Swiss International Air Lines

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Swiss International Air Lines
Logo de cette compagnie
IATAOACIIndicatif d'appel
LX SWR SWISS
Repères historiques
Date de création 2002
Généralités
Basée à Aéroport de Zurich-Kloten
Autres bases Aéroport de Genève-Cointrin
Programme de fidélité Miles & More
Alliance Star Alliance
Taille de la flotte 89 (en mars 2022)
Nombre de destinations 102
Siège social Drapeau de la Suisse Bâle
Société mère Lufthansa
Société sœur + le reste du groupe Lufthansa
Filiales
  • Edelweiss Air
  • Swiss WorldCargo
  • Swiss AviationSoftware
  • Lufthansa Aviation Training Switzerland
Effectif 9 126 (au 31 décembre 2020)[1]
Dirigeants Dieter Vranckx (Janv. 2021 -)[2]
Site web www.swiss.com
Données financières
Chiffre d'affaires en augmentation 4,41 milliards francs suisses (2022)[3]
Résultat net en augmentation 456 millions francs suisses (2022)[3]
Le siège de Swiss, à Bâle.
Le Sanno Park Tower Annex, Tokyo a le Swiss House (スイスハウス?), les bureaux japonais de Swiss International Air Lines.

Swiss International Air Lines AG, plus connue sous le nom commercial Swiss[a] (code IATA : LX ; code OACI : SWR), est la compagnie aérienne nationale de la Suisse formée par la fusion de Swissair, alors en faillite, et de Crossair. Les créanciers majoritaires de Swissair, le Crédit Suisse et l'UBS, s'entendent au travers du plan Phoenix 26 pour vendre Swissair à Crossair. Cette dernière change de nom et devient Swiss. Elle commence ses opérations le .

Elle est aujourd'hui la principale compagnie aérienne suisse et est basée à l'aéroport de Zurich-Kloten ainsi que Genève Cointrin. Son siège administratif se situe cependant à l'aéroport de Bâle-Mulhouse-Fribourg. Elle fait partie du Lufthansa Group.

Historique[modifier | modifier le code]

À ses débuts, la nouvelle compagnie nationale suisse est baptisée SWISS Air Lines, puis rebaptisée SWISS International Air Lines. Ce changement de nom est dû aux risques de poursuite des anciens débiteurs de Swissair, laquelle portait à son origine, en 1932, le même nom de Swiss Air Lines. C'est Tyler Brûlé, qui, avec un contrat de 15 millions de francs suisses dévoilera la nouvelle entité de SWISS. À cette époque, la polémique fait rage. La population ne comprenant pas le rapport entre le prix payé au designer et le changement de nom entre SWISS et Swissair. Peu de temps suffira pour prouver le changement radical d'image effectué entre les deux entités. Chacun attend un renouveau de l'entreprise qui lui rappellera la glorieuse Swissair. Genève, qui a été abandonnée sur le plan longs-courriers, espère un retour partiel de nouvelles lignes intercontinentales.

Lors de sa création, SWISS est la quatrième plus grande compagnie aérienne d'Europe (derrière Air France et devant Alitalia) avec 128 appareils et dessert 126 destinations à travers le monde[4]. Une vaste campagne publicitaire est lancée afin de positionner la nouvelle marque dans un but de se séparer de l'image salie par le grounding de l'ancienne Swissair. Ce programme portant le nom de « Destination Excellence » se veut être révolutionnaire et désire propulser la nouvelle société au même rang que les meilleures compagnies mondiales telles que Singapore Airlines. Le slogan des plus provocants est Welcome to civilised aviation. Peu de temps suffira pour que la compagnie se voie décerner de nombreux prix à travers le monde, renouant avec la tradition de la mythique Swissair de l'époque.

