Valérie Pécresse

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Valérie Pécresse
Illustration.
Valérie Pécresse, en janvier 2010.
Fonctions
Députée de la
deuxième circonscription des Yvelines
En fonction depuis le
(11 ans, 10 mois et 27 jours)
Prédécesseur Yves Vandewalle

(5 ans et 1 mois)
Prédécesseur Franck Borotra
Successeur Yves Vandewalle
Présidente du groupe UMP
au conseil régional d'Île-de-France
En fonction depuis le
(14 ans, 1 mois et 22 jours)
Prédécesseur Roger Karoutchi
Secrétaire générale déléguée de l'UMP

(1 an et 5 mois)
Président Jean-François Copé
Ministre du Budget, des Comptes publics
et de la Réforme de l'État

(10 mois et 11 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement François Fillon III
Prédécesseur François Baroin
Successeur Jérôme Cahuzac (Budget)
Marylise Lebranchu (Réforme de l'Etat)
Porte-parole du gouvernement

(10 mois et 11 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement François Fillon III
Prédécesseur François Baroin
Successeur Najat Vallaud-Belkacem
Ministre de l'Enseignement supérieur
et de la Recherche

(4 ans, 1 mois et 11 jours)
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement François Fillon I, II et III
Prédécesseur François Goulard
Gilles de Robien
Successeur Laurent Wauquiez
Biographie
Nom de naissance Valérie Roux
Date de naissance (56 ans)
Lieu de naissance Neuilly-sur-Seine (Seine)
Nationalité Française
Parti politique UMP
Conjoint Jérôme Pécresse
Diplômée de HEC Paris
ENA
Profession Haut fonctionnaire (Conseil d'État)
Religion Catholicisme

Valérie Pécresse, née Valérie Roux le à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), est une femme politique française.

Diplômée de HEC Paris et ancienne élève de l'École nationale d'administration, elle entre en 1992 au Conseil d’État où elle sera auditeur puis maitre des requêtes[1]. Députée des Yvelines de 2002 à 2007, elle est nommée ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche en 2007, après l'élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République. Elle mène notamment à bien la réforme de l'autonomie des universités. De 2011 à 2012, elle est ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État et porte-parole du gouvernement. À nouveau députée des Yvelines depuis 2012, elle est, entre 2013 et 2014, secrétaire générale déléguée de l’UMP. Elle est également membre du Cercle des constitutionnalistes, qui souhaite favoriser les échanges entre les acteurs intéressés par les débats constitutionnels.

Biographie

Naissance, études et cursus

Valérie Anne Émilie Roux (épouse Pécresse) est la fille de Catherine Bertagna et de Dominique Roux, professeur à l'université Paris-Dauphine et ancien président de Bolloré telecom.

Elle étudie à l'Institution Sainte-Marie de Neuilly[2]. À 15 ans, elle apprend le russe à Yalta, dans un camp d’été des jeunesses communistes[3]. Après une classe préparatoire au lycée privé Sainte-Geneviève à Versailles, elle intègre HEC Paris, dont elle est diplômée en 1988. Elle intègre ensuite l'École nationale d'administration (promotion Condorcet, 1990-1992), dont elle sort deuxième.

Catholique attachée à la laïcité [4], elle épouse Jérôme Pécresse (vice-président exécutif d’Alstom et président du secteur Alstom Renewable Power[5]) le . Elle est mère de trois enfants[6].

De profession, elle est membre du Conseil d’État, où elle entre en 1992 comme auditeur.

De 1992 à 1998, elle est en parallèle professeure de Droit constitutionnel à Sciences Po Paris et à HEC.

De 1993 à 1998, elle est aussi conseillère auprès du service juridique et technique de l'information (SJTI) et rattachée aux services du Premier ministre français.

De 1995 à 1998, elle est en poste comme commissaire du gouvernement auprès de la section du contentieux du Conseil d'État et secrétaire général du Conseil supérieur de l'Agence France-Presse (AFP).

Elle a été sélectionnée pour faire partie des Young leaders de la Fondation franco-américaine[7].

Elle préside la fondation « S’engager contre l’échec scolaire », dont l'objectif est de "recevoir et gérer les biens et droits de toute nature apportés au fonds de dotation à titre gratuit en vue de réaliser ou d’assister à l’accomplissement d’activités permettant de lutter contre l’échec scolaire."[8],[9]

En 2010, elle a créé un think tank de débats d’idées, qui veut incarner une droite réformatrice : le labo des idées [10]. Cet organisme lance plusieurs objectifs basés sur des propositions concrètes, comme la baisse des dépenses publiques de 20 milliards d’euros, la réforme de la formation professionnelle ou le passage à une société numérique[11].

