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Lansium domesticum

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Langsat, Duku doux à fruit large

Il existe une confusion taxonomique pour cette espèce fruitière entre les espèces Lansium domesticum Corrêa, 1807 et Lansium parasiticum (Osbeck) Kosterm., 1966 (synonyme du nom valide Dysoxylum parasiticum (Osbeck) Kosterm, 1966).

Il s'agit d'une espèce d'arbres fruitiers de la famille des acajous (Meliaceae), originaire de l'ouest de l'Asie du Sud-est, également connu sous les noms de Langsat ou Duku doux à gros fruit, selon la variété.

Le taxon correspond à un complexe de plusieurs variétés dont la taxonomie reste à réviser[2],[3].

Cette plante est un emblème de la province thaïlandaise de Narathiwat et de la province Indonésienne de Sumatra du Sud.

Description

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Il s'agit d'un arbre de taille moyenne, atteignant 30 mètres de hauteur et 75 centimètres de diamètre. Ils peuvent atteindre 10 mètres de hauteur et 25 centimètres de diamètre en plantation de 30 ans avec une espacement de 8 mètres. Le tronc se développe de manière irrégulière, avec des contreforts montant au-dessus du sol. L'écorce de l'arbre est d'une teinte grisâtre, parsemé de taches claires et sombres. Sa résine est épaisse et laiteuse[4].

Les feuilles sont composées imparipenné.

Les fleurs sont groupées en groupes de grappes se développent sur les grosses branches ou le tronc ; on peut compter jusqu'à 5 grappes par inflorescence. Elles sont souvent ramifiées à leur base, mesurent 10 à 30 centimètres, sont couvertes d'un duvet[5]. Les fleurs sont petites, courtement pédonculées, et hermaphrodites. Le calice en forme de coupe à cinq lobes est de couleur vert-jaune. La corolle globuleuse rigide mesure 2 à 3 millimètres par 4 à 5 millimètres. L'androcée est réduite à une étamine, mesurant 2 millimètres de long à anthère rond. Le pistil est court et trapu.

Le fruit peut être elliptique, ovale ou rond, mesurant 2 à 7 centimètres sur 1,5 à 5 centimètres de large. Il ressemblent à de petites pommes de terre portées en grappes semblables à des raisins. Les plus gros fruits sont portés par la variété appelée "duku". Il est couvert de minces poils jaunes donnant un aspect un peu flou. L'épaisseur de la peau varie selon la variété, allant de 2 millimètres à environ 6 millimètres. Le fruit contient cinq carpelles dont seulement 1 à 3 sont généralement développées et qui contiennent une graine plate, au goût amer. Les graines sont recouvertes d'un épais arille clair-blanc au goût doux-amer rappelant le raisin et le pamplemousse, et généralement considéré comme excellent. Cette pulpe sucrée et juteuse contient du saccharose, du fructose et du glucose[6]. Pour la consommation, les cultivars à graines petites ou avortées avec un arille épais sont privilégiés.

Noms vernaculaires

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L'arbre et ses fruits sont connus sous divers noms vernaculaires[7] qui varient selon la variété.

Les variétés du groupe Duku[2] sont désignées sous les noms :

Les variétés du groupe Langsat-Lonkong[3] sont désignées sous les noms :

Fruits vendus en bord de route dans l'Ouest de Kutai (Kalimantan, Indonésie)

Il existe de nombreux cultivars, que l'on regroupe généralement en deux groupes principaux : ceux nommés duku et ceux nommés langsat. Il existe aussi des variétés mélangées duku-langsat[8].

Les variétés du groupe duku ont généralement une grande couronne, avec un feuillage épais vert clair, et portent de courtes grappes portant quelques fruits, grands, généralement ronds, avec une peau un peu épaisse qui ne relargue pas de sève à la cuisson. Les graines sont petites, et la chair épaisse, parfumée et de saveur douce à acide[9].