Cependant les chiffres ne suivent pas et la direction décide rapidement de rediriger sa stratégie axée sur celle d'une compagnie à bas prix sur ses vols courts-courriers et celle d'une compagnie classique sur ses vols longs-courriers. Le public peine à suivre la logique de la compagnie qui se veut un jour la référence dans le domaine et le lendemain une concurrente des compagnies à bas prix. Swiss va même jusqu'à introduire un système de plateau repas payant sur ses lignes européennes. Quelques mois suffiront pour que ce principe soit aboli et qu'un service minimum gratuit soit garanti. Durant ce même laps de temps, la compagnie réduit sa voilure (jusqu'à 65 appareils) à plusieurs reprises et arrête de desservir plusieurs destinations qui porteront à la polémique. Washington est la première, les autres longs-courriers abandonnés étant Téhéran, Rio de Janeiro, Buenos Aires, New Delhi, Manille et Pékin. Là encore la stratégie d'abandon d'une desserte complète de la Chine et partielle de l'Inde, alors que les autres compagnies aériennes européennes s'y positionnent de manière toujours plus agressive, n'est pas comprise. Les opérations aériennes sont ensuite réparties sous deux entités distinctes soit SWISS International Air Lines pour les long-courriers (regroupant l'entier des avions Airbus) et SWISS European Air Lines pour une partie des vols court-courriers européens (regroupant la flotte Avro). La filière SWISS SUN voit également le jour pour des destinations purement charter (dissoute lors du rachat par Lufthansa) assurés par trois Airbus A320.

Un Airbus A320, un A319 au décollage et un A330 en arrière-plan à l'aéroport de Zurich en 2010.

À la suite de ce partage, de grands conflits entre les anciens pilotes de Swissair maintenant regroupés chez SWISS International Air Lines et ceux de l'ancienne Crossair chez SWISS European Air Lines éclatent. Ils dénoncent l'arrogance et les différences salariales importantes entre les deux entités rappelant l'époque de Swissair. Ces conflits affaiblissent la compagnie et mettront des années pour être résolus. Après pratiquement cinq années d'existence, SWISS n'a toujours pas fait de bénéfices, elle se voit maintenant d'une taille beaucoup plus réaliste pour la Suisse mais y aura perdu des milliers de collaborateurs, une restructuration massive est entreprise. La crise du SARS en 2003 l'affaiblit encore, la question se pose alors s'il sera encore possible que SWISS desserve de manière optimale la Suisse, dépendante de vols courts et longs-courriers vers ses partenaires économiques. Le pays craint la disparition de sa compagnie nationale qu'il croyait sauvée. L'aéroport de Zürich est alors lui aussi en difficulté, car très dépendant de SWISS, cela remet en question l'ouverture du nouveau terminal construit (à l'époque planifié par Swissair, sur ses plans d'expansion future). Genève non plus ne soutient plus la compagnie car elle est à nouveau abandonnée, voyant l'offre de Swiss réduite, la desserte historique la reliant à Paris étant dès lors desservie en partage de code par Air France, New York subsiste mais jusqu'à quand ? L'inquiétude de la mort de Swiss mobilise la confédération.

L'heure est grave, il est maintenant important de trouver au plus vite un partenaire pour la compagnie, ce qui lui assurera sa survie. Les grandes alliances s'étant bien organisées, SWISS est soit trop grande soit trop petite pour susciter de l'intérêt de la part de Lufthansa, Air France ou British Airways. Suivi d'une année de discussions, en 2005, SWISS est finalement acceptée dans l'alliance oneworld après avoir suscité la méfiance de British Airways avec qui la compagnie est en concurrence sur de nombreux vols longs-courriers. Le , Swiss annonce son renoncement à l'adhésion oneworld car elle ne veut pas intégrer le programme de fidélité de British Airways qui lui exigeait une transparence totale de ses clients les plus fidèles. Le divorce avec l'alliance coûte à SWISS plusieurs slots aériens sur l'aéroport londonien saturé de Heathrow, à la suite de cela la desserte entre Genève et Londres est abandonnée. Par la suite, Lufthansa s'approche de SWISS, ce rapprochement faisant d'abord peur, le risque de la disparition de l'aéroport de Zürich (en tant que hub, il faut le préciser) était réel et de rendre la Suisse dépendante des plaques tournantes allemandes de Francfort et Munich. Le , Lufthansa confirme son intention d'acquérir SWISS en commençant par acheter une minorité d'actions (11 %) sous le nom d'Air Trust. La fusion doit être complète en 2007 et voit les opérations de Swiss progressivement intégrées avec celles de Lufthansa dès la fin 2005. L'alliance Star Alliance[5] accepte l'entrée de Swiss après quelques réticences de la part d'Austrian craignant pour sa place et l'aéroport de Vienne. Dès la prise en charge de la compagnie par Lufthansa, c'est-à-dire le , SWISS est un membre à part entière de la plus grande alliance aérienne mondiale lui offrant ainsi une place assurée dans le ciel sur le long terme. SWISS préserve son nom mais aussi une certaine autonomie, sa direction et son siège restant en Suisse. Elle conserve également sa propre flotte et ses équipages et son droit sur l'image. Si l'objectif est la reprise intégrale de Swiss, l'acquisition se fait en plusieurs étapes, ce qui assure à Lufthansa de ne pas perdre les droits de vols internationaux de SWISS à l'étranger. Le prix de rachat total de la compagnie se situe à 339 millions de francs suisses alors que son financement s'élevait à 4,2 milliards de francs, d'où le mécontentement des petits actionnaires qui n'ont pas été consultés lors de la vente de SWISS au Lufthansa Group.

