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Louveciennes

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Louveciennes
Louveciennes
Hôtel de ville.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Germain Boucles de Seine
Maire
Mandat
Pierre François Viard
2014-2020
Code postal 78430
Code commune 78350
Démographie
Gentilé Louveciennois
Population
municipale
7 563 hab. (2021 en augmentation de 5,88 % par rapport à 2015)
Densité 1 408 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 39″ nord, 2° 07′ 02″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 179 m
Superficie 5,37 km2
Élections
Départementales Le Chesnay
Localisation
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Louveciennes
Liens
Site web http://www.mairie-louveciennes.fr

Louveciennes, anciennement appelé Luciennes, est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Louveciennes appartient au canton du Chesnay.

Elle se trouve dans la proche banlieue Ouest de Paris.

Ses habitants sont appelés les Louveciennois ou les Luciennois.

Géographie

Localisation

Position de Louveciennes dans les Yvelines

Commune résidentielle du département des Yvelines, Louveciennes est située à 10 km de Paris sur le coteau de Seine entre Versailles et Saint-Germain-en-Laye. D’une superficie de 537 hectares, dont 260 d’espaces « naturels », ses communes limitrophes sont Marly-le-Roi, Le Port-Marly, Croissy-sur-Seine, Bougival, La Celle-Saint-Cloud, Bailly et Rocquencourt.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 537 hectares ; l'altitude varie entre 24 et 179 mètres[1].

Hydrographie

La Seine borde la commune sur sa partie basse.

Climat

Voies de communication et transports

Voies routières

La commune est bordée d’axes routiers d’importance nationale : l’autoroute A13, la RN 13, la RN 186.

Pistes cyclables

Transports en commun

La commune est à la fois préservée des nuisances liées aux voies de communication et en même temps très bien desservie par le réseau routier et ferré. Traversée d’est en ouest par la ligne L du Transilien SNCF Paris - Saint-Lazare.

Louveciennes dispose d'une gare Transilien SNCF située au cœur de la ville la reliant en 20 à 30 minutes au quartier d'affaires de La Défense et en 30 à 40 minutes à la gare Saint-Lazare. La fréquence des trains est en moyenne de 10 minutes aux heures de pointe et de 30 minutes aux heures creuses. Les trains circulent de 5h du matin à 1h du matin.

La commune est desservie par les lignes de bus 6 et 38 de l'établissement Transdev de Nanterre, par les lignes 54 et 55 de l'établissement Transdev de Montesson La Boucle, par la ligne 259 du réseau de bus RATP et par la ligne Express 1 de l'établissement Transdev de Montesson Les Rabaux.

Urbanisme

Morphologie urbaine

Le territoire communal se caractérise par une forte présence d’espaces naturels liés au passé historique de la ville (plusieurs châteaux) mais également à ses multiples parcs arborés et massifs boisés (bois de Louveciennes, forêt domaniale de Marly, réserve de chasse présidentielle). L’urbanisation est concentrée le long des axes de circulation et notamment la ligne de chemin de fer. Son évolution est très contrainte par la densité des espaces naturels protégés et par la forte présence en sous-sol d’anciennes carrières et champignonnières. Les logements sont en majorité de grandes tailles avec 44 % de 5 pièces et plus. Les propriétaires sont majoritaires (62,8 %). Le taux de logements sociaux est de 12 %.

Une zone de bureaux et d’activités (restaurants, garages, stations services) est installée en bordure de Seine le long de la RN 13. À l’extrémité sud de la commune, le long de la RN 186,s’étend la plaine de Villevert ayant accueilli les bâtiments d'un important camp militaire de l'Alliance Atlantique du SHAPE qui devinrent le siège de la CII puis de Bull. Cette importante zone de bureaux, inoccupée depuis plusieurs années, fait face à l’usine de traitement des eaux de Versailles et de Saint-Cloud.

Logement

En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 3 080, alors qu'il était de 2 936 en 1999[a 1].

Parmi ces logements, 91,0 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 30,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 66,9 % des appartements[a 2].

