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Godzilla

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Godzilla
Personnage de fiction apparaissant dans
Godzilla.

Godzilla (joué par Haruo Nakajima) dans le film de 1954.
Godzilla (joué par Haruo Nakajima) dans le film de 1954.

Nom original ゴジラ (Gojira?)
Sexe Mâle
Espèce Kaijū (reptile préhistorique intermédiaire, Godzillasaurus, ancien archosaure marin ou animal marin préhistorique mutant)
Activité Monstre
Taille 50 à 300 mètres de haut

Créé par Tomoyuki Tanaka
Première apparition 1954 : Godzilla

Godzilla (ゴジラ, Gojira?) est un kaijū (un monstre) du cinéma japonais et une figure emblématique de la culture populaire. Créé par Tomoyuki Tanaka (producteur), Ishirō Honda (réalisateur) et le studio Tōhō, il a révolutionné le genre du kaijū eiga (怪獣映画?, litt. « cinéma des monstres ») à partir de 1954. La thématique de la saga exploite les thèmes écologiques et la peur du nucléaire dans un Japon d'après-guerre traumatisé par les bombardements atomiques.

Dans la trentaine de films de la saga cinématographique produits entre 1954 et 2024 (et autant de comics, mangas, séries et jeux vidéo), Godzilla est tantôt vu comme une menace pour l'humanité, tantôt allié des humains contre d'autres monstres.

Étymologie

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Le nom original japonais de Godzilla est ゴジラ (Gojira?). Il est formé d'une combinaison de deux autres mots japonais : ゴリラ (gorira?, gorille) et 鯨 (くじら, kujira?, baleine). Ce nom serait issu d'une phase de plans préparatoires où Godzilla fut décrit comme « un croisement entre un gorille et une baleine »[1] en référence à sa taille, sa force et ses origines aquatiques. Une autre origine évoquée serait que ゴジラ (Gojira?) était le surnom d'un stagiaire machiniste au studio Tōhō à l'époque[2].

Il est arrivé que le nom de Godzilla soit écrit avec des caractères kanji comme 呉爾羅, mais ces caractères n'ont qu'une valeur phonétique, selon le principe d'un ateji[3].

Godzilla est la prononciation occidentale du nom japonais Gojira (ゴジラ?), qui se prononce dans sa langue d'origine « Godjira », avec un r battu latéral proche d'un l.

Création cinématographique de Godzilla

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Dans les années 1950, divers projets de films fantastiques sont mis en chantier par les studios de cinéma américains. En 1952, la re-sortie mondiale sur grand écran de King Kong connaît un franc succès au box-office. Le Français Eugène Lourié réalise ainsi Le Monstre des temps perdus (The Beast from 20,000 Fathoms), où un dinosaure, tiré de son sommeil par des essais nucléaires, gagne New York avant d'être abattu par les militaires.

Au même moment, le producteur Tomoyuki Tanaka pense à mettre sur pied un kaijū eiga(extra « film de monstres au Japon »?). Dans le scénario original de Shigeru Kayama (sous le titre Katei niman mairu karakita no dai-kaiju ou « le grand monstre venu de 20 000 lieues sous les mers »), un monstre sous-marin antédiluvien est réveillé par des essais nucléaires dans le Pacifique. Irradié, il détruit Tokyo avant de retourner dans la mer. Le second scénariste, Takeo Murata, ajoute la tragédie du docteur Serizawa, le scientifique à l'origine de l'Oxygen Destroyer, qui préfère se suicider plutôt que de voir son invention devenir une arme dans les mains du gouvernement.

Le premier film est tourné sous la direction d'Ishirō Honda, neuf ans après les bombardements atomiques. Godzilla (ゴジラ, Gojira?) est un très gros succès au Japon avec plus de 9 millions de spectateurs. Mais il est fortement censuré aux États-Unis où il bénéficie d'un montage différent, notamment pour y inclure des scènes tournées avec l'acteur Raymond Burr (Perry Mason, L'Homme de fer). Avec les scènes additionnelles et d'autres supprimées, Godzilla dure seulement 81 minutes, contre 98 pour la version originale japonaise[réf. nécessaire]. Ce second montage minimise l’implication des essais nucléaires américains dans la création du monstre[4]. En France, il a fallu attendre 1997 pour que les éditions HK Video, label créé par Christophe Gans, commercialisent une VHS avec le montage original de 1954, en version originale sous-titrée en français.

Godzilla meurt à la fin du film original mais un autre Godzilla fait surface dans Le Retour de Godzilla en 1955. S'ensuit alors une longue série principale de films classés sous quatre « ères » : Shōwa (1954-1975), Heisei (1984-1995) , Millennium (1999-2004) et Reiwa (2016-). Tous les films ne sont pas des suites canoniques et beaucoup ont leur propre continuité.

En 2014, en collaboration avec la Tōhō, Warner Bros. et Legendary Entertainment mettent en place un univers cinématographique américain, le MonsterVerse, qui met en scène Godzilla ainsi que d'autres monstres de la Tōhō.

