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Portbail

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Portbail
Portbail
La vieille ville, le pont et le havre vus du ciel.
Blason de Portbail
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité CA du Cotentin
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Francis D’Hulst
2020-2026
Code postal 50580
Code commune 50412
Démographie
Gentilé Portbaillais
Population 1 502 hab. (2020)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 10″ nord, 1° 41′ 41″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 90 m
Superficie 19,56 km2
Élections
Départementales Les Pieux
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Port-Bail-sur-Mer
Localisation
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Portbail

Portbail, ou Port-Bail[1], est une ancienne commune française, située sur la Côte des Isles dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 502 habitants[Note 1] (les Portbaillais), commune déléguée au sein de Port-Bail-sur-Mer depuis le 1er janvier 2019.

Géographie

Couvrant 1 956 hectares, le territoire de Portbail est le plus étendu du canton de Barneville-Carteret.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Portus Ballii vers 746-753, Port Bahil en 1026-1027, et Portbail en 1185[3],[4]. Portbail est l'une des rares communes de la presqu'île du Cotentin qui ait conservé un nom de lieux gallo-romains[5]. Au début du XXe siècle, vers 1900 la graphie en usage du nom de la commune était Port-Bail[6].

Le toponyme serait issu du latin portus, « port » (portus balliolum[7]), et d'un anthroponyme germanique tel que Behhilt[8] ou Ballo[3], à moins que le deuxième élément ne soit, comme le suggère René Lepelley, l'ancien français bail, « cour, enclos » (du bas latin ballium)[9].

Histoire

Durant l'époque gallo-romaine, une agglomération portuaire s'élevait sur le territoire de la commune[10]. Carrefour de voie romaine, cinq voies arrivent et partent de Portbail[11], dont une qui longe la côte ouest de la presqu'île, la ville se développe. Charles de Gerville précise que l'agglomération antique était alimentée en eau par un aqueduc[12]. En 1968, sous la nef de l'église Notre-Dame, lors de fouilles dirigées par David Abadie, a été mis au jour des vestiges de thermes (hypocauste) d'une villa du IIe siècle de notre ère. Outre le baptistère, daté du IVe ou Ve siècle, il a été mis au jour à proximité de ce dernier les restes d'un petit temple gallo-romain (fanum), ainsi que l'existence d'une villa gallo-romaine et de son atrium. En 1845, l'abbé Louis signalait la découverte d'un « grand fragment de mosaïque »[12].

La première mention de Portail, dans l'état des connaissances, est dans un passage de la chronique de l'abbaye de Fontenelle rédigée vers 830-840 et qui narre que vers 747-750, le jour de marché, s'est échoué sur la plage un curieux esquif, une tour reliquaire, qui renfermait une mâchoire de saint Georges, et plusieurs autres reliques de saints, du bois de la Vraie Croix et un livre des évangiles[13]. Au IXe siècle, Portbail, avec son baptistère, son abbatia et son emporium (port de commerce), est une importante cité portuaire jusqu'aux premiers raids scandinaves[14]. L'archéologue Gilles Laisné a découvert dans dans le havre de Portbail une pêcherie médiévale de la fin du Xe siècle, 978 d'après les dernières datations[7].

En 1026, Richard III de Normandie donne à son épouse, Adèle de France, fille du roi des Francs Robert II le Pieux, un domaine abbatiam (territoire d'abbaye) nommé Port Bahil situé sur les flots de la Gerfleur avec un port. Avant la fin du XIe siècle l'église Notre-Dame est donné à l'abbaye bénédictine de Lessay et devint un prieuré qui sera déserté dans la seconde moitié du XIIIe siècle. Si l'on se réfère au Livre Noir de l'évêché de Coutances, l'abbé de Lessay était le patron de Portail où était : « une église paroissiale à côté du manoir de l'Abbé et des moines y demeuraient habituellement. Ils célébraient l'office dans cette église les jours fériés et exerçaient en ce lieu l'hospitalité. le curé célébrait pendant la semaine, dans une chapelle située non loin de l'église paroissiale »[15].

