Sennevières

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Sennevières
Sennevières
La chapelle Saint-Jean du Liget
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
Caroline Krier
2020-2026
Code postal 37600
Code commune 37246
Démographie
Gentilé Sennepariens
Population
municipale
212 hab. (2021 en diminution de 0,47 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 25″ nord, 1° 06′ 10″ est
Altitude Min. 91 m
Max. 149 m
Superficie 23,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Loches
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loches
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Sennevières
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Sennevières

Sennevières est une commune française du département d'Indre-et-Loire, dans la région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

En bordure sud-ouest de la forêt de Loches qui occupe partiellement son territoire, Sennevières fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Loches[1].

Les communes limitrophes de Sennevières sont : Ferrière-sur-Beaulieu, Genillé, Chemillé-sur-Indrois, Loché-sur-Indrois, Saint-Hippolyte, Saint-Jean-Saint-Germain et Perrusson.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le tuffeau jaune (C3c) du Turonien qui constitue le socle sédimentaire du territoire de Sennevières n'affleure que dans la vallée du Beugnon qui l'a mis au jour par érosion ; il y est fréquemment altéré en argiles caillouteuses. Partout ailleurs, cette formation est recouverte d'une épaisse couche d'argiles à silex (c4-6S) du Sénonien ; dans la moitié nord-est du territoire, à l'altitude plus élevée, des limons éoliens des plateaux (LP) se déposent au Quaternaire. Une petite faille, orientée est-ouest, parcourt le territoire ; la vallée du Beugnon y est partiellement installée[2],[3].

Si l'altitude des plateaux, au nord et à l'est, dépasse parfois 140 m, la vallée du Beugnon n'est qu'à 91 m lorsque le ruisseau quitte le territoire de Sennevières.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Étang du Pas-aux-Ânes.

Le Beugnon, affluent de la rive droite de l'Indre, est le principal cours d'eau irriguant Sennevières. Il y prend sa source et passe par le chef-lieu communal. D'autres ruisseaux, prenant naissance à la limite entre Sennevières et Chemillé-sur-Indrois, courent vers le nord-est et alimentent l'Indrois sur sa rive gauche. En tête des vallons de ces cours d'eau de trouvent fréquemment des étangs, tel l'étang du Pas-aux-Ânes[2].

Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau de Boutineau » et « les étangs de la Martinière »[4],[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée de la Loire » et « Centre et contreforts nord du Massif Central »[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Perrusson à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 730,3 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Paysages naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

La présence de la forêt de Loches du nord au sud-est du territoire de Sennevières fait que plus de 30 % de la surface communale est composée de bois[2] avec dans la partie domaniale de la forêt des futaies de chênes et de hêtres. Ailleurs, le paysage bocager cède peu à peu la place à des grandes parcelles dédiées à la céréaliculture[2].

La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2[Note 2], dite du « massif forestier de Loches », d'une superficie de 5 066 hectares s'étend sur 10 communes, dont Sennevières pour la partie nord-est de son territoire. Considérée comme l’un des massifs boisés les plus riches d’Indre-et-Loire, la forêt de Loches héberge de nombreuses espèces remarquables ; ce biotope est potentiellement menacé par une exploitation mal raisonnée du massif forestier ainsi que par la pratique des loisirs de plein air[12].

Géographiquement comprise dans la précédente, la ZNIEFF de type 1 de l'étang du Pas-aux-Ânes, d'une superficie de 6,19 ha héberge une flore spécifique aux milieux humides[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sennevières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loches, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,1 %), forêts (36,8 %), prairies (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sennevières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sennevières.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 133 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 109 sont en aléa moyen ou fort, soit 82 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Senaparia (Grégoire de Tours au VIe siècle) ou Sinapariae (charte du XIIe siècle) est un dérivé en -aria de sinapis (Sénevé, moutarde sauvage) : c'est le « lieu où pousse le sénevé »[24].

