* Romain Caramalli, en tant que moine de la paroisse de 1999 à 2005, a contribué a la reconnaissance de la commune en promouvant la culture du terroir (article manquant)
* Gatien Marcailhou d'Aymeric (1807-1855), compositeur et "inventeur" de la valse à danser. Il fut le tout premier professeur du jeune Gabriel Fauré. Sa composition la plus célèbre, Indiana inspira à Camille Claudel son groupe La Valse. (article manquant)
* Pierre Bertrand de Mérignon<ref>Pierre Brun, « Un helléniste du dix-septième siècle : Pierre Bertrand de Mérignon d'Ax-les-Thermes », Annales du Midi, 1894, p. 327-348</ref> (198)
* Jacques Fournier, évêque de Pamiers (1317-1326), puis évêque de Mirepoix (1326-1327) qui, devenu pape sous le nom de Benoît XII (1334-1342), fit construire le Palais des Papes à Avignon, est né à Canté (224)
* Jacques-Thomas Sarrut, général français qui servit sous la Révolution française et le Premier Empire. Il est né le 16 août 1765 et est mort le 26 juin 1813, par suite de ses blessures reçues lors de la bataille de Vitoria. (232)
Catherine de Coarraze, dernière baronne de la dynastie, possédait le château féodal de Durfort, situé sur un plateau de l'adret de l'Arbas, en bas du village et surplombant la vallée de la Bellongue, résidence dans laquelle elle s'établit à la mort de son second époux Jean, comte de Carmaing. Il ne reste aujourd'hui plus rien de l'ancienne fortification sinon l'appellation du hameau établi sur ses prés : Le Château (ec castech). (article manquant)
On dit que Madame de Coarraze fit construire le calvaire du village. On dit également qu'elle donnait aux habitants de Galey la viande des animaux qu'elle faisait abattre et dont elle ne gardait que les os pour en sucer la moelle. Enfin on prête à Madame de Coarraze le don d'une cloche d'argent à l'église de Galey. En réalité elle refusa que les cloches ne soient refondues à Toulouse et fit procéder à ses frais à l'installation d'une fonderie et fit jeter des pièces d'argent dans le four. (505)
* Abbé Joseph Rouzaud, curé de Ganac au début du XXe siècle, auteur de Un sanctuaire ariégeois : Notre-Dame-de-Celles (1909), de L'ancienne abbaye de Saint-Polycarpe (1912) (214)
* Émile Serny (1922-1999), Résistant du réseau de passeurs "Bourgogne", fut conseiller général de 1982 à 1994, maire de Gestiès jusqu'en 1999 avec plus de trois mandats à son actif, ainsi que le fondateur du stade de neige de Goulier (251)
Henri-Raymond Cazalé, météorologue, plus connu en tant qu'écrivain qui a, entre autres, écrit La ballade du Miquelet, 1989, sur les bases de la résistance en Ariège et l'épopée de la Brigade Espagnole, Ma furie Lambertine, 1993, une des figures féminines de la révolution française et enfi, Raymond la Flibuste, 1994. (329)
* Bien que natif de Lavelanet, où à l'époque se situait la maternité maintenant sise à Saint-Jean-de-Verges, Fabien Barthez a passé toute son enfance à Laroque d'Olmes. (187)
La commune compte par ailleurs quatre recteurs : Monique Augé-Lafon (Académie de Nice, également membre du CSA de 1989 à 1997, Michel Herland (Nouvelle-Calédonie), Jeanne-Marie Parly (Caen, également conseiller d'État), Guy Pouzard (Limoges) (358)
L’abbé J. M. Durand : nommé à Montségur, y fait des fouilles (il a donné ses trouvailles à un musée de Paris) ; puis à Mijanès (au château d'Usson). Son nom restera attaché au site de Vals. <ref>[www.histariege.com Sources]</ref> (258)
* Pierre-Paul Riquet, qui conçut et réalisa presque entièrement le Canal du Midi, vécut à Mirepoix de 1634 à 1646 en tant qu'officier de la chambre à sel. Marié à Catherine de Milhau, il fit baptiser à Mirepoix ses quatre premiers enfants avant d'aller s'installer à Revel. (298)
* J. B. Mercadier (1750-1818), ingénieur de la province du Languedoc. Il supervisa les travaux du pont dont la conception revient à Jean-Rodolphe Perronet. (167)