La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 65,8 %, en légère hausse par rapport à 1999 (62,8 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 12,5 % contre 8,4 %, leur nombre ayant augmenté de 224 à 352[a 3].

Projets d'aménagements

Plusieurs sites doivent être urbanisés :

– les anciens tennis municipaux, en friche depuis des années ; dans le projet retenu il faudrait tenir compte d'un possible rond-point distribuant les rues de Voisins, de la Croix-Rouge, Paul-Doumer et du Général-de-Gaulle ;
– le site des Plains Champs (petites unités de logements collectifs) ; les altimétries du projet devraient prendre en compte la possibilité de la couverture/enfouissement de la RN 186 qui restituerait l'intégrité de son territoire à la commune de Louveciennes ;
– le site de Villevert (centre commercial et tertiaire prévus).
Louveciennes 2 (proposition complémentaire au projet actuel) Sur le foncier mitoyen de Villevert, un campus universitaire serait un projet (d'utilité publique) majeur pour Louveciennes, un projet du XXIe siècle. Louveciennes deviendrait une place importante en Europe. Ailleurs (voir Orsay) le plan campus est activé !
Ce projet pourrait concerner les études artistiques, supérieures et l’apprentissage, et mêler ainsi arts, sciences et technologies.Il s'agirait là d'un nouveau quartier de louveciennes, avec au moins 50 % de véhicules électriques, comportant une liaison par téléphérique urbain reliant la gare de la Celle Saint Cloud.
Il permettrait en outre de régler les problématiques récurrentes du logement étudiant, celui des jeunes accédants à la propriété, celui du logement social aussi et celui de résidences pour seniors qui intéresse à juste titre plusieurs communes alentours. Sans oublier les installations sportives nécessaires à de grands meetings d'athlétisme. Ce serait aussi le moyen de procéder au rajeunissement démographique de Louveciennes ; tout ceci avec un élan économique local sans précédent.
Ce projet serai sans nuisances pour le village d'autant qu'il faudrait étudier dés maintenant l'enfouissement total de la RN 186 afin que Louveciennes retrouve son intégrité territoriale (via des liaisons douces)

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Lobicinus[2], Monte Lupicino[3] et Lupicinus en 862[2], ecclesia de Lupicinis[3], Lupicenæ, Lupicernæ d'origine religieuse[2] au XIIe siècle[4], Lovecenæ[5], Loveciennes, Loaceines, Luciennes au XVe siècle, Louvertienne, Louvencienne du XIIe siècle au XVIIe siècle, Louvecienne au XVIIIe siècle[2], Mons Lupicinus en 1862[4].

Histoire

Comme la majeure partie des communes des Yvelines, Louveciennes dépendait au XIe siècle de l'abbaye de Saint-Denis.

Petit village d'agriculteurs cultivant arbres fruitiers et vignes sur les coteaux de la Seine, son « éveil » se produit au XVIIe siècle lorsque Louis XIV installe sa cour à Versailles et fait construire le château de Marly. De 1681 à 1684, la construction de la machine de Marly bouleverse le quotidien du village : les eaux de la Seine, puisées à Bougival, sont remontées dans des canalisations qui traversent le territoire communal jusqu'à l'aqueduc construit sur ses hauteurs. Nombre de châteaux sont alors bâtis sur la commune de Luciennes comme le village s'appelle encore à l'époque. Ce sera au XVIIIe siècle qu'il prendra le nom de Louvetienne.

Au XIXe siècle, le village « ré-endormi » a une nouvelle renommée grâce aux peintres impressionnistes tels Camille Pissarro et Alfred Sisley. Pendant le siège de Paris de 1870, les fameuses arcades de l'aqueduc seront utilisées comme observatoire. Guillaume Ier y est victime d'un attentat à la bombe lors de son passage sous les arcades et s'en sort indemne.

Le chemin de fer qui mène, dans un premier temps, à Saint-Germain-en-Laye puis, dans un second, à Saint-Nom-la-Bretèche via Bougival et Louveciennes, amène la construction d'un nombre important de résidences secondaires bourgeoises, petits manoirs et « campagnes ».

