Sarah (Bible)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sarah
L'Expulsion d'Agar, par Pierre Mignard, musée Städel.
Fonction
Prophétesse
Judaïsme
Biographie
Décès
Sépulture
Activité
Père
Fratrie
Abraham (oncle)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoints
Enfant
Autres informations
Étape de canonisation
Membre de

Sarah (en hébreu : שָׂרָה : « princesse » ; en arabe : Śāra, سارة), initialement nommée Saraï (שָׂרַי / שָׂרָי, « ma princesse »), est un personnage de la Genèse, le premier livre de la Bible et du Pentateuque. Matriarche et prophétesse, elle est une figure majeure dans les religions abrahamiques.

Elle est la demi-sœur et l'épouse d’Abraham, et la mère d’Isaac. Le midrash la donne comme nièce d'Abraham.

Le judaïsme, le christianisme et l'islam décrivent tous son caractère comme celui d'une femme pieuse, réputée pour sa beauté et son hospitalité.

Récit biblique[modifier | modifier le code]

Sarah, qui est d'abord nommée Saraï, grandit à Ur-Kasdim en Mésopotamie[1]. Elle épouse l'Hébreu Abraham, qui est d'abord nommé Abram.

Sarah est la demi-sœur d'Abraham. Elle a pour père Terah et pour mère Tassa, quand Abraham a pour père Terah et pour mère Amatlaï. Abraham la désigne en Genèse 20:12 : « la fille de mon père, mais pas celle de ma mère ». La pratique du mariage incestueux entre un frère et sa demi-sœur est plus tard réprouvée par le Lévitique[2],[3]. Sarah est ainsi la demi-sœur non seulement d'Abraham mais aussi de Haran et de Nahor  ; elle est la tante de Loth, Milca, Isca et Bethuel, par le sang et par alliance. Des midrashim donnent cependant Sarah comme nièce d'Abraham et fille d'Haran le frère d'Abraham[4],[5]. La pratique du mariage oncle-nièce est également condamnée par l'écrit de Damas (du Ier ou IIe siècle av. J.-C.)[6].

Dans le Livre de la Genèse, Abram, poussé par la famine, quitte le pays de Canaan avec sa maisonnée pour se rendre en Égypte. Sachant que Saraï est d'une grande beauté et craignant que le Pharaon ne le tue pour être avec elle, Abram demande à Saraï de dire au pharaon qu'elle est sa sœur, afin d'être bien traité[7]. Le pharaon emmène Saraï dans son palais pour la prendre pour femme et offre de nombreux cadeaux et marques de distinction à Abram mais quand il se rend compte que la malédiction est tombée sur sa maison[8] parce que Saraï est l'épouse d'Abram, il exige qu'ils quittent l'Égypte sur le champ[9].


De retour à Canaan, le couple vit encore dix ans sans enfant. Alors qu'elle a 75 ans, Saraï, qui se croit stérile, propose son esclave égyptienne Agar comme femme à Abram, pour avoir par elle des enfants et « se construire », dit-elle, en vue de pouvoir adopter le fils qui naîtra de cette union[10],[11]. « Et Abram écouta la voix de Saraï »[12]. Lorsque Agar tombe enceinte (d'Ismaël), elle méprise Saraï et lui manque de respect. Celle-ci s'en plaint à Abram[13], qui cède à son épouse en laissant Agar entre ses mains. À un moment donné, Agar fuit sa maîtresse qui la maltraite mais revient après que les anges l'ont rassurée et consolée[14]. La servante donne naissance au premier fils d'Abram, Ismaël, quand Abram est âgé de quatre-vingt-six ans[15].

Dans le récit de l'Alliance par la circoncision dans Genèse 17, au cours de laquelle YHWH promet à Abram âgé de 99 ans que lui et Saraï âgée de 90 ans auront un fils, Abram est renommé Abraham et Saraï est renommée Sarah[16] : « ...je maintiendrai mon alliance avec toi, et je te multiplierai à l'infini »[17].

