Agassac

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Agassac
Agassac
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges
Maire
Mandat
Serge Ané
2020-2026
Code postal 31230
Code commune 31001
Démographie
Gentilé Agassacois
Population
municipale
119 hab. (2021 en augmentation de 4,39 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 22′ 20″ nord, 0° 53′ 18″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 336 m
Superficie 9,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Cazères
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Agassac
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Agassac

Agassac est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Agassacois.

Géographie

Localisation

Carte

La commune d'Agassac se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[1].

Elle se situe à 52 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 32 km de Saint-Gaudens[3], sous-préfecture, et à 24 km de Cazères[4], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de L'Isle-en-Dodon[1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Castelgaillard (2,1 km), Martisserre (2,4 km), Coueilles (2,4 km), Riolas (3,4 km), Mauvezin (3,5 km), Ambax (3,8 km), Frontignan-Savès (3,9 km), Mirambeau (3,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Agassac fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[6].

Communes voisines.

Hydrographie

La commune est arrosée par l'Aussoue et son affluent l'Espienne.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

  • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 759 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Muret-Lherm », sur la commune de Lherm, mise en service en 1996[13] et qui se trouve à 28 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 606,3 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, dans le département du Gers, mise en service en 1985 et à 39 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[17] à 13,5 °C pour 1991-2020[18].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].

Urbanisme

Typologie

Agassac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[22],[23],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[25],[26].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,6 %), terres arables (37,3 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), forêts (4,2 %)[27].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

Accès par les lignes 42 et 65 du réseau Arc-en-Ciel, sur la commune voisine de L'Isle-en-Dodon.

Toponymie

Le nom du village d'Agassac, comme tous les noms de village s'achevant par ac est d'origine gallo-romaine. Agasse est l'ancien nom de la pie (de l'occitan agaça), encore utilisé dans les régions occitanes. Le nom de famille est en principe un sobriquet appliqué à une personne bavarde ou criarde.

Histoire

Antiquité romaine

Il existe plusieurs vestiges gallo-romains à Agassac comme la « pierre blanche », visible à la mairie d'Agassac, et deux têtes masculines trouvées sur Agassac mais à proximité des limites de Coueilles et qui sont aujourd'hui dans des collections privées.

Moyen Âge

Au début du Moyen Âge, une première paroisse semble s'être constituée au lieudit Saint-Martin, les traces d'un cimetière (ossements, pierres tombales) ont été trouvées par les agriculteurs en labourant. Aux XIe et XIIe siècles, une seigneurie d'Agassac se constitue autour de la motte féodale existante encore aujourd'hui. Cette seigneurie était vassale de la châtellenie de Samatan puisqu'un document d'archives atteste qu'en l'an 1201, Jehan, Vital, Raimond et Arnaud d'Agassac rendent hommage à leur suzerain à Samatan. Ceci prouve l'origine savésienne d'Agassac.

Au XIVe siècle, Agassac passe de la châtellenie de Samatan à celle de l'Isle-en-Dodon. Ceci était possible puisque depuis l'an 1120, la châtellenie de Samatan était devenue commingeoise à la suite du mariage de Diaz de Muret fille de Godefroy, Raimond de Muret, de Savès et de Samatan avec le comte de Comminges Bernard Ier. Diaz de Muret apportait en dot à son mari les châtellenies de Muret et Samatan. Du point de vue religieux, Agassac dépendait de l'archevêché de Toulouse et, lorsque, au XIVe siècle, le pape Jean XXII fera de Lombez un évêché, Agassac fera partie du diocèse de Lombez et cela durera jusqu'en 1791.

L'église d'Agassac, quant à elle est d'origine romane mais elle a été remaniée au cours des siècles et, hormis un remarquable appareillage des murs en pierres de taille, il ne reste de roman qu'une porte avec un encadrement en plein cintre côté route. Au XIIIe siècle, les « Hospitaliers de Saint-Jean, futurs Chevaliers de Malte » fondent une sauveté à Agassac, d'ailleurs, sur le mur sud-est de l'église, côté route, on peut voir une pierre sur laquelle est sculptée une croix hospitalière ou croix de Malte à huit pointes.

Il y eut aussi, au cours du Moyen Âge un couvent de femmes, vraisemblablement à l'actuel cimetière situé dans un quartier qui était appelé autrefois quartier Nôtre-Dame (l'église d'Agassac est d'ailleurs placée sous le patronage de la nativité de Nôtre Dame).