À la suite de ce rachat, SWISS renoue rapidement avec les bénéfices, réinstaure plusieurs lignes courts et longs-courriers tel que Shanghai et New Delhi. Lufthansa permettra également à SWISS d'acquérir de nouveaux avions tels que des Airbus A320 et A340-300 (partiellement au travers de Air Canada) ce qui permet entre autres de permettre de positionner de plus gros avions sur les destinations européennes et une desserte quotidienne de tous les vols longs-courriers. Les sièges de la flotte européenne sont changés au profit de nouveaux sièges Recaro, plus modernes et confortables. Le service est continuellement amélioré, ce qui vaut à SWISS de nouvelles récompenses (« meilleure compagnie aérienne en Europe », skytrax 2009), et contrairement aux craintes du passé, la compagnie s'assure une place importante au sein du Lufthansa Group qui voit en SWISS sa marque de plus haut standing. En 2007, SWISS fait partie des cinq compagnies plus rentables au monde derrière Emirates ou Qantas, elle est même plus rentable que Lufthansa à elle seule, elle dégage un profit frôlant le demi-milliard de francs suisses.

Le , SWISS et Kuoni annoncent un accord stratégique qui permet à SWISS de prendre possession de la compagnie aérienne Edelweiss Air et à Kuoni de proposer toute son offre hôtelière sur le site internet de SWISS. Ce qui assure un service de qualité reconnu internationalement. Après de longues années d'hésitation et de lourdes restructurations, SWISS acquiert définitivement sa place au sein de l'aviation mondiale d'aujourd'hui et de demain. Les relations entre SWISS et Lufthansa étant encore plus rapprochées assurant à SWISS l'accès à de nouveaux marchés. Le problème le plus important pour SWISS, de nos jours, est, en plus du prix du pétrole et une conjoncture économique en crise, le manque de personnel navigant. Elle doit aujourd'hui repousser l'ouverture de certaines routes à cause de ce problème chronique. Même avec l'école Swiss Aviation Training, SWISS n'arrive pas à former et trouver suffisamment de pilotes, ce qui lui vaut par exemple l'obligation de louer un Airbus A330-300 avec équipage d'Air Canada pour exploiter la ligne Zurich-Montréal. Alors peut-être victime de son succès, SWISS est loin de son passé sombre et prête à affronter un avenir que certains annonçaient incertain.

Le , Swiss annonce qu'à partir de 2014, elle commencera à remplacer ses 20 RJ 100 par des Bombardier CSeries. Le remplacement de ces 20 avions va prendre environ deux ans, pendant que les 10 avions supplémentaires commandés seront délivrés après le remplacement complet des RJ 100 dans le but de renforcer le réseau de SWISS European Air Lines. Ces nouveaux appareils seront toujours capable de desservir des aéroports avec des courtes pistes d'atterrissage comme l'aéroport de Londres-City. Le groupe Lufthansa sera le premier client à recevoir un CSeries.

Airbus A330-343 de Swiss à Zürich-Kloten en 2015.

