Prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Souvigny

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Prieuré de Souvigny)

Prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Souvigny
Image illustrative de l’article Prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Souvigny
Présentation
Nom local Prieuré Saint-Mayeul de Souvigny
Culte Catholique romain
Dédicataire Saints Pierre et Paul
Type Prieuré
Début de la construction XIe siècle (église prieurale)
Fin des travaux XVe siècle (église prieurale)
Autres campagnes de travaux XVIIe siècle (bâtiments)
Style dominant Roman et gothique
Protection Logo monument historique Classé MH (1840, 1926, Église prieurale, bâtiments)
Logo monument historique Classé MH (2001)
Site web www.souvigny-sanctuairedelapaix.comVoir et modifier les données sur Wikidata
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne
Département Allier
Ville Souvigny
Coordonnées 46° 32′ 06″ nord, 3° 11′ 36″ est
Géolocalisation sur la carte : Allier
(Voir situation sur carte : Allier)
Prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Souvigny
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Souvigny

Le prieuré Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Souvigny est situé dans la commune de Souvigny, dans l'Allier, en plein cœur de l'ancienne province du Bourbonnais. Souvigny était au Moyen Âge l'une des cinq filles aînées de la puissante abbaye de Cluny, en Bourgogne. Souvigny possédait beaucoup de paroisses et de petits prieurés, dont il encaissait les revenus dans le Bourbonnais et même au-delà comme Mars-sur-Allier et Champvoux, en Nivernais. Le prieuré est rattaché au diocèse de Clermont, de la province de Bourges. Il prendra le nom de prieuré Saint-Pierre de Souvigny puis prieuré Saint-Mayeul de Souvigny, puis de nouveau Saint-Pierre.

Historique[modifier | modifier le code]

Au Xe siècle, le sire de Bourbon Aymar, lieutenant du duc d'Aquitaine, donne à l'abbaye de Cluny une partie de ses terres. Un monastère est alors fondé à cet emplacement entre le Xe et XIe siècles. Quelques décennies plus tard, deux illustres abbés de Cluny, Mayeul et Odilon, viennent y mourir tour à tour. Le prieuré devient alors un lieu de pèlerinage où même le roi de France Hugues Capet se rend en 994 après la mort de Mayeul. L'église est reconstruite pour accueillir les fidèles de plus en plus nombreux sur le modèle de Cluny III. Elle comprend alors deux transepts, un chœur et un déambulatoire, trois tours. Les ducs de Bourbon décident d'y installer leur nécropole ducale. L'édifice s'enrichit alors de chapelles puis des parties hautes sont reconstruites : la voûte sur croisés d'ogives et le chœur. L'église est consacrée en 1063 par saint Pierre Damien, alors légat en France.

En 1097, lors de son passage à Souvigny, le pape Urbain II confirme par une bulle la possession de l'église de Marigny à Bernard, quatrième prieur de Souvigny. Cette possession fut confirmée une seconde fois, le , par une bulle du pape Eugène III. Au XIIe siècle, devenu un puissant prieuré, les seigneurs de Bourbon y édifient leurs tombeaux[1]. En 1393 les visiteurs de la province prescrivent au prieur d'obliger le chantre à instruire les enfants[2].

Son déclin s'amorce au XVIe siècle avec sa mise en commende. À la Révolution, on chasse les derniers moines et l'église est pillée. En 1790, la commune achète le prieuré et le revend à des particuliers[1].

L'église priorale est rendue au culte en 1852 et classée monument historique par arrêté du .

Les arrêtés de classement aux monuments historiques en vigueur concernent les restes de l'abbaye (1926) et la totalité du prieuré (2001)[3].

Le , la maison de Bourbon y célèbre le onzième centenaire de sa fondation à Souvigny. Plus de 450 personnes sont alors présentes, parmi lesquelles le prince Louis de Bourbon et nombre de Bourbons issus des branches d'Espagne, de Sicile et du Luxembourg[4].

Sanctuaire de la paix[modifier | modifier le code]

Depuis l'époque médiévale, ce lieu est l'objet de pèlerinages en raison des deux abbés de Cluny qui y reposent. À la suite de la Révolution et de la destruction du tombeau des abbés en 1793, et jusqu’à l’arrivée d’une nouvelle communauté de moines (communauté Saint-Jean) en 1991, le prieuré-sanctuaire demeure une simple église paroissiale. En 2003, la prieurale est proclamée Grand Sanctuaire roman d’Auvergne. Le chemin de Saint-Jacques est rénové. Le diocèse, qui depuis longtemps entretient le prieuré, décide d’investir encore davantage pour accueillir pèlerins et touristes.