Carrière politique

Débuts

Après la dissolution de l'Assemblée nationale et les législatives de 1997, elle rejoint l’équipe de Jacques Chirac alors qu’elle a été sollicitée par l’équipe de Lionel Jospin[12]. Elle est alors nommée, en , conseillère chargée des études et de la prospective auprès de la présidence de la République française[13]. Son grand-père Louis Bertagna, gaulliste, ancien résistant, et psychiatre a été l'un des médecins de la famille Chirac et le psychiatre de Laurence Chirac, lorsque la deuxième fille de Jacques et Bernadette Chirac fut frappée d'anorexie à l'adolescence[14], et les Pécresse sont apparentés à Henri Belcour, ancien maire d'Ussel et suppléant de Jacques Chirac lorsque celui-ci s'est présenté à la députation.

Députée des Yvelines

En 2002, Pierre Bédier et Henri Cuq lui proposent la succession du député de la deuxième circonscription des Yvelines, Franck Borotra, qui donne son accord pour la candidature de Valérie Pécresse dans sa circonscription. Elle est notamment opposée à la radicale de gauche Anne Nègre et à l'ancien général Philippe Morillon, représentant l'UDF de François Bayrou. Celui-ci étant éliminé au premier tour, avec 11 % des suffrages, Valérie Pécresse est élue députée sous l'étiquette UMP, avec 65,11 % des voix face à la candidate de gauche[15]. À l'Assemblée nationale, elle est d’abord rapporteur du budget des prisons et de la protection judiciaire de la jeunesse, puis elle devient une spécialiste des questions familiales — elle est rapporteur de la mission d'information sur la famille, s'implique fortement dans la réforme du divorce et contre les violences faites aux femmes —, des questions scolaires, universitaires et de recherche. Elle est membre de la commission des lois puis de la commission des affaires sociales et culturelles.

À partir de , elle est secrétaire générale adjointe de l'UMP, chargée des études et du centre d'études politiques. Alain Juppé déclare alors à son propos : « Elle a vocation à entrer dans un gouvernement[16] ». Elle est ensuite porte-parole de l'UMP au niveau national, avec Luc Chatel.

En , elle est élue conseillère régionale d'Île-de-France sur la liste conduite par Jean-François Copé.

Elle participe, comme rapporteur, en 2005-2006, à la mission parlementaire d'information sur la famille[17] sous la présidence de Patrick Bloche, député du Parti socialiste. Cette commission présente 100 propositions pour rénover le droit de la famille en vue de protéger l'enfant. Son rapport, intitulé L'enfant d'abord[18], est adopté par les seuls membres UMP et UDF de la mission[19].

Le Premier ministre Dominique de Villepin la charge, en , d'un rapport sur la conciliation vie familiale-vie professionnelle. Directrice de la revue de l'UMP Les débats de l'Union, adversaire résolue du Front national, elle défend, en , dans le quotidien Le Monde, l'idée d'une « société métissée fière et énergique[20] ».

Ministre de l'Enseignement supérieur

Valérie Pécresse, en 2007.

Le , à la suite de la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, Valérie Pécresse est nommée ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans le gouvernement François Fillon[Note 1].

Elle conserve son poste dans le gouvernement François Fillon II, formé après les élections législatives de juin 2007, lors desquelles elle est réélue députée dans sa circonscription, dès le premier tour, avec 54,80 % des suffrages[21].

Au gouvernement, elle fait voter, dès 2007, la loi sur l'autonomie des universités (loi LRU), soutenue par la Conférence des Présidents d'université (CPU), mais contestée par une partie des universitaires et par des étudiants. Cette réforme est dès lors présentée par la droite comme l'une des principales réussites du mandat de Nicolas Sarkozy. Elle met en place son plan de réforme du CNRS. Elle annonce en janvier 2008 un « plan campus » doté de 5 milliards d’euros, lui aussi contesté, qui doit faire émerger en France dix pôles universitaires d'excellence de niveau international. Elle apporte également son soutien au projet de cluster technologique Paris-Saclay, qui constitue l'un des volets du Grand Paris.