« Ton nom ne s'énoncera plus, désormais, Abram : ton nom sera Abraham, car je te fais le père d'une multitude de nations »[18]

«...je ferai de toi des peuples, et des rois seront tes descendants. Cette alliance, établie entre moi et entre toi et ta postérité dernière, je l'érigerai en alliance perpétuelle, étant pour toi un Dieu comme pour ta postérité après toi. Et je donnerai à toi et à ta postérité la terre de tes pérégrinations, toute la terre de Canaan, comme possession indéfinie »[19]

«... "Pour toi, sois fidèle à mon alliance, toi et ta postérité après toi dans tous les âges. Voici le pacte que vous observerez, qui est entre moi et vous, jusqu'à ta dernière postérité... et ce sera un symbole d'alliance entre moi et vous. A l'âge de huit jours, que tout mâle, dans vos générations, soit circoncis par vous ; même l'enfant né dans ta maison »[20]

«... "Saraï, ton épouse, tu ne l'appelleras plus Saraï, mais bien Sarah[21]. Je la bénirai, en te donnant, par elle aussi, un fils ; je la bénirai, en ce qu'elle produira des nations et que des chefs de peuples naîtront d'elle." Abraham tomba sur sa face et sourit ; et il dit en son cœur "Quoi! un centenaire engendrerait encore ! et à quatre-vingt-dix ans, Sara deviendrait mère !" »[22]

«..."Certes, Sara, ton épouse, te donnera un fils, et tu le nommeras Isaac. Je maintiendrai mon pacte avec lui, comme pacte perpétuel à l'égard de sa descendance[23]... Pour mon alliance, je la confirmerai sur Isaac, que Sara t'enfantera à pareille époque, l’année prochaine"[24]. » Dieu apparaît ensuite à travers la visite de trois hommes[25] passant près des chênes de Mambré, à qui Abraham offre l'hospitalité. Abraham demande à Sarah de préparer des gâteaux avec « trois mesures de farine de pur froment »[26] et fait accommoder un plat de veau pour les recevoir dignement. L'un des étrangers réitère l'annonciation de la grossesse de Sarah pour l'année suivante, laquelle entend ce qui se dit à l'entrée de la tente se met à rire intérieurement à la perspective d'avoir un enfant à son âge avancé. Le visiteur demande à Abraham pourquoi Sarah se moque de l'idée de porter un enfant car son âge n'est rien pour Dieu. Sarah, prise de peur, ment à Dieu en niant avoir ri. Dieu réaffirme simplement le contraire[27].


Entre-temps, Abraham et Sarah se déplacent à nouveau vers le sud, au pays philistin de Guérar. Là, Abraham dit de nouveau que Sarah est sa sœur, de nouveau Sarah est emmenée à la maison du roi Abimélech et de nouveau, Dieu punit le roi et sa maison. Cette fois, Dieu envoie un avertissement sous forme de rêve à Avimelech, qui l'empêche de toucher à Sarah. Abimélech rend Sarah à Abraham et leur donne des cadeaux[28].

Treize ans après la naissance d'Ismaël, Sarah est exaucée par Dieu, et Isaac (qui signifie « il rira » en hébreu), son premier et unique enfant, vient au monde dans la joie et l'émerveillement, un an après la prédiction du visiteur. Suivant le commandement de Dieu, l'enfant est circoncis à l'âge de huit jours[29], son père Abraham étant âgé de 100 ans et sa mère Sarah de 90 ans[30].

Quand Isaac a probablement trois ans, Abraham organise un grand festin pour fêter la fin de son sevrage[31]. Ce jour-là, Sarah surprend Ismaël âgé de 16 ans en train de se moquer et rire en regardant Isaac - action répréhensible aux yeux de Sarah[32]. Elle demande à Abraham de le chasser pour qu'Isaac n'ait pas à partager l'héritage avec son frère aîné[33]. Elle craint également les ambitions d'Agar. Abraham en est contrarié[34] mais Dieu lui dit de toujours écouter la voix de Sarah car l'Alliance avec sa postérité passe par Isaac[35]. Alors Abraham chasse Ismaël et sa mère Agar dans le désert de Beer-Sheva[36].