Wace, dans le Roman de Rou écrit vers 1170, fait allusion à une abbaye détruite par les Normands[15].

En 1818, Portbail (749 habitants en 1806) absorbe Gouey (1 087 habitants)[16],[17].

La Compagnie des chemins de fer de l'ouest met en service la gare de Portbail le [18], lors de l'ouverture à l'exploitation de la deuxième section, de La Haye-du-Puits à Carteret de sa ligne de Carentan à Carteret.

Portbail fusionne avec Denneville et Saint-Lô-d'Ourville le pour créer la commune nouvelle de Port-Bail-sur-Mer par arrêté préfectoral du [19]. Les trois communes deviennent des communes déléguées.

Fief de Lanquetot

En 1613, dans les aveux que fait Jacques de Thieuville au roi de France pour son fief du Parc, il est dit que trois fiefs nobles relève de la seigneurie du Parc : le fief du Saussey à Saint-Georges-de-la-Rivière, de Mandenaville à Saint-Pierre-d'Allonne et celui de Lanquetot à Portbail, ainsi que dix-sept vavassories[20].

Au hameau de Lanquetot, existait une source sacrée. Lors de travaux de captage, il fut découvert un dépôt votif[21].

Héraldique

Armes de Porbail

Les armes de la commune de Portbail se blasonnent ainsi :
D'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de trois étoiles de même, et en pointe d'un fer de lance d'argent.

Ces armes, qu'arbore la commune de Portbail, sont en fait celles de la famille Hellouin de Ménibus, à la différence que le fer de lance est renversé dans le blason des Hellouin.

Politique et administration

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? René Richon DVG  
juin 1995 mars 2001 Claude Boury   Médecin
mars 2001 mars 2008 Richard Yver   Professeur d'histoire-géographie
mars 2008 décembre 2018 Guy Cholot[22] DVD Retraité de la Police nationale
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et trois adjoints[23].

Liste des maires délégués
Période Identité Étiquette Qualité
1er janvier 2019 26 janvier 2019[24] Guy Cholot DVD Retraité de la Police nationale
janvier 2019 mai 2020 Serge Laidet DVD Cadre en retraite
mai 2020[25] En cours Francis D’Hulst   Agent maritime retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

En 2020, la commune comptait 1 502 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2007, 2012, 2017, etc. pour Portbail[26]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7127737492 5671 9012 0862 0662 0562 057
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8211 8631 8641 7401 7861 7761 8691 6741 640
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5561 5041 4861 2711 3951 3851 3251 4311 448
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2011 2016
1 4311 4991 5911 7071 6541 6751 6361 6441 551
2019 - - - - - - - -
1 491--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique de Gouey
1793 1800 1806
9598851 087
(Sources : EHESS[17])

Économie et tourisme

Portbail est commune touristique depuis août 2009[28].

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

Église Notre-Dame vue du pont.
Église Saint-Martin.
Chapelle Saint-Siméon-le-Stylite
Le pont aux treize arches et l'église Notre-Dame.
  • L'église Notre-Dame, classée monument historique du XIe siècle, se distingue par son clocher fortifié couronné de créneaux et de faux mâchicoulis, vestige de la guerre de Cent Ans. Cet édifice religieux occuperait l'emplacement d'un ensemble monastique du VIIIe siècle, qui dépendait de l'abbaye de Saint-Wandrille. Lieu d'expositions et de concert d'avril à octobre, visites guidées. Deux statues du XVIe siècle (saint Jacques et Vierge à l'Enfant) sont classées à titre d'objets[29],[30].
  • L'église Saint-Martin de Gouey des XIIe et XVe siècles est l'actuelle église paroissiale depuis 1909. Une Vierge du XIVe siècle, initialement à l'Enfant, est classée à titre d'objet[31].
  • le baptistère de Portbail, vestige de l’époque gallo-romaine, a l’originalité d’être hexagonal. Il fut construit au VIe siècle, au début de la christianisation du Cotentin. C’est l'un des seuls exemplaires de baptistère retrouvé au nord de la Loire et le seul hexagonal en France. Le baptême par immersion y était pratiqué. Il fut transformé au XIIe siècle en chapelle funéraire (avec cimetière) qui a été détruite en 1697. Des ossements et d'autres vestiges y ont été trouvés[32].
  • Chapelle Saint-Siméon-le-Stylite, abritant une pietà du XVe siècle et une cloche du XVIe siècle classées à titre d'objets aux monuments historiques[33],[34].

