la distinction est faite entre purple et violet (et lavender, periwinkle et orchid). Cependant, la meilleure traduction ne serait-elle pas tout simplement « violet » ? La traduction purple ↔ violet (en français) est celle utilisée sur le site suisse.

J'ai déplacé l'illustration dans une sous-section « Campagnes de prévention » avec quelques mots pour résumer ce que j'ai dit plus haut. J'ai placé l'image comme j'ai pu, pour qu'elle ne s'empile pas avec celle qui était déjà en dessous (diff). icône « fait » Fait.

Article Ruban de sensibilisation[modifier | modifier le code]

Liens externes :

Article Harcèlement sexuel[modifier | modifier le code]

Liens externes :

Article Agression sexuelle[modifier | modifier le code]

Statistiques[modifier | modifier le code]

En France[modifier | modifier le code]

En 2016, les premiers résultats de l'enquête Virage montrent que près de 580 000 femmes et 197 000 hommes de 20 à 69 ans sont victimes de violences sexuelles chaque année en France (y compris viols et tentatives de viol, mais hors harcèlement sexuel et exhibitionnisme). Une femme sur sept (14,5 %) et un homme sur vingt-cinq (3,9 %) déclarent avoir vécu au moins une forme d’agression sexuelle au cours de leur vie (hors harcèlement et exhibitionnisme). Cette enquête précise le contexte (famille, études, couple, travail, espace public) et l'âge où se produisent les agressions[1],[2]. icône « fait » Fait.

Statistiques[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

Enfin, selon une étude commandée par le ministère de la parité français[3], le coût financier global des violences conjugales en France se chiffrerait, pour l'année 2006, à 1 milliard d'euros (coûts de santé, police-justice, logement-prestations sociales, humains, perte de production domestique).

Une autre étude réalisée dans le cadre d'un programme de l’Union européenne ayant également pour année de référence 2006 estime le coût global des violences conjugales en France à 2,5 milliards d’euros par an[4].

Une étude réalisée en 2014 dans le cadre du 4e plan interministériel de lutte contre les violences faites aux femmes évalue à 3,6 milliards d'euros, en hypothèse basse, les répercussions économiques des violences au sein du couple et leur incidence sur les enfants en France pour l’année 2012 (santé ; police et justice ; aides sociales ; pertes de production dues aux décès, aux incarcérations et à l’absentéisme ; préjudice humain ; incidence sur les enfants)[5]. icône « fait » Fait.

Législation et action publique[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

  • 1991 : Une écoute téléphonique, Femmes Info Service, est créée pour assister les victimes de violences conjugales. En 2007, ce numéro devient le 3919 : Violences Conjugales Info. En 2014, il devient le 3919 : Violences Femmes Info, avec une mission d'écoute, d'information et d’orientation étendue à toutes les formes de violences à caractère sexiste faites aux femmes[6]. Ce numéro est anonyme et gratuit. icône « fait » Fait.
  • 2014 : La loi pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes comprend des mesures de lutte contre les violences conjugales. icône « fait » Fait.

Viol conjugal[modifier | modifier le code]

À déplacer dans la section Législation et action publique icône « fait » Fait.

Facteurs de risque et de protection[modifier | modifier le code]

L’Organisation mondiale de la santé identifie en 2012 dans son rapport Prévenir la violence exercée par des partenaires intimes et la violence sexuelle contre les femmes[7] des facteurs de risque à plusieurs niveaux : individuel, relationnel, communautaire et sociétal. Les principaux facteurs sont : le faible niveau d’instruction, l'exposition à la violence au cours de l’enfance (abus sexuel, violence interparentale), les troubles de la personnalité antisociale chez les hommes (impulsivité, manque d’empathie), l'usage nocif de l’alcool, de multiples partenaires / infidélité chez les hommes, les attitudes qui admettent la violence, les antécédents à titre d’auteur d’actes violents ou de victime, la mésentente ou insatisfaction conjugale. Les principaux facteurs concernant particulièrement la violence sexuelle[n. 1] sont : les croyances entourant l’honneur familial et la pureté sexuelle, l'idéologie du droit masculin aux rapports sexuels, les faibles sanctions juridiques.