Sarah n'apparaît pas dans le récit de la ligature d'Isaac (dit « sacrifice d'Isaac » dans le christianisme)[37].

Sarah meurt à Kiryat Arba près d'Hébron, âgée de 127 ans[38]. « Abraham s'y rend pour dire sur Sarah les paroles funèbres et pour la pleurer »[39]. Il l'enterre à la grotte de Machpéla, en face de Mamré à Hébron, située dans un champ qu'Abraham achète devant témoins quatre cents sicles d’argent à cet effet à Ephron le Hittite (Heth)[40].

Après la mort de Sarah, Abraham épouse Keturah (qui pourrait être Agar[41],[42]) et par elle, a au moins six autres enfants[43],[44].

Interprétation[modifier | modifier le code]

Selon la plupart des érudits modernes, Saraï (שָׂרַי) et Sarah (שָׂרָה) proviennent de la même racine SRR, les deux signifiant « femme importante ». Le mot hébraïque שר (sar) est connu dans d'autres langues sémitiques telles que šarru en akkadien, šr en phénicien et ougaritique signifiant « roi » ou « prince ». Selon une interprétation contestée par Thomas Römer[45] qui n'y voit qu'une variante orthographique, le renommage de Saraï en Sarah correspondrait à un glissement sémantique depuis « ma princesse » vers « princesse ».

Une minorité d'érudits tirent Saraï de la racine SRY, signifiant « affronter », « lutter » ou « résister », semblable au nom « Israël »[46]. Sarah est considérée comme la matriarche (« Sarah imenou »), la mère des enfants d'Israël, du peuple juif, la première des quatre aïeules (avant Rébecca, Rachel et Léah) et également la première[N 1] des sept prophétesses d'Israël (avant Miriam, Devorah, Hanna, Avigayil, Huldah et Esther). Elle est un modèle à imiter[47].

Les sages ont proposé plusieurs explications midrashiques pour son changement de nom de Saraï à Sarah, par exemple qu'elle a obtenu le remplacement de la petite lettre י / yod (à la fin de Saraï) par la plus grande lettre ה / He (à la fin de Sarah) en raison de ses bonnes actions[48].

La Torah enseignant que les noms ne sont pas donnés au hasard, il n’est pas anodin que Sarah ait eu trois noms dont le changement correspond à des transformations au cours de sa vie et amène à chaque fois une plus grande élévation spirituelle[47] : toute jeune fille, elle est connue sous le nom de Yiscah, ce qui signifie « voir » car elle est née avec une prophétie puissante, dotée d'une vision spirituelle[N 1] affectant la façon dont elle perçoit le monde, et sa beauté visible (« belle à voir »[49]) explique la façon dont le reste du monde la perçoit ; le prénom Saraï signifie « ma princesse » parce qu'elle devient la princesse de sa maison et de sa tribu, en assumant son rôle de fondatrice d'une nation, tout en restant divinement inspirée[50] ; enfin, Dieu exige qu'on l'appelle Sarah, signifiant « princesse », comme une Alliance avec elle au cours de laquelle il la bénit[29], alors âgée de 90 ans, quand il lui donne l'enfant Isaac, elle atteint son véritable statut définitif[47].

Alors que Sarah est présentée dans des versets bibliques comme la demi-soeur d'Abraham, des commentateurs l'identifient comme étant Iscah (Genèse 11:29), fille d'Haran, le frère d'Abraham[51],[52]. L'identification par Abraham comme « la fille de son père » (Gen 20:12) est expliquée comme signifiant « la petite-fille de son père »[52],[N 2]. Cette perception fait de Sarah, fille de Haran, la petite-fille de Terah, la nièce d'Abraham et de Nahor (et sa belle-sœur), la sœur de Loth et Milca (hébreu : Milkah), et la cousine germaine de Bethuel[52].

Dans deux versets de la Bible[53], Abraham demande à Sarah de se présenter comme sa soeur (et non son épouse), afin que sa vie soit préservée.