Après le départ de cette communauté en 2013, Mgr Laurent Percerou, nouvellement évêque de Moulins, fait renaître le pèlerinage aux saints abbés Mayeul et Odilon en 2016 ; 2 000 pèlerins sont à ce premier rendez-vous : des évêques, des pères-abbés, des communautés religieuses et de nombreux fidèles. Mgr Percerou y fonde un Centre diocésain d’Art Culture et Foi. L’année suivante, en 2017, il déclare ce sanctuaire Sanctuaire de la paix dans la fidélité à la vocation profonde d’Odilon de Mercoeur[5]. En effet, grand voyageur et homme de charité, cet homme institua le le jour des défunts ; il fut un artisan de paix dans les violences féodales de l’an mil, et promoteur de la Trêve de Dieu.

Description[modifier | modifier le code]

De l'ensemble, il subsiste l'église priorale, des vestiges du cloître et de la salle capitulaire ainsi que les tombeaux des Bourbons conservés dans les bras du double transept[1].

Église priorale[modifier | modifier le code]

L'église priorale, avec son double transept et ses doubles bas-côtés, témoigne du style roman et du style gothique. La structure est romane (murs gouttereaux, etc.) mais la voûte est gothique. La façade est elle aussi reconstruite à l'époque gothique tout en conservant les deux clochers romans qui la surmontent. Ce prieuré a permis au style bourguignon de se développer dans les nombreuses églises romanes du pays de Souvigny grâce à son appartenance à la puissante abbaye de Cluny.

L'église mesure 84 mètres de longueur ; la voûte atteint 17 mètres.

Dans cette église fut retrouvé un pilier sculpté auquel fut donné le nom de Zodiaque de Souvigny[6] ; ce pilier roman présente un calendrier avec les travaux du mois dans les champs répondant aux signes du zodiaques. Il est visible au musée de Souvigny.

La nef a été restaurée entre 2006 et 2008. Les gisants de Mayeul et Odilon de Cluny, enterrés dans l'église, mais dont la tombe avait été profanée à la Révolution française, y ont été reconstitués en 2009 à partir des morceaux trouvés lors de fouilles au début des années 2000[7].

Les vitraux du chœur datent de 1438. Une partie a été détruite par une explosion au début en 1918[7].

À droite de la croisée du transept, la chapelle Vieille présente une voûte peinte du début du XVe siècle. Elle contient dans un mausolée les gisants de Louis II de Bourbon et d'Anne d'Auvergne, ainsi qu'une Mise au tombeau du Christ datée du XVIe siècle[7].

Dans la chapelle Neuve, réalisée entre 1453 et 1457 par Jean Poncelet, reposent dans le tombeau sculpté par Jacques Morel Charles Ier de Bourbon et son épouse, Agnès, ainsi que d'illustres figures du Bourbonnais comme Pierre II de Bourbon et Anne de Beaujeu[8].

La sacristie est peinte à fresques du XVIIIe siècle.

Orgue[modifier | modifier le code]

En 1783, le facteur du roi François-Henri Clicquot fait construire un orgue ; celui-ci accompagne les offices et fait l’objet de nombreuses manifestations musicales, notamment lors des Journées musicales d'automne[9]. Deux associations travaillent à son entretien et à son rayonnement : Souvigny Festival (organisatrice des JMA) et l'AOCS, fondée en 2018[10]. L'orgue baroque, célèbre, est classé aux monuments historiques depuis 1975[11].

Cloître[modifier | modifier le code]

Le cloître a été réaménagé en 1432. Aujourd'hui, il ne reste que les cinq travées de la galerie occidentale. Sur le mur méridional de l'église, les corbeaux Renaissance qui supportaient la charpente d'une partie du cloître apparaissent encore. Sur la face opposée à la portion de cloître subsistant, s'élèvent encore les derniers vestiges de la salle du chapitre[12].

Jardin[modifier | modifier le code]

Le jardin de Souvigny est à mi-chemin entre le jardin à la française et le jardin médiéval. Afin de rappeler le passé viticole du département, des pieds de vigne ont été plantés dans le fond du jardin (vin de saint-pourçain). On trouve 220 rosiers de différentes espèces, des plantes médicinales et aromatiques, des espèces rares. Depuis le grand escalier, le visiteur peut contempler l'ensemble de ce jardin où la fontaine sert d'axe de symétrie[13].

Salle capitulaire[modifier | modifier le code]

Bâtiments conventuels[modifier | modifier le code]

La Porterie[modifier | modifier le code]

Cette partie du prieuré correspond à une époque où les prieurs voulurent rajeunir leur résidence. La porterie avec son petit dôme central galbé, et aux lucarnes arrondies, est un exemple typique d'architecture de l'époque Louis XIII[8].

Propriétés, revenus[modifier | modifier le code]

(liste non exhaustive)

Prieurés
Églises et cures
  • l'église paroissiale de Marigny : l'église primitive a disparu à la fin du XIe siècle pour faire place à l'église actuelle, placée sous le vocable de Saint-Pourçain et dépendant avec la cure du prieuré bénédictin de Souvigny.