Les variétés du groupe langsat produisent des arbres généralement plus frêles, avec une couronne moins dense, un feuillage vert foncé et des branches droites, portant davantage de grappes, chargées de 15 à 25 fruits ovoïdes. Leur peau est mince et libère une sève blanche lors de la cuisson. La chair aqueuse a un goût doux-amer. Contrairement au duku, le fruit du langsat ne se conserve pas longtemps après avoir été cueilli : la peau noircit au bout de trois jours, sans cependant affecter la saveur du fruit[réf. nécessaire].

Arbres en culture dans le Mandi Angin, Rawas, Ilir, Musi Rawas.

Le taxon Lansium domesticum var. aquaeum se distingue par ses feuilles poilues, ainsi que ses fruits de couleur jaune foncé condensés en grappes serrées. Les fruits sont plutôt de petite taille, avec peu de sève et une peau fine difficile à enlever. Pour le consommer, le fruit est mordu et la chair aspirée par le trou créé, ou frotté jusqu'à ce que la peau cède et libère le contenu. Les graines sont relativement grande, mince, et la chair acide. En Indonésie, ce fruit a plusieurs noms : kokosan, pisitan, pijetan, bijitan.

Reproduction

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Les graines contenues dans le fruit sont polyembryonée, avec de multiples embryons issu des tissus du pied mère et donc de patrimoine génétique identique (apomixie)[10]. Le apomictic embryons sont formés à partir du parent de tissus. Les graines sont récalcitrantes, et perdent rapidement leur pouvoir germinatif (environ sept jours)[11].

Cet arbre est traditionnellement reproduit par diffusion de plants, cultivés ou collectés sous le pied-mère. On considère que cet arbre met 20 à 25 ans à porter ses premiers fruits, qui sont alors souvent de qualité inférieure[12],[13]. Cependant, d'après d'autres sources le délai est de 12 ans avant la première fructification, sans détérioration de la qualité. La production varie souvent d'une année à l'autre, et dépend dans une certaine mesure de la saison sèche qui induit la floraison. Par exemple, au Costa Rica, dix arbres d'environ vingt-cinq ans ont produit des quantités variables de fruit sur cinq ans : 50 kg en 2008, 2000 kg en 2009, 1000 kg en 2010, 100 kg en 2011 et 1500 kg en 2012. Aux Philippines, des expériences de greffe de deux arbres plantés proches l'un de l'autre et ensuite anastomosés entre un et deux mètres, de façon à alimenter un tronc principal avec deux systèmes racinaires jumeaux, ont abouti à une production de fruits plus précoce et moins erratique.

Une autre méthode courante est le marcottage aérien. Bien que le processus nécessite plusieurs mois, le nouvel arbre enraciné produit est lui-même prêt à porter ses fruits dans un délai de deux ans. Cependant, les arbres cultivés selon cette méthode ont un taux de mortalité élevé, et la croissance est moins dynamique.

La troisième voie commune de multiplication de ce fruitier est par greffe. Cela se traduit dans les arbres ayant les mêmes caractéristiques génétiques que le pied-mère, et portant des fruits au bout d'un délai de 5 à 6 ans. Les plants sont alors relativement plus résistants que les plantules directement transplantées.

Agroforêt à Duku dans le Mandi Angin, Rawas, Ilir, Musi Rawas.

L. parasiticum pousse bien en mélange dans les systèmes agroforestiers traditionnels indonésiens. La variété duku, préfère les zones humides et ombragées. Il peut être cultivé dans les mêmes agroforêts que le "durian", le "petai", le "jengkol", ainsi que les essences forestières sylvicoles[14]. p Ce fruitier est cultivé depuis les terres basses jusqu'à 600 mètres d'altitude, dans les zones à pluviométrie moyenne varie de 1 500 à 2 500 millimètres par an. La plante peut grandir et s'épanouir sur les latosols, les podzols jaunes, et les terrains alluvionnaires. La plante préfère les sols légèrement acides, bien drainés et riches en humus. La variété langsat est la plus résistante, et peut supporter des saisons sèches avec peu d'ombre et d'eau. En revanche cet arbre ne supporte pas les sols engorgés[15].