Des parallèles à l'histoire de Sarah proposant Agar à son époux peuvent être établis avec l'histoire également biblique de Rachel, de Leah et leurs esclaves qui sont offertes à Jacob.

Selon certains commentateurs dont Rachi, Sarah est morte sur le coup après avoir été informée de l’intention d’Abraham de sacrifier leur fils sur ordre de Dieu[54].

Devant le cénotaphe de Sarah à Hébron (Cisjordanie)

Rachi explique que la Torah écrit « La vie de Sarah fut de cent ans, vingt ans et sept ans »[55] parce que Sarah est « aussi belle à 100 ans qu’à 20 ans et qu’à 7 ans »[47].

Selon Moïse Maïmonide , tout comme les convertis au judaïsme doivent se considérer comme des descendants d'Abraham[56], Sarah est également considérée comme la mère de tout converti au judaïsme. Il est dit qu'au cours de leurs voyages, Abraham convertit les hommes et Sarah les femmes[57] ; selon le Zohar, ils préparaient aussi un lieu d'immersion à cet effet[58].

Selon la tradition juive, la grotte de Makpéla où Sarah est enterrée (avec d'autres personnages importants de la Bible), est située au tombeau des Patriarches à Hébron, qui est un lieu saint du judaïsme.

Liturgie juive[modifier | modifier le code]

Hayei Sarah (hébreu : חיי שרה, « la vie de Sarah ») est la cinquième parasha (section hebdomadaire) du cycle annuel juif de lecture publique de la Torah. Les Juifs de la Diaspora la lisent le cinquième Shabbat après la fête de Sim'hat Torah, ayant généralement lieu en novembre.

Elle est constituée du texte de Genèse 23:1 à 25:18.

Références chrétiennes[modifier | modifier le code]

La Première épître de Pierre loue Sarah pour avoir obéi à son mari[59],[60]. Elle est louée pour sa foi dans le passage de la « salle de la foi » des Hébreux aux côtés d'un certain nombre d'autres personnages de l'Ancien Testament[61].  

D'autres références à Sarah dans le Nouveau Testament se trouvent dans les épitres aux Romains[62] et aux Galates[63]. Dans Galates 4 , elle et Agar figurent une allégorie de l'ancienne et de la nouvelle Alliance : celle du mont Sinaï correspondant à la ville de Jérusalem pour Agar esclave enfantant des esclaves, et celle de la Jérusalem céleste pour Sarah enfantant des hommes libres, enfants de la Promesse[64].

Récit islamique[modifier | modifier le code]

Dans l'islam, Sarah (arabe : سارة, Sarah) est la première femme du prophète Ibrahim (Abraham) et la mère d'Ishaq (Isaac). C'est une femme honorée par sa foi ; mais comme pour Agar, son nom n'est pas mentionné directement dans le Coran qui y fait référence via l'histoire d'Abraham. Elle vécut avec Ibrahim pendant toute sa vie et, bien qu'elle fût stérile, Dieu lui promit la naissance prophétique d'un fils Ishaq et d'un petit-fils du nom de Ya`qoûb (Jacob).

Sarah et Ibrahim n'avaient eu encore aucun enfant. Ibrahim pria constamment Dieu pour avoir un fils. Sarah lui donna sa servante égyptienne[65], Hajar (Agar) afin qu'Ibrahim la prenne comme seconde épouse. Agar porta Isma`îl (Ismaël) alors qu'Ibrahim avait 86 ans, enfant destiné à devenir également prophète.

Treize ans plus tard, Dieu annonça à Ibrahim, maintenant centenaire, que Sarah, malgré sa stérilité, allait donner naissance au second fils d'Ibrahim, du nom d'Ishaq, qui deviendrait également un prophète de Dieu. De même, le Coran cite le moment où Sara rit lorsque des anges lui annoncent la naissance d'Ishaq dont le nom arabe peut être tiré de la racine « rire » et signifierait « elle a ri ».

