Racing Club narbonnais
Surnoms |
Racing RCN les Blacks de Méditerranée |
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Noms précédents |
Racing Club narbonnais (1907-2001) Racing Club Narbonne Méditerranée (2001-2019) |
Fondation | 1907 |
Couleurs | Orange et noir |
Stade |
Parc des sports et de l'amitié (12 000 places) |
Siège |
Parc des sports et de l'amitié 4, avenue Pierre de Coubertin BP 614 11106 Narbonne Cedex |
Championnat actuel | Nationale (2020-2021) |
Président |
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Entraîneur |
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Site web | www.rcnm.fr |
National[Note 1] |
Championnat de France de première division (2) Challenge Yves du Manoir (9) Coupe de France (1) Bouclier d'automne (2) |
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Maillots
Actualités
Dernière mise à jour : 21 juin 2015.
Le Racing club narbonnais (RC Narbonne ou RCN) est un club français de rugby à XV basé à Narbonne. Ce club du rugby français, fondé en 1907, il affiche une longévité de 88 ans passés en première division entre 1919 et 1946 et entre 1949 et 2007 dans l’élite[1], avant de descendre en Pro D2.
Club formateur, il a fourni des joueurs à l'équipe de France et possède en palmarès deux titres de champion de France et un record de neuf victoires en challenge Yves du Manoir. Il participe pour la saison 2020-2021 au Nationale.
Histoire du club[modifier | modifier le code]
1907 Fondation du Club[modifier | modifier le code]
Narbonne frissonne encore à l'évocation des récents événements tragiques engendrés par la révolte des vignerons qui ont traumatisé la ville et ses environs. C'est dans ce contexte particulièrement douloureux qu'un match-défi oppose les "rugbyphiles" narbonnais du Sporting aux militaires du 80e régiment d'infanterie.
Sur le terrain du Champ-de-Mars, les compagnons du jeune Piquemal l'emportent sur les hommes du sergent Bec. La rivalité entre les deux équipes n'aura duré que quatre-vingts minutes ; en effet, dans les jours qui suivent et pour le plus grand bien du rugby narbonnais, la fusion des deux groupements est décidée à l'unanimité.
1907-1914 : les premiers pas[modifier | modifier le code]
Il adopte les couleurs grenat et noir, son premier président sera un certain Monsieur Burgalat.
Le 22 mars 1908 le club attire 3 000 spectateurs sur le terrain aménagé de la rue de Maraussan, lors de la ½ finale du challenge Génie. Le Racing bat l'AS Perpignan (8 à 3).
Le 4 février 1912, à Lézignan-Corbières, le Racing arborant les couleurs orange et noir (en remplacement du grenat et noir) devient champion du Languedoc en battant l'AS Perpignan (3 à 0).
Le RCN se taille une solide réputation dans le sud de la France où les rencontres sont très engagées. Hélas sa progression sera stoppée par la grande tourmente qui verra le club payer un lourd tribut à la guerre avec la perte de vingt-deux de ses membres. Le Racing mettra plusieurs années à soigner ses blessures.
1919-1930, un Aimé nommé Cassayet[modifier | modifier le code]
Il adopte les couleurs "grenat et noir" son premier président sera M. Burgalat, négociant en vins.
Le 4 février 1912 à Lézignan, le Racing arborant les couleurs "orange et noir" (en remplacement du grenat et noir) devient champion du Languedoc en battant l'AS Perpignan (3 à 0).
Le RCN se taille une solide réputation dans le sud de la France où les rencontres sont très engagées. Sa progression, hélas sera stoppée par la grande tourmente qui verra le club payer un lourd tribut à la guerre avec la perte de vingt-deux de ses membres. Le Racing mettra plusieurs années à soigner ses blessures.
Demi-finaliste du championnat 1925[modifier | modifier le code]
Narbonne se hisse en demi-finale du championnat en 1925 mais est battu par son vieux rival, l'Union sportive perpignanaise sur le terrain de Béziers.
Les 5 saisons suivantes seront plus difficiles. Le Demi de mêlée François Lombard se révèle au grand public.