Jusqu'en 1964, Louveciennes faisait partie de l'ancien département de Seine-et-Oise.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[6], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, après un transfert administratif effectif au . Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1968 de la quatrième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marly-le-Roi[7]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais rattachée au canton du Chesnay.

Intercommunalité

La ville faisait partie de la communauté de communes des Coteaux de Seine, créée en 2005.

Elle fait désormais partie de la communauté d'agglomération Saint-Germain Boucles de Seine depuis le 1er janvier 2016.

Elle est également membre de Paris Métropole.

Tendances politiques et résultats

Élections présidentielle de 2007

Ces élections ont fourni une photographie assez précise de la sociologie électorale de Louveciennes.

À Louveciennes, 5 405 électeurs étaient inscrits, 4 658 ont participé au vote ce qui a situé le taux d’abstention à un niveau particulièrement bas de 13,82 % (taux national 16,23 %). Pour mémoire, 38 bulletins ont été considérés comme blancs ou nuls.

Les candidats de l’extrême gauche étaient au nombre de six : Olivier Besancenot (trotskiste), José Bové (alter mondialiste), Marie-Georges Buffet (PC), Arlette Laguiller (trotskiste), Gérard Schivardi (trotskiste), Dominique Voynet (Vert). Ils ont recueilli globalement 176 voix soit 3,81 % des suffrages exprimés (10,57 % au niveau national).

Ségolène Royal (Parti socialiste) a obtenu 666 voix soit 14,42 % contre 25,87 % au niveau national.

François Bayrou (UDF), 1 081 voix soit 23,40 % (18,57 % au niveau national).

Nicolas Sarkozy (UMP), 2 331 voix soit 50,45 % (au niveau national 31,18 %).

La droite « traditionaliste » incarnée par Philippe de Villiers (MPF) et Frédéric Nihous (Chasseurs) a recueilli 103 voix soit 2,23 % (au niveau national 3,38 %)

Enfin, Jean-Marie Le Pen (FN) est crédité de 263 voix soit 5,69 % (au niveau national : 10,44 %).

Ces chiffres traduisent au niveau local une forte préférence pour les « partis de gouvernement » (près de 90 %) avec corrélativement un fort déchet de voix pour les partis extrêmes. Nicolas Sarkozy recueille pour sa part une majorité dès le premier tour soit près de 20 points de plus qu’au niveau national (50,45 % contre 31,18 %).

Nicolas Sarkozy a obtenu 72,62 % au second tour de l'élection présidentielle de 2007

Élections municipales de 2008

La ville est dirigée par une équipe Divers droite dont André Vanhollebeke (Nouveau Centre) est le maire.

La liste d'André Vanhollebeke l'emporte avec 48,40 % au second tour (47,68 % au premier tour) des élections municipales de mars 2008 dans une triangulaire l'opposant à une liste PS-Verts menée par Pascal Leprêtre (15,64 % au premier tour, 14,03 % au second tour) et une liste menée par Pierre-François Viard, vétérinaire dans la commune (36,68 % au premier tour et 37,56 % au second tour).

Élections présidentielles de 2012

On constate alors une évolution de la Gauche puisque François Hollande a réuni au second tour 30,36 % (27,38 % pour Ségolène Royal en 2007) des suffrages contre 69,64 % à Nicolas Sarkozy (-3 % par rapport à 2007).

Au second tour de l'élection présidentielle de 2012, le taux de participation à Louveciennes était de 84,59 % et le nombre d'inscrits de 5 454.

Élections municipales de 2014

Les élections ont opposé les mêmes têtes de listes qu'en 2008 : André Vanhollebeke, UDI (Union pour Louveciennes, liste de rassemblement de la Droite et du Centre), Pierre-François Viard, UMP (Louveciennes Demain, liste divers droite) et Pascal Leprêtre (Pour Louveciennes unie et solidaire ; Liste divers gauche ayant reçu le soutien du PS et d'EELV). Pierre-François Viard bénéficie du soutien très actif du député UMP de la 4e circonscription des Yvelines, Pierre Lequiller, le fils de ce dernier figurant sur la liste menée par Pierre-François Viard.

