Villamblard
Villamblard | |||||
Le château de Barrière à Villamblard. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Alary 2020-2026 |
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Code postal | 24140 | ||||
Code commune | 24581 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
889 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 44 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 01′ 21″ nord, 0° 32′ 26″ est | ||||
Altitude | Min. 100 m Max. 222 ou 225 m |
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Superficie | 20,43 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Périgord central | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | villamblard.fr | ||||
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Villamblard est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
De 1802 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Villamblard.
Géographie
Généralités
Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, dans le Landais, la commune de Villamblard est traversée du nord-est au sud-ouest par le Roy, petit affluent de la Crempse et donc sous-affluent de l'Isle.
Le bourg de Villamblard, implanté au carrefour des routes départementales 4 et 39, se situe, en distances orthodromiques, 14 kilomètres à l'est de Mussidan et autant au sud de Saint-Astier.
La commune est également desservie au nord-est par la route départementale 42 (vers Saint-Mayme-de-Péreyrol) et au nord par la RD 107 (vers Jaure).
Le sentier de grande randonnée GR 654 traverse le territoire communal du nord-ouest au sud-ouest, sur environ cinq kilomètres.
Communes limitrophes
Villamblard est limitrophe de huit autres communes dont Grignols au nord-ouest sur environ 500 mètres.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Villamblard est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
Holocène |
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Pléistocène | non présent | ||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) |
non présent | ||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) |
Oligocène |
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Éocène |
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Paléocène | non présent | ||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) |
Crétacé (66.0 - ≃145.0) |
Supérieur |
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inférieur | non présent. | ||||||||||||||
Jurassique (≃145.0 - 201.4) |
non présent | ||||||||||||||
Trias (201.4 - 251.902) |
non présent | ||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) |
non présent |
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 100 mètres[5] au sud-ouest du territoire communal, au sud du lieu-dit Pouyol, là où le Roy quitte la commune pour servir de limite entre celles de Beleymas et Saint-Hilaire-d'Estissac, et 222[5] ou 225 mètres[6],[Note 1] est localisée au nord-est, au nord du lieu-dit le Sorbier[7].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 2],[9]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,43 km2[5],[11],[Note 3]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,52 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Roy et le ruisseau de Floyac et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[19].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[24] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[25],[Note 7], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[26], à 13,1 °C pour 1981-2010[27], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[28].
Urbanisme
Typologie
Villamblard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,2 %), zones agricoles hétérogènes (28 %), prairies (16,5 %), zones urbanisées (2,4 %)[34].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Vila Amblard[35].
Histoire
La bastide de Saint-Barthélémy-de-Goyran fut fondée en 1316 pour le roi d'Angleterre Édouard II[36]. Elle ne se développa pas et disparut à la fin du XVe siècle[37]. Bâtie à proximité de la confluence du Roy avec la Crempse, différents auteurs la situent à Beleymas, Saint-Hilaire-d'Estissac, ou encore Villamblard[36].
Au XIVe siècle, le repaire noble[38] (ou château[39]) d'Estissac est le siège d'une châtellenie à laquelle sont rattachées trois paroisses : Saint Hilaire, Saint Jean et Saint Séverin[39]. Son emplacement précis n'est pas connu, et selon différents historiens, pourrait se situer soit au nord d'Issac, soit entre Saint-Jean-d'Estissac et Villamblard en forêt de Barreyrenc[39], soit sur l'actuelle commune de Villamblard[38], ou encore à Campagnac, lieu-dit de l'actuelle commune de Saint-Hilaire-d'Estissac[40], un kilomètre au sud-est du bourg.
Dans la nuit du 10 au eut lieu le premier parachutage combiné d'agents (au nombre de quatre) et d'armes (deux conteneurs) en France. Organisé pour le compte du SOE section F, l'opération avait pour nom de code « Corsican ». Le lieu avait été choisi par Jean Pierre-Bloch au voisinage de sa propriété de Villamblard. Voir la section Beleymas#Personnalités liées à la commune.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Villamblard a été rattachée au canton de Montagnac qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Bergerac et l'année suivante, il prend le nom de canton de Villamblard, à la suite du transfert du chef-lieu de canton depuis Montagnac vers Villamblard[5].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[41]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central dont le bureau centralisateur est fixé à Vergt.
En 2017, Villamblard est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[42],[43].