Le , Lufthansa annonce une commande de 48 nouveaux appareils, dont cinq A330-300, deux A320 et deux A321 sont destinés à Swiss. Les premières livraisons auront lieu en 2012.

Le , Swiss annonce avoir commandé six Boeing 777-300ER pour remplacer ses Airbus A340. Les livraisons auront lieu à partir de 2016.

Swiss veut concurrencer EasyJet à Genève Cointrin. En plus des sept destinations supplémentaires cet hiver, en plus des autres destinations d'ici mars/avril (Lisbonne, Copenhague et Rome), Swiss lancera deux nouvelles destinations en été en Grèce, Heraklion et Corfou.

Le , à 18 h 30, Swiss effectue son dernier vol, après plus de 69 ans de présence notamment sous le nom de Swissair, depuis l'aéroport de Bâle-Mulhouse[6].

Le , elle reçoit son premier Boeing 777-300ER, immatriculé HB-JNA.

Le , Swiss reçoit son premier Bombardier CSeries100 (Airbus A220-100), immatriculé HB-JBA.

Le , Swiss reçoit son premier Bombardier CSeries300 (Airbus A220-300), immatriculé HB-JCA.

En 2020, en raison de la pandémie de Covid-19, Swiss cloue au sol une grande partie de sa flotte et organise uniquement des vols cargo avec sa flotte long-courrier durant la crise. En raison de ces temps difficiles, Swiss reçoit un prêt de 1,9 milliard de francs de la confédération suisse[7], à répartir avec sa filiale Edelweiss.

Entre avril et , les Swiss International Air Lines ont retiré 750 sièges en classe économique des trois Boeing 777 adaptés pour transporter des marchandises, en raison de la demande de vols cargo pendant la pandémie[8].

[modifier | modifier le code]

Le , la compagnie annonce qu'elle remplacera[9] le logo « cube » dès par une nouvelle entité visuelle, qui rappelle fortement celle de Swissair[10].

Partenariats[modifier | modifier le code]

Swiss est membre de l'alliance de compagnies aériennes Star Alliance. Hors de l'alliance, elle assure des vols en partage de code avec les compagnies suivantes :

Flotte[modifier | modifier le code]

Airbus A340-313 de Swiss.
Boeing 777-3DE(ER) arborant une livrée spéciale de Swiss.
Airbus A220-100 de Swiss.
Avro RJ-100 de Swiss arborant une livrée spéciale.
Avro RJ100 Swiss en livrée spéciale Star Alliance.

En , les avions suivants sont en service au sein de la flotte de Swiss[11] :

Appareil En service Commandes Passagers Notes
F C Y Total
Airbus A220-100 9 15 110 125[12] Compagnie de lancement. Mise en service commerciale le [13]
Airbus A220-300 21 30 115 145[14] Livrés entre 2017 et 2021
Airbus A320-200 11 30 150 180[15]
Airbus A320 neo 6 10[16] 30 150 180[17] Remplacent les Airbus A320-200
Airbus A321-100/200 6 48 171 219[18]
Airbus A321 neo 4 5[16] Tbd Tbd Tbd Remplacent les Airbus A321-100/200
Airbus A330-300 14 8 45 183 236[19]
Airbus A340-300 4 8 47 164 219[20] Remis à neuf en 2019
Airbus A350-900 5 3 45 194 242 En remplacement des Airbus A340. Livrés à partir de 2025
Boeing B777-300ER 12 8 62 270 340[21]
Total 87 20

En outre, Helvetic Airways opère des Embraer 190-E2 et des Embraer E190 pour le compte de SWISS sur un certain nombre de destinations européennes au départ de Zurich.

Flotte historique[modifier | modifier le code]

Swiss Global Air Lines[modifier | modifier le code]

Jusqu'en , Swiss Global Air Lines opérait sous le nom de Swiss European Air Lines. Swiss Global Air Lines était une filiale de Swiss International Air Lines et de fait également du Groupe Lufthansa. De même que sa société sœur, Swiss Global était membre de Star Alliance. La compagnie avait son siège à Bâle et son hub à l'Aéroport de Zurich. Swiss Global Air Lines opérait des vols réguliers pour le compte de Swiss à destination de grandes villes européennes ou à destination de lieux de vacances. Swiss Global Air Lines a été intégré à Swiss International Air Lines en .