Patrimoine civil

  • Cinq voies romaines arrivent et partent de Port-Bail, ce qui laisse penser que ce port était une escale de la route maritime de l'étain, qui reliait ainsi la Cornouaille au bassin méditerranéen.
  • Le château du Dick, du XVIe siècle, est inscrit au titre des monuments historiques pour sa cheminée Renaissance[35].
  • Le manoir de la Comté (ruiné). Son porche sud qui subsiste est surmonté des armes de la famille Pigache « d'argent à trois cornets de gueules[36] ». Le manoir de la Comté possession de la famille Briroy jusqu'en 1684, date à laquelle il passe à la famille Pigache de Lamberville qui en avait encore la possession au XVIIIe siècle. La famille Pigache est une vieille famille féodale, originaire de la plaine de Caen, connue depuis le XIIIe siècle et qui s'est maintenue jusqu'en 1967[37].
  • Le Hamel au Bel de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle. On pénètre dans la cour de cet ensemble bâti par un porche double avec une porte charretière en arc en plein cintre avec double rangée de claveaux et une porte piétonne à linteau plat ; l'ensemble s'appuyant sur un contrefort intérieur. À gauche de la porte charretière une plaque avec l'inscription « Me NICOLAS LE BEL PBRE MA FAICT REDIFIER EN L'AN 1637 ».
Dans un redan d'une des maisons, une meurtrière en « double trou de serrure », pour armes à feu, permet de battre l'entrée. À voir également les demi-fenêtres du rez-de-chaussée, un potager (ou chauffe-plats), dans l'embrasure d'une fenêtre un petit évier, un four de boulanger, ainsi que des graffitis de bateaux gravés sur le manteau de la cheminée[38].
Sur l'angle d'une des maisons, on peut voir un cadran solaire en pierre calcaire avec en dessous le blason de la famille Le Bel « d'azur à trois besants d'argent, à la bordure d'or[39] ».
  • Le pont de 1873 menant vers la plage est composé de treize arches, ce qui est souvent signe de mauvais présage. Les jours de fortes marées, il arrive que le pont se trouve au ras de l'eau, ce qui donne l'impression de marcher sur l'eau.
  • Ruines d'un fortin de 1745[40].
  • La légende désigne la ville de Port-Bail, comme le cadre de l'arrivée miraculeuse par voie de mer, des reliques de saint Georges en terre de France.
  • La gare de Port-Bail est desservie par le Train touristique du Cotentin.

Activité et manifestations

Jumelages

Manifestations

  • Portbail a vu en 2004 l'organisation de la première Gainsbarre, une course cycliste Élite nommée en souvenir de Serge Gainsbourg.
  • Grand raid VTT (52,35 km et 20 km) et course pédestre (6,11 km).
  • Festival de l'enfant.
  • Fête de la musique.
  • La fête de la plage se déroule tous les 15 août, elle a remplacé depuis 2011 la fête du port qui commençait à s’essouffler.
  • Foire aux livres et cartes postales tous les quatrièmes samedis du mois dans l'église Notre-Dame d'octobre à février et en extérieur sur le quai Aubert de mars à septembre.
  • Rando goûter découverte de patrimoine accessible aux familles pendant les vacances scolaires.

Personnalités liées

  • Eugène Bretel (1842-1933), premier producteur industriel de beurre, né dans la commune.
  • René Fenouillère (1882-1916), footballeur international, né dans la commune et mort au front.
  • Flavie Flament, Présentatrice TV est originaire de Portbail où elle passe régulièrement ses vacances.