Pour incarner le monstre dans la saga, il est demandé à un cascadeur d'endosser un costume. Le sculpteur Sadami Toshimitsu construit trois prototypes, dont un seul sera retenu sous la supervision de Eiji Tsuburaya, spécialiste des effets spéciaux. L'homme dans le costume de latex, Haruo Nakajima, est filmé au ralenti pour accentuer l'impression de lourdeur et de gigantisme du monstre. On utilise également une marionnette animée ainsi qu’une figurine mécanique radio-commandée. Dans les films plus récents, comme celui de 2014, c'est par capture de mouvement que le monstre prend vie.

L'apparence approximative de Godzilla, indépendamment de la conception de la combinaison utilisée par l'acteur dans les différents films, est celle d'un dinosaure colossal d'apparence mutante, recouvert d'écailles rugueuses et bosselées de couleur grises anthracite et avec une queue longue et puissante. Godzilla est une « chimère » inspirée de divers reptiles préhistoriques, dont les descriptions ont été glanées dans des livres de dinosaures pour enfants et des illustrations à partir d'un numéro du magazine Life : Godzilla a la tête et le bas du corps d'un T.rex, une triple rangée de plaques osseuses dentelées sur le dos qui rappellent un stégosaure, le cou et les avant-bras d'un iguanodon et la queue et la texture de la peau d'un alligator. L'aspect de Godzilla reste, de manière générale, humanoïde, du fait que ce monstre se tient droit sur ses deux pattes postérieures. C'est ainsi qu'on s'est représenté les dinosaures bipèdes durant des décennies. Dans la version de 2014 et ses suites, il reprend son ancienne apparence, légèrement modernisée[5]. Le fait que Godzilla change, même résiduellement, dans chaque film, même canoniques, peut s'expliquer par le fait que les créatures géantes comme lui sont en constante évolution, à cause des radiations.

Son rugissement est resté le même d'un film à l'autre, changeant seulement de « hauteur », comme dans les deux premiers films de « l'ère Heisei » (-), où il est devenu plus lourd et plus profond, avant de revenir au son plus classique avec seulement de légères variations dans la hauteur et, occasionnellement, une sorte de « bruit de fond » inséré dans la piste sonore principale.

Nature et origines de Godzilla

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Godzilla est l'un des derniers représentants d'une espèce de reptile préhistorique géant dont la représentation change d'un film ou une saga à un/une autre : dans le premier film, la série Shōwa et Millenium (ainsi que dans la franchise en général), il est un animal géant semi-aquatique du Mésozoïque réveillé à la suite de la présence de radiations relâchées par les hommes, tandis que dans la série Heisei, il est considéré comme un dinosaure théropode nommé Godzillasaurus (ゴジラザウルス)[6], qui a muté à la suite d'un contact avec la radioactivité. Cependant, vu que dans le film Godzilla vs King Ghidorah (1991), dans lequel on apprend cette information, Godzilla réapparaît alors que les protagonistes ont pourtant fait en sorte qu'il ne subisse pas sa mutation, cette origine peut être remise en cause. Selon les versions, le monstre est endormi ou en activité lorsqu'il est exposé à des radiations dues à des essais nucléaires dans l'océan Pacifique ou lorsqu'un autre événement d'ampleur survient. Sa taille varie de 50[7] à 100 mètres[8] de haut, pour un poids allant de 20 000[7] à 90 000 tonnes[8], mais dans GMK, c'est un yōkai provenant des âmes des victimes de la Seconde Guerre mondiale et la série Godzilla (en) (d'Hanna-Barbera Productions) le décrit comme une créature dont on ignore l'origine.

Dans le remake de Roland Emmerich et la série animée Godzilla, la série, il s'agit d'un descendant d'une population d'iguanes qui ont survécu aux essais nucléaires français sur les îles Tuamotu, à la suite desquels ils ont subi une mutation.

Dans la version de 2014 et du MonsterVerse, l'histoire de Godzilla reprend celle d'origine. C'est un animal dont l'espèce avait vu le jour pendant le Permien, qui vivait aussi sur Terre avec d'autres espèces d'animaux géants et qui se nourrissait des radiations naturellement présentes sur Terre avant que l'extinction Permien-Trias ait lieu. Par la suite, ne trouvant plus de quoi se nourrir, les radiations ayant fortement diminué, ces animaux durent vivre dans les profondeurs de la Terre, près du noyau terrestre qui leur assurait une « alimentation » constante. On apprend aussi qu'avant de s'enfuir sous terre, ils eurent le temps de côtoyer les êtres humains, qui les vénéraient comme des dieux : de là sont nés les nombreux mythes et légendes sur ces créatures. Par ailleurs, Godzilla diffère des versions précédentes par sa taille puisque celle-ci est de 108 mètres dans le premier film et de 120 mètres dans le second film.

Dans le film Shin Gojira de Hideaki Anno, Godzilla est une créature marine préhistorique, qui a émergé pour la première fois au Paléozoïque, qui s'est retrouvée entourée de déchets nucléaires sur le fond de la mer dans les années 1950 et s'est rapidement adaptée pour y résister, ce qui l’a rendue métamorphe. Au fur et à mesure que la créature évoluait et commençait à se nourrir de matières radioactives, elle a progressivement grandi pendant une période de 60 ans avant de prendre une forme capable de venir à terre. Après être arrivée à terre, la créature continue à évoluer et à grandir jusqu'à ce que les bras poussent et qu'elle commence à se tenir debout. Sa taille varie selon ses formes (il y a cinq formes dans le film) : sa première est invisible dans le film, mis à part sa queue dont on ignore la taille, la seconde forme mesure 28 mètres de haut et 122 mètres de long, la troisième forme mesure 57 mètres de haut et 168 mètres de long et la quatrième forme 118 mètres de haut et 333 mètres de long. La « cinquième forme » consiste à faire sortir des créatures humanoïdes de la queue de Godzilla, après que celui-ci a été congelé.