« 69. Et Nos émissaires sont, certes, venus à Abraham avec la bonne nouvelle, en disant : « Salam ! » Il dit : « Salam ! », et il ne tarda pas à apporter un veau rôti. 70. Puis, lorsqu’il vit que leurs mains ne l’approchaient pas, il fut pris de suspicion à leur égard et ressentit de la peur vis-à-vis d’eux. Ils dirent : « N’aie pas peur, nous sommes envoyés au peuple de Lot ». 71. Sa femme était debout, et elle rit alors ; Nous lui annonçâmes donc (la naissance d’) Isaac, et après Isaac, Jacob. 72. Elle dit : « Malheur à moi ! Vais-je enfanter alors que je suis vieille et que mon mari, que voici, est un vieillard ? C’est là vraiment une chose étrange ! » »

— Coran 11:69-72.

Arbre généalogique[modifier | modifier le code]

Sarah est la nièce d'Abraham.

Fêtes[modifier | modifier le code]

Sarah est fétée le 1er septembre dans l'Église catholique[66],  le 19 août dans l'Église copte orthodoxe[67], le 20 janvier dans l'Église luthérienne - Synode du Missouri[68],  et les 12 et 20 décembre dans l' Église orthodoxe orientale[69].

Postérité[modifier | modifier le code]