Demi-finaliste du championnat 1931[modifier | modifier le code]
Le club dispute une autre demi-finale du championnat en 1931, perdue contre Toulon à Toulouse dans une compétition où 12 clubs parmi les plus prestigieux sont exclus du championnat de France et forment l’UFRA (Union française de rugby amateur) qui organise son propre tournoi.
1931-1936, le premier âge et la consécration[modifier | modifier le code]
Vice-champion de France 1932[modifier | modifier le code]
En 1932, alors que le championnat se joue sans 14 équipes majeures qui disputent l'UFRA[2], (compétition remporté par le Stade toulousain), le Racing sous le capitanat de Choy, est battu en finale du championnat de France à Bordeaux (9 à 3) par le LOU.
Vice-champion de France 1933[modifier | modifier le code]
En 1933, alors que les 14 clubs dissidents reviennent dans le championnat de France ainsi plus relevé, Choy et ses camarades sont encore battus par le LOU (10 à 3). Deux finales consécutivement perdues et c'est l'effondrement dans le clan narbonnais du président Dr. David.
Désormais entrés dans la cour des grands, les Racingmen y jouent un rôle de premier plan.
Demi-finaliste du championnat 1934[modifier | modifier le code]

.
Narbonne dispute ensuite une demi-finale du Championnat en 1934, suivi d'un huitième de finale en 1935.
Champion de France 1936[modifier | modifier le code]

C'est enfin la consécration en 1936, la ville en folie accueille ses premiers champions de France qui ont vaincu Montferrand 6 à 3 : "Narbonne réserve à ses héros un accueil triomphal".
1937-1947, les années difficiles[modifier | modifier le code]
Se maintenir au faîte de la gloire est plus difficile que d'y parvenir... Le Racing n'échappe pas à la règle.
Les années 1940 ont un goût amer : la guerre à nouveau et la suppression du championnat durant cinq saisons.
Passé au rugby à XIII en 1938, le Racing ne brille guère, si ce n'est à l'occasion d'un match contre le XIII Catalan, une partie d'excellente qualité jouée le 10 avril 1938, perdu face aux Catalans sur le score de 7 à 5[3].
Il en est de même dans le championnat à XV rétabli en 1942, après l'interdiction du XIII.
Descente puis remontée en première division[modifier | modifier le code]
Et c'est la chute en 2e division en 1946. La remontée dès 1948 laisse toutefois les orange et noir dans l'anonymat malgré quelques coups d'éclat.
Les années sombres (1947-1961)[modifier | modifier le code]
Narbonne est classé 36e en 1959, alors qu'il était 35e en 1958. En 1961 l'équipe du RCN, (renforcée par des juniors, car si l'équipe phare du club est en "panne", les équipes juniors, cadets et minimes font parler d'elles dans le Languedoc et leurs championnats respectifs), va éviter de justesse la dernière place de la poule C, synonyme de descente en deuxième division. Heureusement, l'arrivée de jeunes dirigeants enthousiastes, venant épauler les derniers anciens restés fidèles, régénère le RCN qui va retrouver le goût de la victoire et l'envie de reconquêtes.
Les années Walter Spanghero (1961-1975)[modifier | modifier le code]
Demi-finaliste du championnat 1964[modifier | modifier le code]
Narbonne dispute cette année là sa première demi-finale de championnat depuis 1936 mais s’incline face à la Section paloise sur le score de 8 à 3.
L'année suivante, le club est battu en seizième de finale du Championnat par Brive.
Vainqueur du challenge Antoine Béguère 1966[modifier | modifier le code]
Narbonne remporte le challenge Antoine Béguère en 1966 en disposant de Lourdes 3-0 en finale[4].
La même année, l’équipe qui commence à s’installer chez les grands atteint les quarts de finale du championnat (battu par Agen 9-3) et les demi-finales du challenge Yves du Manoir, battu par Lourdes 27-11[5].
Vainqueur du challenge Yves du Manoir 1968[modifier | modifier le code]
Le RCN remporte son premier challenge Yves du Manoir en 1968 face à Dax dans un match où Les Landais inscrivent 2 essais contre 1 seul aux Narbonnais mais l'arrière Jean-Michel Benacloï passe trois buts de pénalité dont un de 45 mètres en coin[6]. Narbonne sera également demi-finaliste du championnat la même année, battu par Toulon 14-9 à Lyon.