Dans la trilogie de Godzilla : La Planète des monstres, Godzilla : La Ville à l'aube du combat et Godzilla : Le Dévoreur de planètes, il est un des résultats finaux de la sélection naturelle et appartient a une espèce très évoluée descendant des plantes (ce qui fait de lui, de par le fait, une plante également). Par ailleurs, dans cette trilogie, Godzilla règne sur la Terre depuis 20 000 ans dans le futur après l'exil de l'espèce humaine (ceux qui sont restés sur Terre ont évolué jusqu'à donner naissance aux houtuas, une espèce à part entière d'hybrides d'hommes et de papillons). Sa taille atteint ici 300 à 400 mètres de haut.

Dans la série Godzilla Singular Point (en), Godzilla est une créature semblant être connectée à une prédiction apocalyptique datant du Japon féodal ; dans la continuité de la série, il s'agit d'une créature draconienne et métamorphe, d'origine extra-dimensionnelle ou extraterrestre, apparue en 2030, année où se déroulent les évènements de la série.

Le pouvoir de prédilection de Godzilla est son souffle atomique. À chaque fois qu'il s'apprête à l'utiliser, ses plaques dorsales s'illuminent. Le souffle atomique de Godzilla est bleu dans l'intégralité des films, sauf dans Godzilla 2000 et godzilla X Megaguirus où il est orange.

Godzilla semble aussi, comme la majorité des autres monstres, de par leur nature, posséder des facultés régénératrices, ce qui explique son invulnérabilité aux armes à feu. Faculté qui est confirmée dans Godzilla Minus One.

Dans Godzilla contre Mecanik Monster, Godzilla peut absorber l'électricité et la faire ressortir pour créer un champ magnétique.

Dans Godzilla vs Mechagodzilla 2, Godzilla parvient à renvoyer des décharges électriques qu'il reçoit.

Dans Godzilla vs Mechagodzilla 2, Godzilla vs Space Godzilla et Godzilla Final Wars Godzilla peut lancer un souffle de chaleur radioactif surcomprimé rouge considéré comme son pouvoir le plus puissant.

Dans Godzilla X Megaguirus, la queue de Godzilla est préhensile.

Dans Shin Gojira, sa première forme peut projeter des giclées de sang chaud de ses branchies et sa quatrième forme cracher de la fumée et du feu de sa gueule dilatée. Son souffle atomique est ici remplacé par un laser mauve qu'il peut également projeter de ses plaques dorsales et de l'extrémité de sa queue. Il peut aussi déployer une membrane nictitante sur ses yeux pour les protéger.

Dans la trilogie des films Godzilla : La Planète des monstres, son souffle atomique est désormais une concentration d'énergie créée à partir de ses plaques dorsales et qui se concentre devant sa gueule, qu'il peut ensuite tirer, créant un énorme et puissant rayon d'énergie.

Dans Godzilla 2 : Roi des monstres, quand il entre en surchauffe d'énergie, Godzilla peut émettre des impulsions thermonucléaires.

Monstres affrontés ou rencontrés par Godzilla

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Les monstres croisant l’univers de Godzilla sont très nombreux, et certains parmi eux sont issus d’autres univers de fiction ou ont eu un succès qui a permis de les faire réapparaître dans d’autres films. Mothra, Rodan, Anguirus ou encore le très célèbre King Kong, issu quant à lui de films américains, ont ainsi leur propre histoire et une filmographie où ils n’apparaissent pas forcément avec Godzilla. La plupart des monstres rencontrés par Godzilla sont toutefois issus de créations de la Tōhō qui n’eurent pour vocation que d’apparaître pendant un film, comme Battra ou Ebirah. Certains parmi eux ont vu leur propre univers de fiction développé en parallèle avec celui de Godzilla et sont réapparus dans plusieurs films, tel King Ghidorah. On peut également citer Baragon, Biollante, Destoroyah, Gigan, Hedorah, Jet Jaguar, Kamacuras, King Caesar, Kumonga, Manda, Mechagodzilla, Megaguirus, Megalon, Moguera, Monster X, MUTO, Orga, Space Godzilla, Titanosaurus, Varan, Skar king, Shimo.

Godzilla a aussi eu trois fils : Minilla (qui apparait dans « l'ère Shōwa » et le film Final Wars), Godzilla Junior (qui le remplace dans « l'ère Heisei ») et Zilla Junior (qui occupe la place des deux précédents et le personnage principal dans Godzilla : la série, fils de la version américaine de Roland Emmerich ; il est adopté par Nick Tatopoulos, l'aidant face à d'autres monstres).

Symbolique de Godzilla dans la culture populaire

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Étoile de Godzilla en 2004 sur Hollywood boulevard.