Cartulaires[modifier | modifier le code]

Prieurs[modifier | modifier le code]

Depuis la donation d'Aymar en 910 jusqu'au XIe siècle, Souvigny fut gouverné directement par les abbés de Cluny. Le monastère devient par la suite un prieuré, mais la date exacte n'est pas connue. Le premier prieur dont on garde une trace est Guy de Macon. Il fut probablement prieur entre 1078 et 1095, si l'on se réfère au Livre des anniversaires du prieuré de Souvigny[18].

(liste non exhaustive)

  • 1097 : Dom Bernard[19] ;
  • 1424 à 1454 : Dom Cholet. Il va faire procéder au réaménagement du cloître ;
  • 1639 : Dom Séverin de Lanchy (originaire de Péronne).

Moines et personnalités célèbres[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Guide du patrimoine en France : 2500 monuments et sites ouverts au public, Éditions du patrimoine - Centre des monuments nationaux, , 957 p. (ISBN 978-2-7577-0695-4), p. 22.
  2. Dom G. Charvin, Statuts, chapitres généraux, et visites de l'Ordre de Cluny, t. V, 1360-1408, Paris, De Boccard, 1969, p. 333.
  3. « Prieuré bénédictin de Souvigny », notice no PA00093300, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  4. Olivier Vidal, « Les Bourbons fêtent leur onzième centenaire dans l'Allier », France Info,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « À Souvigny, la paix a son sanctuaire », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  6. Voir sur www.lieux-insolites.fr.
  7. a b et c « Souvigny, fille de Cluny, met en valeur son patrimoine - La Tribune de l'Art », sur www.latribunedelart.com (consulté le ).
  8. a et b Marie-Claire Ricard (photogr. Hervé Monestier), Les plus beaux villages d'Auvergne, Luçon, Éditions Sud Ouest, , 143 p. (ISBN 978-2-8177-0056-4), p. 11.
  9. « Souvigny Festival », sur souvigny-festival.com (consulté le ).
  10. (en) « L'association | Amis de l'Orgue Clicquot de Souvigny AOCS », sur Mysite (consulté le ).
  11. « Orgue de tribune : buffet d'orgue », notice no PM03000514, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  12. Cloître de Souvigny.
  13. « Jardin du prieuré de Souvigny - Comité des Parcs et Jardins de France », sur www.parcsetjardins.fr (consulté le ).
  14. Archives départementales de la Nièvre: 1.Q.860. Dîmes, ventes des biens, traitements et pensions (Chantenay-Saint-Imbert), 1790-1791.
  15. Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1.Q. 861. Dîmes et soumissions des biens (Mars-sur-Allier), 1790.
  16. Archives départementales de la Nièvre, sous-série 1.Q. 862. Dîmes et soumissions des biens (Saint-Parizé-en-Viry), 1790-an XI.
  17. « Patrimoine de la commune », sur www.mairie-champvoux.fr, Mairie de Champvoux (consulté le ).
  18. M.Fazy, Le Livre des anniversaires du prieuré de Souvigny, Moulins : Crépin-Leblond, , 63 p. (lire en ligne).
  19. Léon Cote, Moines Ducs à Souvigny, Nouvelles Éditions Latines, (lire en ligne).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Ochier 1854] Docteur Ochier, « Notice sur l'ancien prieuré de Souvigny, dans l'Allier », dans Congrès archéologique de France. 21e session. Moulins. 1854, Paris, Société française d'archéologie, (lire en ligne), p. 272-297
  • [Vayssière 1887] Augustin Vayssière, « Chapiteaux romans de l'église de Souvigny », Annales bourbonnaises, t. 1,‎ , p. 385-387 (lire en ligne)
  • [Bertrand 1894] A. Bertrand et L. B. D., « Mémoire sur les sépultures des seigneurs et ducs de Bourbon à Souvigny, Bessay et Champaigue (Allier) », Bulletin revue, Société d'émulation et des beaux-arts du Bourbonnais,‎ , p. 149-162 (lire en ligne)
  • [Flament 1909] Pierre Flament, « Souvigny. Notes préliminaires à une histoire de la ville et du prieuré », Société d'émulation du Bourbonnais. Lettres, sciences et arts, t. 17,‎ , p. 333-349 (lire en ligne)
  • [Deshoulières 1913] François Deshoulières, « Souvigny. Église du prieuré », dans Congrès archéologique de France. 80e session. Moulins et Nevers. 1913, Paris, Société française d'archéologie, (lire en ligne), p. 182-220