Au premier tour, la liste Union pour Louveciennes arrive en tête avec 1 567 voix (46,90 % des suffrages) suivie de la liste Louveciennes Demain avec 1 374 voix (41,13 % des suffrages) et Pour Louveciennes Unie et Solidaire avec 400 voix (11,97 % des suffrages). Au deuxième tour, avec 1 597 voix, la liste Louveciennes Demain (P.F Viard) crée la surprise en obtenant 45,67 % des suffrages contre 1 582 voix pour la liste « Union pour Louveciennes » (Vanhollebeke) (45,24 % des suffrages) et 318 voix pour « Pour Louveciennes unie et solidaire » (Leprêtre) (9,09 % des suffrages).

Devant ce faible écart de 15 voix et ce retournement d'entre-deux-tours, André Vanhollebeke dépose un recours devant le tribunal administratif de Versailles. Le 27 juin 2014, le tribunal administratif décide l'annulation des élections municipales de Louveciennes en raison notamment du tract « Spécial Urbanisme », distribué par la liste « Louveciennes Demain » dans les derniers instants de la campagne.

En l’occurrence, l’annulation se fonde sur les dispositions de l’article 48.2 du code électoral « Il est interdit à tout candidat de porter à la connaissance du public un élément nouveau de polémique électorale à un moment tel que ses adversaires n’aient pas la possibilité d’y répondre utilement avant la fin de la campagne électorale ». Le Tribunal a retenu dans ses considérants le caractère massif de la distribution du tract (5 000 exemplaires commandés), la présence sur le tract d’informations non débattues pendant la campagne (l’annonce d’une perte de 2 à 3 millions d’euros due à l’opération des Plains Champs, l’annonce d’un échec commercial conduisant un promoteur à se retirer), le photo-montage de certains projets de constructions.

Pierre-François Viard décide de faire appel de ce jugement devant le Conseil d’État. L’appel étant suspensif, il reste maire de Louveciennes. Le 11 décembre 2014 le rapporteur public du Conseil d'État conclut que la liste de M. P.F Viard a méconnu un point de la législation électorale et demande l'annulation définitive des élections municipales. l'affaire est mise en délibéré, la décision étant attendue fin décembre 2014.

Par un jugement en date du 23 décembre 2014, le Conseil d'État rejette le recours formé par Pierre-François Viard, et confirme par la même l'annulation des élections municipales de Louveciennes des 23 et 30 mars 2014.

Le siège de maire de Louveciennes reste donc vacant jusqu'à l'organisation de nouvelles élections, dans les trois mois suivants le jugement prononcé par le Conseil d'Éat (1er et 8 février 2015).

M. Viard est réélu au 1er tour le 1er février 2015 avec 52 % des voix (1 550 voix, soit le même nombre qu'au deuxième tour des premières élections) tandis que la liste d'André Vanhollebeke obtient 38,07 % des voix (1 135 voix, soit 400 voix de moins qu'au deuxième tour des premières élections).

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Jean-Paul Palewski    
1947 1965 Fernand Guillaume    
1965 1985 Jacques Tassin    
1985 2001 Pierre Lequiller UDF-PPDF Député
2001 2014 André Vanhollebeke NC  
2014 En cours Pierre-François Viard LR  

Politique de développement durable

La commune dispose de jardins familiaux (environ une cinquantaine de parcelles).

Jumelages

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[9].

En 2021, la commune comptait 7 563 habitants[Note 1], en augmentation de 5,88 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 018712733713730725710757758
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8269199121 1912 1601 1291 1751 2101 236
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2521 2261 2401 3531 5551 6421 5762 1142 590
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4 2264 4757 4887 3387 4467 1117 2347 2607 054
2018 2021 - - - - - - -
7 0557 563-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee à partir de 2006[10].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges en 2007