Peinture[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (en)Shabbethai ben Joseph Bass (1641–1718), un célèbre commentateur de la Torah, écrit dans son Siftei Chachamim que le niveau de prophétie de Sarah était supérieur à celui d'Abraham.
  2. De même, Abraham et la Bible en général décrivent Loth, le frère d'Iscah/Sarah, comme le frère d'Abraham, bien que Loth soit en réalité un neveu, pas un frère. Voir Schwartz, Howard, (1998) p. 36
  1. Simha G, « Sarah Iménou, notre modèle à toutes », sur Torah-Box, (consulté le )
  2. Lv 18,9.
  3. Lv 20,17.
  4. Pirque Rabbi Eliezer.
  5. Baba Bathra 91a.
  6. Ecrit de Damas, A4:7-11.
  7. Genèse 12:11-13
  8. Gen. 12:14-17
  9. Gen 12:18-20
  10. André Wénin, « Abraham, Sarah et Agar dans le récit de la Genèse. Approche narrative et interprétation », Transversalités, vol. 141, no 2,‎ , p. 157 (ISSN 1286-9449 et 2259-3799, DOI 10.3917/trans.141.0157, lire en ligne, consulté le )
  11. (en)Victor P. Hamilton, The Book of Genesis. Chapters 1-17, Grand Rapids, MI, Eerdmans, coll. The New International Commentary on the Old Testament, 1990, p. 444-445
  12. Gen. 16,2b
  13. Gn 16:1-6
  14. Gen. 16:2-6
  15. Gén. 16:16
  16. (en) Brown, Raymond E. (Raymond Edward), 1928-1998. Fitzmyer, Joseph A. Murphy, Roland E. (Roland Edmund), 1917-2002. Martini, Carlo Maria Cardinal., The new Jerome biblical commentary, Prentice-Hall, (OCLC 1150834115, lire en ligne), p. 22
  17. Gen. 17:4
  18. Gen. 17:4-5
  19. Gen. 17:6-8
  20. Gen. 17:10-12
  21. Gen 17:15
  22. Gen. 17:16-17
  23. Gen. 17:19
  24. Gen. 17:21
  25. Gn 18,1-15.
  26. Gen. 18:6
  27. Gen. 18:11-15
  28. Gen. 20
  29. a et b Gn 21,4.
  30. Gn 21,5.
  31. Gn 21,8.
  32. Gen. 21:9
  33. Gn 21,9-10.
  34. Gn 21,11.
  35. Gn 21,12.
  36. Gn 21,1-21.
  37. Gen. chapitre 22
  38. Gn 23,1.
  39. Gen. 23:2
  40. Gen. 23
  41. « Bible Segond 1910/Genèse (complet) - », Genèse 25, sur fr.wikisource.org (consulté le )
  42. La Bible avec le commentaire de la Torah par Rachi, traduction de Jacques Kohn. Commentaires de Rachi sur les versets 1 et 6 du chapitre 25 du Livre de la Genèse.
  43. Genèse 25,2.
  44. 1 Chroniques 1,32.
  45. Thomas Römer, « Le cycle d'Abraham (suite) : alliances, sacrifices et guerres scandaleuses », sur Collège de France, .
  46. « שרה, רבקה, רחל ולאה - האקדמיה ללשון העברית », sur web.archive.org,‎ (consulté le )
  47. a b c et d (en) Nechama Rubinstein, « The Three Faces of Sarah - Yiscah, Sarai and Sarah », sur Chabad.org, s. d.
  48. מכילתא דרבי ישמעאל (Michilta Darbi Ishmael)
  49. Talmud, Meguila 14a.
  50. Genèse Rabba 45:2.
  51. Yitzhaki, Solomon. RASH'I Commentary on the Torah.
  52. a b et c Schwartz, Howard, (1998). Reimagining the Bible: The Storytelling of the Rabbis, Oxford University Press, New York, p. 36.
  53. En Genèse 12:10 à 13:1, lors de la rencontre avec Pharaon, roi d'Égypte, et Genèse 20, lors de la rencontre avec Abimélec, roi des Philistins.
  54. La Bible avec le commentaire de la Torah par Rachi, traduit par Jacques Koh. Commentaire de Rachi sur le verset 2 du chapitre 23 du Livre de la Genèse.
  55. Gén. 23:1
  56. Rambam, Mishneh Torah, Hilchot Bikkurim 4:3.
  57. Genèse Rabba 39:21.
  58. Zohar 1:102b.
  59. 1 Pierre 3:6 , cité dans Herbermann, Charles, éd. (1913).
  60. (en) James F. Driscoll, « Catholic Encyclopedia (1913)/Sara - Wikisource, the free online library », sur en.wikisource.org (consulté le )
  61. (en) The King James Bible (Hébreux 11:11) (lire en ligne)
  62. (en) « Bible Gateway passage: Romans 4:19, Romans 4:19 - New Revised Standard Version Updated Edition », sur Bible Gateway (consulté le )
  63. The King James Bible (Galates 4:22-23) (lire en ligne)
  64. (en) « Bible Gateway passage: Galatians 4:22-26, Galatians 4:28, Galatians 4:28 - New Revised Standard Version Updated Edition », sur Bible Gateway (consulté le )
  65. Martin Lings, Muhammad, Chapter 1. The House of God, Suhail Academy Publishing.
  66. (de) Zeno, « Lexikoneintrag zu »Sara (5)«. Vollständiges Heiligen-Lexikon, Band 5. Augsburg 1882, ... », sur www.zeno.org (consulté le )
  67. (pl) « Sara », sur DEON.pl (consulté le )
  68. « Lutheran - Religious calendar 2024 - Calendar.sk », sur calendar.zoznam.sk (consulté le )
  69. (ru) « Са́рра, жена ветхозаветного патриарха Авраа́ма: житие, иконы, день памяти », sur azbyka.ru (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Vers le récit biblique
  • Pharaon enlève Saraï à Abram Ge 12. 10-20.
  • Naissance d’Ismaël, fils d’Abram et d’Agar Ge 16.
  • Renouvellement de l’alliance, Abram devient Abraham, Saraï devient Sarah, circoncision des mâles Ge 17.
  • Chênes de Mamré, annonce de la naissance d’Isaac, annonce de la destruction de Sodome et Gomorrhe Ge 18.
  • Sodome, sauvetage de Loth, statue de sel, Inceste de Loth et de ses filles Ge 19.
  • Abimélec, roi de Guérar, Abraham fait à nouveau passer Sarah pour sa sœur Ge 20.
  • Naissance d’Isaac, conflit de Sarah avec Agar et Ismaël, promesses de Dieu envers Ismaël Ge 21.
  • Sacrifice d’Isaac, renouvellement de l’alliance Ge 22.
  • Mort et sépulture de Sarah Ge 23.