Greg Van Avermaet
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Greg Van Avermaet, né le Modèle:Date sport à Lokeren, est un coureur cycliste belge, membre de l'équipe BMC Racing. Il est passé professionnel en 2007 et a notamment remporté le classement par points du Tour d'Espagne 2008, ainsi que la classique Paris-Tours en 2011.
Biographie
Greg Van Avermaet est le fils de Ronald Van Avermaet, cycliste professionnel de 1982 à 1985, et petit-fils d'Aimé Van Avermaet, cycliste professionnel de 1957 à 1963. Son beau-frère Glenn D'Hollander a été coureur professionnel, et son coéquipier de 2008 à 2010.
2006-2007 : débuts professionnels
Greg Van Avermaet débute sa carrière en 2006 dans l'équipe Bodysol-Win For Life-Jong Vlaanderen. Il devient champion de Belgique espoirs et gagne à quatre autres reprises.
La saison suivante, il signe dans l'équipe Predictor-Lotto. Alors qu'il participe à une de ses premières courses professionnelles, il signe une victoire, sur la cinquième et avant-dernière étape du Tour du Qatar, où il domine le sprint d'un groupe d'échappé ayant résisté au peloton. Quelques mois plus tard, il confirme sa bonne pointe de vitesse sur la Vattenfall Cyclassics, où il termine huitième, dans la roue de Paolo Bettini (septième), après s'être adjugé quelques semaines auparavant la deuxième étape du Tour de Wallonie, en septembre, il remporte également le populaire Mémorial Rik Van Steenbergen.
2008-2010 : chez Silence/Omega Pharma-Lotto
2008 : Classement par points sur la Vuelta
L'année 2008 est à nouveau très réussie, il brille comme lors de l'édition précédente au Tour du Qatar, et finit troisième de l'épreuve en remportant le classement des jeunes, avant de suivre les meilleurs en se classant huitième du Tour des Flandres, impressionnant le grand public lors de ce « Ronde », il finit également sur la troisième marche du podium du Grand Prix E3.
Lors du Tour de Belgique, il se trouve bien placé à l'occasion des premiers sprints, et est le seul à pouvoir suivre Stijn Devolder lors de l'étape reine et dans le Mur de Huy. Il parvient à résister aux attaques de son compatriote et domine la montée finale vers Flémalle. Il perd néanmoins son maillot noir de leader du classement général le lendemain dans le contre-la-montre et termine sur la seconde marche du podium de cette course. Peu de temps après, il emmène le sprint de son coéquipier Jürgen Roelandts au Championnat de Belgique et lui permet de conquérir le sprint. Il termine au pied du podium, à la quatrième place.
En juin, il est l'auteur d'un bon Tour de Suisse (quatrième de la première étape, neuvième de la troisième, sixième de la neuvième et dernière, et permettant de remporter deux étapes à Robbie McEwen), mais son équipe étant basée sur les étapes de haute montagne afin d'aider Cadel Evans, il ne participe pas au Tour de France. Il se distingue cependant en juillet au Tour de Wallonie. Il termine deuxième de la première étape et prend la tête du classement général à l'occasion de la deuxième étape arrivant à la Citadelle de Namur, où il échoue une fois de plus à la seconde place. Il conforte son « leadership » le lendemain en s'imposant sur la ligne d'arrivée de la troisième étape, située à Neufchâteau, au terme d'une étape comprenant huit difficultés répertoriées, et une arrivée en légère côte, il ne parviendra pas à remporter le classement final suite à l'échappée comprenant Sergueï Ivanov dans la dernière étape, mais se console avec la marche inférieure du podium.
Début août, il se distingue sur le Tour de l'Ain dès le premier jour, revenant tout près des deux échappés Floris Goesinnen et Paul Moucheraud, il finit troisième, en réglant le sprint du peloton. Le lendemain, les derniers kilomètres sont animés, mais son équipe parvient à reprendre tout le monde, il s'impose signant un nouveau succès et prenant le maillot de « leader » qu'il concède logiquement à Lélex, dans la première partie (dite « A ») de la troisième étape. Il manque de récidiver de peu lors de la quatrième étape, où il termine pour la seconde fois troisième, John Gadret et Jussi Veikkanen passants la ligne devant lui, il se console néanmoins avec le gain du classement par points.
