Utilisateur:PHIL34
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« Ou Dieu veut empêcher le mal et ne le peut, ou il le peut et ne le veut, ou il ne le peut ni ne le veut, ou il le veut et le peut. S'il le veut et ne le peut, il est impuissant; s'il le peut et ne le veut, il est pervers; s'il ne le peut ni ne le veut, il est impuissant et pervers; s'il le veut et le peut, que ne le fait-il, mon père ? » (Épicure)
C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas. (Victor Hugo)
Des jeunes gens antisémites, ça existe donc, cela ? Il y a donc des cerveaux neufs, des âmes neuves, que cet imbécile poison a déjà déséquilibrés ? Quelle tristesse, quelle inquiétude, pour le vingtième siècle qui va s'ouvrir ! (Émile Zola)
Cette tête de l'homme du peuple, cultivez-la, défrichez-la, arrosez-la, fécondez-la, éclairez-la, moralisez-la, utilisez-la, vous n'aurez pas besoin de la couper. (Victor Hugo, Claude Gueux)
Le désir du privilège et le goût de l'égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque. (Charles De Gaulle - La France et son armée, 1938)
Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement on peut en faire des militaires. (Pierre Desproges)
Parfois les militaires, s'exagérant l'impuissance relative de l'intelligence, négligent de s'en servir. (Charles De Gaulle - Le Fil de l'épée, 1932)
L'intelligence, c'est pas sorcier, il suffit de penser à une connerie et de dire l'inverse. (Coluche)
Tant qu'on fait rire, c'est des plaisanteries. Dès que c'est pas drôle, c'est des insultes. (Coluche)
Qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j'y trouverai de quoi le faire pendre. (Richelieu)
Nous sommes dans une société de libre expression, le droit de dire n'importe quoi est un droit fondamental de la personne humaine. (Michel Rocard)
Le populisme c'est quand le peuple ne vote plus comme les élites voudraient qu'il vote. (Hubert Védrine - Le Figaro 6 janvier 2021)
Dans toute dictature normalement constituée, le maître-mot est : « Puisque nous ne pouvons les empêcher de penser, obligeons-les à se taire. »
Poème du jour
« Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?
Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ;
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ;
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t’en souvient- il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
Laissa tomber ces mots :
« Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices,
Suspendez votre cours !
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
« Assez de malheureux ici-bas vous implorent :
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
« Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : ‹ Sois plus lente › ; et l’aurore
Va dissiper la nuit.
« Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! »
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,
S’envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?
Hé quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ? quoi! tout entiers perdus ?
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus ?
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac! rochers muets ! grottes! forêt obscure !
Vous que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux !
Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés!
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : « Ils ont aimé ! » »
Ce poème s'affiche de manière aléatoire : vous pouvez effectuer un nouveau tirage.
Présentation (succincte)
[modifier | modifier le code]- Je participe à Wikipédia depuis le 3 octobre 2010 - officiellement, auparavant quelques participations mineures sans y être inscrit.
- Que la communication et le dialogue soit la règle pour tous les Wikipédiens ! Quoi de plus frustrant que de voir supprimer l'objet de sa participation en un clic sans la moindre explication ? Il s'agit souvent d'un malentendu qui peut très vite se dissiper par quelques échanges et/ou explications. (Si une suppression est nécessaire est-on vraiment à quelques heures près ?)
- Mon premier contact avec un Wikipédien était en fait une wikipédienne, Lomita, que je remercie de s'être donné le temps et la peine de me contacter pour l'une de mes première contribution, pour un (prétendu) problème, qui en réalité n'était qu'un malentendu très vite dissipé par le dialogue, (sans quoi j'aurai très certainement fui Wikipédia). Merci Lomita !
Encouragement
[modifier | modifier le code]Merci pour ton attitude que j’apprécie beaucoup ! Wikipédia progresse grâce à des gens comme toi.
Cordialement, |
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Amage9 (discuter), le 23 mai 2019
Maxime
[modifier | modifier le code]Lorsque la franchise sert de tremplin à la bêtise, on se surprend à regretter l'hypocrisie
J'aime pas
[modifier | modifier le code]- Les infos people qui sont aux journalismes ce que les ragots sont à la conversation.