Il évolue par la suite : Seneveriae, 1242 (Charte de l’abbaye de Villeloin) ; In parochia de Senevetis, début XIIIe siècle (Cartulaire de l’archevêché de Tours, p. 290, Livre de Eschequete, charte 312) ; Seneviers, XIIIe, XIVe siècle (Archives Départementales d'Indre-et-Loire-H 167) ; En la paroisse de Seneveres, (Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 41, 49, charte 172) ; Paroisse de Senevieres, (Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 35, charte 171) ; Sennevières, XVIIIe siècle (Carte de Cassini).

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire de Sennevières est très peu documentée avant le Moyen Âge, à l’exception de quelques artéfacts lithiques préhistoriques dont l'identification est incertaine et une mention toponymique « le Mâchefer » renvoyant peut-être à une activité sidérurgique très ancienne[25].

Ursus (Ours) de Cahors fonde vers 560 un monastère bénédictin à Sennevières[26] et Leobatius (Leubais) en est le premier abbé[2],[27]. Ce monastère, peut-être lié à une exploitation agricole[28] et qu'aucune source carolingienne ne mentionne, semble ainsi avoir eu une existence très brève[29]. Au Moyen Âge, Sennevières est une châtellenie dont Geoffroy de Sennevières est le premier seigneur connu en 1105. La fondation d'un centre paroissial aussi précoce et situé en bordure de forêt constitue une exception dans la région, où les paroisses sont prioritairement créées dans les vallées des cours d'eau[30]. Au XIVe siècle, la châtellenie passe entre les mains de la famille de Menou. En 1562, Sennevières est élevée au rang de baronnie. Le château qui domine le bourg et qui en 1770 comporte une fuie et une enceinte[31] tombe en ruines après la Révolution ; il n'en reste plus que quelques vestiges de murs[2]. Le dernier propriétaire de cette baronnie, en 1789, est François du Mouchet de Villedieu, évêque de Digne[32].

Au milieu du XIXe siècle, l'attachement des habitants de Sennevières au Second Empire se manifeste clairement au travers des plébiscites organisés en et  : le « oui » remporte l'unanimité des suffrages exprimés. En 1852, ce sont même 100 % des électeurs qui se déplacent pour participer au vote[33].

En 1909, la municipalité de Sennevières décrète la mixité garçons-filles dans les classes de son école, une mesure pionnière dans la région[34]. La Première Guerre mondiale fait dix-huit victimes dans les rangs des soldats de Sennevières[35].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Caroline Krier sans étiquette  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Sennevières sont les « Sennepariens »[24].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 5], en diminution de 0,47 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
382392346378361373381410372
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
390425390390393403447462414
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
406417393398407393371377364
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
292258207210225210227219210
2021 - - - - - - - -
212--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Une regroupement pédagogique intercommunal concerne les communes de Bridoré, Saint-Hippolyte, Saint-Jean-Saint-Germain et Sennevières. Aucune école n'existant dans cette dernière commune, les enfants de Sennevières sont scolarisés dans les autres communes du regroupement[40].

La carte scolaire départementale prévoit la scolarisation des étudiants de Sennevières dans le collège Georges-Besse et le lycée Alfred-de-Vigny de Loches[41].

Santé et services d'urgence[modifier | modifier le code]

Aucun médecin n'est installé à Sennevières ; les médecins généralistes les plus proches exercent à Saint-Hippolyte ou Beaulieu-lès-Loches. L'hôpital le plus proche est le centre hospitalier des Rives de l'Indre à Loches[42].

Économie[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Sennevières selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[43] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
Total % 0
salarié
1 à 9
salariés
10 à 19
salariés
20 à 49
salariés
50 salariés
ou plus
Ensemble 30 100,0 25 4 1 0 0
Agriculture, sylviculture et pêche 13 43,3 11 2 0 0 0
Industrie 2 6,7 2 0 0 0 0
Construction 4 13,3 2 1 1 0 0
Commerce, transports, services divers 10 33,3 9 1 0 0 0
dont commerce et réparation automobile 2 6,7 2 0 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 1 3,3 1 0 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Leubais est un édifice dont la construction remonte au début du XIe siècle, mais il est repris ensuite l'intérieur en est profondément remanié à l'époque moderne. Le clocher présente des caractéristiques architecturales (lucarnes aux angles) souvent rencontrées dans les églises romanes du Lochois. L'église est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1939[44]. Elle occupe peut-être l'emplacement du prieuré primitif[25].