Plus de deux semaines plus tard, il s'illustre sur le Grand Prix de Plouay, si trois coureurs se disputent la victoire, il se classe septième, à nouveau dans les premiers coureurs du peloton.
Vient alors pour lui son premier grand tour, celui d'Espagne, il commence par de très bonnes premières étapes, lors de la première, au circuit final vallonné, il est crédité d'une belle quatrième place, les deux jours suivants, lors des deuxième et troisième étapes, il se classe sixième, puis neuvième à l'occasion de la sixième étape, finissant également en côte, ensuite, vient l'heure de gloire, dans la neuvième manche, il intègre un groupe d'échappée de onze coureurs, résiste dans les quatre difficiles cols de la journée, et signe une magnifique victoire au sprint disposant de Davide Rebellin et Juan Antonio Flecha[1]. Le lendemain, il se montre à nouveau en force, décrochant, de justesse, la troisième place du sprint de la dixième étape, Van Avermaet s'empare de la tête du classement par points, ce qui lui permet de monter une nouvelle fois sur le podium de l'étape. Il accroît son avance par la suite dans la onzième étape (huitième sur la ligne), et même s'il est piégé dans la douzième, il reste en bleu jusqu'à la quatorzième journée, voyant la victoire d'Alberto Contador qui s'empare de la tunique, mais comme ce dernier occupe la tête du général, il continue à porter son bien par procuration, et le reprend officiellement à Valladolid, au terme d'une dix-septième étape ponctuée par une sixième place, qu'il ne quitte point le jour suivant grappillant à nouveau des points[2]. Dans la dix-neuvième manche, il se classe cinquième, troisième du sprint du peloton et compte une avance de vingt-cinq points sur l'Espagnol, si celui-ci, deuxième le lendemain, revient à cinq unités, il assure dans la vingt-et-unième et dernière étape, prenant d'abord quatre points sur le premier sprint intermédiaire en début de course, et malgré le fait qu'une chute en fin de course lui fait une petite frayeur, et que se retrouvant devant trop tôt, il ne parvient point à l'emporter, il se classe néanmoins cinquième, glanant douze points suffisants pour devancer Contador d'un écart de vingt-et-une unités, devenant ainsi le treizième Belge à être le lauréat du « meilleur sprinter », sur la « Vuelta »[3].
Entre temps, grâce à ses très bons résultats, il est sélectionné pour les Championnats du monde de Varèse par Carlo Bomans, nourrissant beaucoup d'espoirs, selon José De Cauwer, « Il sera champion un jour », l'Italien Paolo Bettini déclara lui « À son âge, Alejandro Valverde n'avait pas encore réalisé ce qu'il a fait »[4]. Van Avermaet répondit, « Le Mondial m'inspire»[5]. Durant cette course, il se montre offensif et accroche le premier groupe d'échappée dans les derniers tours, il sera néanmoins distancé dans la dernière difficulté, à six kilomètres de l'arrivée et finira à une honorable dix-septième place.
Le vingt-cinq octobre, il est élu « Flandrien de l'année », devançant Tom Boonen et Stijn Devolder[6].