Double vainqueur du challenge Yves du Manoir (1973 et 1974)[modifier | modifier le code]
Bernard Pech de Laclause, président du RC Narbonne de 1962 à 1980, recrute Jo Maso et les frères Spanghero (Walter, Claude et Jean-Marie), pour bâtir une grande équipe. Le RCN remporte deux nouveaux challenge Yves du Manoir en 1973 et 1974. Le club est aussi vice-champion de France en 1974.
Demi-finaliste du championnat 1975[modifier | modifier le code]
L'année suivante, Narbonne sort numéro 2 à l'issue des poules de 8 derrière son éternel rival Bitterois. S'il garde toute sa puissance devant, il ne sait plus par quel bout prendre son rugby derrière malgré la remontée de Jo Maso à l'ouverture. Narbonne est éliminé en demi-finale par Brive après prolongations[7].
Double vainqueur du challenge Yves du Manoir (1978 et 1979)[modifier | modifier le code]
Le RCN remporte encore deux nouveaux challenge Yves du Manoir en 1978 (19-19 aux bénéfices des essais contre Béziers) et en 1979 (9-7 contre Montferrand).
Champion de France 1979[modifier | modifier le code]
Le doublé Championnat-Du Manoir est réalisé, le titre de champion de France est remporté en 1979 avec une victoire 10-0 contre Bagnères dans un match tendu que Claude Spanghero expliquera par la longue attente des Narbonnais dans la quête du Bouclier de Brennus[8]. La même année, le jeune numéro 8 Yves Malquier est sélectionné contre l'Écosse et marquera 2 essais[9].
Les années 1980[modifier | modifier le code]
Vainqueur du challenge Yves du Manoir en 1984 et 1989[modifier | modifier le code]
Le RCN remporte deux nouveaux challenge Yves du Manoir en 1984 contre le Stade toulousain[10] 17-13 et en 1989 contre Biarritz 18-12.
Vainqueur de la coupe de France 1985[modifier | modifier le code]


Le RCN remporte aussi la coupe de France en 1985 après avoir battu Grenoble en demi-finale et le Stade toulousain en finale.
Double demi-finaliste du championnat en 1988 et 1989[modifier | modifier le code]
Il dispute aussi 2 demi-finales du championnat en 1988 contre Agen et en 1989 contre Toulon sous la conduite de l’ancien entraîneur de Béziers Raoul Barrière.
Les années 1990[modifier | modifier le code]
Double vainqueur du challenge Yves du Manoir (1990 et 1991)[modifier | modifier le code]

Le RCN remporte encore deux nouveaux challenge Yves du Manoir en 1990 contre Grenoble[11] et en 1991 contre Bègles avec la génération historique des Henri Sanz, Francis Déjean et Gilles Bourguignon. C'est l’équipe la plus prolifique avec quatre finales consécutives et un triplé historique (1989, 1990 et 1991) ainsi qu'une finale perdue en 1992. Jean-Michel Benacloï est le joueur français à avoir gagné le plus de challenge Yves du Manoir avec cinq victoires. Jean-Claude Pinéda a joué lui six finales et en a remporté quatre. Henri Ferrero est l'homme qui détient lui quatre titres comme joueur et trois autres comme entraîneur[12].
Un quart de finale au goût amère 1993[modifier | modifier le code]
En quart de finale du championnat de France 1993, au Stadium de Toulouse, Narbonne et le Castres olympique sont à égalité à dix minutes de la fin du match, après que Laurent Labit eut ramené les Tarnais à hauteur des Narbonnais. Alors qu'on se prépare à des prolongations, Philippe Escalle marque un essai à trois minutes de la fin du match et se blesse. Castres passe devant 38-33. Castres doit donc finir son match à 14 car les Tarnais ont déjà fait rentrer leurs quatre remplaçants. Mais les entraîneurs castrais font alors entrer Maurice Bille. Le RCNM pose donc réclamation à la fin de la rencontre. La Fédération accepte de rejouer le match mais en prenant en compte la victoire de Castres 38-33[13]. Une semaine plus tard, à Tarbes, Castres l'emporte 33-21. Sur un score cumulé de 71-54, Narbonne est ainsi éliminé des phases finales[14].