Godzilla est l'un des symboles de la culture populaire japonaise les plus reconnaissables à travers le monde, et le kaijū le plus connu de tous, à tel point qu'il possède sa propre étoile sur Hollywood Boulevard. On fait référence à lui ou bien on raconte son histoire comme dans le Godzilla de Michael Grave. C'est à la fois une métaphore cinématographique des États-Unis et une allégorie des armes nucléaires. Les premiers films, en particulier celui de 1954, dépeignaient Godzilla comme un monstre effrayant, triste produit des radiations atomiques. Il incarnait alors la peur de nombreux Japonais à la suite des bombardements d'Hiroshima et de Nagasaki et la possibilité qu'ils se reproduisent[9],[10].

Au fil des films, alors que ceux-ci deviennent de plus en plus destinés à un jeune public, Godzilla change : de monstre destructeur, il devient personnage héroïque. Dès lors, le personnage est présenté alternativement comme protecteur de la Terre (notamment du Japon contre les menaces externes) et comme porteur de destruction.

Godzilla est le deuxième des trois personnages de fiction ayant remporté le MTV Lifetime Achievement Award, qui lui a été décerné en 1996.

Godzilla est aussi une appellation donnée à la Nissan Skyline GT-R.

Œuvres composant l'univers de fiction

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Liste complète de films relatifs à Godzilla, par ordre de sortie :

  1. 1954 : Godzilla (Gojira), de Ishirō Honda (renommé en 1956 "Godzilla King of the monsters" par Terry Morse)
  2. 1955 : Le Retour de Godzilla (Gojira no gyakushû), de Motoyoshi Oda
  3. 1962 : King Kong contre Godzilla (Kingu Kongu tai Gojira), de Ishirō Honda
  4. 1964 : Mothra contre Godzilla (Mosura tai Gojira), de Ishirō Honda
  5. 1964 : Monster of Monsters: Ghidorah (San daikaijū: Chikyū saidai no kessen), de Ishirō Honda
  6. 1965 : Invasion Planète X (Kaijū daisensō), de Ishirō Honda
  7. 1966 : Ebirah contre Godzilla (Gojira, Ebirā, Mosura : Nankai no daikettō), de Jun Fukuda
  8. 1967 : La Planète des monstres ou Le Fils de Godzilla (Kaijūtō no kessen : Gojira no musuko), de Jun Fukuda
  9. 1968 : Les envahisseurs attaquent (Kaijū sōshingeki), de Ishirō Honda
  10. 1969 : Godzilla's Revenge (Gojira-Minira-Gabara : Oru kaijū daishingeki), de Ishirō Honda
  11. 1971 : Godzilla vs Hedora (Gojira tai Hedorā), de Yoshimitsu Banno
  12. 1972 : Objectif terre, mission apocalypse (Chikyū kōgeki meirei : Gojira tai Gaigan), de Jun Fukuda
  13. 1973 : Godzilla 1980 (Gojira tai Megaro), de Jun Fukuda
  14. 1974 : Godzilla contre Mecanik Monster (Gojira tai Mekagojira), de Jun Fukuda
  15. 1975 : Les Monstres du continent perdu (Mekagojira no gyakushu), de Ishirō Honda
  16. 1984 : Le Retour de Godzilla (Gojira), de Koji Hashimoto
  17. 1989 : Godzilla vs Biollante (Gojira tai Biorante), de Kazuki Omori
  18. 1991 : Godzilla vs King Ghidorah (Gojira tai Kingu Gidorā), de Kazuki Omori
  19. 1992 : Godzilla vs Mothra (Gojira tai Mosura), de Takao Okawara
  20. 1993 : Godzilla vs Mechagodzilla 2 (Gojira VS Mekagojira), de Takao Okawara
  21. 1994 : Godzilla vs Space Godzilla (Gojira VS Supesugojira) de Kensho Yamashita
  22. 1995 : Godzilla vs Destroyah (Gojira VS Desutoroia), de Takao Okawara
  23. 1998 : Godzilla, de Roland Emmerich
  24. 1999 : Godzilla Millennium (Gojira ni-sen mireniamu), de Takao Okawara
  25. 2000 : Godzilla X Megaguirus (Gojira tai Megaguirus) de Masaaki Tezuka
  26. 2001 : Godzilla, Mothra and King Ghidorah: Giant Monsters All-Out Attack (Gojira, Mosura, Kingu Gidorā : Daikaijū sōkōgeki), de Shūsuke Kaneko
  27. 2002 : Godzilla X Mechagodzilla (Gojira tai Mekagojira), de Masaaki Tezuka
  28. 2003 : Godzilla, Mothra, Mechagodzilla: Tokyo S.O.S. (Gojira tai Mosura tai Mekagojira : Tōkyō S.O.S.), de Masaaki Tezuka
  29. 2004 : Godzilla: Final Wars (Gojira: Fainaru uōzu), de Ryūhei Kitamura
  30. 2014 : Godzilla, de Gareth Edwards
  31. 2016 : Godzilla Resurgence, de Shinji Higuchi et Hideaki Anno[11]
  32. 2017 : Godzilla : La Planète des monstres, de Kōbun Shizuno et Hiroyuki Seshita
  33. 2018 : Godzilla : La Ville à l'aube du combat, de Kōbun Shizuno et Hiroyuki Seshita
  34. 2019 : Godzilla : Le Dévoreur de planètes, de Kōbun Shizuno et Hiroyuki Seshita
  35. 2019 : Godzilla 2 : Roi des monstres , de Michael Dougherty
  36. 2021 : Godzilla vs Kong, d'Adam Wingard et Gareth Edwards
  37. 2023 : Godzilla Minus One, de Takashi Yamazaki[12]
  38. 2024 : Godzilla x Kong: The New Empire, d'Adam Wingard