Début 2009, son projet de décret de réforme du statut des enseignants-chercheurs suscite à nouveau un mouvement de protestation. Le , elle devient présidente de la fédération UMP des Yvelines en remplacement de Gérard Larcher. Proche de Pierre Bédier et d'Henri Cuq, elle soutient la candidature d'Alain Schmitz à la tête du conseil général des Yvelines malgré le soutien de Nicolas Sarkozy à Christine Boutin[22].

Conseillère régionale d’Île-de-France

Elle remporte la primaire UMP pour l'élection régionale de 2010 en Île-de-France, le , avec 59,9 % des suffrages, contre le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement, Roger Karoutchi[23]. La liste qu'elle mène est devancée au second tour par celle du socialiste Jean-Paul Huchon, qui recueille 56,69 %[24].

Dans les Yvelines, où elle se présente, sa liste obtient 50,54 % des voix[25]. Le , elle est élue présidente du groupe de la Majorité présidentielle au conseil régional d'Île-de-France, succédant à Roger Karoutchi[26].

Elle conserve ses attributions ministérielles dans le gouvernement François Fillon III, formé le .

Valérie Pécresse est également secrétaire générale de l'Association des élus régionaux de France (AERF), fondée en 2010. En mai 2014, dans le cadre de ces fonctions, elle adresse au Gouvernement Manuel Valls un « ultimatum » concernant le projet de réforme territoriale, au nom de 250 conseillers régionaux de la droite et du centre. Considérant que l'objectif de la réforme est de permettre au gouvernement d'éviter une nouvelle défaite électorale, elle estime alors que « si cette réforme n'est pas adoptée d'ici juillet, nous exigerons que les élections régionales se tiennent d'ici juin 2015 »[27].

Elle se déclare candidate pour les régionales de 2015 en septembre 2014[28] mais sa candidature semble contestée en interne, les députés David Douillet et Henri Guaino[29] souhaitant eux aussi être candidat au poste de président de la région Île-de-France.

Ministre du Budget et porte-parole du gouvernement

Le , à la suite de la nomination de Christine Lagarde à la tête du FMI, Valérie Pécresse est nommée ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l'État, en remplacement de François Baroin, nommé ministre de l'Économie. Elle devient également porte-parole du gouvernement, fonction qui était aussi occupée par François Baroin. C'est Laurent Wauquiez qui lui succède au poste de ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, qu'elle a occupé pendant quatre ans.

Elle doit notamment faire face à la crise de la dette dans la zone euro. Elle défend le projet de réforme de la TVA anti-délocalisation pour baisser le coût du travail et améliorer la compétitivité des entreprises[30].

En novembre 2011 à Bercy, faisant le bilan de la Révision générale des politiques publiques, elle évalue à 150 000 postes, le nombre de postes supprimés dans la fonction publique d'État, soit une économie de 15 milliards d'euros sur 5 ans[31]. Il s'agit en fait d'une projection puisque les chiffres officiels sont de 9,5 milliards d'euros entre 2008 et 2011 inclus[32]. Les analyses indépendantes de la Cour des comptes, de l'Assemblée nationale et du Sénat, mettent chacune en doute ces chiffres, faute de transparence[33]. Pour autant, lors d'une audition à l'Assemblée nationale le 23 avril 2014, Didier Migaud, premier président de la Cour des comptes et président du Haut Conseil des finances publiques, expliquait que depuis 20 ans, « le meilleur résultat en matière de maîtrise de la dépense publique a été obtenu en 2011 »[34].

Retour à la députation

Elle est réélue députée lors des élections législatives de 2012. Lors du congrès de l’UMP de novembre 2012, qui voit s'organiser l’élection d’un président pour le parti, elle figure sur le ticket de François Fillon pour occuper le poste de secrétaire générale. Ce dernier est néanmoins battu par Jean-François Copé et le poste est attribué à la députée Michèle Tabarot. Néanmoins, après la contestation du scrutin et la crise qui s’ensuit au sein du parti, un accord est trouvé en janvier 2013 ; Valérie Pécresse devient alors secrétaire générale déléguée de l’UMP[35].

À la suite de l'annonce du gouvernement de son nouveau projet de Métropole du Grand Paris, elle s'oppose à cette réforme. Sur le fond (découpage territorial aléatoire, politique des transports peu ambitieuse), comme sur la forme (une réforme « votée à la hussarde », au profit de calculs électoralistes, selon elle), elle estime que cette proposition n'est pas à la hauteur de l'idée du Grand Paris qu'elle défend depuis plusieurs années[36].

