Soudaine-Lavinadière

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Soudaine-Lavinadière
Soudaine-Lavinadière
Le village de Soudaine-Lavinadière.
Blason de Soudaine-Lavinadière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources
Maire
Mandat
Pierre Peyramaure
2020-2026
Code postal 19370
Code commune 19262
Démographie
Gentilé Vinadièrois, Vinadiéroise
Population
municipale
144 hab. (2021 en diminution de 17,24 % par rapport à 2015)
Densité 6,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 28″ nord, 1° 44′ 27″ est
Altitude Min. 332 m
Max. 526 m
Superficie 21,86 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Seilhac-Monédières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Soudaine-Lavinadière

Soudaine-Lavinadière (Sodena en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Les habitants de Soudaine-Lavinadière s'appellent les Vinadièrois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune du Massif central située sur le plateau de Millevaches dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, elle est bordée au sud par la Vézère. Elle est arrosée par son affluent, la Soudaine, et le ruisseau de la Cassière, affluent de la Soudaine.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Soudaine-Lavinadière
Chamberet Chamberet Treignac
Meilhards Soudaine-Lavinadière Treignac
Rilhac-Treignac Peyrissac Affieux

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 328 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzerche à 20 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Soudaine-Lavinadière est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,9 %), forêts (32,2 %), zones agricoles hétérogènes (23,1 %), terres arables (6,2 %), eaux continentales[Note 2] (0,6 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Soudaine-Lavinadière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Soudaine-Lavinadière.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 149 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 39 sont en aléa moyen ou fort, soit 26 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 3] situé dans la Corrèze et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[19]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Soudaine-Lavinadière est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Soudaine-Lavinadière résulte de la fusion, en 1782, de deux paroisses : Soudaine et Lavinadière.

En 1783, l’église de Soudaine, seule et isolée, tombe en ruine et l’église de Lavinadière située dans le bourg de Lavinadière à environ 700 mètres de la précédente est en bon état mais aucune ne possédait de sacristie ni de presbytère. Après une longue délibération il fut décidé de la démolition de l'église de Soudaine et de son cimetière, de la création d'un cimetière à Magoutière et la construction d'une sacristie et d'un presbytère.

En , Georges Guingouin « prend le maquis », se réfugiant dans une sapinière de la commune de Soudaine-Lavinadière. Cette commune fût un fief de la résistance et du communisme rural corrézien. Le maire est Counil Gervais, puis Le maire PCF est André Plantadis (1983-2001), depuis Josette Nouaille est maire PCF de la commune.

Les Hospitaliers et l'ordre canonial du Saint-Sépulcre[modifier | modifier le code]

L'église de Lavinadière fut réparée avec la construction d'un petit beffroi ou fut mis en place la cloche de l'église de Soudaine, coulée en 1677 par l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Cette cloche a été brisée lors d'un mariage le [22].

Toutefois, à l’origine seule la paroisse de Soudaine (ou Soudeine, Soudène) existait, Lavinadière n’étant qu’un village de celle-ci. Ce n’est que lorsque l’ordre canonial régulier du Saint-Sépulcre s’y installa et érigea une commanderie que La Vinadière a été détachée de Soudaine et érigée en paroisse vers 1275.

An 1489, lorsque l’ordre canonial régulier du Saint-Sépulcre est réuni à l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, le curé de Lavinadière était nommé par le commandeur hospitalier. L’église de Lavinadière était vaste et bien entretenue par l’Ordre. Toutefois le commandeur de Lavinadière ayant négligé de nommer un curé dépendant de lui pendant de nombreuses années trouva la place squattée[Quoi ?]. En 1751, le curé en place décéda et fut remplacé par un abbé nommé par le commandeur hospitalier qui s’occupa lui aussi des deux paroisses.

Soudaine[modifier | modifier le code]

L’évêque de Limoges était le collateur du curé de Soudaine. L’église de Soudaine était construite au centre de la paroisse mais elle était isolée au milieu de la lande et des pacages.

Par ailleurs, la présence sur le territoire de Soudaine du prieuré de Masgoutière, donc d’une chapelle prieurale, dont le prieur était nommé par le chapitre des chanoines d’Uzerche était problématique.