Le RCN dispute ensuite trois derniers quarts de finale en 1994 et 1996 face au Stade toulousain et en 1998 face à Colomiers.
Les années 2000[modifier | modifier le code]
Au début de l'année 2001, le club se restructure en marge de la professionnalisation du rugby français : le Racing Club narbonnais est ainsi renommé Racing Club Narbonne Méditerranée[15].
Finaliste du challenge européen 2001[modifier | modifier le code]
Le Racing arrive à se maintenir parmi les plus grands en faisant partie du Top 14, il dispute une finale de Bouclier européen, en 2001, malheureusement perdue contre les Harlequins 42-33 après prolongations. Il continue de fournir des joueurs a l'équipe de France (Arnaud Martinez, Julien Candelon...) mais à la fin de la saison 2006-2007, après presque 100 ans passés en première division, il tombe en Pro D2.
Entre 2007 et 2011, le Racing connaît des saisons difficiles en Pro D2, marquées par plusieurs changements d'entraîneurs et une stagnation au milieu du tableau. À l'été 2011, il échappe de peu à une relégation financière en Fédérale 1.
Les années (2010 et 2020)[modifier | modifier le code]
À l'été 2011 le Racing voit l'arrivée de sponsors australiens, par le biais de la société FG Management qui devient actionnaire majoritaire du club. FG Management compte dans ses rangs d'anciennes gloires du rugby australien, telles Bob Dwyer ou David Gibson et compte ramener le Racing au premier plan du Rugby français. Le club audois fait entre autres signer Josh Valentine et Julian Huxley, anciens internationaux australiens.
Durant l'intersaison 2012, les autres joueurs qui rejoignent le Racing sont Sébastien Petit, Anaël Neveu, George Marich, Gonçalo Uva, Josh Furno, Charles Malet, Dewet Roos, Quentin Étienne, Vincent Rattez, Joëli Lutumailagi, José Lima et Shaun Foley.
Durant l'intersaison 2013, les joueurs qui rejoignent le Racing soit Cyril Deligny, Stan Wright, Benoît Zanon, Jérémy Haurie, Wilfrid Hounkpatin, Romain Manchia, Ted Postal, Lei Tomiki, Étienne Herjean, Gilles Arnaudiès, Sébastien Rouet, Daniel Halangahu, Tyrone Smith, Sakiusa Navakadretia, Saia Fekitoa.
Lors de la saison 2013-2014, Narbonne se classe 5e à la fin de la saison régulière et se qualifie pour les demi finale, où ils joueront à Agen[16] mais s'incline à ce stade de la compétition.
Lors de la saison 2014-2015, Narbonne termine a la 14e place et évite de peu la relégation lors de l'avant dernière journée de championnat.
Après un début de saison 2017-18 poussif, le manager Christian Labit est démis de ses fonctions en octobre.
Le 16 mars 2018, après une défaite 52 à 17 contre l'US Carcassonne (entraîné par Christian Labit), le RCNM est officiellement relégué en Fédérale 1, onze ans après sa descente en Pro D2.
Le 30 juin 2018, l’association du RCNM résilié le contrat de gestion des activités du club qui la lie avec la Société anonyme sportive professionnelle (SASP). En juillet, la SASP est liquidée en raison d'un passif de 885 340 euros[17]. Le 5 décembre, le directeur de l'Usine de Malvési reconduit le contrat de sponsoring qui lie le groupe Orano au RCNM[18]. Le 20 décembre, lors d'une vente aux enchères infructueuse des biens du club, le maire annonce que les locaux que louait la Société anonyme sportive professionnelle (SASP) sont repris par la ville de Narbonne, sauf ceux que l'association du RCNM a récupérés[19].