Le 27 mai 2014, à la suite de l'affaire Bygmalion, elle propose la démission collective de la direction collégiale et se prononce très vite pour la publication des comptes. Elle demande à l'UMP de retrouver « le chemin de la probité »[37]. Dans le cadre de cette affaire, elle demande à l'UMP de porter plainte, estimant que c'est l'UMP et ses militants qui sont victimes[38].

En 2014, elle est à l'origine d'un groupe d'étude sur les Chrétiens d'Orient à l'Assemblée nationale[39]. Elle cosigne, en juillet 2014, avec 58 autres députés, une lettre ouverte à François Hollande pour que la France prenne une initiative diplomatique à l'ONU en faveur des Chrétiens d'Orient[40] ; elle publie également le mois suivant « Nous sommes tous des chrétiens d'orient », une tribune dans Valeurs actuelles où elle soutient cette communauté[41]. En septembre 2014, elle se rend en Irak avec une délégation de députés UMP, afin de traiter « avec les autorités kurdes et les autorités religieuses chrétiennes de la situation sécuritaire et des secours qui doivent être apportés par la communauté internationale à quelque 200 000 chrétiens réfugiés au Kurdistan qui survivent dans des conditions extrêmement difficiles »[42],[43]. Interrogée sur les Français partis faire le djihad, elle demande la création de « centres de désendoctrinement », pour ceux qui sont rentrés en France[44] car elle considère qu'il faut traiter les conversions au djihadisme comme des « dérives sectaires ». Selon elle, les djihadistes ont subi un « lavage de cerveaux » et sont susceptibles d'endoctriner d'autres personnes s'ils ne sont pas pris en charge spécifiquement. « On ne peut pas, lorsque ces djihadistes reviendront en France, les traiter comme des prisonniers de droit commun », précise-t-elle[45].

Elle a également déposé à l'Assemblée nationale, le 27 novembre 2014, un projet de loi visant à renforcer la loi anti burqa et créer un délit d'entrave pour ceux qui contournent la loi en empêchant le paiement par un tiers des amendes infligées aux femmes verbalisées[46][47][48][49].

Le 26 octobre 2014, elle se rend à Conflans-Sainte-Honorine pour soutenir la crèche Baby Loup, confrontée à des difficultés financières et reçoit une étude financière détaillée des comptes de la crèche, commandée par Élisabeth Badinter. Elle lance un appel au département des Yvelines et à la région Île-de-France, afin d'aider "cette crèche qui est dans une situation inextricable. Il faut réussir à obtenir des ressources supplémentaires, il faut sauver ce service unique en Île-de-France qui permet d'assurer une offre de garde pour les familles travaillant en horaires décalés », ajoute-t-elle[50][51][52][53].

Elle participe, en 2014, à l'ouvrage collectif Les 12 travaux de l'opposition. Nos projets pour redresser la France, coécrit avec les 11 autres principaux ténors de l'UMP, afin de proposer des idées permettant de « redresser la France »[54]. Valérie Pécresse écrit le chapitre consacré à l'éducation, où elle propose notamment de réformer le baccalauréat[55].

Le 4 décembre, elle est nommée, par le nouveau président de l'UMP Nicolas Sarkozy, coordinatrice pour les élections régionales[56].

Annexes

Bibliographie

  • Être une femme politique... c'est pas si facile !, éditions de L'Archipel, (ISBN 2841879135 et 978-2841879137)
    Dans ce livre elle défend notamment la garde alternée et la création d'une « contribution sociale pour la garde d'enfants ».
  • Mieux articuler vie familiale et professionnelle (rapport au Premier ministre), La Documentation française, (ISBN 2110066202 et 978-2110066206).
  • Et si on parlait de vous ?, Paris, éditions de L'Archipel, (ISBN 9782809802337)
  • Controverses. Université, science et progrès, avec Axel Kahn, Paris, éditions NIL, (ISBN 978-2-84111-547-1)
  • Réformer, Etudes 9/2011 (Tome 415), p. 173-184 (lire en ligne).
  • Après le Bac, mode d'emploi, Paris, Plon,
  • Voulez-vous vraiment sortir de la crise ?, Paris, Albin Michel, (ISBN 978-2-226-24856-5)
    Il s'agit d'un livre d’inventaire et de propositions revenant sur son expérience ministérielle et proposant des pistes de réformes pour la France. Dans cet ouvrage vendu à 10 000 exemplaires, elle se fait l’avocate d’une droite réformatrice qui ne se concentre pas sur la conquête mais sur l’exercice du pouvoir[57].

