Montmirail (Marne)

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Montmirail
Montmirail (Marne)
Vue sur Montmirail, depuis La Dorgeaterie.
Blason de Montmirail
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Épernay
Intercommunalité CC de la Brie Champenoise
(siège)
Maire
Mandat
Étienne Dhuicq
2024-2026
Code postal 51210
Code commune 51380
Démographie
Gentilé Montmiraillais
Population
municipale
3 557 hab. (2021 en diminution de 2,36 % par rapport à 2015)
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 13″ nord, 3° 32′ 13″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 224 m
Superficie 48,82 km2
Unité urbaine Montmirail
(ville isolée)
Aire d'attraction Montmirail
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sézanne-Brie et Champagne
Législatives 5e circonscription de la Marne
Localisation
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Montmirail
Géolocalisation sur la carte : France
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Montmirail
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Montmirail
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Montmirail
Liens
Site web http://www.montmirail.fr/

Montmirail[1] est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est, à l'intersection de 3 départements : la Marne, l'Aisne et la Seine-et-Marne.

Ses habitants sont appelés les Montmiraillais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Montmirail fait partie géologiquement de la Brie champenoise, moins fertile que la Brie française, mais qui comprend pourtant de bonnes terres à blé. Étant donné son altitude et sa situation sur un éperon, son climat est plutôt rude. La ville domine la vallée du Petit Morin, creusée dans les sables. On y trouve, dans une « sablière » étudiée autrefois par Georges Cuvier, et un peu partout dans les alluvions, de grands coquillages qui ne se rencontrent que dans les mers chaudes, ainsi que des fossiles d'animaux disparus.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Situation[modifier | modifier le code]

La ville est considérée comme la capitale de la Brie champenoise. Elle est située à l'extrémité ouest du département de la Marne à proximité du département de l'Aisne et du département de Seine-et-Marne.

Les grandes villes les plus proches sont :

Quartiers, hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Courbetaux, ancienne commune indépendante, au sud-est.
  • Courcelles, hameau, à l'ouest.
  • Hautefeuille, situé à environ 4 km au nord, entre le lieu-dit L'Échelle-le-Franc et la commune de Vauchamps) compte environ 150 habitants et ne comporte que deux rues : la rue de Vauchamps et la rue Verte.
  • La Dorgeaterie, à l'ouest.
  • L'Échelle-le-Franc, à la sortie de la ville, à environ 3 km au nord, et en direction du lieu-dit Hautefeuille, compte environ 50 habitants.
  • Le Saussat, à l'ouest.
  • Maclaunay, au sud-est.
  • Mondant, semblable à un village, à l'est, dont la population avoisine les 150 habitants.
  • Montcoupot, à l'ouest.
  • La Grâce, au sud-est, emplacement de l'ancienne abbaye de la Grâce-Notre-Dame, aujourd'hui une ferme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Esternay-Man », sur la commune d'Esternay à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 780,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Castellum quod dicitur Mons Mirellus (1125), Mons Mirabilis (1131), Montmirail (1147), Mons Miralli (1148), Mons Mirail (1154-1159), Montmiralt (1169), Monmiral (1182), Montmiral (1190), Monmirail (1222), Montmirel (1261), Mommiral (1278), Montmirail-en-Brie (1391), Mommirail-en-Brie (1419), Montmiraille (1622), Mon-Mirelle (1778), Montmirail-Marne (1859)[9].

D'autre part, le roi change « le nom de la dite terre de Montmirel en celuy de Louvois la Ville » en 1716, mais les lettres patentes données à cet effet ne semblent pas avoir été exécutées[9].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en Mont- au sens de « colline, élévation de terrain, hauteur », appellatif toponymique issu du gallo-roman MONTE (du latin montem, accusatif de mons). Le second élément -mirail représente l'ancien français mirail « miroir » → « point de vue, poste d'observation » cf. Montregard[10]. Il s'agit d'un dérivé de mire, suivi du suffixe à valeur superlative -ail (cf. vitrail, etc.).

Remarque : les formes anciennes du type Mons Mirabilis sont des latinisations fantaisistes de clercs médiévaux. L'adjectif mīrābilis signifie en latin « admirable, merveilleux », d'où « miraculeux, lieu des miracles » et dont le substantif en latin populaire, *mirabĭlia, (altération du latin classique mīrābĭlia) a donné merveille par évolution phonétique régulière et pas autre chose.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Durant la période romaine, Montmirail est une petite agglomération de 4 à 5 hectares, établie sur une hauteur dominant la vallée du Petit Morin. Elle se situe à un carrefour de voies terrestres, dont l'une, provenant de Saint-Quentin et allant vers Troyes, dessert également l'agglomération de Château-Thierry, tandis qu'une seconde voie venant de Meaux se dirige ensuite vers Châlons-en-Champagne. Cette agglomération se situait également sur les confins sud de la cité des Suessions, en contact avec la cité voisine des Tricasses[11].

