Illartein
Illartein | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Saint-Girons |
Intercommunalité | Communauté de communes Couserans-Pyrénées |
Maire Mandat |
Dalia Dedieu 2020-2026 |
Code postal | 09800 |
Code commune | 09141 |
Démographie | |
Gentilé | Illarteinais-e |
Population municipale |
73 hab. (2018 ![]() |
Densité | 18 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 56′ 16″ nord, 0° 58′ 00″ est |
Altitude | Min. 555 m Max. 1 721 m |
Superficie | 3,97 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Girons (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Couserans Ouest |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
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Illartein est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Illarteinais.
Géographie[modifier | modifier le code]
Commune des Pyrénées située dans le Castillonnais en Couserans dans la vallée de la Bellongue sur l'ancienne route nationale 618. Bien qu'entièrement enclavée dans le périmètre du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune n'en est pas membre mais elle fait partie de la communauté de communes Couserans - Pyrénées.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
Origine inconnue, mais une influence basque comme dans le val d'Aran tout proche est possible.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Illartein est une commune rurale, car elle n'appartient à aucune unité urbaine[Note 1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires 50 000 habitants[4],[5].
Histoire[modifier | modifier le code]
À l'entrée du village se trouvait un château qui fut démantelé pendant la Révolution.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Le , la commune a voté pour le projet de fusion avec les communes limitrophes d'Orgibet, Saint-Jean-du-Castillonnais et Buzan[6].
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[8]. En 2018, la commune comptait 73 habitants[Note 3], en diminution de 6,41 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +2,36 %). |
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Henri-Robert Cazalé, météorologue, plus connu en tant qu'écrivain auteur, entre autres, de La ballade du Miquelet, 1989, sur les bases de la résistance en Ariège et l'épopée de la Brigade espagnole, Ma furie Lambertine, 1993, une des figures féminines de la Révolution française et enfin, Raymond la Flibuste, 1994.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Carte IGN sous Géoportail
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- « Commune nouvelle : le «oui» l'emporte d'une voix », sur ladepeche.fr (consulté le 8 mars 2019)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Notes[modifier | modifier le code]
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.