La population est très variée avec deux tranches d'âge fortement représentées : les 0-14 ans et les 45-59 ans. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 47,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,6 %, 15 à 29 ans = 15,2 %, 30 à 44 ans = 17,9 %, 45 à 59 ans = 20,9 %, plus de 60 ans = 23,3 %) ;
  • 52,1 % de femmes (0 à 14 ans = 19 %, 15 à 29 ans = 13,1 %, 30 à 44 ans = 17,9 %, 45 à 59 ans = 19,5 %, plus de 60 ans = 30,7 %).
Pyramide des âges à Louveciennes en 2007 en pourcentage[11]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90  ans ou +
3,2 
8,8 
75 à 89 ans
12,3 
13,5 
60 à 74 ans
15,2 
20,9 
45 à 59 ans
19,5 
17,9 
30 à 44 ans
17,9 
15,2 
15 à 29 ans
13,1 
22,6 
0 à 14 ans
19,0 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[12]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90  ans ou +
0,9 
4,3 
75 à 89 ans
6,6 
11,2 
60 à 74 ans
11,6 
20,3 
45 à 59 ans
20,7 
22,1 
30 à 44 ans
21,5 
19,9 
15 à 29 ans
18,9 
21,9 
0 à 14 ans
19,8 

Enseignement

La ville possède[Quand ?] quatre écoles qui compte les maternelles ainsi que les primaires. Trois écoles sont publiques : Paul-Doumer, les Soudanes, Leclerc et une privée, l'école Sainte-Jeanne-d'Arc.

Louveciennes ne possède cependant aucun collège, il faut se rendre dans les villes voisines.

Équipements culturels

La ville dispose d'un musée intercommunal avec Marly-le-Roi (musée-promenade de Marly-le-Roi et Louveciennes) situé à la grille Royale à Louveciennes

Elle dispose également d'une bibliothèque-médiathèque (bibliothèque Leconte-de-Lisle)

Manifestations culturelles et festivités

La ville organise chaque année le troisième dimanche de septembre la traditionnelle « fête des fleurs de Louveciennes ».

En novembre a lieu annuellement le salon du design et en mai le salon Fleurs et Jardin. La grande brocante de Louveciennes se déroule à la fin du mois de mai.

Elle participe au concours des villes et villages fleuris et possède trois fleurs en 2007[13].

Santé

  • Clinique du Val de Seine.

Sports

La commune dispose d'un gymnase situé rue du Président-Paul-Doumer. (avec un mur d'escalade), de nombreux clubs de tennis dont celui situé dans le parc Du Barry ainsi qu'un stade (stade du Cœur-Volant) avec une pelouse synthétique et une piste de rollers.

Médias

La ville est desservie par la chaîne TV « Yvelines Première » à laquelle elle participe financièrement[réf. nécessaire]

Cultes

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 56 787 , ce qui plaçait Louveciennes au 69e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[14].

Emploi

En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 4 193 personnes, parmi lesquelles on comptait 71,4 % d'actifs dont 66,9 % ayant un emploi et 4,5 % de chômeurs[a 4].

On comptait 1 727 emplois dans la zone d'emploi, contre 4 688 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 2 855, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 2] est de 60,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre seulement un peu plus d'un emploi pour deux habitants actifs[a 5].

Entreprises et commerces

Au 31 décembre 2010, Louveciennes comptait 622 établissements : 2 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 28 dans l'industrie, 22 dans la construction, 499 dans le commerce-transports-services divers et 71 étaient relatifs au secteur administratif[a 6].

En 2011, 83 entreprises ont été créées à Louveciennes[a 7], dont 46 par des autoentrepreneurs[a 8].

Louveciennes accueille plusieurs sites d'entreprises :

  • l'éco-park de louveciennes immeuble de bureaux situé rue de la Princesse accueillant de nombreuses entreprises dont EDF
  • un ensemble de bureaux sur les bords de Seine le long de la D 113
  • le centre de formation national de la BNP situé rue de Voisins.
  • le site de Villevert : 24 hectares actuellement à l'abandon. Jusqu'au début des années 2000 ce site accueillait le siège sociale de l'entreprise informatique Bull avant d'être racheté par la chaîne cryptée Canal+ qui a depuis abandonné son projet d'implantation et revendu le terrain. Un complexe commercial (by Unibail/Rodamco) est prévu.
  • l'usine de traitement des eaux de la région de Versailles et de Saint-Cloud est alimentée par l’eau brute stockée dans les bassins des deux Portes qui datent de Louis XIV et par les bassins de Louveciennes qui datent du début du XXe siècle. Cette eau provient des nappes phréatiques de Croissy-sur-Seine[15].