Cet arbre porte généralement des fruits une fois par an. Cette période peut varier selon la région, mais la floraison se produit généralement après le début de la saison des pluies et la production de fruits, quatre mois plus tard.

Répartition

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Cet arbre fruitier est originaire d'Asie du Sud-est. Il pousse naturellement dans les forêts de Sumatra, notamment dans les bassins versants des grands fleuves du sud. Lors des crues la rivière monte et inonde les sous-bois pendant quelques mois, et au reflux laisse une grande quantité de feuilles mortes, de brindilles et de matière organique qui enrichit les sols et maintient l'humidité dans la vaste zone du lit majeur, ce qui constitue des conditions idéales pour le développement naturel. La population locale vient alors récolter les fruits de la forêt naturelle en grimpant aux arbres portant des fruits mûrs (après repérage), pour secouer les petites branches et faire tomber les fruits mûrs au sol. Ils sont alors collectés et transportés sur de petits bateaux jusqu'aux villages où ils sont vendus. Dans une bonne année, un arbre de 20 ans peut produire 100 kg de fruits, cependant, la fructification est souvent inégale.

Cet arbre est cultivé pour ses fruits dans l'ensemble de l'Asie du Sud-est : du Sud de l'Inde aux Philippines en passant par la Thaïlande (thaï : ลางสาด, le langsat), le Cambodge, le Viêt Nam, et la Malaisie.

Aux Philippines, où on l'appelle lanzones ou langsa, il est principalement cultivé dans le sud de l'île de Luzon où l'on trouve des conditions favorables à son développement (particulièrement à Paete, province de Laguna) et dans le Nord de l'île de Mindanao (Butuan, Cagayan de Oro, et Camiguin). La variété de Camiguin est particulièrement douce et succulente.

En Indonésie, le Langsat est un fruit très populaire dans l'Ouest de Kalimantan (Pontianak, Indonésie), à Sulawesi et dans le Sud de Sumatra (aussi appelé "Duku'). Dans l'État de Sarawak, au nord de Bornéo, on donne le nom de Duku aux plus grandes variétés de Langsat (environ de la taille d'une balle de golf), qui sont les plus appréciées car plus douces et avec moins de sève dans la peau. Une variété produisant des grappes serrées (ce qui procure des facettes aux fruits), appelée Dokong ("Longkong' thaï : ลองกอง en Thaïlande) est exportée vers la partie continentale de la Malaisie, de la Thaïlande, que l'on préfère généralement aux "Langsat standard".

En dehors de la région, il a également été introduit avec succès à Hawaï et au Suriname. Il pousse bien dans les zones plus humides du Costa Rica (3 mètres de précipitations annuelles ou plus), où il est encore très rare, bien qu'introduit il y a plusieurs décennies par la United Fruit Company. Un obstacle majeur à son implantation semble être le long délai nécessaire de la plantation à la première fructification (12 ans ou plus). Cependant, le marcottage aérien à partir d'arbres matures, ainsi que la greffe ont permis d'accélérer l'obtention des premières récoltes.

Utilisations

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Fruits pelés, montrant l'arille charnu blanc autour des graines.

Cet arbre est cultivé principalement pour ses fruits, qui peuvent être consommés crus, ou conservés dans du sirop ou confit.

Son bois brun-clair, dur, épais, lourd et résistant, est utilisé dans la construction de maisons rurales.