Toutefois si la cure de Soudaine était toujours pourvue soit par l’évêque de Limoges soit par l’abbé d’Uzerche, l’église de Lavinadière était inoccupée, si bien que le curé de Soudaine fut chargé des deux paroisses. Cependant l’église de Soudaine fut délaissée et périclita rapidement au profit de celle de Lavinadière plus pratique qui avait en outre un logement à proximité, .

En 1783, l’église de Soudaine, seule et isolée, tomba en ruine.

Lavinadière[modifier | modifier le code]

La Vinadière devenue par la suite Lavinadière.

En 1783, l’église de Lavinadière est située dans le bourg de Lavinadière qui n'a cessé de s'agrandir. En 1782 les paroisses de Soudaine et Lavinadière sont réunies.

Prieuré de Masgoutière[modifier | modifier le code]

Le prieuré de Masgoutière ou Masgoutier, fondé en 1117[23] sur le territoire de Soudaine, dépendait de l'abbaye d'Uzerche.

En 1705, l'abbaye d'Uzerche céda le prieuré de Masgoutière au collège de Jésuites de Limoges.

En 1773, quand les jésuites furent supprimés le prieuré retourna à l'abbaye d'Uzerche. Le dernier prieur fut Henri Pradel de Lamase[24] curé de Saint-Nicolas d'Uzerche. À la Révolution ce prieur prêta serment mais, suspect, il fut incarcéré en 1793. Sorti de prison il revient à Soudaine-Lavinadière où il continua d’exercer jusqu'à sa mort le (1er nivose an VII) à l'âge de 70 ans.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Ernest Fleyssac Rad. Conseiller général du canton de Treignac (1886-1889)
         
mars 1983 mars 2001 André Plantadis PCF  
mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Plantadis    
mars 2008 juillet 2012 Bruno Gaugnion[25] DVD  
juillet 2012 mai 2020 Josette Nouaille[26] PCF Agricultrice retraitée
mai 2020 En cours Pierre Peyramaure[27]    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 144 habitants[Note 4], en diminution de 17,24 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
679611748800858877903902911
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
921901887841818900925892839
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
794827819656659584541502452
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
364319271233229193204205178
2015 2020 2021 - - - - - -
174145144------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Galerie photos[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Soudaine-Lavinadière Blason
Écartelé : aux 1er et 4e de gueules au lion d'or couronné de même, aux 2e et 3e de vair plain.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Borzeix, "Le Pays de Treignac autrefois", Treignac, éditions de l'Esperluette, 2011.
  • "Genèse et développement de la Résistance en R5, 1940-1945" (sous la direction de Pascal Plas), Treignac,éditions "Les Monédières", 2003 (dont le témoignage de Georges Cueille, premier maquisard de Corrèze, par Daniel Borzeix).
  • Collectif, "Le XXe siècle en Limousin", Treignac,éditions "Les Monédières", 2001 (dont Eric Moratille, "Evolution politique du canton de Treignac" ; Jean-Pierre Plantadis, son témoignage de maire).
  • Monique Borzeix, "Histoire des écoles du canton deTreignac", Treignac, éditions de L'Esperluette, 2013 (750 pages).
  • Yves Lavalade, "Les noms de lieux du canton de Treignac", éditions de L'Esperluette, 2014 (dont évidemment Soudaine-Lavinadière, pp. 108–114).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Soudaine-Lavinadière et Uzerche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Soudaine-Lavinadière », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Soudaine-Lavinadière », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. Article R214-112 du code de l’environnement
  19. « barrage de Monceaux la Virole », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. Lemouzi N° 194 (2e trim 2010).
  23. Chronique d'histoire régionale page 375.
  24. Écrit Henri Pradel de Lamaze sur son acte de décès.
  25. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
  26. « Josette Nouaille élue Maire », "La Montagne" 15 juillet 2012.
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Notice no IA00029974.
  33. « Ancienne commanderie de l'ordre du Saint-Sépulcre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Ancienne commanderie de l'ordre du Saint-Sépulcre », notice no PA19000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture consulté le 26 septembre 2011