2009 - 2010
En février 2009, Greg Van Avermaet prend part à plusieurs courses dans le sud de l'Europe. Après s'être classé 66e du Grand Prix La Marseillaise, il obtient ses deux premiers « top 10 » de la saison, à l'occasion de la deuxième étape de l'Étoile de Bessèges (8e) et de la cinquième étape du Tour de l'Algarve (2e derrière Heinrich Haussler). À la fin du mois, il termine quatrième du Circuit Het Nieuwsblad. Au sortir d'un Tirreno-Adriatico discret (59e du classement général), il réalise quelques places d'honneur pendant les classiques. Il se classe 13e de Milan-San Remo et 28e du Grand Prix E3, puis prend la troisième place de la première étape des Trois jours de La Panne, qui passe par de nombreux bergs, et la huitième au sprint le lendemain. Il finit ensuite 35e du Tour des Flandres et 38e de Paris-Roubaix. À la mi-mai, il participe à trois courses d'un jour aux Pays-Bas : il est 18e de la Batavus Prorace, 60e de la Dutch Food Valley Classic et 19e du Tour de Rijke. À la fin du mois, il termine cinquième du Tour de Belgique et deuxième de l'avant-dernière étape. Neuvième du Grand Prix du canton d'Argovie et sixième de la troisième étape du Tour de Suisse, il obtient deux quatrièmes places fin juin en Belgique, lors de Halle-Ingooigem et du championnat national. Il prend part ensuite au Tour de France. Il se classe à deux reprises parmi les dix premiers d'une étape (septième de la 9e étape et quatrième de la 19e étape). Parmi les résultats de sa fin de saison, on peut citer des places au Tour de l'Ain (2e et 5e d'étapes), à l'Eneco Tour (deux étapes conclues à la 4e place), au Grand Prix Jef Scherens (6e) et au Grand Prix d'Isbergues (5e).
En octobre 2010, il finit cinquième du championnat du monde sur route à Geelong en Australie.
2011- : chez BMC Racing
2011 : victoire sur Paris-Tours
Après deux saisons 2009 et 2010 sans succès, Greg Van Avermaet choisit de rejoindre l'équipe américaine BMC Racing en 2011. Il reprend la saison au Moyen-Orient. Après un Tour du Qatar discret (60e du classement général), il obtient ses deux premiers « top 10 » de la saison lors du Tour d'Oman (quatrième de la deuxième étape et sixième le surlendemain). Il prend ensuite part au week-end d'ouverture belge, et se classe 30e de l'Omloop Het Nieuwsblad et 81e de Kuurne-Bruxelles-Kuurne. Après avoir fini neuvième des Monte Paschi Strade Bianche et avoir participé à Tirreno-Adriatico, remporté par son leader Cadel Evans, il aborde les classiques. Il y obtient plusieurs places d'honneur : il se classe neuvième de Milan-San Remo, 22e d'À travers les Flandres et du Tour des Flandres, treizième de Gand-Wevelgem, quinzième de la Flèche brabançonne, 24e de l'Amstel Gold Race, seizième de la Flèche Wallonne et septième de Liège-Bastogne-Liège.
Fin mai, il termine 49e de la ProRace Berlin, puis deuxième de l'avant-dernière étape du Tour de Belgique et du classement général, à chaque fois derrière Philippe Gilbert. Il se rend ensuite au Tour de Suisse, où il prend la neuvième place lors de la cinquième étape. À la fin du mois, il est quatrième de Halle-Ingooigem et 27e de son championnat national. Il remporte la sixième étape du Tour d'Autriche. Lors du Tour de Wallonie, il se montre régulier, puis le 27 juillet, il s'adjuge la cinquième étape et le classement général de l'épreuve devant Joost van Leijen et Ben Hermans. Quelques jours plus tard, il se classe deuxième de la Classique de Saint-Sébastien après le déclassement de Carlos Barredo[n 1]. Puis, il prend part à l'Eneco Tour, qu'il conclut à la quatorzième place du classement général. Le 20 août, il se présente au départ du Tour d'Espagne. Il se classe dans les dix premiers d'une seule étape, en terminant septième de la douzième étape. Une semaine plus tard, il finit 61e du Grand Prix d'Isbergues. Au mois d'octobre, il termine septième de Binche-Tournai-Binche, avant de se présenter au départ de Paris-Tours. À 70 km de l'arrivée, il sort du peloton au sein d'un groupe de 15 coureurs, qui rejoint les échappés 12 km plus loin. Dans la côte de Beau Soleil, il suit l'attaque de Marco Marcato. Il bat au sprint ce dernier pour s'adjuger sa première classique. Il parvient ensuite à monter sur le podium du Tour du Piémont (deuxième, battu par Daniel Moreno), puis finit douzième du Tour de Lombardie.