Après ce remaniement, l'identité du club évolue elle aussi : le , il est officiellement renommé en tant que Racing Club narbonnais, marquant ainsi un retour à l'ancien nom de l'équipe utilisé avant l'ère professionnelle du rugby français et abandonnant la mention à la Méditerranée[20].
Intégration au championnat de France Nationale 2020[modifier | modifier le code]
Lors de la saison 2020-2021, le RCN intègre le nouveau championnat de France de Nationale.
À cause de la deuxième vague de coronavirus en octobre 2020, les joueurs du RCN se retrouvent au chômage partiel[21] à la suite de l'arrêt du championnat de France de Nationale entre le début du mois de novembre 2020 jusqu'au 10 janvier 2021.
Identité visuelle[modifier | modifier le code]
Couleurs et maillots[modifier | modifier le code]
Maillots orange et noirs.
Logo[modifier | modifier le code]
En marge de son changement de nom en 2019, retournant aux origines du club, le nouveau logo est directement inspiré d'un des anciens logos du Racing : le blason de la ville de Narbonne est ainsi remplacé par le Palais des archevêques de Narbonne, tandis que la couleur orange est davantage mise en avant[20],[22].
- Évolution du logo
Palmarès[23][modifier | modifier le code]
Palmarès national et international[modifier | modifier le code]
- Challenge européen :
- Finaliste (1) : 2001
Compétitions disparues[modifier | modifier le code]

- Coupe de France :
- Vainqueur (1) : 1985
- Challenge Antoine Béguère :
- Vainqueur (3) : 1966, 1979, 1980
- Lion d'Ovalie :
- Vainqueur (1) : 1977
- Challenge du club complet :
- Vainqueur (2) : 1976 et 1978
Compétitions espoirs et jeunes[modifier | modifier le code]
- Champion de France Nationale B :
- Champion (3) : 1979, 1990, 1995
- Vice-champion (1) : 1989
- Champion de France espoirs niveau 2 (Élite 2) :
- Champion (2) : 2012 et 2015
Tournois amicaux[modifier | modifier le code]
- Challenge Armand Vaquerin :
- Finaliste (1) : 2001[24]
- Trophée Panache Pernod :
- Vainqueur (2) : 1969 et 1979
Bilan par saison[modifier | modifier le code]
Saison | Championnat | Nb équipe/poule | Division | Classement | Titre |
---|---|---|---|---|---|
2014-2015 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 14e | - |
2013-2014 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 5e | Demi Finale |
2012-2013 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 9e | - |
2011-2012 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 14e | - |
2010-2011 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 13e | - |
2009-2010 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 8e | - |
2008-2009 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 13e | - |
2007-2008 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 13e | - |
2006-2007 | Top 14 | 14 | Première division | 14e | Relégation |
2005-2006 | Top 14 | 14 | Première division | 10e | - |
2004-2005 | Top 16 | 16 | Première division | 10e | - |
2003-2004 | Top 16 | 8 | Première division | 6e | - |
2002-2003 | Top 16 | 8 | Première division | 5e | - |
2001-2002 | Top 16 | 8 | Première division | 5e | - |
2000-2001 | Élite 1 | 10 | Première division | 5e | - |
1999-2000 | Élite 1 | 12 | Première division | 8e | - |
1998-1999 | Élite 1 | 8 | Première division | 3e | Qualification |
1997-1998 | Groupe A1 | 10 | Première division | 3e | Quart de finale |
1996-1997 | Groupe A1 | 10 | Première division | 6e | Huitième de finale |
1995-1996 | Groupe A1 | 10 | Première division | 4e | Quart de finale |
Les finales du RC Narbonne[modifier | modifier le code]
On accède à l'article qui traite d'une saison particulière en cliquant sur le score de la finale.