Culture locale et patrimoine

Patrimoine architectural

L'aqueduc en direction du plateau de Marly (vue est-ouest).
L'église Saint-Martin-et-Saint-Blaise.
  • L'aqueduc de Louveciennes, parfois appelé aqueduc de Marly : construit entre 1681 et 1685 par Jules Hardouin-Mansart et Robert de Cotte pour amener aux réservoirs desservant les châteaux de Versailles et de Marly l'eau pompée dans la Seine par la machine de Marly située sur la commune de Bougival, au nord, en contrebas de Louveciennes. Il s'agit d'un canal tapissé de plomb de 640 mètres de long supporté par 36 arcades de 23 mètres de hauteur. L'eau montée de la Seine est acheminée dans la tour dite du Levant (classée Monument historique) puis, à l'extrémité sud de l'aqueduc, un siphon dans la tour dite du Jongleur, amène l'eau aux réservoirs de la Batterie à Marly.
  • L'église Saint-Martin-et-Saint-Blaise : le chœur à chevet plat remonte au XIIIe siècle. La nef a été amputée de deux travées en 1818. Le clocher, inspiré de celui de la collégiale de Poissy, a été construit à la fin du XIXe siècle, à la faveur d'une « restauration » radicale.
  • La cloche de l'église a un diamètre de 1 130 mm. L'inscription suivante y est gravée :
L'an 1707 jay ete fondue et nommé Louise Adelaide par Mgr le duc de Bourgogne et son auguste épouse jay été refondue en 1775 et bénite sous les mèmes noms par Mgr Jacques Charles Fourmentin curé de ce lieu - Vncent Ledet et Michel Gagne étant marguilliers/ Deprez fonder du Roy ma faite a Paris[16].
  • Château du Pont : le pont, les douves et le portail, du XVIe siècle, et les bâtiments, des XVIIe et XVIIIe siècles, sont inscrits aux Monuments historiques (1947 et 1948)
  • Le château de Voisins : à l'origine, un château fut construit à la fin du XVIIe siècle qui fut acheté en 1696 par Louis Oger de Cavoye puis devint propriété de Louise Élisabeth de Bourbon-Condé, princesse de Conti. Vers 1820, constatant sa vétusté, son propriétaire, le comte Hocquart de Turtot  le fait démolir puis reconstruire (la configuration du bâtiment est alors celle d'aujourd'hui). En 1857, le domaine est acheté par Charles Tavernier : celui-ci y fait construire en 1858 le pavillon de Voisins, qu'il fait entourer d'un jardin situé le long du chemin de Prunay ; en 1874, il confie les clés du domaine à Jules Beer, qui en laisse la jouissance à son fils, Guillaume Beer. Lorsque ce dernier meurt en 1913, sa femme Élena partage le domaine, se réserve le pavillon et cède le château et son domaine à son oncle, Robert de Rothschild. Depuis 1946, le domaine est la propriété de BNP Paribas, qui l'utilise comme centre de formation.
  • Le château de Madame du Barry au village de Voisins  :
    • à l'origine, un manoir dénommé Pavillon des Eaux est construit, en 1684, sur une assez grande propriété le long du chemin de la Machine, pour le gouverneur de la machine de Marly, Arnold de Ville ; il est agrandi, en 1769, par Ange-Jacques Gabriel pour Madame du Barry ;
    • en 1771, Madame du Barry fait construire par Claude Nicolas Ledoux le Pavillon de musique, archétype du néoclassicisme, en surplomb de la falaise qui domine la Seine, au nord du domaine ; ledit pavillon sera déplacé et éloigné de la falaise en 1923 par son propriétaire, le parfumeur François Coty ; à la fin du XIXe siècle, un châtelet est construit par Pasquier le long du chemin de la Machine ; l'ensemble fait partie aujourd'hui d'un domaine séparé ;
    • à l'extrémité sud du domaine, un pavillon de réception composé de deux pavillons d'entrée reliés est construit par Goury en 1897 et 1898 ; il constitue aujourd'hui la troisième portion indépendante de l'ancien domaine.
  • Château de Louveciennes dit aussi château du Parc datant de la deuxième moitié du XVIIIe siècle, inscrit aux Monuments historiques en 1941 et 1990 ; devant le château, sur la rue, se trouve la fontaine dite du Parc. Dans le parc, un pavillon est appelé la « Petite Folie » de madame Vigée Le Brun car il aurait été son atelier.
  • Château des Sources
  • Château Beauséjour, actuel hôtel de ville
  • Château de Prunay : un premier château fut construit vers la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle ; détruit au cours du XIXe siècle, il fut rebâti au début du XXe siècle.
  • Château Louis XIV
  • Le pavillon de la Châtaigneraie, vaste maison de style colonial construite au début des années 1920 pour le maréchal Joffre après la fin de sa carrière militaire, ainsi que le mausolée dans lequel repose le maréchal Joffre, au cœur du parc du domaine de la Châtaigneraie[17].
  • « La résidence du parc du château » ensemble d'habitations construit en 1958 par Paul Herbé et Jean Le Couteur. Ensemble architectural classé au patrimoine architectural du XXe siècle comprenant dans son parc des œuvres de François Stahly
  • la résidence Dauphine, ensemble d'habitations des années 1960
  • La poste de Louveciennes, place des Combattants, bâtiment remarquable construit en 1935 et inauguré en 1936 (architecte M. Picard). Bâtiment classé à l'inventaire du Patrimoine.
  • L'école Doumer rue du Président-Paul-Doumer, très beau bâtiment datant de 1932 et arborant de magnifiques fresques en mosaïque.