Godzilla (1998)

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Dans les années 1980, le réalisateur américain Steve Miner reçoit une « permission spéciale » de la Tōhō pour produire un film américain mettant en scène Godzilla. Avec l'illustrateur William Stout et le scénariste Fred Dekker, il tente de mettre sur pied le projet. Malheureusement, aucun studio américain ne veut investir[13]. En 1992, TriStar acquiert les droits de Godzilla auprès de la Tōhō en vue de produire une trilogie[14]. Les scénaristes Ted Elliott et Terry Rossio sont alors engagés. Ils livrent leur script final en 1994[15]. Quelques mois plus tard, Jan de Bont est choisi comme réalisateur et débute la préproduction du film, prévu pour sortir à l'été 1996[16]. Le réalisateur quitte finalement le projet après le refus de TriStar de lui allouer un budget de 100 à 120 millions de dollars[17].

Peu de temps avant la sortie en salles de Independence Day, le réalisateur Roland Emmerich et le producteur Dean Devlin signent pour reprendre le projet, à condition qu'ils puissent y apporter leurs propres idées[18]. Ils réécrivent presque en intégralité le script initial de Ted Elliott et Terry Rossio. Écologiste et antinucléaire convaincu, Roland Emmerich décide d'y inclure des éléments liés aux essais nucléaires français (relancés par Jacques Chirac à Moruroa, en Polynésie française, après son élection en 1995)[19].

Le tournage débute en à New York[20]. La première de Godzilla a lieu un an plus tard en mai 1998. Le film remporte un franc succès mais sera désavoué par les fans du Godzilla japonais. La créature se voit renommée GINO (« Godzilla In Name Only » : « Godzilla seulement de nom »). La Tōhō, gênée par l'impopularité du film auprès de ses fans, décide plus tard de renommer la créature Zilla dans son répertoire de kaijū[21].

Godzilla (2014)

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Plus d'une décennie après le Godzilla de Roland Emmerich, les studios Legendary Pictures et Warner Bros achètent les droits de Godzilla à la Toho. Le producteur Brian Rogers annonce un nouveau Godzilla réalisé en image de synthèse qui affrontera « un ou plusieurs monstres »[22]. Gareth Edwards, réalisateur du film Monsters, est attaché au projet. Le scénariste et réalisateur Frank Darabont retravaille un script de David Goyer, Max Borenstein et David Callaham.

Le scénariste Max Borenstein décrit une histoire « aussi terrifiante que réaliste, comme si l'incident avait vraiment eu lieu dans notre quotidien » mais qui reste également celle d'un « spectaculaire film de monstres (…) L'original est un superbe conte sur l'insignifiance de l'humanité face à la nature, mais aussi sur la force des humains lorsqu'il s'agit de survivre à un désastre de cette magnitude ». « Le nucléaire est très présent au cœur du film, et notre thème principal est l'homme contre la nature. Et dans ce combat, la nature gagne toujours », explique le réalisateur Gareth Edwards. « Godzilla est comme le dernier Samouraï : un ancien guerrier qui préfère rester à l'écart du monde, mais dont les évènements vont l'obliger à réapparaitre ». »[23]

Legendary Pictures fixe la date de sortie à mai 2014[24], ce qui coïncide avec le 60e anniversaire de la sortie du film de Ishirō Honda.

Trois suites verront le jour : Godzilla 2 : Roi des monstres en 2019, Godzilla vs Kong, en 2021, et Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire en 2024

Godzilla Resurgence (Tōhō, 2016)

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En 2015, le studio Tōhō annonce un reboot de sa propre saga avec Shinji Higuchi (L'Attaque des Titans) et Hideaki Anno (Neon Genesis Evangelion) aux commandes. Ce nouveau Godzilla Resurgence (シンゴジラ, Shin Gojira?) est le vingt-neuvième opus de la saga japonaise, douze ans après Godzilla: Final Wars (Gojira: Fainaru uōzu) de Ryūhei Kitamura[25].

Adaptations

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Télévision

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  • Godzilla a inspiré le groupe de hard rock des seventies Blue Öyster Cult avec le titre Godzilla en 1977.
  • Godzilla a aussi inspiré le groupe de death metal brésilien Sepultura avec le titre Biotech is Godzilla, sur l'album Chaos A.D. sorti en 1993.
  • Le groupe de death metal français Gojira s'appelait "Godzilla" à sa création en 1996. Pour des raisons légales, le groupe change de nom en 2001 en adoptant l'orthographe japonaise du monstre[26].
  • Le compositeur Eric Whitacre s' est inspiré de Godzilla pour composer son œuvre Godzilla eats Las Vegas en 1997.
  • Le titre de l'album du rappeur français Disiz, en 2018, Disizilla, est un hommage à la créature japonaise.