Championnat de France[modifier | modifier le code]
Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
---|---|---|---|---|---|
5 mai 1932 | Lyon OU | 9 – 3 | RC Narbonne | Parc Lescure, Bordeaux | 13 000 |
7 mai 1933 | Lyon OU | 10 – 3 | RC Narbonne | Parc Lescure, Bordeaux | 15 000 |
10 mai 1936 | RC Narbonne | 6 – 3 | AS Montferrand | Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse | 25 000 |
12 mai 1974 | AS Béziers | 16 – 14 | RC Narbonne | Parc des Princes, Paris | 40 609 |
27 mai 1979 | RC Narbonne | 10 – 0 | Stade bagnérais | Parc des Princes, Paris | 41 981 |
En challenge Yves du Manoir[modifier | modifier le code]
Date de la finale | Vainqueur | Finaliste | Score |
---|---|---|---|
1967 | FC Lourdes | RC Narbonne | 9-3 |
1968 | RC Narbonne | US Dax | 14-6 |
1973 | RC Narbonne | AS Béziers | 13-6 |
1974 | RC Narbonne | CA Brive | 19-10 |
1978 | RC Narbonne | AS Béziers | 19-19 (au nombre d'essais) |
1979 | RC Narbonne | AS Montferrand | 9-7 |
1982 | US Dax | RC Narbonne | 22-19 |
1984 | RC Narbonne | Stade toulousain | 17-13 |
1989 | RC Narbonne | Biarritz olympique | 18-12 |
1990 | RC Narbonne | FC Grenoble | 24-19 |
1991 | RC Narbonne | CA Bègles-Bordeaux | 13-12 |
1992 | SU Agen | RC Narbonne | 23-18 |
Bouclier européen[modifier | modifier le code]
Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
---|---|---|---|---|---|
27 mai 2001 | ![]() |
42 – 33 | RC Narbonne ![]() |
Madejski Stadium à Reading | 11 211 |
Personnalités du club[modifier | modifier le code]
Joueurs emblématiques[modifier | modifier le code]
Jean-Louis Goar
Raymond Canaguier
André Belzons
Gilles Belzons
René Araou
Jean-Michel Benacloï
René Bénésis
Frédéric Benazech
Laurent Bénézech
Jean-Marie Bisaro
Éric Blanc
Gilles Bourguignon
Julien Candelon
Aimé Cassayet
Philippe Chamayou
Joseph Choy
Didier Codorniou
Guy Colomine
Francis Déjean
Patrick Estève
Henri Ferrero
Hervé Guiraud
Jean-Pierre Hortoland
Christian Labit
Raphaël Lavaud
Christophe Ubeda
Jean-Marc Lescure
François Lombard
Yves Malquier
Michel Marfaing
Arnaud Martinez
Jo Maso
Pierre Mathias
Olivier Merle
Lucien Mias
Lucien Pariès
Jean-Claude Pinéda
Jean-Jacques Pinéda
Jean-Baptiste Poux
Arnaud Racine
Cédric Rosalen
Patrick Salas
François Sangalli
Henri Sanz
Gérard Bertrand
Laurent Seigne
Claude Spanghero
Jean-Marie Spanghero
Walter Spanghero
Marc Raynaud
Gérard Sutra
Franck Tournaire
Gérard Viard
Nicolas Nadau
Francis Vals
Laurent Balue
Nicolas Rey
Vincent Rattez
Liste des entraîneurs[modifier | modifier le code]
Liste des présidents[modifier | modifier le code]
- 1992 - 1995 : François Sangalli
- Décembre 2011 - Octobre 2015 : Anthony Hill
- Octobre 2015 - Juillet 2016 : Rocky Elsom
- Juillet 2016 - Juin 2018 : Bernard Archilla
- Juin 2018 - Mai 2019 : Jean-Louis Caussinus
- Depuis Mai 2019 : Jean Ormière, Marc Delpoux, Gilles Belzons, Philippe Campos et Xavier Marco
Effectif 2020-2021[modifier | modifier le code]
Nom | Poste | Date de naissance | Taille | Poids | Nationalité sportive | Club précédent | Année d'arrivée au club | Matches avec le RCN |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Sylvain Abadie | n°1 | 18/05/1990 | 1,80 m | 107 kg | ![]() |
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2019 | 25 |
Alexandre Baron | n°1 | 20/04/1995 | 1,75 m | 109 kg | ![]() |
Formé au club | - | 44 |
Thomas Duprat | n°1 | 18/03/1998 | 1,83 m | 110 kg | ![]() |
Formé au club | - | 22 |
Jules Martinez | n°1 | 03/12/1997 | 1,80 m | 115 kg | ![]() |
Formé au club | - | 28 |
Pascal Cotet | n°3 | 12/10/1993 | 1,84 m | 122 kg | ![]() |
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2018 | 47 |
Matthieu Loudet | n°3 | 24/04/1998 | 1,83 m | 125 kg | ![]() |
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2019 | 6 |
Teva Maké | n°3 | 20/09/1988 | 1,85 m | 122 kg | ![]() |
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2019 | 22 |
Aurélien Blanc | n°2 | 15/06/1995 | 1,81 m | 109 kg | ![]() |