Incidents et accidents[modifier | modifier le code]

Depuis 2002 date de sa création, la compagnie n'a jamais connu d'accident. Swissair en avait connu plusieurs.

Le , un Boeing 777-300ER (HB-JND) opérant le vol LX40 entre l'aéroport international de Zurich et l'aéroport international de Los Angeles, doit atterrir d'urgence à Iqaluit, dans le Nunavut, au Canada, après un message de dysfonctionnement ayant entraîné l'arrêt automatique du réacteur gauche[22]. En raison de la panne totale du moteur, un nouveau a été acheminé par Antonov An-124 depuis Zurich. Selon une estimation, le coût pour Swiss dépassera le million de francs, ce qui inclut les compensations aux 216 passagers et le transport du nouveau réacteur en avion cargo[23]. Quant aux passagers, ils ont été acheminés d'Iqaluit à New York par un A330-300 de Swiss spécialement mobilisé.

Le , la compagnie décide d'immobiliser à titre préventif toute sa flotte d'Airbus A220[24], soit 28 appareils en raison des incidents récurrents dont font l'objet les moteurs Pratt & Withney qui équipent cet avion. En effet, cette mesure fait suite à un troisième atterrissage d'urgence de vols entre Genève et Londres Heathrow. Les contrôles dureront jusqu'au lendemain et ne révéleront aucune malfaçon ou problème structurel[25].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Stylisé « SWISS ».

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « Profil de l'entreprise »
  2. (en) « Dieter Vranckx appointed as SWISS’s new CEO », https://swiss.newsmarket.com, (consulté le )
  3. a et b (en) « SWISS achieves turnaround in 2022 and reports strong earnings of CHF 456 million », sur Newsroom, (consulté le )
  4. « Histoire Panneau 37 », sur saint-louis.fr (consulté le )
  5. « HB-IJM Airbus A320-214 », sur Flickr - Photo Sharing! (consulté le )
  6. « Swiss effectue son dernier vol depuis l'aéroport de Bâle-Mulhouse », sur rts.ch (Radio télévision suisse), (consulté le )
  7. « Près de 1,9 milliard de francs pour le secteur aérien », sur SWI swissinfo.ch (consulté le )
  8. « Swiss a retiré 750 sièges pour transporter des marchandises », sur La Tribune de Genève (consulté le )
  9. (en) « SWISS strengthens positioning and sharpens brand profile at Social Media Release », sur oursocialmedia.com, (consulté le )
  10. « Nouveau Cap visuel pour Swiss », sur ActuLogo, (consulté le )
  11. « Swiss Aircraft Register », sur app02.bazl.admin.ch (consulté le )
  12. « Bombardier | Les innovantes | SWISS », sur www.swiss.com (consulté le )
  13. https://www.swiss.com/lv/fr/voler/flotte/bombardier.html
  14. « Bombardier | Les innovantes | SWISS », sur www.swiss.com (consulté le )
  15. « Airbus A320-200 », sur www.swiss.com (consulté le )
  16. a et b « SWISS confirme dix options d’achat d’Airbus A320/321neo », sur Air Journal, (consulté le )
  17. « Flotte Airbus court-courrier | SWISS », sur www.swiss.com (consulté le )
  18. « https://www.swiss.com/cn/FR/voler/flotte/airbus#t-page=pane3 », sur www.swiss.com (consulté le )
  19. « Airbus A330-300 », sur www.swiss.com (consulté le )
  20. « Airbus A340-300 », sur www.swiss.com (consulté le )
  21. « Boeing | Pour les trajets ultra-longs | SWISS », sur www.swiss.com (consulté le )
  22. ats, « Canada – Atterrissage d'urgence d'un vol Swiss Zurich-LA », La Tribune de Genève,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. RTS, « Les déboires du Boeing 777 de Swiss toujours bloqué à Iqaluit », rts.ch,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Swiss cloue au sol tous ses Airbus A220, une centaine de vols annulés », sur rts.ch, (consulté le )
  25. « Swiss a inspecté ses avions et remet en service 20 appareils », sur rts.ch, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]