2012
Greg Van Avermaet commence sa saison 2012 au Tour Down Under. Il finit septième de la deuxième étape et 32e du classement général. En février, il se classe neuvième de la troisième manche du Challenge de Majorque et deuxième de la première étape du Tour d'Algarve. Il prend ensuite part au week-end d'ouverture belge : il est 5e de l'Omloop Het Nieuwsblad et 101e de Kuurne-Bruxelles-Kuurne. Une semaine plus tard, il est cinquième des Strade Bianche, juste derrière son coéquipier Alessandro Ballan. Puis, il termine 69e Milan-San Remo, 26e du GP E3-Harelbeke dans le même temps que le vainqueur Tom Boonen et 27e de Gand-Wevelgem. Sur le Tour des Flandres, il règle le peloton pour la quatrième place, à 38 secondes de Bonnen, Pozzato et Ballan. Après s'être classé cinquième de la Flèche brabançonne, il participe aux classiques ardennaises : il est 36e de l'Amstel Gold Race, 40e de la Flèche Wallonne et 73e de Liège-Bastogne-Liège.
En mai, il obtient plusieurs places d'honneur sur le Tour de Californie (cinquième de la première étape, sixième le lendemain et de la sixième étape). Il est ensuite discret sur le Tour de Suisse, puis se classe 68e de Halle-Ingooigem et 27e du championnat de Belgique. Il décroche deux nouvelles places d'honneur en juillet, à l'occasion du Tour de Pologne (quatrième de la sixième étape) et du Tour de Wallonie (dixième de la troisième étape).
Le 28 juillet, il termine 92e de la course en ligne des JO. Van Avermaet est ensuite 31e de l'Eneco Tour, 13e de la Clásica San Sebastián et 37e du Grand Prix de Plouay. En septembre, après avoir fini 18e de la première édition de la World Ports Classic, il se distingue sur les routes du Québec, où il participe aux deux courses de l'UCI World Tour 2012 dans la Ville de Québec et à Montréal. Dans la première, il place une attaque tranchante dans la Côte de la Montagne, une des dernières difficulté de la journée située à quatre kilomètres de l'arrivée. Le seul coureur parvenant à le rejoindre est l'Australien Simon Gerrans. Le duo résiste au retour du groupe de tête sur le parcours accidenté, et Gerrans profite de sa pointe de vitesse pour dépasser Van Avermaet dans les derniers mètres. Van Avermaet monte sur la deuxième marche du podium[8]. Deux jours plus tard, à Montréal, il tente le coup à 7 kilomètres de l'arrivée, se détachant une fois de plus du groupe de tête, mais sa tentative est contrainte à l'échec et il est repris. Il termine en quatorzième position, à quatre secondes du vainqueur Lars Petter Nordhaug[9]. Il se classe alors deuxième du Grand Prix de Wallonie et 31e du Grand Prix d'Isbergues. Aux championnats du monde, dans le Limbourg néerlandais, Greg Van Avermaet dispute la course en ligne avec un rôle d'équipier pour Tom Boonen et Philippe Gilbert[10]. Ce dernier remporte le titre en attaquant seul dans la dernière ascension du Cauberg. Van Avermaet à la 25e place, dans le même temps qu'Alejandro Valverde, médaillé de bronze. La semaine suivante, il termine huitième du Tour du Piémont et 17e du Tour de Lombardie. Il conclut sa saison par une sixième place sur Paris-Tours.
2013
En 2013, Van Avermaet reprend la compétition au Moyen-Orient : il termine sixième du Tour du Qatar grâce notamment à la victoire de son équipe lors du contre-la-montre et prend la deuxième place de la troisième étape du Tour d'Oman juste derrière Peter Sagan. Il se classe ensuite cinquième de l'Omloop Het Nieuwsblad. Il participe alors à plusieurs courses en Italie. Après s'être classé 40e du Grand Prix de la ville de Camaiore et sixième des Strade Bianche, il prend part à ses deux premières épreuves World Tour de la saison : il est 49e de Tirreno-Adriatico puis 36e de Milan San Remo. Après avoir terminé 24e du GP E3-Harelbeke, il réussit à se glisser dans un groupe de dix coureurs qui se dispute la victoire sur Gand-Wevelgem. Il ne peut pas suivre Peter Sagan, mais prend la troisième place de l'épreuve. Il est ensuite septième du Tour des Flandres et quatrième de Paris-Roubaix, battu pour la troisième place au sprint par Niki Terpstra. Van Avermaet a ainsi fait preuve d'une grande régularité au long des classiques flandriennes[11]. Trois jours plus tard, il figure dans le groupe de onze coureurs qui se jouent la victoire sur la Flèche brabançonne. Il attaque peu avant la flamme rouge et termine sixième de la course, tandis que son coéquipier Philippe Gilbert prend la deuxième place derrière Peter Sagan. Ensuite, il termine seizième de l'Amstel Gold Race, dans le même temps que le deuxième. Une semaine plus tard, il se classe 63e de Liège-Bastogne-Liège.