Intercommunalité
Fin 2001, Villamblard intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Villamblard dont elle est le siège. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord, dont le siège est à Mussidan.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[44],[45].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Villamblard relève[51] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
Le pays de Villamblard est jumelé avec la commune sénégalaise de Sokone.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[53].
En 2021, la commune comptait 889 habitants[Note 10], en évolution de +3,25 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Santé
La commune compte une maison de santé rurale[55].
Économie
Emploi
En 2015[56], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 363 personnes, soit 42,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-quatre) a augmenté par rapport à 2010 (trente-six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,0 %.
Établissements
Au , la commune compte 113 établissements[57], dont cinquante-trois au niveau des commerces, transports ou services, vingt-deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, quinze dans la construction, douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et onze dans l'industrie[58].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Barrière (ruines du), XIIe et XVe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 1948[59]. Le premier bâtiment est un donjon carré en date du XIIe siècle. Le château fut agrandi au fil des siècles par les illustres familles de Barrière, de Lur, et de Taillefer, dont est issu le Comte Wlgrin de Taillefer, grand historien du Périgord du XIXe siècle. Il reste aujourd'hui le logis nord et le logis ouest donnant sur le village, ainsi que la tour carrée et les restes d'une tour ronde dans l'alignement du logis nord. En 1809, le Comte de Taillefer est contraint de vendre le château qui est un gouffre de dépenses. Barrière fut démonté petit à petit, comme le logis Renaissance au sud dont il ne subsiste que la cave, ainsi que la plus grosse tour sud-ouest qui fut démolie pour faire passer la rue Haute. Un incendie ravagea le château en 1898, à la suite duquel il fut légué à la commune de Villamblard en 1924 par Alice Murat. Depuis 20 ans, l'association Wlgrin de Taillefer a mis en place avec la commune plusieurs étapes de sauvegarde et de restauration du château.
- Église Saint-Pierre-ès-Liens des XVIIIe et XIXe siècles[60].
- Une stèle commémore le parachutage du .
-
Les ruines du château de Barrière. -
L'église Saint-Pierre-ès-Liens. -
La nef de l'église. -
La halle.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Les armes de Villamblard se blasonnent ainsi : « d'or à la fasce de gueules accompagné de six fleurs de lys d'azur : trois en chef et trois en pointe[61] » |
Voir aussi
Bibliographie
- Emmanuel Garraud, Antiquités périgourdines, ou l'Histoire généalogique et archéologique de Villamblard et de Grignols, accompagnée de notes sur les environs, suivie d'un précis historique sur les comtes de Périgord, chez J. B. Dumoulin, Paris, 1868 (lire en ligne)
Articles connexes
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée 654
Liens externes
- Site officiel
- Villamblard sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Mairie de Villamblard sur le site du Pays de Bergerac
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Deux données contradictoires selon le Géoportail : 225 mètres sur la carte et 222 pour la boîte « Communes ».
- Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
- La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[20].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[21].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Démissionne de ses fonctions de maire tout en restant conseiller municipal. Source : Un nouveau maire Sud Ouest du 4 avril 2011, consulté le 9 mai 2012.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Villamblard » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
- « Carte géologique de Villamblard » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
- « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Villamblard », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
- « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « 225 » sur Géoportail (consulté le 8 juillet 2022)..
- IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
- « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
- Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Villamblard », sur le site de l'Insee (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Villamblard », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 253.
- Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 391-392.
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article ESTISSAC, 1873, sur guyenne;fr, consulté le 25 juillet 2016.
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 102-103.
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article CAMPAGNAC, 1873, sur guyenne;fr, consulté le 25 juillet 2016.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
- [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 17 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », 16 février 1944, Gallica, consulté le 14 février 2019.
- Historique des conseils municipaux, site de Villamblard, consulté le 14 février 2019.
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 31.
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 10 septembre 2014.
- Bruno Boucharel, « Marie-Rose Veyssière réélue », Sud Ouest édition Dordogne, 13 juillet 2020, p. 25.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Virginie Desmet, Un remède au désert médical, Sud Ouest édition Dordogne du 26 janvier 2012.
- Dossier complet - Commune de Villamblard (24581) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Villamblard (24581) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- « Ruines du château Barrière », notice no PA00083063, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consultée le 1er mai 2011.
- Mairie de Villamblard sur le site du pays de Bergerac, consulté le 17 juillet 2012.
- OLDJP la banque du blason 2, consultée le 17 juillet 2012.