Période Moderne

La commune actuelle est en fait, formée de trois anciens terroirs. Celui du village entre l'Aussoue et la Ladère dominé par la motte féodale, à l'ouest, entre la Ladère et l'Espienne était le terroir de Bouillac possédé par des familles nobles jusqu'en 1851. Les dernières familles nobles de Bouillac ayant été les de Cazassus puis les Dencausse de Ganties. Cette dernière sera contrainte de vendre son domaine à la suite de l'abolition du droit d'aînesse. Enfin, sur la rive droite de l'Aussoue était le terroir de Joncet. Il y avait dans cette partie de la commune une chapelle qui fut certainement détruite sous la Révolution mais qui est encore évoquée par le nom d'un quartier, Capéron qui signifie, petite chapelle.

Période contemporaine

La commune d'Agassac a connu jusqu'au XXe siècle une activité artisanale intense. Il reste encore, de cette époque, deux fours à tuiles, l'un d'eux étant visible à l'entrée sud du village. Il y avait aussi un moulin à eau (4) sur l'Aussoue qui a cessé de tourner vers 1900 et un moulin à vent à Bouillac. Il reste une meule (visible à Bouillac, collection privée).

Il y avait aussi à Agassac une forge banale qui est signalée par un acte datant de 1527, acte par lequel Guillaume de Carsalade fait l'acquisition de la coseigneurie d'Agassac avec sa forge banale. Le bâtiment existe toujours avec, à l'intérieur, le bac de trempage du forgeron creusé dans une énorme pierre d'un seul bloc.

Politique et administration

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[28],[29].

Rattachements administratifs et électoraux

Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Cazères (avant le redécoupage départemental de 2014, Agassac faisait partie de l'ex-canton de L'Isle-en-Dodon) et avant le de la communauté de communes des Portes du Comminges.

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2005 Christian Larrieu    
2005 2020 Victoria Lacoste DVG Retraitée de la fonction publique
2020 en cours Serge Ané    

Agassac compte onze conseillers municipaux et deux adjoints au maire.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31]. En 2021, la commune comptait 119 habitants[Note 5], en augmentation de 4,39 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
354350300386441471501528528
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
531518498470443440432439402
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
403349350285272254244212202
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
199181142119130121123115115
2021 - - - - - - - -
119--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
Rang de la commune dans le département 393 453 510 409 426 446 456 469
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Économie

L'économie de la commune est essentiellement basée sur l'agriculture.

Vie pratique

Culture

Associations

L'« Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Agassac » (Aspa) a été fondée en 2003 pour sauvegarder et mettre en valeur le patrimoine communal. Elle regroupe une cinquantaine d'adhérents, participe aux journées du patrimoine (3e dimanche de septembre) et organise une randonnée pédestre le jour du 14 juillet.

Santé

Enseignement

Le village dispose d'une école primaire en classe unique qui accueille les élèves de la maternelle au CM2. Elle reçoit des élèves de villages voisins ne disposant plus d'école.

Écologie et recyclage

Activités sportives

La commune d'Agassac dispose d'un court de tennis et de plusieurs kilomètres de chemin de randonnée.

Culture locale et patrimoine

Culture locale et patrimoine

  • La pierre blanche : bas-relief gallo-romain en marbre de Saint-Béat représentant la déesse celte Épona.
  • La motte féodale : motte castrale au point le plus élevé du village qui offre une vue imprenable tant en direction du Bas-Savès qu'en direction des Pyrénées.
  • Le four à tuiles médiéval : ancien four tuilier visible à l'entrée sud du village.
  • Le puits de Saint-Adoure : puits creusé en 1811 dans un hameau de Brassiers situé à proximité du château de Bouillac où vivait à l'époque, le baron Jean Louis Dencausse de Ganties, officier de cavalerie, ancien garde du corps du roi d'Espagne[38].
  • La stèle « maçonnique » : L'origine de ce monument, érigé sur la place du village, n'est pas exactement connue. L'ensemble de son symbolisme est chrétien, mais le triangle rayonnant placé au centre de la croix n'a pas la forme équilatérale habituelle dans le symbolisme catholique. Il pourrait donc être d'origine maçonnique[39]. Sur l'un de ses faces, l'œil encadré dans un triangle regarde vers l'église.
  • L'église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Lien externe

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Notes et références

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Agassac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Agassac et Toulouse », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Agassac et Saint-Gaudens », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Agassac et Cazères », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Agassac », sur www.villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  13. « Station Météo-France Muret-Lherm - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Orthodromie entre Agassac et Lherm », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France Muret-Lherm - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Orthodromie entre Agassac et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  18. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Agassac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Agassac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Agassac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  37. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  38. voir site de Ganties dans Aspetinfos
  39. Selon une plaquette diffusée par l'Association pour la Sauvegarde du Patrimoine d'Agassac

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.