La commune regorge de domaines et manoirs de moindre importance parmi lesquels on peut citer :

Louveciennes dans la peinture

Reproduction de Une rue de village, Louveciennes par Camille Pissarro sur un parcours du Pays des Impressionnistes

En 2002, pour entretenir l'héritage culturel laissé par les Impressionnistes dans les Yvelines, Louveciennes, avec huit autres communes riveraines de la Seine, Carrières-sur-Seine, Chatou, Croissy-sur-Seine, Bougival, Marly-le-Roi, Le Port-Marly, Le Pecq et Noisy-le-Roi, crée le label et la structure « Pays des Impressionnistes »[18].

Personnalités liées à la commune

Personnalités historiques

Le pavillon de Voisins, dernier séjour de Leconte de Lisle.
  • Pierre Alexis Magallon de la Morlière (1707-1798), lieutenant général de Louis XV vécut au château de Louveciennes de 1765 à 1795.
  • Mme du Barry (1743-1793), maîtresse de Louis XV habita le pavillon des Eaux et en fit le château qui porte son nom.
  • Madame Élisabeth Vigée Le Brun, peintre et portraitiste (1755-1842), vivra entre Paris et Louveciennes à partir de 1809. À sa mort, elle sera inhumée dans le cimetière de ce village où sa tombe est toujours visible.
  • Le poète André Chénier (1762-1794) fut hébergé par Mme Le Coulteux au domaine de Voisins et la célébra dans ses poèmes sous le nom de Fanny.
  • Le maréchal de France Bernard Magnan (1791-1865) résida au château de Louveciennes de 1852 à 1865.
  • Le poète Leconte de Lisle (1818-1894) résida souvent au pavillon de Voisins et y mourut.
  • Le professeur Félix Guyon (1831-1920), fondateur de l'École française d'urologie, habita une maison le long de la RN 186.
  • Camille Saint-Saëns (1835-1921), compositeur, vécut dans le village de Voisins de 1865 à 1870.
  • Les parents d'Auguste Renoir (1841-1919) sont venus habiter à Louveciennes en 1868 ; Renoir séjourna quelque temps chez eux puis eut un domicile à Voisins de 1869 à 1870.
Mausolée du maréchal Joffre.
  • Joseph Joffre (1852-1931), maréchal de France, mort en 1931, repose à Louveciennes. Il demeurait au pavillon de la Châtaigneraie qu'il avait fait construire, à l'entrée de l'avenue des Gressets (à l'angle de l'actuelle rue du Maréchal-Joffre, au no 25). Il est enterré dans un mausolée à sa mémoire dans le parc de la propriété[17].
  • Louis Bouquet (1885-1952), artiste peintre, fresquiste vint s'installer dans la commune vers 1915.
  • Charles Münch (1891-1968), chef d'orchestre né en Alsace, habita à Voisins à partir de 1958.
  • Le duc Louis de Broglie (1892-1987), mathématicien et académicien, vécut à Louveciennes et y mourut en 1987.
  • Nicole Henriot-Schweitzer (1925 - 2001) pianiste française.