Comics et mangas

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Des années 1970 à 2010, Godzilla est le héros de plusieurs séries de bandes dessinées publiées par différents éditeurs comme Marvel Comics, Dark Horse Comics ou encore IDW Publishing, notamment :

Jeux vidéo

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De nombreux jeux sur Godzilla ont été développés, à partir de 1983 :

  • 1983 : Commodore 64Godzilla – Jeu de stratégie.
  • 1984 : MSXGodzilla vs. 3 Major Monsters.
  • 1985 : FM-7 et PC X-1 – Fierce Dragon Godzilla: Metropolis Destruction.
  • 1985 : MSX – Gojira-Kun.
  • 1986 : Apple II et Commodore 64 – The Movie Monster Game – Jeu où il faut démolir des villes.
  • 1986 : MSX – Monster's Fair.
  • 1989 : NESGodzilla: Monster of Monsters – Ce jeu de plateforme permet d'incarner Godzilla ou Mothra, pour parcourir différentes planètes et affronter les monstres de l'espace.
  • 1990 : Game BoyGodzilla – Jeu de puzzle-plateforme où Godzilla est en représentation unique sur l'écran titre.
  • 1992 : NESGodzilla 2: War of the Monsters – Il s'agit là d'un jeu de stratégie au tour par tour où l'objectif est de combattre Godzilla et d'autres monstres de la série à l'aide d'une armée.
  • 1993 : NEC PC-9801Godzilla.
  • 1993 : Super NintendoSuper Godzilla – Jeu où le monstre doit se frayer un chemin contre les forces terrestres et des ovnis pour affronter un monstre de la série, Bagan y fait son unique apparition car le film où il était prévu fut annulé. Godzilla a eu également droit à une transformation dans ce jeu appelée « Super Godzilla » lui donnant beaucoup plus de forces et de pouvoirs.
  • 1993 : Arcade – Godzilla / Godzilla: Battle Legends – Premier jeu de combat de la franchise avec plusieurs monstres jouables.
  • 1993 : Game BoyKing of the Monsters: Godzilla - Beat Them All sortie exclusivement au Japon.
  • 1994 : Arcade – Godzilla Wars Jr.
  • 1994 : Super FamicomGodzilla: Monster War / Godzilla: Destroy All Monsters (Kaijuu Daikessen).
  • 1995 : Sega PicoGodzilla: Heart-Pounding Monster Island.
  • 1995 : SaturnGodzilla: Rettoushinkan / Godzilla: Archipelago Shock.
  • 1995 : Game GearGodzilla: Kaijuu no Daishingeki.
  • 1998 : CD-ROMGodzilla Movie Studio Tour.
  • 1998 : Jeu en ligne – Godzilla - The Aftermath.
  • 1998 : PlayStationGodzilla Trading Battle.
  • 1998 : DreamcastGodzilla Generations – Sorti en même temps que la Dreamcast, ce jeu permet d'incarner différents monstres dans les villes du Japon ; l'objectif est de tout piétiner sur son passage.
  • 1998 : DreamcastGodzilla Generations: Maximum Impact – Ce jeu de Godzilla très rare reprend le scénario de différents films sous forme de différents niveaux.
  • 2000 : Game Boy ColorGodzilla The Series: Monster Wars – Le joueur incarne le Godzilla américain de la série animée.
  • 2002 : Xbox et GameCubeGodzilla: Destroy All Monsters Melee – Jeu de combat en 3D avec décor destructible et pouvant se jouer jusqu'à quatre personnes.
  • 2002 : Game Boy AdvanceGodzilla Domination – Jeu de combat entre monstres géants.
  • 2004 : Xbox et PlayStation 2Godzilla: Save the Earth et Godzilla : Unleashed – Similaire à Destroy All Monsters, mais avec plus de monstres. Unleashed ressemble à Save The Earth mais a la même histoire que la version Wii de Godzilla Unleashed.
  • 2007 : WiiGodzilla: Unleashed – Similaire à Destroy All monsters et à Godzilla Save The Earth, la grande nouveauté étant le nombre de monstres, porté à 23 dont plusieurs totalement inédits.
  • 2007 : Nintendo DSGodzilla Unleashed: Double Smash – Similaire à Godzilla: Unleashed mais sur console portable.
  • 2009 : iOSGodzilla: Monster Mayhem.
  • 2013 : iOS et AndroidMonster Strike – Jeu de RPG et stratégie multijoueur.
  • 2014 : Jeu en ligne – Godzilla: Crisis Defense.
  • 2014 : iOS et Android – Godzilla: Strike Zone.
  • 2014 : iOS et Android – Godzilla Smash3.
  • 2014 : PlayStation 3 et PlayStation 4Godzilla[27] – Jeu de combat entre divers kaijus permettant d'incarner Godzilla mais aussi beaucoup d'autres monstres. Sur PlayStation 3, seuls Godzilla 90's, Godzilla 2014 et Godzilla Fusion peuvent être incarnés. Tous les monstres ne sont jouables qu'exclusivement sur PlayStation 4. Par ailleurs, les apparitions des armes célèbres utilisées par l'armée japonaise contre les kaijus sont à noter dans ce jeu telles que Super X, Super X II, Super X III, Gotengo ou l'Oxygen Destroyer.
  • 2015 : Nintendo 3DSMonster Strike – Similaire à Monster Strike sur smartphone.
  • 2015 : iOS et Android – Godzilla: Kaiju Collection.
  • 2017 : PlayStation Vita et PlayStation 4 – City Shrouded in Shadow.

