Barrou

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Barrou
Barrou
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
François Lion
2020-2026
Code postal 37350
Code commune 37019
Démographie
Population
municipale
469 hab. (2021 en diminution de 4,67 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 52′ 01″ nord, 0° 46′ 17″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 146 m
Superficie 30,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Descartes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Barrou
Liens
Site web mairiedebarrou.fr/

Barrou est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Barrou.

La commune est bordée sur son flanc ouest par la Creuse (1,616 km), qui constitue une limite séparative, ce qui en fait une commune limitrophe, à la fois du département de la Vienne et de la région Nouvelle-Aquitaine. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 27,56 km, comprend également divers petits cours d'eau[1],[2]

La Creuse, d'une longueur totale de 263,6 km, prend sa source à 816 m d'altitude sur le plateau de Millevaches, dans la Creuse et se jette dans la Vienne sur les territoires des communes de Port-de-Piles (Vienne), Ports et Nouâtre (Indre-et-Loire), après avoir traversé 80 communes[3]. Sur le plan piscicole, la Creuse est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[4].

Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « Les Marais » et « l'étang du Bois des Cours »[5],[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Lésigny à 2 km à vol d'oiseau[9], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,3 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Barrou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), forêts (41,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), prairies (3,6 %), zones urbanisées (1,3 %), eaux continentales[Note 3] (1,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Barrou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1999 et 2006[21],[19].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans les massifs de Barrou et de Boussay, est classée au niveau de risque 2, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Barrou.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 90,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 337 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 292 sont en aléa moyen ou fort, soit 87 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 4] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom « Barrou » a la même étymologie celtique que le mot français « barre » qui désigne une hauteur qui forme obstacle à un passage par sa largeur et sa pente raide.
C'est exactement la description de la colline au nord du village ; le -ou final est un diminutif. Le sens du nom est donc : « la colline en forme de petite barre ».
Par ailleurs le nom de lieu « La Lombarderie » sur le côté de cette colline est certainement une remotivation, médiévale faite en pensant au peuple lombard en Italie du Nord ; mais le nom d'origine possible est Lumbarre[27] ; ce nom est aussi celtique et signifiait « La barre près d'une zone avec une rivière à faible pente à l'origine possible de marécages ». L'adjectif « celtique » peut relier aux Celtes venus à l'Âge du fer, ou leurs descendants les Gaulois.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 581, le duc de Bérufle envahi un territoire allant d'Yzeures à Barrou. C'était l'un des généraux de Chilpéric, roi de Soissons, qui l'envoya pour arrêter les incursions des habitants du Berry sur la Touraine. À cette époque, la Touraine faisait partie du Royaume de Neustrie alors que le Berry était du Royaume d'Aquitaine. Sur ce territoire, Bérufle força le duc Reginalde, envoyé par Gontran, roi d'Orléans, pour envahir Tours, à se replier sur Poitiers. Durant cet épisode, les « pays » d'Yzeures et de Barrou furent pillés[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Barrou depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2004 Gilles Beillouin   démissionnaire
2004 2014 Mme Massabielle Mangin d'Ouince   Sylvicultrice
2014 2020 Gilles Beillouin DVD Agriculteur retraité
2020 En cours François Lion    

Population et société[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Barrou se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Loches. Seule une école maternelle accueille les élèves jusqu'en GS.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 469 habitants[Note 5], en diminution de 4,67 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6856957127678098689139701 001
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
999963955926946894887883868
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
840800789721725700709666663
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
620626577551511482487506478
2021 - - - - - - - -
469--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,2 % la même année, alors qu'il est de 27,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 222 hommes pour 242 femmes, soit un taux de 52,16 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,91 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,4 
90 ou +
4,4 
11,8 
75-89 ans
14,7 
21,9 
60-74 ans
21,8 
19,1 
45-59 ans
16,1 
15,5 
30-44 ans
16,9 
10,8 
15-29 ans
8,7 
19,5 
0-14 ans
17,3 
Pyramide des âges du département d'Indre-et-Loire en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,2 
7,7 
75-89 ans
10,1 
17,1 
60-74 ans
17,9 
20 
45-59 ans
19,3 
18 
30-44 ans
17,3 
18,4 
15-29 ans
17,4 
17,9 
0-14 ans
15,7 

Équipements culturels et sportifs[modifier | modifier le code]

La commune de Barrou dispose d'une bibliothèque municipale, qui fait partie du réseau de la Direction Départementale de Bibliothèques et de la Lecture d'Indre-et-Loire.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vestiges préhistoriques et antiques[modifier | modifier le code]

  • Dépôts de lames de silex (les Ayez, la Creusette).
  • Vestiges gallo-romains.

Architecture civile[modifier | modifier le code]

  • Vestiges de la Commanderie

La commanderie de l'Épinat était une commanderie de l'ordre du Temple, qui passa aux Hospitaliers au début du XIVe siècle. Vers 1600, elle fut rattachée à la commanderie de Bilson. On peut encore y voir les ruines de la chapelle : partie de son mur nord avec deux colonnes et avec sa façade ouest, dont la porte en arc brisé à deux rouleaux retombant sur deux colonnettes très dégradées date du XIIe siècle. Les bâtiments conventuels plus récents datent probablement du XVIIe siècle.

  • Château des Courtis

Le château des Courtis, dit en 1698 Maison noble des Courtis, était un fief relevant de la baronnie de Preuilly. Propriété en 1442 de Léonor de Mauléon, il fut acquis le 27 juin 1600 par Honorât Le François, capitaine gouverneur du château du Grand-Pressigny. Les Le François furent seigneurs des Courtis jusqu'en 1788. À cette date, le domaine est acheté à la famille Le François des Courtis par le comte de Carvoisin, baron de la Mothe-Sainte-Héraye. La maison des Courtis fut construite au XVIIe siècle à la place de l'ancien logis seigneurial, alors fortifié. Elle passa ensuite par successions et alliances à la famille du Bois des cours puis à la famille La Poeze, qui en fera le siège du Rallye La Poeze. On trouve encore dans le cimetière de Barrou une chapelle commémorant le mariage La Poeze/ La Poeze alors que les descendants du second mariage d´Ambroise de la Poeze avec Virginie d'Harambure se sont installés non loin à Harambure (Yzeures sur Creuse). La propriété sera vendue à la famille Lemaigre-Dubreuil qui y installera aussi son équipage de chasse à courre, puis à la famille de Rambures. C'est à l'image de cette même bâtisse, mais avec des moyens de construction récents, que la maison actuelle fut construite pendant la seconde moitié du XXe siècle. Reste seulement la tour du XVIIe.

Architecture sacrée[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Maurice des XVIIIe et XIXe siècles, restaurée en 1926.
  • L'église primitive a été emportée par les eaux, sur la rive droite de la Creuse.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Barrou », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - la Creuse », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  6. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Barrou et Lésigny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Lésigny », sur la commune de Lésigny - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Lésigny », sur la commune de Lésigny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Barrou », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. Lumbarre est probablement créé par les Celtes et Barrou par les Gaulois.
  28. Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, Jacques-Xavier Carré de Busserolle, Jean-Xavier Carré de Busserole, 1878, page 142
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Barrou (37019) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département d'Indre-et-Loire (37) », (consulté le ).