Certaines parties de la plante sont utilisées dans les médecines traditionnelles. Les graines amères peuvent être pilées et mélangées avec de l'eau comme anti-parasitaire, ou pour lutter contre les ulcères médicamenteux. À Java, Bornéo et en Malaisie, la décoction de l'écorce astringente est réputée pour lutter contre la dysenterie et parfois contre le paludisme. L'écorce réduite en poudre et appliquée en cataplasme pour soulager les piqûres de scorpion. La peau du fruit est utilisé pour traiter la diarrhée. La décoction d'écorce et de feuilles a été employée dans le traitement de la dysenterie. Le goudron de bois est utilisé a été le noircissement des dents. La sève des feuilles a été utilisé le collyre pour les yeux. Le jus de l'écorce et la peau des fruits sont employées dans la confection des flèches empoisonnées chez les Dayak. En Malaisie péninsulaire, les graines amères, concassées, ont été utilisées pour guérir les fièvres chez les Sakai. La résine de l'écorce a été prescrite pour soigner les flatulences et les enflures, comme antispasmodique, et pour le traitement des coliques des inflammations du tractus gastro-intestinal. La teinture préparée à partir d'écorce séchée est aussi réputée antidiarrhéique ou anticolique. Aux Philippines, la peau du fruit de la variété langsat est séchée et brûlée comme un encens aromatique, qui éloigne les moustiques et que l'on diffuse dans la chambre des malades[2],[3].

Diverses études ont porté sur ce fruit et ses propriétés antioxydantes, antimicrobiennes, antileukotriènes, cytotoxique/antitumorale, antibactériennes, anti-plasmodium et pour le blanchiment de la peau[2],[3].

Les plus grands producteurs de ces fruits sont la Malaisie, la Thaïlande, les Philippines et l'Indonésie. La production est principalement pour la consommation interne, même si une partie est exportée vers Singapour et Hong Kong.

Composition

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Fruits de Lansium domesticum (duku)
Valeur nutritionnelle moyenne
pour 100 g
Apport énergétique
Joules 230 kJ
(Calories) (55 kcal)
Principaux composants
Glucides 12,1 g
Amidon ? g
Sucres ? g
Fibres alimentaires 0,4 g
Protéines 0,9 g
Lipides 0,3 g
Eau 85,8 g
Cendres totales 0,5 g
Minéraux et oligo-éléments
Calcium 12 mg
Fer 0,3 mg
Phosphore 30 mg
Potassium 142 mg
Sodium 2 mg
Vitamines
Vitamine B1 0,10 mg
Vitamine B2 0,14 mg
Vitamine B3 (ou PP) 1,4 mg
Vitamine C 1,7 mg
Acides aminés
Acides gras

Source : Tee, E.S. & al. (1997) Nutrition Composition of Malaysian Foods[16].

Fruits de Lansium domesticum (langsat/lonkong)
Valeur nutritionnelle moyenne
pour 100 g
Apport énergétique
Joules 276 kJ
(Calories) (66 kcal)
Principaux composants
Glucides 15,3 g
Amidon ? g
Sucres ? g
Fibres alimentaires 0,3 g
Protéines 0,9 g
Lipides 0,1 g
Eau 82,9 g
Minéraux et oligo-éléments
Calcium 5 mg
Fer 0,7 mg
Phosphore 35 mg
Vitamines
Vitamine A 15 U.I mg
Vitamine B1 0,08 mg
Vitamine B2 0,02 mg
Vitamine B3 (ou PP) 0,1 mg
Vitamine C 46 mg
Acides aminés
Acides gras

Source : Ministry of Public Health, Thailand (1987) Nutritional composition table of fruits in Thailand. Nutrition Division, Department of Health, Ministry of Public Heath, Thailand

La composition du distillat des fruits de duku et de langsat est principalement dominée par des sesquiterpène dont le plus abondant est le germacrène-D[17].

More than 40 volatiles and static headspace of 36 volatiles of fresh longkong (original fresh pulp) were identifi ed; 1,3,5-trioxane (33,8 %), (E)-2- hexenal (23,8 %), a -calacorene (6,9 %), a - cubebene (5,4 %), isoledene (4,7 %), and copaene (4,0 %) (Laohakunjit et al. 2007).