Période médiévale[modifier | modifier le code]

Baronnie de Montmirail fin XVIe siècle par Claude Chastillon.
Allée du château de Montmirail.

La terre de Montmirail, en Brie champenoise, eut pour premier seigneur connu Dalmace de Tresmes, Condé, La Ferté et Montmirail vers 1060, d'où une longue lignée illustrée notamment par le bienheureux Jean de Montmirel, connétable de France, et par les Coucy à partir du mariage d'Enguerrand III avec Marie, la fille dudit bienheureux Jean et l'héritière de Montmirail et des autres fiefs de la famille (il était venu s'ajouter Oisy, Crèvecœur, La Ferté-Ancoul, la châtellenie de Cambrai...). La suzeraineté, elle, passa de la Maison de Champagne à la Maison de France (les rois Capétiens) en 1284 lors du mariage de Jeanne de Champagne avec Philippe le Bel. Montmirail relevait de la seigneurie comtale de Château-Thierry (l'Omois), rattachée à la Brie, et ses seigneurs particuliers sont indiqués à l'article Montmirail.

Le 1er Août 1429, Jeanne d'Arc, de retour de Reims, après le sacre de Charles VII, fit étape à Montmirail, avant de marcher vers Paris.

Période moderne[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, la ville de Montmirail dépend du diocèse de Soissons, de l'archidiaconé de Brie et du doyenné d'Orbais. En revanche, les paroisses de Courbetaux, de L'Échelle et de Maclaunay, qui font désormais partie de la commune de Montmirail (voir infra pour les fusions de communes), dépendaient du diocèse de Troyes et de l'archidiaconé et du doyenné de Sézanne. Montmirail se trouvait donc à la frontière de deux diocèses[12].

Montmirail fut une étape de la fuite de la famille royale dans la nuit du 20 au , alors qu'elle fuyait le Paris révolutionnaire ; les voitures royales s’arrêtèrent à Montmirail avec trois heures de retard sur l’horaire prévu, ce qui permettra de les intercepter plus tard à Varennes-en Argonne, une fois le roi reconnu par le maître de poste Drouet.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montmirail s'est constitué par absorption de certaines de ses voisines. Le mouvement s'amorce dès la période révolutionnaire, avec entre 1795 et 1800 l'absorption des communes de Montcoupeau (aujourd'hui hameau de Mont Coupot) et de Montléan. L'année 1966 voit (par arrêté du ) l'absorption des communes de Courbetaux et de L'Échelle, puis, par arrêté préfectoral du , celle de Maclaunay[13].

En 1814 eut lieu la bataille de Montmirail, gagnée durant la campagne de France par Napoléon Bonaparte.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie de Montmirail.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Gaston Beaudoin    
1947 1959 Robert Mathieu    
1959 1963 Jean de La Rochefoucauld   Ancien exploitant agricole
Démissionnaire
novembre 1963 octobre 1992 Philippe Amelin[15]
(1926-1992)
UNR puis UDR
puis RPR
Médecin généraliste
Conseiller régional de Champagne-Ardenne (1976 → 1982)
Conseiller général de Montmirail (1964 → 1992)
1er vice-président du conseil général (1985 → 1992)
Chevalier de la Légion d'honneur (1988) et de l'Ordre national du Mérite
Décédé en fonction
1992 mars 2001 Gérard Adam[16]
(1933-2023)
  Ingénieur à la DDE
Adjoint au maire (1971 → 1992)
Vice-président de la CC de la Brie Champenoise (1997 → 2001)
mars 2001 mars 2014 Bernard Doucet[17] RPR puis UMP Chef d'entreprise
Conseiller général de Montmirail (1992 → 2015)
Vice-président du conseil général
Président de la CC de la Brie Champenoise (1997 → 2008)
mars 2014[18] En cours
(au 2 avril 2024)
Étienne Dhuicq UMP-LR Agriculteur propriétaire-exploitant
Président de la CC de la Brie Champenoise (2008 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[19]
Réélu à la suite d'une élection municipale partielle[20]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Montmirail est jumelée avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 3 557 habitants[Note 2], en diminution de 2,36 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7512 1022 1512 2782 3432 3472 5452 7752 552
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6002 5082 5222 2892 3512 3492 3772 3732 402
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3132 3352 4002 2642 3662 3122 2442 2402 187
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 3062 9963 4233 6963 8123 7833 7423 8053 778
2014 2019 2021 - - - - - -
3 6403 5713 557------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Santé[modifier | modifier le code]

Le Centre Hospitalier Rémy-Petit-Lemercier a été reconstruit en 2009 et accueille 250 personnes avec un service d'hospitalisation de 40 lits, un É.H.P.A.D[25] de 180 lits dont 28 lits en accueil des personnes atteintes par la maladie d’Alzheimer et un S.S.I.A.D. de 30 places.