  • [Stein 1920] Henri Stein, « Jean Poncelet, architecte du duc de Bourbon, et la chapelle neuve de Souvigny », Bulletin Monumental, t. 79,‎ , p. 85-99 (lire en ligne)
  • [Bréhier 1922] Louis Bréhier, « L'église romane de Souvigny et les dates de sa construction », Revue Mabillon, t. 12, no 45,‎ , p. 1-12 (lire en ligne), remarques sur cet article par François Deshoulières, « Les dates de l'église de Souvigny », Revue Mabillon, t. 12, nos 46-47,‎ , p. 143-145 (lire en ligne)
  • [Génermont 1935] Marcel Génermont, « Le « Martelage du ventre » sur un chapiteau de Souvigny », Bulletin de la Société d'émulation du Bourbonnais (lettres, sciences et arts), t. 38,‎ , p. 160-170 (lire en ligne)
  • [Fazy 1937] Max Fazy, Livre des anniversaires du prieuré de Souvigny, Moulins, Crépin-Leblond imprimeur-éditeur, coll. « Curiosités bourbonnaises » (no 23), , 64 p.
  • [Deshoulières 1938] François Deshoulières, « Souvigny », dans Congrès archéologique de France. 101e session. Dans l'Allier. 1938, Paris, Société française d'archéologie, (lire en ligne), p. 115-152.
  • [Larroque 1970] François Larroque, « Souvigny. Les origines du prieuré », Revue Mabillon, t. 58, no 240,‎ , p. 1-24 (lire en ligne)
  • [Dupont 1976] Jean Dupont 1976, « Souvigny », dans Nivernais Bourbonnais roman, La Pierre-qui-Vire, Zodiaque, coll. « la nuit des temps » (no 45), , p. 185-193, planches 69 à 90
  • [Vergnole 1988] Éliane Vergnole, « L'ancienne priorale Saint-Pierre de Souvigny », dans Congrès archéologique de France. 146e session. Bourbonnais. 1988, Paris, Société française d'archéologie, (lire en ligne), p. 399-431
  • Xavier Kawa-Topor, « Le calendrier de Souvigny », Muséart, no 73, .
  • [Stratford 2002] Neil Stratford, Pascale Chevalier et Arlette Maquet, La frise monumentale romane de Souvigny, Souvigny, Ville de Souvigny, , 168 p., compte-rendu par Laurence Cabrero-Ravel, « La frise monumentale romane de Souvigny. Souvigny, ville de Souvigny, 2002 », Bulletin Monumental, t. 162, no 3,‎ , p. 221-222 (lire en ligne)
  • [Gautier 2004] Marc-Édouard Gautier, « Les aménagements liturgiques de la prieurale de Souvigny et les tombeaux des saints abbés de Cluny, Mayeul et Odilon », Bulletin Monumental, t. 162, no 2,‎ , p. 67-85 (lire en ligne)
  • [Chevalier 2004-1] Pascale Chevalier, « Les tombeaux et les monuments funéraires médiévaux des saints abbés Mayeul et Odilon de Cluny », Hortus artium medievalium, no 10,‎ , p. 119-132.
  • [Chevalier 2004-2] Pascale Chevalier et Arlette Maquet, « Les fouilles des tombeaux des saints abbés de Cluny, Mayeul et Odilon et les pèlerinages à Souvigny », Bulletin monumental, t. 162, no 2,‎ , p. 87-100 (lire en ligne).
  • [Chevalier 2007] Pascale Chevalier, Sébastien Bully, Morana Čaušević-Bully, Mathias Dupuis, Laurent Fiocchi et Audrey Baradat, « La priorale Saint-Pierre de Souvigny (Allier), étude archéologique de la nef, première tranche », Bulletin du centre d'études médiévales d'Auxerre/BUCEMA, no 11,‎ , p. 71-77 (lire en ligne).
  • [Chevalier 2008] Pascale Chevalier, Sébastien Bully, Morana Čaušević-Bully, Mathias Dupuis, Laurent Fiocchi et Audrey Baradat, « La priorale Saint-Pierre de Souvigny (Allier) : étude archéologique de la nef, seconde tranche », Bulletin du centre d'études médiévales d'Auxerre/BUCEMA, no 12,‎ (lire en ligne).
  • [Phalip 2012] Bruno Phalip, Pascale Chevalier, Arlette Maquet et Delphine Renault-Jousseau, Souvigny : la priorale et le prieuré, Somogy, coll. « Cahiers du Patrimoine » (no 101), , 216 p. (ISBN 978-2-75720610-2), 260 ill.
  • [Martinez 2016] Damien Martinez, « Les premiers monastères d’Auvergne à la lumière de la documentation textuelle et archéologique (Ve – Xe siècle) : état de la question : Les fondations d'époque carolingiennes : Souvigny », BUCEMA Bulletin du Centre d'études médiévales d'Auxerre, Auxerre, no Hors-série 10,‎ (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]