La pyramide des Chartreux, pyramide élancée construite au XVIIIe siècle pour servir de repère de chasse, se trouve à la limite de Sennevières et de Chemillé-sur-Indrois, sur la route qui conduit à la chartreuse du Liget.

La chapelle Saint-Jean du Liget, première implantation des moines chartreux dans le secteur avant leur installation définitive à Chemillé-sur-Indrois, est construite sur un plan circulaire. Des fresques décoraient l'ensemble de ses murs intérieurs et de la coupole de son dôme. Certaines d'entre elles sont préservées.

L'étang du Pas-aux-Ânes est le plus vaste de la forêt de Loches, avec une superficie allant jusqu'à 7 ha. Ses rivages accueillent une flore spécifique et ses abords sont partiellement aménagés pour l'accueil des promeneurs (kiosque couvert, aire de pique-nique).

Le Tiers Lieu Sud Touraine a vu le jour sur la commune de Sennevières en lien avec la Cabane à Plantes

Patrimoine gastronomique[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[45].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marcel Degliame (1912 -1989), né à La Cassine, ouvrier, syndicaliste, résistant, administrateur de théâtre, producteur de films, ami de Boris Vian. Il a vécu dans les années 1980 à Sennevières[46].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Mary Couderc (dir.), Dictionnaire des communes de Touraine, Chambray-lès-Tours, CLD, , 967 p. (ISBN 978-2-85443-136-0).
  • Jean-Luc Flohic (dir.), Patrimoine des communes de France, t. II, Paris, Flohic, , 1406 p. (ISBN 2-84234-115-5).
  • Élisabeth Lorans, Le Lochois du Haut Moyen Âge au XIIIe siècle : territoires, habitats et paysages, Tours, Publications de l'Université de Tours, , 289 p. (ISBN 2-86906-092-0).
  • Robert Ranjard, La Touraine archéologique : guide du touriste en Indre-et-Loire, Mayenne, Imprimerie de la Manutention, (réimpr. 1986), 3e éd., 733 p. (ISBN 2-85554-017-8), p. 670-671.

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche communale - Sennevières » (consulté le ).
  2. a b c d e et f Couderc 1987, p. 794.
  3. « Carte géologique de la France au 1/50 000 - notice Châtillon-sur-Indre » [PDF], sur le site Ficheinfoterre du BRGM (consulté le ).
  4. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  5. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Sennevières et Perrusson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Perrusson », sur la commune de Perrusson - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Perrusson », sur la commune de Perrusson - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 240031220 - Massif forestier de Loches » [PDF], sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 240031498 - Étang du Pas-aux-Ânes » [PDF], sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Sennevières », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. a et b Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 229.
  25. a et b Couderc 1987, p. 795.
  26. (la) Jean-Barthélemy Hauréau, Gallia Christiana, t. XIV, Firmin Didot, (lire en ligne), col 191, XVI.
  27. (la) Grégoire de Tours, Liber vita patrum, Bruno Krush, , p. XVIII, p. 283.
  28. Lorans 1996, p. 159.
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  31. Charles de Grandmaison, « Archives civiles antérieures à 1790 - Inventaire sommaire de la série E » [PDF], sur Archives départementales d'Indre-et-Loire, Conseil départemental d'Indre-et-Loire, 1878, réimpression 1996 (consulté le ), E.94, p.60.
  32. Ranjard 1949, p. 648-649.
  33. Louis Rouillé-Courbe, 15 octobre 1852. Réception de S. A. I. le Prince Président dans la ville de Tours, Tours, imprimerie de Ladevèze, , 168 p. (lire en ligne), p. 110.
  34. Bernard Briais, Le Pays lochois à la belle époque, Chambray-lès-Tours, CLD, , 141 p. (ISBN 2-85443-043-3), p. 68-71.
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  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  41. « Zones de recrutement des collèges et des lycées - département d'Indre-et-Loire » [PDF], sur le site de l'académie d'Orléans-Tours (consulté le ), p. 22.
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  45. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
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