Un ruban violet
Un ruban violet utilisé aux États-Unis pour sensibiliser à la violence familiale icône « fait » Fait..

Les facteurs de protection peuvent varier selon les pays et les cadres de vie. Ce sont : des efforts de prévention primaire ciblés en priorité (icône « fait » Fait.) vers les jeunes, la prévention de toutes les formes de violence (surtout la maltraitance des enfants), la réduction globale de la consommation d’alcool dans la population. D'autres facteurs « peuvent faire l’objet de mesures de prévention primaire, par exemple lutter contre l’acceptation de la violence, rendre l’instruction plus accessible aux femmes, modifier les lois qui lèsent les femmes et appliquer des politiques plus équitables envers les deux sexes ».

Campagnes de prévention[modifier | modifier le code]

Aux États-Unis[8], un ruban de sensibilisation violet est utilisé en octobre pour la violence familiale. Au Canada[9] et en Australie[10], un ruban blanc est utilisé pour sensibiliser à la violence contre les femmes. icône « fait » Fait.

Centre d'accueil pour les auteurs de violences[modifier | modifier le code]

Le premier centre d'accueil pour hommes violents est créé en 1987 à Lyon par Daniel Welzer-Lang[11].

De nos jours il existe en France de nombreuses associations[12] qui prennent en charge les personnes auteurs de violence conjugale. Les auteurs de violence peuvent s'y rendre de leur plein gré ou y être contraint par un juge dans le cadre d'une "obligation de soin". Ces centres proposent une prise en charge psychologique, des groupes de paroles collectifs ou/et individuels afin que les personnes auteurs de violence puissent travailler sur elles-mêmes.

Aides aux victimes[modifier | modifier le code]

Prévention[modifier | modifier le code]

Lutte contre les violences domestiques au Massachusetts

Il faut distinguer entre les actions de court terme en période de conflit aigu et la prévention de fond.

  • La prévention de fond va recommander la panoplie de démarches de bons sens ou ajustées par la psychologie qui contribue à la santé relationnelle du couple.
  • Les précautions en période de tensions entre partenaires suggèrent notamment, l'éloignement temporaire des partenaires, la résolution des autres aspects aigus dans la vie du couple ou des individus. La thérapie de couple peut permettre d'identifier les causes de l'emballement relationnel qui débouche sur des violences psychologiques ou physiques. Les approches sont multiples : analyse transactionnelle, communication non-violente, approche comportementaliste, etc.
  • La médiation n'est pas reconnue d'une grande utilité dans les cas où la victime n'est pas dans un état psychologique stable permettant un équilibre des pouvoirs. Elle est donc à proscrire notamment dans les cas de manipulations

(voir à ce sujet les livres de Marie France Hirigoyen, Christine Petit Collin[13] et Isabelle Nazare-Aga)

Depuis 1997, des associations[source insuffisante] ont axé leurs actions sur l'accompagnement des auteurs de violence conjugale, en complément des actions judiciaires et de l'aide aux victimes, considérant qu'une prise en charge spécifique était nécessaire afin de tenter de diminuer les cas de récidive. Le premier des freins à vaincre est la reconnaissance par l'auteur de violence de la réalité des faits, et de sa propre responsabilité, même si cette responsabilité peut être éclairée par des événements ou représentations acquises dès l'enfance[14]. La Wallonie et le Québec ont collaboré sur ce point et mis en place une approche commune[15].

Porter plainte[modifier | modifier le code]

On constate que très peu de victimes portent plainte. Selon l'enquête de l'ONDRP française, 7,6 % des femmes violentées par leur conjoint en 2005-2006 ont porté plainte contre lui ; la proportion d'hommes violentés ayant porté plainte était trop faible pour être comptabilisée[16].

