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Urval

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Urval
Urval
Le village d'Urval.
Blason de Urval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Éloi Compoint
2020-2026
Code postal 24480
Code commune 24560
Démographie
Gentilé Urvalais
Population
municipale
113 hab. (2021 en évolution de +2,73 % par rapport à 2015)
Densité 8,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 46″ nord, 0° 56′ 56″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 245 m
Superficie 13,38 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Urval
Géolocalisation sur la carte : France
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Urval
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
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Urval
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Urval

Urval est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Communes limitrophes

Carte d'Urval et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Coux et Bigaroque-Mouzens.

Urval est limitrophe de cinq autres communes. Au nord, son territoire est distant d'environ 420 mètres de celui de Coux et Bigaroque-Mouzens.

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Urval est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 807 - Le Bugue » et « no 831 - Belvès » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique d'Urval.

Relief et paysages

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 55 mètres et 245 mètres[6],[7].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,38 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,4 km2[3].

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le ruisseau de Brande et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[15],[Carte 1].

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Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Dordogne Atlantique ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est également l'EPIDOR[17]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

  • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 5] : 901 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[23] complétée par des études régionales[24] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[25] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[26],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[27]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 35 km[28], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[29], à 12,7 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[31].

Urbanisme

Typologie

Urval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (78,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), prairies (6,8 %), terres arables (0,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[37].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Toponymie

La première mention écrite connue du lieu est relevée dans un pouillé du XIIIe siècle sous la forme Urvals, avant d'être cité en 1462 sous la forme Orval[38]. Ce toponyme dérive du nom d'un personnage germanique Uro suivi du nom latin vallis correspondant à la « vallée d'Uro »[39],[40] ou au « vallon d'Uro »[41].

En français comme en occitan, la commune porte le même nom[41].

Histoire

Le , les communes de Cadouin, Paleyrac et Urval entrent en fusion-association avec celle du Buisson-Cussac qui prend alors le nom du Buisson-de-Cadouin[42].

Le , Urval reprend son autonomie[42].

Politique et administration

Rattachements administratifs

Dès 1790, la commune d'Urval est rattachée au canton de Cadouin qui dépend du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6]. Il change de nom en 1974, devenant le canton du Buisson-de-Cadouin.

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[43]. La commune est alors rattachée au canton de Lalinde, lui aussi dépendant de l'arrondissement de Bergerac.

Intercommunalité

Début 2002, Urval intègre dès sa création la communauté de communes de Cadouin. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].

Liste des maires

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    Gérard de Commarque[Note 8]    
         
janvier 1974 février 1989 Aucun maire[Note 9]    
février 1989 mars 2001 Henri Lepers    
mars 2001[46] mai 2020 Roland Kupcic SE[47] Artisan menuisier
mai 2020 En cours Éloi Compoint    

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, Urval relève[48] :

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].

En 2021, la commune comptait 113 habitants[Note 10], en évolution de +2,73 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
460470415460425433478491476
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
482459445422410418347326334
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
340293255188183171179192165
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
149159109121123163153150113
2018 2021 - - - - - - -
116113-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Remarque

Lors des recensements de 1975 et 1982, la commune d'Urval n'existait plus en tant que telle mais était associée à celle du Buisson-de-Cadouin.

Économie

Emploi

En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante-deux personnes, soit 47,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (neuf) a augmenté par rapport à 2010 (deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,0 %.

Établissements

Au , la commune compte vingt-deux établissements[53], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[54].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

  • L'abbé Jean Bru (1761-1794), né à Urval, prêtre réfractaire pendant la Révolution et déporté sur les tristement célèbres Pontons de Rochefort. Il meurt d'épuisement et de mauvais traitements sur Les-Deux-Associés, le 19 septembre 1794. Il est inhumé sur l’Île Madame avec ses malheureux compagnons.
  • André Hugon (Alger, - Urval, ), réalisateur, scénariste et producteur français ;
  • Léon Poirier (1884-1968), mort à Urval, cinéaste, maire de la commune[58] de 1959 à 1968.

Héraldique

Blason de Urval Blason
D’azur à l’ours d’or passant sur une terrasse isolée et appointée de gueules, surmonté d’un croissant d’argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Les Confinés d’Urval

Pendant le confinement décidé en 2020 en raison de la Pandémie de Covid-19, sept cousins, qui s’étaient rendus à Urval à l’occasion des élections municipales 2020 auxquelles leur oncle était candidat, entreprennent de filmer chaque jour un pastiche d’une œuvre cinématographique. Le contenu, publié sur une page Facebook ainsi qu’une chaîne YouTube, connaît rapidement du succès[59] et attire l’attention de journalistes locaux[60],[61],[62] et nationaux[63].

Voir aussi

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Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[22].
  6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Mort en déportation en 1944.
  9. De janvier 1974 à février 1989, la commune était associée à celle du Buisson-de-Cadouin et n'avait plus de maire, mais un maire délégué.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Urval » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique d'Urval » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune d'Urval », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  4. « Notice associée à la feuille no 807 - Le Bugue de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  5. « Notice associée à la feuille no 831 - Belvès de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  6. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait du Périgord noir », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune d'Urval », sur le site de l'Insee (consulté le )
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  15. « Fiche communale d'Urval », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  16. « SAGE Dordogne amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  17. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  18. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  19. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  20. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  21. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  22. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  23. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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  30. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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  38. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Urval », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
  39. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 690..
  40. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 414.
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  42. a et b Commune d'Urval (24560) - commune actuelle, Insee, consulté le 28 novembre 2018.
  43. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
  44. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
  45. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
  46. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 4 septembre 2014.
  47. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 12.
  48. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. Dossier complet - Commune d'Urval (24560) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
  53. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  54. Dossier complet - Commune d'Urval (24560) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
  55. Pays de Bergerac : Église d'Urval
  56. Jean Secret - Périgord roman - p. 30 - Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps" no 27) - La Pierre-qui-Vire - 1968
  57. Yann Laborie, « Découverte de trois sépultures médiévale aux abords de l'église d'Urval », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 111, no 1,‎ , p. 44-52 (lire en ligne)
  58. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 753.
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