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Son cabinet est dirigé par Philippe Gillet. Marie-Danièle Campion est directrice-adjointe de cabinet chargée des questions de vie étudiante et de revalorisation des carrières et Jean-Philippe de Saint-Martin, directeur adjoint de cabinet chargé des moyens et de l'évaluation.

Références

  1. Gala.
  2. Elle obtient son baccalauréat à l'âge de 16 ans : « Valérie Pécresse, l'heure de l'autonomie », Le Figaro, .
  3. Le Nouvel Obs.
  4. Ekonomico.
  5. Jérôme Pécresse
  6. Jérôme Pécresse, le mari de Valérie, Paris Match, 24 août 2010
  7. Washington sur Seine ? Ces ministres de François Hollande qui ont été formés par les Américains
  8. Centre français des fonds et fondations.
  9. EducPros.
  10. Site officiel.
  11. Le Figaro.
  12. « Valérie Pécresse, la guerrière », Le Parisien, 29 mars 2009.
  13. Journal officiel, 2 juillet 1998, p. 10079
  14. Pécresse, la femme d'action aurait «voulu être une artiste» dans Le Figaro du 5 août 2009
  15. Élections législatives de 2002 - résultats dans la deuxième circonscription des Yvelines sur le site du ministère de l'Intérieur.
  16. « Valérie Pécresse, à la recherche de l'autonomie » par Charles Jaigu, Le Figaro,
  17. Mission d'information famille et droits des enfants sur le site internet de l'Assemblée nationale,
  18. « L'enfant d'abord, 100 propositions pour placer l'intérêt de l'enfant au cœur du droit de la famille », rapport à l'Assemblée nationale,
  19. « Les parlementaires contre l’homoparentalité mais pour l’amélioration du PACS » sur FGL
  20. [1] Article du Monde, avril 2006
  21. Élections législatives de 2007, résultats dans la deuxième circonscription des Yvelines sur le site du ministère de l'Intérieur.
  22. Béatrice Jérôme, Le Monde, 5 juillet 2009
  23. « Régionales : Pécresse bat Karoutchi pour l'investiture UMP en Ile-de-France », Le Monde, 22 mars 2009.
  24. Élections régionales de 2010 - résultats en Île-de-France sur le site du ministère de l'Intérieur.
  25. Élections régionales de 2010 - résultats dans les Yvelines sur le site du ministère de l'Intérieur.
  26. « Pécresse fait le ménager au groupe UMP », Le Parisien, 9 avril 2010.
  27. RTL.
  28. « Ile-de-France : Valérie Pécresse entre en campagne pour les régionales », Les Echos,‎ (lire en ligne)
  29. « UMP : un tandem Guaino-Douillet pour les régionales en Ile-de-France ? », Le Point,‎ (lire en ligne)
  30. Le Monde.
  31. Cf. J.-G. Malliarakis, Pour une libération fiscale, Trident, 2012, page 178.
  32. Rapport ministériel du 6e CMPP
  33. Après 4 années de RGPP, l’heure du 1er bilan in "La gazette des communes", septembre 2011. Le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux a atteint ses limites, selon un rapport parlementaire, in Le Monde, 12 octobre 2011.
  34. Extrait de l'audition de monsieur Didier Migauds sur le site officiel de l'Assemblée nationale.
  35. « Hortefeux, Ciotti, Morano… L’organigramme complet de la direction de l’UMP », in lemonde.fr, 15 janvier 2013.
  36. Le Figaro.
  37. Metronews.
  38. Le Point.
  39. Le Parisien.
  40. La Croix.
  41. Valeurs Actuelles.
  42. 20minutes.
  43. Le JDD
  44. Ouest France.
  45. Le Figaro.
  46. Le Figaro.
  47. Libération.
  48. Le Point.
  49. Le Parisien.
  50. Le Parisien.
  51. Metronews.
  52. Le Figaro.
  53. L'Humanité.
  54. Le Figaro.
  55. [2]
  56. « Christian Estrosi nommé président de la commission nationale d'investiture », u-m-p.org, 4 décembre 2014.
  57. Atlantico.