L'ancien couvent de Montmirail avait également le statut d'EHPAD[26] avant d'être transféré sur le site de l'hôpital en 2017.

Économie[modifier | modifier le code]

La ville était depuis le XIIIe siècle un lieu de draperie avec moulin à fouler et ateliers de tissage, en 1684 leur présence est toujours attesté. Certaines parcelles agricoles de la commune pourraient prochainement entrer dans la zone de production des vins de Champagne.

L'usine Doucet de L'Échelle-le-Franc, (du même nom que le maire Bernard Doucet) employait de nombreuses personnes des alentours, mais est aujourd'hui fermée. Reconvertie en espace d'entreprises dénommé « Espace Doucet », elle regroupe :

    • une entreprise de menuiserie « FPF Menuiserie »,
    • une entreprise de photographies pour la décoration « Numgallery sarl »,
    • une entreprise de plomberie couverture « Enders Couverture, Plomberie »,
    • une entreprise de matériel agricole « Marchal »
    • une société de construction de matériel ferroviaire « Difer » installée dans l'ancienne usine des Chemins de Fer Départementaux (CFD).

On compte plusieurs entreprises dans le hameau de Mondant, notamment dans le secteur des travaux agricoles ou du terrassement, ainsi qu'une zone industrielle relativement importante qui draine une activité importante et rayonne sur les communes alentour. La société Axon' Cable qui emploie environ 650 habitants locaux, est dirigée par Joseph Puzo[27], propriétaire du château de Montmirail.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Montmirail est ville fleurie, ayant obtenu trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris de France[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Montmirail

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Fascé de vair et de gueules.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Selon le site officiel du cadastre, la superficie de la parcelle sur la commune de Montmirail est de 202 m2, alors que celle sur Marchais-en-Brie est de 136 m2.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Insee - Code Officiel Géographique », sur Insee.fr (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Montmirail et Esternay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Esternay-Man », sur la commune d'Esternay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Esternay-Man », sur la commune d'Esternay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. a et b Auguste Longnon, Dictionnaire topographique du département de la Marne, Paris, Impr. nationale, 1891, p. 176 (lire en ligne) [1]
  10. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b
  11. Chossenot R. et alii, Carte archéologique de la Gaule, 51, La Marne, 2004, p. 530-533.
  12. Carte du diocèse de Soissons : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8592396b/f1.item.zoom
  13. « Montmirail - Notice Communale », sur ehess.fr (consulté le ).
  14. « Almanach royal et national... : présenté à Sa Majesté et aux princes et princesses de la famille royale » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  15. [PDF] Brie Champenoise Info n°10, octobre 2016.
  16. P. B., « L'ancien maire de Montmirail Gérard Adam est décédé », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. [xls]« Liste des maires au 1er août 2008 », sur site de la préfecture de la Marne (consulté le ).
  18. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
  19. « Le maire et les adjoints de Montmirail sont désormais installés : Avec retard, le nouveau Conseil municipal a pu être installé et élire le maire et ses adjoints », Le Pays Briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Étienne Dhuicq conserve le siège de maire ».
  20. [2]
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. le site de l'hôpital
  26. Présentation sur Maison de retraite sélection
  27. « Connaissez-vous Joseph Puzo from Montmirail ? Le Tour de France survolé par un drone... », sur Jean Michel Billaut (consulté le ).
  28. « Montmirail : Église Saint Etienne », sur Églises en Marne (consulté le ).
  29. « Église Saint-Timothée-et-Saint-Symphorien de l'Echelle-le-Franc », sur Sauvegarde de l’Art Français (consulté le ).
  30. LG avec Laurent Vilain, « Maclaunay (Montmirail) va devoir détruire son église », sur francetvinfo.fr, France 3 Grand Est, (consulté le ).
  31. « Dolmen du Trou-du-Bœuf (restes) », notice no PA00078746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Villes et Villages Fleuris
  33. « Non, le Godefroy des Visiteurs ne vient pas de Montmirail » (consulté le )