Références

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  1. (en-US) « Name - Lansium domesticum Corrêa », Tropicos, Saint Louis, Missouri, Missouri Botanical Garden (consulté le )
  2. a b c et d (en-US) T.K. Lim, Edible Medicinal and Non-Medicinal Plants. Volume 3, Fruits. : Lansium domesticum ‘Duku Group’, Springer, , 265-268 p. (ISBN 978-94-007-2533-1, DOI 10.1007/978-94-007-2534-8_33, lire en ligne)
  3. a b c et d (en-US) T.K. Lim, Edible Medicinal and Non-Medicinal Plants. Volume 3, Fruits. : Lansium domesticum ‘Langsat-Lonkong Group’, Springer, , 269-277 p. (ISBN 978-94-007-2533-1, DOI 10.1007/978-94-007-2534-8_34, lire en ligne)
  4. Sumber Daya Nabati Asia Tenggara 2 : Buah-buahan yang dapat dimakan, Jakarta, PROSEA– Gramedia, , 232–237 p. (OCLC 426214596)
  5. Cornelis Gijsbert Gerrit Jan van Steenis, Flora, untuk sekolah di Indonesia, Jakarta, PT Pradnya Paramita, , 485 p. (ISBN 978-979-408-114-3), p. 255
  6. Julia F. Morton, Fruits of warm climates, Miami, FL., Florida Flair Books, , 201–203 p. (ISBN 0-9610184-1-0, lire en ligne)
  7. « Lansium domesticum », ICRAF Agroforestry - Tree Database, sur ICRAF AgroforestryTree Database, World Agroforestry Centre (consulté le )
  8. (en) Efendi, D., Sari, H.P., Suwarno, W.B. et al., « Genetic diversity of Lansium parasiticum (Osbeck) K. C. Sahni & Bennet accessions based on vegetative morphological characters and simple sequence repeat markers. », Genet Resour Crop Evol, no 69,‎ , p. 1707–1716 (DOI 10.1007/s10722-021-01336-9).
  9. K. Heyne, Tumbuhan Berguna Indonesia, vol. 2, Jakarta, Yayasan Sarana Wana Jaya, , 1126–1128 p. (OCLC 21826488)
  10. R. Kiew, L.L. Teo et Y.Y. Gan, « Assessment of the hybrid status of some Malesian plants using Amplified Fragment Length Polymorphism », Telopea, vol. 10,‎ , p. 225–233
  11. (en) M.N. Normah, M.S Jamilah et Serimala Siti Dewi, « Viability studies on seeds and embryonic axes of Lansium domesticum Corr. », Malaysian Applied Biology,‎ , p. 39-43
  12. (id) Suparwoto, « Teknik Perbanyakan Duku Dengan Sambung Pucuk (Lansium domesticum Corr.) » [archive du ] (consulté le )
  13. D.C. Polo, « Propagation of the lanzon by marcotage and by cuttings », The Philippine Agriculturists, vol. 14, no 9,‎ , p. 613–623
  14. (id) « Duku Condet » [archive du ], Iptek.net, sur Iptek.net, Sentra Informasi IPTEK (consulté le )
  15. Julia F. Morton, Fruits of warm climates, Miami, FL., Florida Flair Books, , 201–203 p. (ISBN 978-0-9610184-1-2, lire en ligne)
  16. (en) ES Tee, MI, Azudin MN, Idris K Noor, MN Azudin et K Idris, Nutrition Composition of Malaysian Foods. Malaysian Food Composition Database Programme Fourth Edition, Institute for Medical Research, Kuala Lumpur, Malaysia: Ministry of Health., , 4e éd., 299 p. (ISBN 967-99909-8-2)
  17. (en) Wong KC, Wong SW, Siew SS et Tie DY, « Volatile constituents of the fruits of Lansium domesticum (duku and langsat) and Baccaurea motleyana (Muell. Arg.) Muell. Arg. (rambai). », Flav Fragr J, vol. 9, no 6,‎ , p. 319–324 (DOI 10.1159/000029336, lire en ligne, consulté le )

Liens externes

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