Un mois plus tard, Van Avermaet dispute le Tour de Belgique, dont il finit 35e du classement général. Début juin, il est 6e du Grand Prix du canton d'Argovie, puis participe au Tour de Suisse. Il travaille pour ses leaders Mathias Frank et Tejay van Garderen, lui-même est 121e du classement général. Une semaine après, il est 7e du championnat de Belgique. Il est ensuite septième de la troisième étape du Tour d'Autriche, puis remporte au sprint la 3e étape du Tour de Wallonie. Deux jours plus tard, il attaque dans le Mur de Thurin, s'adjugeant ainsi l'étape et le classement général. Leader de son équipe avec Philippe Gilbert sur la Classique de Saint-Sébastien[12], il se classe 18e de la course. Il se rend ensuite aux États-Unis. Il s'impose lors de la 1re étape du Tour de l'Utah, puis est deuxième des deux étapes suivantes et 25e du classement général. Il obtient ensuite plusieurs places d'honneurs sur le Tour du Colorado (2e de la première étape, 4e de la troisième, 3e et 5e les deux derniers jours), remporté par Tejay van Garderen devant Mathias Frank.
De retour en Europe, il vise les championnats du monde, où il espère « avoir un rôle libre »[13]. Dans le final du GP de Plouay, il attaque à la sortie de la côte de Ty-Marec, mais se fait reprendre à 300 mètres de la ligne et se classe 71e de l'épreuve. Il participe ensuite aux classiques canadiennes. À l'offensive dans le final du Grand Prix de Québec, il termine 3e du sprint entre les favoris, juste derrière Robert Gesink et Arthur Vichot. Deux jours plus tard, il finit 4e du Grand Prix de Montréal.
Le 17 octobre, il est élu pour la seconde fois « Flandrien de l'année », devançant Gianni Meersman et Jan Bakelants [14].
2014
Van Avermaet est sélectionné pour la course en ligne des championnats du monde[15].
À l'issue de cette saison, il est lauréat du Vélo de cristal et, pour la troisième fois, du Flandrien de l'année.
Palmarès et classements mondiaux
Palmarès année par année
- 2005
- 1re étape du Triptyque des Barrages
- Hasselt-Spa-Hasselt
- 8e du Tour des Flandres espoirs
- 2006
- Champion de Belgique espoirs sur route
- Internationale Wielertrofee Jong Maar Moedig
- Zellik-Galmaarden
- Course des chats
- Grote Prijs Okensvrienden Buggenhout
- 2e de Paris-Tours espoirs
- 2007
- 5e étape du Tour du Qatar
- 2e étape du Tour de Wallonie
- Tour de la Hainleite
- Mémorial Rik Van Steenbergen
- 3e du Tour du Groene Hart
- 8e de la Vattenfall Cyclassics
- 9e de l'Eindhoven Team Time Trial
- 2008
- 3e étape du Tour de Belgique
- 3e étape du Tour de Wallonie
- 2e étape du Tour de l'Ain
- Tour d'Espagne :
- Classement par points
- 9e étape
- 2e du Tour de Belgique
- 2e du Tour de Wallonie
- 3e du Tour du Qatar
- 3e du Grand Prix E3
- 7e du Grand Prix de Plouay
- 8e du Tour des Flandres
- 2010
- 3e de Halle-Ingooigem
- 5e du championnat du monde sur route
- 2011
- 6e étape du Tour d'Autriche
- Tour de Wallonie :
- Classement général
- 5e étape
- Paris-Tours
- 2e du Tour de Belgique
- 2e de la Classique de Saint-Sébastien[n 1]
- 2e du Tour du Piémont
- 7e de Liège-Bastogne-Liège
- 9e de Milan-San Remo
- 2012
- 2e du Grand Prix cycliste de Québec