Personnages jouables

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Monstre Destroy All Monsters Melee Domination! Save the Earth Unleashed Double Smash Battle Legends (en) Kaijuu Daikessen Godzilla
Godzilla 1954  Non[28]  Non  Non[28]  Oui[29]  Non  Oui  Non  Non
Godzilla 1964  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Oui
Godzilla 1990s  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui
Godzilla 2000  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Non  Non  Non
Godzilla 2014  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Oui
Godzilla Fusion (Godzilla Vs. Destoroyah)  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Oui
Anguirus  Oui  Non  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui
Mothra  Non[30]  Oui  Oui[31]  Oui[31]  Oui  Oui  Oui  Oui
Fire Rodan/Rodan  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Non  Oui
King Ghidorah  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui
Mecha-King Ghidorah  Oui  Non[30]  Oui  Oui  Non  Oui  Non  Oui
Baragon  Non[28]  Non  Oui  Oui  Non  Non  Non  Non
Gigan  Oui  Non  Oui  Oui[32]  Oui  Oui  Oui  Oui
Jet Jaguar  Non[28]  Non  Oui  Oui  Non  Non  Non  Oui
Megalon  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Non
King Caesar  Non  Non  Non  Oui[29]  Oui  Non  Non  Non
Mechagodzilla  Non  Non  Non[28]  Oui[29]  Non  Oui  Oui  Oui
Super Mechagodzilla  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui  Oui
Kiryu  Oui[29],[33]  Oui[33]  Oui  Oui  Non  Non  Non  Oui
Titanosaurus  Non  Non  Non[28]  Oui[29]  Non  Non  Non  Non
Biollante  Non  Non  Non[28]  Oui[29]  Non  Non  Oui  Oui
Battra  Non  Non  Non[28],[30]  Oui[29],[34]  Oui  Oui  Non  Oui
Space Godzilla  Non  Non  Oui  Oui  Non  Non  Non  Oui
Moguera  Non  Non  Oui  Oui  Non  Non  Non  Non
Destroyah  Oui  Non  Oui  Oui  Oui  Non  Non  Oui
Orga  Oui  Non  Oui  Oui  Non  Non  Non  Non
Hedorah  Non[30]  Non  Non  Non  Non  Oui  Non  Oui
Megaguirus  Non  Non  Oui  Oui  Non  Non  Non  Non
Varan  Non  Non  Non  Oui[29]  Non  Non  Non  Non
Obsidius  Non  Non  Non  Oui  Non  Non  Non  Non
Krystalak  Non  Non  Non  Oui[29]  Oui  Non  Non  Non
Zilla  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non
King Kong  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non
Zone Fighter  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Non
Super X-2  Non  Non  Non  Non  Non  Oui  Non  Non
Atragon  Non  Non  Non  Non  Non  Non  Oui  Non