* Pierre Poisson ou Peysson, architecte originaire de la ville, il fut appelé à Avignon par Jacques Fournier (évêque de Mirepoix en 1326 et 1327 et inquisiteur), après que celui-ci eut été élu pape sous le nom de Benoît XII, pour y édifier une partie du Palais des Papes<ref>Dominique Vingtain, Avignon, Le Palais des Papes, Éditions Zodiaque, 1998, page 93, « Les débuts du chantier et le rôle de Pierre Poisson »</ref> (470)
Ce village a une riche histoire cathare. En effet, quelques décénies après le massacre de la forteresse de Monségur, il persiste en Corbières ainsi qu'en haute Ariège, et notamment à Montaillou, une communautè gnostique essentiellement encadrée par les "Bons-Hommes" ou parfaits tels que Pierre Authier, Raymond de Castelnau ou Philippe d'Alayrac. (366)
Après maintes péripéties, une grande partie des habitants à migré en Catalogne et en Pays valencian où ils ont formé une diaspora active et plus ou moins dirigée par Guillaume (Guilhem) Bélibaste. (228)
Les persécutions menées par l'évèque Fournier de Pamiers, et futur Pape, aura bientôt fait d'éradiquer cette poche d'hérétiques. (136)
Pierre GéRAUD, né le 31 mars 1898 décédé le 4 janvier 2004, âgé de 106 ans. Dernier Poilu de l'Ariège, pendant la guerre 1914-1918 soldat 2° classe 14° RI muté au 113° RI, Prisonnier en Allemagne. Chevalier de la Légion d'Honneur le 11 novembre 1995. (264)
* Gabriel Milesi, journaliste. Chef du service économique de France Inter de 1984 à 1988. Rédacteur en chef au Quotidien de Paris de 1988 à 1991. Rédacteur en chef à Europe 1, chargé de l'économie du social, de la finance et de la politique de 1991 à 2000. Auteur de Jacques Delors, l'homme qui dit non, Les nouvelles 200 familles, Le roman de l'euro (391)
Jean-Firmin Darnaud, député de 1842 à 1846 puis préfet de l'Ariège et représentant du peuple à l’Assemblée nationale constituante en 1848 (né à Roquefixade le 12 mars 1796, mort à Toulouse le 15 mars 1886). (287)
Son père avait été notaire et magistrat. Après des études de droit à Toulouse, il s'inscrit en 1825 au barreau de Foix, devient avocat puis entre dans la magistrature après 1830. Procureur du roi puis conseiller à la Cour d'appel de Toulouse en 1835, il est nommé président de chambre à la Cour d'appel de Toulouse en 1855<ref>[pdf]Dictionnaire des députés (1789-1889)</ref>. (515)
Parallèlement Jean-Firmin Darnaud poursuit une carrière politique. Conservateur libéral, il est conseiller général du canton de Lavelanet de 1833 à octobre 1871, date à laquelle il est battu par le républicain Henri Portet. À plusieurs reprises il est élu président du Conseil général de l'Ariège. En 1842 il est élu député de la circonscription de Pamiers et le reste jusqu'au 4 mai 1849. À la Chambre des députés, il siège avec l'opposition constitutionnelle, dénonce l'occupation de l'Andorre dont la représentation andorrane était surtout constituée de représentants ariégeois. Du 29 février 1848 au 11 mars 1848, il est nommé préfet de l'Ariège. (719)
En 1860, Jean-Firmin Darnaud est élu maire de Roquefixade. Après sa défaite aux élections cantonales d'octobre 1871, il se retire à son domicile où il décède en 1886. (174)
Antoine DARNAUD né à Roquefixade le 27 octobre 1788, décéde à Roquefixade en 1877. Fils aîné de Etienne DARNAUD,Notaire ensuite Juge au Tribunal de Foix (Ariège). (174)
En 1808, Antoine DARNAUD, entame une carrière militaire dans les Chasseurs de Montagne de l'Ariège. Qu'il poursuit jusqu'en 1814 date à laquelle il est mis à la retraite, aprés avoir été Lieutenant et participé aux campagnes d'Espagne et du Portugal, titulaire de sept citations. (287)
Pendant les Cent jours en 1815, il est Aide de Camp du Général LAFFITE. (73)
En 1830, le Général LAFFITE nomme Antoine DARNAUD Commandant en Chef des Gardes Nationales de l'Ariège. Par la suite il est nommé Juge de Paix à Lavelanet (Ariège). (170)
Elevé au grade de Chevalier de la Légion d'Honneur en 1848, il est Médaillé de Sainte-Hélène. Il est mis à la retraite en 1865. (134)
Antoine DARNAUD, est Délégué Sénatorial de Roquefixade en 1876, l'année suivante il succombe à Roquefixade. (113)