Formé au club ![]() |
2020 | 5 |
Elandre Huggett | n°2 | 05/10/1991 | 1,78 m | 109 kg | ![]() |
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2019 | 25 |
Jordan Rochier | n°2 | 27/06/1992 | 1,77 m | 103 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 11 |
Ross Bundy | n°5 | 02/04/1999 | 1,93 m | 112 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 0 |
Pierre Causse | n°4 | 10/02/2000 | 1,95 m | 105 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 0 |
Daniel Faleafa | n°4-8-7 | 12/02/1989 | 1,96 m | 118 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 8 |
Mohamed Kbaier | n°5 | 01/09/1992 | 2,12 m | 122 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 11 |
Manuel Plaza | n°4 | 04/01/1996 | 1,97 m | 119 kg | ![]() |
![]() |
2019 | 24 |
Dennis Visser | n°4-5 | 20/01/1993 | 2,01 m | 123 kg | ![]() |
![]() |
2019 | 25 |
Baptiste Abescat | n°8 | 07/08/2000 | 1,88 m | 98 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 0 |
Kamil Bouregba | n°7 | 10/07/1999 | 1,91 m | 94 kg | ![]() |
![]() |
2019 | 5 |
Bill Caffo | n°6 | 10/04/2000 | 1,88 m | 98 kg | ![]() |
Formé au club | - | 1 |
Julien Dumoulin | n°6-7 | 05/02/1991 | 1,93 m | 102 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 8 |
Flavien Nouhaillaguet | n°8 | 16/03/1989 | 1,86 m | 106 kg | ![]() |
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2019 | 27 |
Mickaël Recordier | n°6-7 | 27/01/1993 | 1,90 m | 108 kg | ![]() |
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2019 | 28 |
Valentin Sese | n°7-6-4 | 07/02/1997 | 1,96 m | 105 kg | ![]() |
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2019 | 27 |
Stellio Bessaguet | n°9 | 19/01/1997 | 1,70 m | 73 kg | ![]() |
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2020 | 10 |
Christopher Kaiser | n°9 | 22/05/1996 | 1,80 m | 87 kg | ![]() |
Formé au club ![]() |
2019 | 18 |
Pierrick Nova | n°9 | 10/03/1994 | 1,70 m | 74 kg | ![]() |
Formé au club | - | 63 |
Boris Goutard | n°10 | 10/06/1998 | 1,81 m | 84 kg | ![]() |
![]() |
2019 | 12 |
Raynor Parkinson | n°10 | 08/06/1988 | 1,85 m | 89 kg | ![]() |
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2019 | 20 |
Joris Pialot | n°10 | 08/09/2002 | 1,76 m | 76 kg | ![]() |
Formé au club | - | 0 |
Saia Fekitoa | n°12 | 31/07/1987 | 1,75 m | 96 kg | ![]() |
![]() |
2013 | 141 |
Apimeleki Nawaqatabu | n°12-13 | 03/02/1995 | 1,90 m | 113 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 8 |
Pierre Nueno | n°13 | 15/05/1996 | 1,85 m | 89 kg | ![]() |
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2020 | 10 |
David Smith | n°13-12 | 12/10/1986 | 1,72 m | 91 kg | ![]() |
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2019 | 18 |
Étienne Ducom | n°11-14 | 27/03/1997 | 1,80 m | 85 kg | ![]() |
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2019 | 26 |
Pierre-Hugo Ducom | n°14-11 | 19/11/1994 | 1,82 m | 87 kg | ![]() |
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2019 | 24 |
Guillaume Namy | n°14-11 | 03/04/1989 | 1,84 m | 83 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 9 |
Dorian Terrou | n°11 | 20/07/1999 | 1,75 m | 85 kg | ![]() |
![]() |
2020 | 1 |
Léo Griffoul | n°15 | 22/09/1989 | 1,74 m | 82 kg | ![]() |
Formé au club ![]() |
2017 | 142 |
Pierre Justes | n°15 | 28/04/1994 | 1,81 m | 84 kg | ![]() |
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2020 | 9 |
Luca Serrano | n°15 | 03/01/2000 | 1,80 m | 85 kg | ![]() |
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2020 | 0 |
Records[modifier | modifier le code]
Les 10 plus larges victoires depuis 2000[modifier | modifier le code]
À l'extérieur :
|
Les 10 plus larges défaites depuis 2000[modifier | modifier le code]
À domicile :
|
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
Références[modifier | modifier le code]
- « Narbonne, triste centenaire », sur www.sports.fr (consulté le 22 avril 2014)
- Henri Garcia 1996, p. 256.