Dans la culture populaire

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Notes et références

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  1. (en) Steve Ryfle, Japan's Favourite Mon-Star. ECW Press, 1998. p. 22.
  2. (en) Gojira Media, site web consulté le 2 septembre 3009.
  3. (en) B Media Books Special: Gojira Gahô, Take-Shobo, trois éditions : (1993, 1998 : B Media Books Special: The Godzilla Chronicles Ver. 2: The History of Toho Fantastic Movies, 1935-1998, Take-Shobo, Japon, 1998, (ISBN 4-8124-0408-8), et 1999.
  4. Rick Moody, « When dino-clods ruled the earth », The Guardian,‎ (lire en ligne).
  5. (en) William M. Tsutsui, Godzilla on My Mind: Fifty Years of the King of Monsters, New York, Palgrave Macmillan, , p. 23.
  6. Godzilla vs King Ghidorah, Kazuki Omori, 1991.
  7. a et b (en) Godzilla (1954) sur Tohokingdom.
  8. a et b (en) Godzilla (Heisei) sur Tohokingdom.
  9. (en) Terrence Rafferty, « The Monster That Morphed Into a Metaphor », New York Times, 2 mai 2004.
  10. Célian Faure, « Godzilla : allégories géopolitiques et environnementales d'une icône populaire », Questions internationales, no 118 « Ukraine entre Est et Ouest »,‎ avril - mai 2023, p. 133 à 139
  11. La Toho lance son propre reboot de Godzilla.
  12. GODZILLA MINUS ONE Official Press Release, Trailers and Teaser Posters.
  13. Chronique de Le Retour de Godzilla sur DevilDead.com.
  14. (en) TriStar lands monster of deal with Godzilla - Variety.
  15. (en) Script Godzilla de Ted Elliott et Terry Rossio - Scifiscripts.com.
  16. (en) GODZILLA 2 RUMORS UNFOUNDED - SciFiJapan.com.
  17. (en) (http://www.theglobalcafe.org/article.php?articleID=120 GODZILLA-The Films That Never Were] - The Global Cafe.org.
  18. (en) The RriStar Godzilla film - AngelFire.com.
  19. Secrets de tournage - Allociné.
  20. (en) Allstetter, Rob (août 1997). "Look Out, it's Godzilla!". Wizard (72). pp. 119–120.
  21. [1].
  22. The Mighty 'Godzilla' Will Roar Once More!
  23. Interview de Gareth Edwards.
  24. Legendary News.
  25. Attack on Titan and Evangelion Filmmakers Will Make Toho’s Godzilla.
  26. « Musée SACEM », sur musee.sacem.fr (consulté le ).
  27. « Godzilla », sur Jeuxvideo.com (consulté le )
  28. a b c d e f g et h Certains monstres étaient censés apparaitre dans un jeu mais furent rejetés en raison de problèmes de licences ou pour des raisons inconnues.
  29. a b c d e f g h et i Certains monstres n'apparaissent que dans certaines versions d'un jeu.
  30. a b c et d Certains monstres apparaissent en tant que boss ou autres sans être jouable.
  31. a et b Mothra apparaît à la fois dans sa forme larve et l'adulte dans Sauver la Terre et Unleashed.
  32. La version Showa de Gigan n'apparaît pas dans la version Wii Unleashed(juste sur la PS2), au contraire, la version millenium de Gigan apparaît.
  33. a et b Kiryu apparaît dans la version japonaise Nintendo GameCube et versions Xbox américaine de Destroy All Monsters Melee et la version japonaise de Domination!.
  34. Battra apparaît à la fois dans sa forme larve et adulte dans Unleashed pour PS2.
  35. Anne-Sophie Tassart, « Cette guêpe parasitoïde traque sa proie jusque dans l'eau », sur sciencesetavenir.fr, .

Bibliographie

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  • Nicolas Deneschau et Thomas Giorgetti, L'apocalypse selon Godzilla : le Japon et ses monstres, Toulouse, Third Éditions, , 311 p. (ISBN 978-2-37784-165-3).
  • Nicolas Jeantet et Ivan-Vania Holodiline, Godzilla : ère Showa, Oyonnax, LBM Éditions, , 178 p. (ISBN 979-10-699-4156-4).
  • (en) Cynthia Erb, Tracking King Kong : A Hollywood Icon in World Culture, Détroit (Michigan), Wayne State University Press, coll. « Contemporary Approaches to Film and Television Series », , 2e éd. (1re éd. 1998), XIX-315 p. (ISBN 978-0-8143-3430-0), chap. 3 (« Monstrous Returns in the Postwar Context : Mighty Joe Young and Godzilla »), p. 121-157.
  • (en) David Kalat, A Critical History and Filmography of Toho’s Godzilla Series, Jefferson, Palgrave Macmillan, , 2e éd. (1re éd. 2010), VIII-278 p. (ISBN 978-1-4766-7294-6).
  • Fabien Mauro, Ishiro Honda : humanisme monstre, Aix-en-Provence, Rouge profond, coll. « Raccords », , 263 p. (ISBN 979-10-97309-03-9).
  • Fabien Mauro, Kaiju, envahisseurs & apocalypse : l'âge d'or de la science-fiction japonaise, Lyon, Aardvark Éditions, , 543 p. (ISBN 978-2-491679-00-2).
  • John Prate (éd.), Kaiju-Rama : les plus belles affiches de Godzilla et des monstres japonais, Montreuil, Omaké Books, coll. « Les archives visuelles de la pop culture », , 159 p. (ISBN 978-2-37989-080-2).
  • (en) August Ragone, Eiji Tsuburaya : Master of Monsters : Defending the Earth with Ultraman, Godzilla in the Golden Age of Japanese Science Fiction Film, San Francisco, Chronicle Books LLC, , 208 p. (ISBN 978-0811860789).
  • (en) Steve Ryfle et Ed Godziszewski, Ishiro Honda : A Life in Film, from Godzilla to Kurosawa, Middletown (Connecticut), Wesleyan University Press, , XXIII-324 p. (ISBN 9780819570871, lire en ligne).
  • Graham Skipper, Godzilla : la grande histoire du roi des monstres, Paris, Éditions Huginn & Muninn, , 255 p. (ISBN 978-2-36480-895-9, présentation en ligne).
  • (en) William M. Tsutsui, Godzilla on My Mind : Fifty Years of the King of Monsters, New York, Palgrave Macmillan, , XIII-240 p. (ISBN 9781403964748).
  • (en) William M. Tsutsui (dir.) et Michiko Ito (dir.), In Godzilla's Footsteps : Japanese Pop Culture Icons on the Global Stage, New York, Palgrave Macmillan, , XII-212 p. (ISBN 978-1-4039-6461-8 et 978-1-4039-6463-2, DOI 10.1057/9781403984401, présentation en ligne).
  • Alain Vézina, Godzilla : une métaphore du Japon d'après-guerre, Paris, L'Harmattan, coll. « Images d'Asie », , 170 p. (ISBN 978-2-296-09467-3, présentation en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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