Personnalités contemporaines

Entrée du village de Voisins[19] par Camille Pissarro, 1872.
Paysage à Louveciennes, par Alfred Sisley, 1873, National Museum of Western Art, Tokyo.

Louveciennes et la peinture

  • Alfred Sisley vécut à Voisins de 1870 à 1874.
  • Camille Pissarro peignit de nombreuses toiles dans le village, et vécut à Louveciennes, route de Versailles.
  • Auguste Renoir vécut à Louveciennes chez ses parents en 1868 puis eut un domicile au 9 de la place Ernest-Dreux de 1869 à 1870 et eut son atelier dans la maison de son élève Jeanne Baudot de 1897 à 1914.
  • Élisabeth Vigée Le Brun (1755-1842) a vécu entre Paris et Louveciennes à partir de 1809 et y est décédée.
  • Georges Manzana-Pissarro est né à Louveciennes en 1871.
  • Jeanne Baudot (1877-1957) peintre impressionniste, élève et modèle d'Auguste Renoir. Elle peignit de nombreuses toiles de Louveciennes. Auguste Renoir eut de 1897 à 1914 son atelier dans sa maison. Elle fut la marraine de Jean Renoir fils d'Auguste Renoir[20].

Louveciennes au cinéma

Héraldique

Armes de Louveciennes

Les armes de Louveciennes se blasonnent ainsi :
d'azur aux deux loups d'argent lampassés de gueules, passant l'un sur l'autre, au chef cousu du même chargé de trois fleurs de lys au pied nourri d'or.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  2. L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.

Références

Insee

  1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
  2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
  3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
  4. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
  5. EMP T5 - Emploi et activité.
  6. CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.
  7. DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.
  8. DEN T2 - Créations d'entreprises individuelles par secteur d'activité en 2011.

Autres références

  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne]
  2. a b c et d Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 240
  3. a et b Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 686, (ISBN 2600028846).
  4. a et b Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  5. Suger - Œuvres (tome 2). Lettres de Suger. Chartes de Suger. Vie de Suger par le moine Guillaume - Belles Lettres, Paris - (ISBN 978-2-251-34052-4)
  6. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  7. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  8. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  9. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  10. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  11. « Évolution et structure de la population à Louveciennes en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Palmarès du Concours des villes et villages fleuris dans les Yvelines.
  14. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. http://www.sevesc.fr/usine-louvenciennes.php Usine de Louveciennes
  16. Lionel Ollivon, Cloches et clochers des Yvelines, Éd. Champflour, Marly-le-Roi, 1993, p. 136
  17. a et b Sébastien Birden, « Le Maréchal Joffre, un habitant de Louveciennes presque comme les autres : Le célèbre officier de la Première Guerre mondiale a fini ses jours dans sa propriété de Louveciennes. Une cérémonie hommage a lieu ce samedi devant son mausolée », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Clarisse Josselin, Le Pays des impressionnistes est né, Le Parisien, 27.02.2002.
  19. Le paysage est peint depuis l'actuelle avenue Saint-Martin, face à l'entrée du château de Voisins (derrière la charrette). Il s'agit bien sûr du château actuel reconstruit en 1820
  20. Univers des arts - Jeanne Baudot