- 2e du Grand Prix de Wallonie
- 4e du Tour des Flandres
- 2013
- 2e étape du Tour du Qatar (contre-la-montre par équipes)
- Tour de Wallonie :
- 1re étape du Tour de l'Utah
- 3e de Gand-Wevelgem
- 3e du Grand Prix cycliste de Québec
- 3e de Binche-Tournai-Binche - Mémorial Frank Vandenbroucke
- 4e de Paris-Roubaix
- 4e du Grand Prix cycliste de Montréal
- 7e du Tour des Flandres
- 2014
- 5e étape de l'Eneco Tour
- Grand Prix de Wallonie
- Grand Prix Impanis-Van Petegem
- 2e du Circuit Het Nieuwsblad
- 2e du Tour des Flandres
- 5e de l'Eneco Tour
- 5e du Grand Prix cycliste de Québec
- 5e du championnat du monde sur route
- 7e du Grand Prix cycliste de Montréal
- 8e de la Classique de Saint-Sébastien
- 10e du Grand Prix E3
Résultats sur les grands tours
Tour de France
2 participations
Tour d'Espagne
3 participations
Classiques et grands championnats
Classements mondiaux
Année | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 |
UCI World Tour | 56e[16] | 42e[17] | 18e[18] | 24e[19] |
Distinctions
- Trophée Flandrien en 2008, 2013 et 2014[20]
- Vélo de cristal en 2014
Notes et références
Notes
- Carlos Barredo, initialement deuxième de la Classique de Saint-Sébastien 2011, a été déclassé en juillet 2014 par l'UCI[7].
- Carlos Barredo, initialement neuvième du Tour de Lombardie 2010, a été déclassé en juillet 2014 par l'UCI[7].
Références
- « Greg Van Avermaet grandit vite », La Dernière Heure/Les Sports, 9 septembre 2008.
- « Greg Van Avermaet grapille », La Dernière Heure/Les Sports, 19 septembre 2008.
- « Greg Van Avermaet, le treizième », La Dernière Heure/Les Sports, 22 septembre 2008.
- De Cauwer : « Greg Van Avermaet sera champion un jour », La Dernière Heure/Les Sports, 25 septembre 2008.
- « Van Avermaet dans la cour des grands », La Dernière Heure/Les Sports, 27 septembre 2008.
- « Van Avermaet est le Flandrien 2008 », sport.be, 25 octobre 2008.
- (en) « Menchov case an example of the UCI's "new way of communicating" on doping violations », sur cyclingnews.com, (consulté le )
- Alexandre Mignot, « Gerrans domine Van Avermaet », sur cyclismactu.net, (consulté le )
- (en) Sadhbh O'Shea, « Nordhaug guts out a victory in Montréal », Cycling News, Future Publishing Limited, (lire en ligne, consulté le )
- « Les lieutenants sont prêts », sur dhnet.be, (consulté le )
- « Dans l'ombre de Cancellara », sur velochrono.fr,
- (es) « Gilbert y Van Avermaet, líderes del BMC en San Sebastian », sur biciclismo.com,
- « Greg Van Avermaet veut jouer sa carte », sur cyclismactu.net,
- Greg Van Avermaet élu Flandrien 2013., rtbf.be
- Nicolas Danton, « Mondiaux 2014 - La séléction belge sans surprise », sur cyclismactu.net,
- « UCI WorldTour Ranking - 2011 - Final result », sur uci.html.infostradasports.com (consulté le )
- « UCI WorldTour Ranking - 2012 », sur uci.html.infostradasports.com (consulté le )
- « UCI WorldTour Ranking - 2013 », sur uci.html.infostradasports.com (consulté le )
- (en) « UCI WorldTour Ranking - 2014 - Individual », sur uci.html.infostradasports.com, UCI (consulté le )
- « Greg Van Avermaet est le Flandrien 2014 », sur lesoir.be, (consulté le )