Portbail dans les arts

Chanson

Bibliographie

  • Michel de Boüard, Port-Bail dans l'histoire, Cherbourg, 1957
  • Michel de Boüard, « Le baptistère de Portbail », Cahiers archéologiques, tome IX, 1957
  • Michel de Boüard, « Nouvelles fouilles autour du baptistère de Port-Bail », Annales de Normandie, tome XVII, n° 4, décembre 1967
  • Arlette Videgrain, La Société rurale de Portbail (mémoire de maîtrise de géographie), Université de Caen, 1973
  • « Sauvetage à Portbail en vendémiaire an VII », Revue du département de la Manche, n° 137-138, 1993
  • Erik Groult, « Port-Bail », Patrimoine Normand n°28,‎ (présentation en ligne)

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2020, légale en 2023.
  2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.

Références

Altitudes : répertoire géographique des communes[41].
Coordonnées, superficie : IGN[42].
  1. Portbail est l'orthographe retenue par l'Insee. Le site internet communal écrit Port-Bail.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
  3. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (lire en ligne), p. 992.
  4. Georges Bernage, « Portbail et son terroir », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 17 (ISSN 0224-7992).
  5. Georges Bernage, « Noms de lieux scandinaves dans le canton de Barneville-Carteret », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 6 (ISSN 0224-7992).
  6. « Le terroir de Portbail », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 5 (ISSN 0224-7992).
  7. a et b Bernage - Portbail et son terroir, Vikland n° 1, p. 18.
  8. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  9. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 200.
  10. « Actualité | Un quartier de la ville gallo-romaine découvert à Portbail », sur Inrap, (consulté le ).
  11. Maurice Lecœur, Le Moyen Âge dans le Cotentin : Histoire & Vestiges, Isoète, , 141 p. (ISBN 978-2-9139-2072-9), p. 13.
  12. a et b Bernage - Portbail et son terroir, Vikland n° 1, p. 15.
  13. Jeannine Bavay, « Origines monastiques de Portbail », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 16 (ISSN 0224-7992).
  14. Bernage - Portbail et son terroir, Vikland n° 1, p. 17.
  15. a et b Bavay - Origines monastiques de Portbail, Vikland n° 1, p. 16.
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Gouey », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  18. Site gallica.bnf.fr, « Rapport de l'Ingénieur en Chef, situation au 1er mars 1890 : 2e section - de la Haye-du-Puits à Carteret », dans Rapports et délibérations : Manche, Conseil général, 1re session ordinaire de 1890, intégral (consulté le 16 juillet 2011).
  19. « RAA SP 94 », sur manche.gouv.fr, (consulté le ).
  20. Jeanine Bavay, « Le manoir du Parc », Vikland, la revue du Cotentin, no 1,‎ avril-mai-juin 2012, p. 53 (ISSN 0224-7992).
  21. Bernage - Portbail et son terroir, Vikland n° 1, p. 16.
  22. Réélection 2014 : « Guy Cholot réélu maire, avec 3 adjoints et 2 conseillers », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  23. « Portbail (50580) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  24. Ouest-France, édition du 31 janvier 2019, « Comme je m'y étais engagé, j'ai demandé au préfet d'accepter ma démission de maire délégué de Portbail. Il a accepté par arrêté du 26 janvier »
  25. « Municipales à Port-Bail-sur-Mer. François Rousseau maire de la commune nouvelle », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  26. Date du prochain recensement à Portbail, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
  28. « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - 3 septembre 2009 »
  29. « Statue : saint Jacques », notice no PM50000862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  30. « Statue : Vierge à l'Enfant assise », notice no PM50000861, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. « Statue : Vierge », notice no PM50000863, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. Dominique Auzias et Jean-Paul Labourdette, Normandie 2011, Petit Futé, , p. 338.
  33. « Groupe sculpté : Vierge de Pitié », notice no PM50000864, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  34. « Cloche dite Lorense », notice no PM50000865, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. « Château du Dick », notice no PA00110548, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Collectif, Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN 2-85480-543-7), p. 109.
  37. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 109.
  38. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 106.
  39. Blasons du Clos du Cotentin, 1996, p. 105.
  40. Guy Le Hallé, Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 106.
  41. Site de l'IGN.
  42. « Portbail sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)

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