Selon les associations d'aides aux hommes battus, ces derniers font face à des difficultés spécifiques lorsqu'ils veulent porter plainte : les services d'aide, comme le numéro d'écoute et d'information ✔️ français 3919, sont officiellement présentés comme réservés aux femmes ; ils ont peur de ne pas être crus ou d'être ridicules ; ils craignent de subir une plainte reconventionnelle de la part de leur conjointe à laquelle sera accordée une bien plus grande crédibilité ; ils craignent de provoquer une séparation conflictuelle, qui impliquerait la perte de contact avec leurs enfants si la mère obtenait la résidence principale[17].

Selon les associations d'aide aux femmes victimes de violence conjugale, ces dernières n'osent pas porter plainte par peur de la réaction de l'entourage (les violences sont souvent secrètes), par culpabilité (la victime est persuadée qu'elle est responsable de la violence qu'elle subit), par peur de ne pas être prise au sérieux (en effet, si elle est victime de violence depuis plusieurs mois ou années, on lui opposera souvent "pourquoi n'êtes vous pas partie ?", cette question peut aussi la culpabiliser icône « fait » Fait.), par peur des représailles (si une mesure légale d'éloignement tarde à être prise). Elle peut aussi être dépendante financièrement de son conjoint, être persuadée que celui-ci va changer, avoir envie de lui laisser une autre chance (voir plus bas - Psychologie des victimes, pourquoi elles ne partent pas).

Blessures physiques[modifier | modifier le code]

Développer un peu les blessures physiques ? : contusions, plaies profondes, plaies superficielles, fractures, brûlures. « Dans la majorité des cas, les lésions sont dues à des coups donnés à main nue, mais toutes sortes d’objets peuvent être utilisés. L’emploi d’armes est plus rare. » ; pathologies chroniques ; décès : suicides, homicides ou décès dus à des pathologies en lien avec la violence.[18]

Psychologie[modifier | modifier le code]

Des agresseurs[modifier | modifier le code]

...des traits de personnalité pathologiques dans les trois clusters[Lesquels ?]. De façon intéressante... icône « fait » Fait.

Des enfants[modifier | modifier le code]

Les violences conjugales auxquelles sont exposés les enfants peuvent avoir des conséquences sur leur santé, leur comportement et leur développement[19],[20],[21]. icône « fait » Fait.

Médiatisation[modifier | modifier le code]

Cas médiatisés[modifier | modifier le code]

Traitement médiatique[modifier | modifier le code]

En France, des journalistes[19],[23] relèvent de nombreux articles de presse avec des titres accrocheurs, des actes mal qualifiés ou minorés, des euphémismes, une mise en avant du contexte décalé, un manque d’analyse[24]. Les violences conjugales y sont systématiquement présentées comme des faits divers alors qu’elles « forment un phénomène de société[25],[19] ». Ces articles peuvent culpabiliser la victime, justifier la violence sous couvert d’amour ou de folie, présenter le partenaire violent avec des commentaires positifs, ou retenir son argumentaire. Ces réflexes journalistiques contribuent à banaliser, « à invisibiliser et à légitimer ces violences[19] ». En 2016, le collectif de journalistes Prenons la Une établit des recommandations pour permettre un traitement journalistique le plus juste possible des violences faites aux femmes, que plusieurs médias signent[26]. icône « fait » Fait.

écriture théâtrale, ou romancée.
Une mise en récit caricatural qui contribue à renforcer les stéréotypes et les préjugés.
traitement à sensation plus qu'un traitement judiciaire