- Louis Bonnery, Le rugby à XIII le plus français du monde, R.C Narbonne, Limoux, Cano&Franck, , 489 p. (ASIN B000X3Z932), p. 72
- « NARBONNE REMPORTE LE CHALENGE BEGUERE », sur www.lemonde.fr
- Mérillon 1990, p. 110.
- Mérillon 1990, p. 122
- Henri Garcia 1996, p. 485 et 486.
- Henri Garcia 1996, p. 522.
- Henri Garcia 1996, p. 521.
- « Les 1000 matches de Guy Novès », Site « lequipe.fr » du journal L'Équipe, (consulté le 12 janvier 2015)
- Réginald Mouyan, « MICHEL RINGEVAL (PART 2): « AU BOUT D’UN QUART D’HEURE, J’AI COMPRIS QU’ON NE GAGNERAIT PAS» », sur http://lesportdauphinois.com, (consulté le 4 février 2019)
- « Narbonne. Les anciens vont fêter les finalistes du Manoir », sur www.ladepeche.fr, (consulté le 24 juillet 2019)
- « Castres-Narbonne sera à rejouer samedijour=18 », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le 10 février 2014)
- « Top 14: Toulon-Castres, souviens-toi, il y a vingt ans... », Le Point, (lire en ligne, consulté le 10 février 2014)
- « L'histoire », sur www.rcnm.fr (consulté le 23 juillet 2019).
- Classement final sur lnr.fr, http://www.lnr.fr/classement-pro-d2.html
- Fédérale 1, Narbonne : La structure professionnelle liquidée
- Narbonne : Orano reconduit son partenariat avec le RCNM
- Narbonne : la vente aux enchères des biens du RCNM a fait pschitt
- Boukercha Oussama, « Fédérale 1 - Narbonne revient aux racines du club avec un nouveau logo et un nouveau nom », sur www.lerugbynistere.fr, (consulté le 23 juillet 2019).
- « rugby-le-championnat-de-nationale-suspendu-jusquau-10-janvier-prochain ».
- Lionel Ormières, « Narbonne : le RCNM va bientôt s'appeler à nouveau... RCN ! », sur www.lindependant.fr, (consulté le 10 septembre 2019).
- « Palmarès du Racing », sur pro.rcnm.com (consulté le 23 avril 2014)
- « Rugby à XV : le RCNM s'écroule devant Béziers », sur www.ladepeche.fr (consulté le 30 avril 2014)
Annexes[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jean Rubiella, Racing-club narbonnais : cent ans d'émotions, Ed. universelles, , 191 p. (ISBN 2-905797-09-6)
- [Mérillon 1990] Jean Mérillon, Le challenge Yves-Du-Manoir : Histoire du rugby, Éditions Chiron, , 335 p. (ISBN 978-2702703953)
- Henri Garcia, La fabuleuse histoire du rugby, Éditions de la Martinière, 1996/, 935 p. (ISBN 2-7324-2260-6)