Dans son « histoire des Ariégeois » l'abbé Duclos signale que durant la campagne d'Espagne, il manquera de peu de capturer le général anglais Wellington. Ce dernier et son entourage eurent à peine le temps de fuir, laissant sur ce lieu, le déjeûner, la vaisselle plate, et lord Paget, chef d'état-major du général anglais, qui fut emmené prisonnier.(tome 3- p229) (377)
* Arthur Wneir (Aléric Brei-Lefebvre), scénariste, fondateur de la Brigade de l'argent des Français (BAF, groupe d'humoristes), né à la fin des années 1970 à Roumengoux (175)
L’Abbé Pouech, Chanoine titulaire de la Cathédrale de Pamiers est né à Sabarat en 1814. Auteur de nombreux travaux sur les principaux saints du diocèse, il fut surtout connu comme géologue. Il étudia spécialement les terrains tertiaires de l’Ariège, les poudingues dits de Palassou, auxquels il attribue une origine lacustre ou marine et non glacière. Il fut un collaborateur assidu du Bulletin de la société géologique de France. En paléontologie, il se signala par la découverte d’ossements fossiles (hippopotame à Caoué, près du Mas d’Azil, grand saurien à Bédeilhe) et aussi par ses études sur la grotte de Lherm et les dolmens du Mas d’Azil (surtout ceux du Bidot et du Cap Del Pouech). (730)
Il fut le premier à découvrir les œufs de dinosaures. Il a laissé une collection (ossements, poteries, colliers, monnaies, pistolets du temps de Louis XIII) malheureusement quelquefois en partie perdue et de nombreux écrits non publiés. (246)
Aujourd’hui, les restes de ces richesses sont jalousement gardés dans les locaux du Collège Jean XXIII à Pamiers. On a pu les voir lors du colloque organisé pour le centenaire de la mort du chanoine les 16 et 17 octobre 1992. Pour ce centenaire, la place du village a été dénommée Place du Chanoine Pouech. (316)
* Fauré, Photographe, éditeur de Cartes Postales au début du XXe siécle (costumes bethmalais, massatois, les Ours etc...) (125)
* Louis Rivière (1912-1999), écrivain<ref> auteur de "Contact" (1939-1940) "Stalag" (1940-1943) "Refus en Couserans" (1943-1944) "Victoire" (1944-1945)</ref>, ancien résistant, ancien prisonnier de guerre évadé (390)
* Hippolyte-Thomas Bauzil (26 mai 1778 - 8 septembre 1833), officier de Napoléon auteur de la phrase : « L'Ariège produit du fer et des soldats » (article manquant)
* Léo Lamarque (30 août 1808 - 29 juillet 1849), polytechnicien. C'est à lui que l'on doit la construction du Pont du Diable <ref>D'après [1]</ref> (article manquant)
* Henri Derramond (10 août 1823 - 24 novembre 1880), poète, avocat et maire de Foix. Il a écrit sous le nom de Jules Talery Voix perdues et Les Malices (article manquant)
Alphonse Sentein, fondateur du groupe folklorique "Les Biroussans", ayant promu la culture et le folklore biroussan, même s'il a intégré certains anachronismes dans les costumes. Il a redynamisé par des manifestations folkloriques aidé en cela par le Syndicat d'initative et par son successeur, Michel Rouch. (323)
C'est l'attractivité touristique de la vallée. (48)
* François-Félix Verdié (né à Teilhet en 1810), fils de Jean-François Verdié simple "martinetteur" aux Forges de Mans et Rose Raboute. Il créera en 1854 les Aciéries et forges de Firminy dans la Loire qui occuperont jusqu'à plus de 10 000 ouvriers lors de la Première Guerre mondiale. Il meurt le 16 mai 1878 à Dombrowa en Pologne où il inaugurait la création d'une de ses usines. (490)
Le teneur du Hangar Spano s' y rendait en villégiature, sans l' asentiment, certes, de Matthieu de Mathiass. Le grand penseur Double Sir y cotoyait le menuisier Lucius. (169)
:En 1808, dans les Pyrénées, des chasseurs aperçurent une femme qui courait nue dans les rochers. Longuement traquée, elle fut finalement capturée et interrogée. Elle n’offrait en réponse que des grognements et une attitude propre aux animaux. Mais lorsqu’on lui demanda comment il se faisait qu’elle n’eût pas été dévorée par les ours, elle répondit clairement : « Les ours étaient mes amis ! » Ensuite, privée de liberté, elle se laissa mourir.<ref>Journal de l’Ariège, janvier 1814, par Bascle de Lagrèze, ancien sous-préfet de Foix.</ref> (589)