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La violence sexuelle est définie « indépendamment de [la] relation avec la victime, dans tout contexte, y compris mais sans s’y limiter, le foyer et le travail » (p. 11).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Christelle Hamel, Alice Debauche, Elizabeth Brown, Amandine Lebugle, Tania Lejbowicz, Magali Mazuy, Amélie Charruault, Sylvie Cromer et Justine Dupuis, « Viols et agressions sexuelles en France : premiers résultats de l’enquête Virage », Population et Sociétés, Ined, no 538,‎ (ISSN 0184-7783, présentation en ligne, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  2. Virginie Ballet, « Violences sexuelles, les maux durent », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. Étude de faisabilité d'une évaluation des répercussions économiques des violences au sein du couple en France - Rapport Jean-Pierre Marissal, Charly Chevaley, CRESGE, novembre 2006
  4. Marc Nectoux, Claude Mugnier, Sandrine Baffert, Maité Albagly, Bertrand Thélot, « Évaluation économique des violences conjugales en France », Santé Publique, S.F.S.P., vol. 22,‎ (lire en ligne).
  5. Maïté Albagly, Catherine Cavalin, Claude Mugnier et Marc Nectoux, Psytel, Étude relative à l’actualisation du chiffrage des répercussions économiques des violences au sein du couple et leur incidence sur les enfants en France en 2012 : Rapport final de l’étude, Paris, , 102 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  6. « Appeler le 3919 », sur solidaritefemmes.org (consulté le ).
  7. OMS 2012, chapitre 2, Facteurs de risque et facteurs de protection, p. 19-35
  8. (en) « October is National Domestic Violence Awareness Month », sur People's World, (consulté le ).
  9. (en) « White Ribbon », sur whiteribbon.ca (consulté le ).
  10. (en) « Prevent Men's Violence Against Women », sur White Ribbon Australia (consulté le ).
  11. Catherine Simon, « Hommes violents et fermés », sur 1libertaire.free.fr, Le Monde, (consulté le )
  12. « SOS Femmes Accueil - Contacts - Hommes violents », sur www.sosfemmes.com (consulté le )
  13. http://www.christelpetitcollin.com/spip.php?rubrique11
  14. Groupe de parole pour auteurs de violence conjugale : « Ce que nous savons de la violence conjugale »
  15. Présentation du dispositif sur « Violences conjugales Belgique » et l'association œuvrant pour le volet « Accompagnement des auteurs »
  16. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées ondrp
  17. Article de l'association SOS-Papa d'après une étude de l'Insee et de l'INED
  18. Henrion 2001, La traumatologie, Les pathologies chroniques, Les décès, p. 23-25.
  19. a b c et d Juliette Deborde, Gurvan Kristanadjaja et Johanna Luyssen, « 220 femmes : tuées par leurs conjoints, ignorées par la société », Libération,‎ (lire en ligne).
  20. Un groupe de professionnels du département de la Haute-Loire, La santé des enfants exposés aux violences conjugales : Le monde du silence, 2009 et 2014, 24 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  21. Nadège Séverac, sociologue, chargée d’étude à l’ONED, Rapport d'étude : Les enfants exposés à la violence conjugale : Recherches et pratiques, , 81 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  22. Lucile Quillet, « Violences conjugales : la tortionnaire de l'homme battu n'ira pas en prison », Madame Figaro,‎ (lire en ligne).
  23. Sophie Gourion, « Les mots tuent », sur tumblr.com (consulté le ).
  24. Un collectif d’Acrimed, « Les violences conjugales : un divertissement médiatique », sur Acrimed, (consulté le ).
  25. Collectif Prenons la Une, « Le crime passionnel n’existe pas », Libération,‎ (lire en ligne).
  26. Collectif Prenons la Une, « Le traitement médiatique des violences faites aux femmes, outils à l’usage des journalistes », sur tumblr.com, (consulté le ).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

J'ai ajouté dans les liens externes un article du site Madmoizelle. Je suis tombé dessus parce qu'il est reproduit sur le site du gouvernement français (pas en entier, il manque une partie en introduction et une partie intitulée : Vouloir « soigner » l’auteur de la violence). Le ton est différent que celui des autres sites, je dirais qu'il s'adresse plus aux jeunes. Il y a aussi une partie sur l’attitude à adopter quand ça arrive à une amie. icône « fait » Fait.
J'ai trouvé l'article pas mal.
mais c'est subjectif.
Je vous laisse juger de la pertinence de ce lien.