- La télé réalité qui porte le voyeurisme et le vulgaire au rang du divertissement.
J'aime ...
[modifier | modifier le code]- Les tigres, les éléphants, les requins, (...), les loups et les ours (vivants et en liberté dans notre douce France). Et aussi... mon chat, (une pensée aux chats P. et Z. et à B. et T. mes deux fidèles compagnons de la gente canine, aujourd'hui disparu).
la littérature
[modifier | modifier le code]« Pour qu'un livre se vende bien, il faut qu'il y ait une belle fille sur la couverture et il se vendra d'autant mieux qu'il y aura moins de couverture sur la belle fille ! » (Victor Hugo)
Depuis l'extraordinaire bonheur que me procura Le lion de Joseph Kessel.
Pour les Rougon-Macquart de l'immense Émile Zola.
Pour L'homme qui rit de Victor Hugo. Pour ce génie du verbe et son incommensurable contribution à faire de la langue française « une langue belle. »
« Il était arrivé en même temps à l'âge des rhumatismes et de l'aisance. Ces deux produits du travail se tiennent volontiers compagnie. Au moment où l'on devient riche, on est paralysé. Cela couronne la vie. On se dit : Jouissons maintenant »
(Victor Hugo Les travailleurs de la mer).
le cinéma
[modifier | modifier le code]Reconnaissance éternel à Laurel et Hardy et à celui qui le premier donna au 7ème art toute sa noblesse Charles Chaplin.
Pour le grand John Ford !
Pour Henri-Georges Clouzot, Jean Renoir, Julien Duvivier, Billy Wilder, Akira Kurosawa, Blake Edwards, l'immense Jacques Tati, la virtuosité de Roman Polanski, la finesse de Ken Loach, la subtilité de James Ivory.
Pour Jean-Luc Godard et Federico Fellini (grands tourmenteurs de mon faible esprit : Mais que disent-ils ?) / Pour François Truffaut et Maurice Pialat, pour John Cassavetes et Pedro Almodovar, pour Claude Sautet et Milos Forman, pour ces deux Bertrand de génie que sont Blier et Tavernier.
Pour, pour, pour... (pardon à tout ceux non cités dans cet inventaire non exhaustif).
Au meilleurs de Jacques Prévert-Marcel Carné ; Au génie d'Ingmar Bergman et à la douce folie narcissique de Woody Allen !
Pour Michelle Morgan et Jean Gabin, pour Maureen O'Hara et John Wayne, pour Miou-Miou Gérard Depardieu et Patrick Dewaere, pour Romy Schneider et Michel Piccoli, Pour Simone Signoret et Yves Montand...
Pour Marius et Fanny, pour Tarzan et sa compagne, pour La belle et la bête, pour Sailor et Lula, pour Bonnie and Clyde, pour César et Rosalie, pour Vincent, François, Paul et les autres... À nos amours !
Pour La grande illusion et La Femme au portrait. Pour Les 400 coups et La règle du jeu. Pour Mission et Sous le soleil de satan. Pour Un homme et une femme et Marius et Jeannette. Pour Midnight Express et Vol au dessus d'un nid de coucou. Pour Les oiseaux et Birdy. Pour Les liaisons dangereuses et L'empire des sens. Pour Buffet froid et Certains l'aiment chaud. Pour Le juge et l'assassin et Meurtre mystérieux à Manhattan. Pour Les vacances de monsieur Hulot et Charlot fait la noce. Pour Né pour tuer et Tueurs nés. Pour Orange mécanique et Le Dictateur. Pour Le Salon de musique et The Rocky Horror Picture Show. Pour L'homme qui tua Liberty Valance et La Vie et rien d'autre. Pour Smoking / no smoking et Denise au téléphone. Pour Les valseuses et Le Dernier Tango à Paris. Pour La grande bouffe et Meurtre dans un jardin anglais. Pour Affreux, sales et méchants... Noblesse oblige !
Je dédie ce modeste clin d'œil au cinéma à Brigitte Bardot, Marilyn Monroe, Jack Lemmon, Philippe Noiret, Tex Avery et à... l'ours Baloo.
la musique
[modifier | modifier le code]Toutes les musiques, il n'y a pas de grandes et de petites musiques, il n'y a que celles qui nous procurent du plaisir.
Alors au génie de Mozart et de Miles Davis. Aux symphonies de Beethoven à Glenn Miller et son orchestre. Aux concertos pour piano de Rachmaninoff à Mike Oldfield. Aux mandolines de Vivaldi au piano de Thelonious Monk. À Wagner au Rolling Stones, au Rock and Roll et au boléro de Ravel. À Maria Callas et à Elvis Presley. À Charlie Parker et à Alexis Weissenberg.
Enfin nos oreilles éternellement reconnaissantes adressent un "clin d'œil" à Guido d'Arezzo, "sans qui l'histoire n'aurait pas tout à fait été la même" !
la chanson française
[modifier | modifier le code]À Aristide Bruant !
Mes gouts hétéroclites vont et reviennent encore et toujours vers : Georges Brassens, Eddy Mitchell, Léo Ferré, Claude Nougaro, Jacques Brel, Serge Reggiani, Johnny Hallyday, Jean Ferrat, Charles Aznavour, Barbara, Anne Sylvestre, Véronique Sanson, Gilbert Bécaud, Maxime le Forestier, Yves Montand, Juliette Gréco et Bobby Lapointe.
J'en oublie (injustement), mais l'essentiel de mon "univers en chansons est là".
Une petite citation toutefois pour :
- Michel Sardou (celui des années 70 - la suite plaise aux autres pour leur plus grand plaisir)
- Serge Lama, Francis Cabrel, Alain Souchon, Renaud, Julien Clerc, Serge Gainsbourg, Boris Vian et Charles Trénet
Sans oublier nos cousins Québecquois : Beau Dommage, Harmonium, Linda Lemay.
Merci pour leurs collaborations talentueuses à : Jacques Lanzmann, Philippe Labro, Claude Moine, Pierre Delanoë, Long Chris, Gilles Thibaut, Marguerite Monnot, Michel Mallory, Jacques Prévert.
Un grand merci à :
- Jacques Brel pour La Chanson des vieux amants, Le Moribond, Ces gens-là, Je suis un soir d'été (et toutes les autres).
- Georges Brassens pour La rose, la bouteille et la poignée de main, La Fessée, La tondue, Cupidon s'en fout (et toutes les autres)
- Yves Montand qui a chaque fois me transporte avec son interprétation du Le chant des partisans.
- Alain Souchon pour son Ultra moderne solitude.
- Linda Lemay pour La centenaire et pour Bande de dégonflés - Bande de dégonflantes (et bien d'autres).
- Renaud pour Les charognards.
- Eddy Mitchell pour Tu peux préparer le café noir, Société anonyme, Je suis parti de rien (pour arriver à pas grand-chose), Les tuniques bleues et les indiens, Le seul survivant (et bien d'autres).
- Michel Sardou pour Le Surveillant général, Les Villes de solitude et Un Roi barbare.
- Barbara pour Mes insomnies (et toutes les autres).
- Léo Ferré pour Ni Dieu ni maître, (et toutes les autres / "chapeau bas" pour son travail sur Appolinaire, Arthur Rimbaud et quelques autres de cette trempe-là).
- Claude Nougaro pour Sing sing song, Le coq et la pendule, Assez !, Le K du Q (et toutes les autres).
- Maxime le Forestier pour La rouille.
- Jean Ferrat pour Nuit et brouillard, En groupe en ligne en procession, Potemkine, Le bilan (et toutes les autres).
- Charles Aznavour pour Trousse chemise, Je n'ai rien oublié, Comme ils disent, (et toutes les autres).
- Francis Lalanne pour T'es marron.
Enfin merci à Johnny Hallyday celui par qui, en ce qui me concerne, tout a commencé et par qui tout continue - je lui dois de connaître et surtout d'apprécier tous les autres.
Aide mémoire
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Niveau de vandalisme inconnu.
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