Réparsac

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Réparsac
Réparsac
La mairie de Réparsac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Christian Meunier
2020-2026
Code postal 16200
Code commune 16277
Démographie
Gentilé Réparsacais
Population
municipale
603 hab. (2021 en diminution de 4,13 % par rapport à 2015)
Densité 55 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 52″ nord, 0° 14′ 06″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 39 m
Superficie 11,06 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Jarnac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Réparsac
Géolocalisation sur la carte : France
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Réparsac
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Réparsac
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Réparsac

Réparsac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Réparsacais et les Réparsacaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Réparsac est une commune de l'ouest du département de la Charente située à 7 km au nord-ouest de Jarnac, à 11 km au nord-est de Cognac et 32 km à l'ouest d'Angoulême.

C'est une commune rurale située en Fins Bois, cru classé du vignoble d'appellation cognac.

Le bourg de Réparsac est aussi à 14 km à l'ouest de Rouillac[2].

Le bourg de Réparsac est traversé par deux départementales, la D 22 et la D 158. La D 15 de Cognac à Rouillac par Sigogne passe au sud de la commune, à Nercillac. La N 141, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique entre Angoulême et Saintes, passe à 7 km au sud de la commune, sur l'autre rive de la Charente et relie Jarnac et Cognac[3].

La gare la plus proche est celle de Cognac ou celle de gare de Jarnac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan avec correspondance à Angoulême pour Paris, Bordeaux, Poitiers et Limoges, et à Saintes pour La Rochelle et Niort.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

L'habitat est très dispersé avec de nombreux hameaux, dont les plus importants sont la Flaudrie, la Vénerie, la Vallade, la Roche Croisat[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Réparsac
Sainte-Sévère Houlette
Val-de-Cognac Réparsac Sigogne
Nercillac Chassors

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Comme toute cette partie de la rive droite de la Charente, géologiquement, Réparsac est dans le Jurassique supérieur. Le terrain date du Tithonien (anciennement nommé étage Portlandien) et présente des affleurements de marnes et d'argiles. Réparsac fait partie du Pays bas, ancienne zone lagunaire du Purbeckien (fin du Jurassique, mordant sur le Crétacé inférieur, étage Berriasien), riche en gypse. Le centre de la commune, bourg compris, est occupé par un épandage d'alluvions du Quaternaire[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'une plaine d'une altitude moyenne de 20 m. Une basse colline allongée occupe l'ouest de la commune. Le point culminant est à une altitude de 39 m, situé au nord-ouest à la Vénerie. Le point le plus bas est à 10 m, situé en limite nord-ouest en lisière de la forêt de Jarnac. Le bourg est à environ 20 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Soloire, le Tourtrat, le ruisseau du Capitaine et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Réparsac est traversée par la Soloire, un affluent de la Charente rive droite et son affluent le Tourtrat qui passe au bourg.

Les terres argileuses et la faible pente concourent à ce que les parties les plus basses de la commune sont inondables.

On trouve quelques sources et fontaines, comme la Rouillouse près de la Vénerie, ou la Rivelette près du bourg, ou les fontaines du Pigeon et du Pin à la Flaudrie[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.

Données climatiques
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 2,8 3,8 6,2 9,4 12,4 14,4 14 12,1 8,9 4,7 2,6 7,8
Température moyenne (°C) 5,4 6,7 8,5 11,1 14,4 17,8 20,2 19,7 17,6 13,7 8,6 5,9 12,5
Température maximale moyenne (°C) 8,7 10,5 13,1 15,9 19,5 23,1 26,1 25,4 23,1 18,5 12,4 9,2 17,1
Ensoleillement (h) 80 103,9 153,3 184,5 204,9 239,6 276,4 248,3 199,4 159 96,8 78,8 2 024,9
Précipitations (mm) 80,4 67,3 65,9 68,3 71,6 46,6 45,1 50,2 59,2 68,6 79,8 80 783,6
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale de Cognac de 1961 à 1990[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Réparsac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (71,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,8 %), forêts (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (21,9 %), terres arables (12,4 %), zones urbanisées (4,4 %), prairies (3,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Réparsac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Réparsac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 288 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 288 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2013. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une forme ancienne est Reparsaco (non daté)[23].

L'origine du nom de Réparsac pourrait remonter à un nom de personne gallo-romain Reparatius, du cognomen Reparatus, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Reparatiacum, « domaine de Reparatius »[24]. Selon Dauzat, elle pourrait remonter à un nom de personne latin Parcius, dérivant peut-être de Patricacus, précédé d'un préfixe obscur[25].

Le hameau de la Vénerie, près de la forêt de Jarnac, doit son nom à un rendez-vous de chasse des seigneurs de Jarnac qui s'y trouvait autrefois[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

La voie d'Agrippa dans la forêt de Jarnac se détache de la D 55 ; vue vers l'ouest.

Un ensemble de fossés circulaires protohistoriques a été trouvé aux Brousses.

L'ancienne voie romaine d'Agrippa, de Saintes à Lyon, fait la limite de commune avec Houlette au nord et passe dans la forêt de Jarnac.

Un cimetière médiéval de 300 à 400 tombes a été détruit lors de l'exploitation d'une carrière de sable[27].

Au bourg était un ancien logis qui avait appartenu à la famille de Montalembert.

Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par un moulin mû par la Soloire[26].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 ? Gérard Paurion DVD  
2001 2008 Aimé Rouger    
2008 2014 Sylvie Gadiou-Charbonnier SE Attachée commerciale
2014 En cours Christian Meunier    

Fiscalité[modifier | modifier le code]

La fiscalité en 2007 est d'un taux de 13,24 % sur le bâti, 35,82 % sur le non bâti, et 6,47 % pour la taxe d'habitation.

La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 603 habitants[Note 3], en diminution de 4,13 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
327400364449457482506523550
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
560527520501512476487466478
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
452419396405420410355422425
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
451458490531506562570636601
2021 - - - - - - - -
603--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 309 hommes pour 288 femmes, soit un taux de 51,76 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
2,1 
5,9 
75-89 ans
6,0 
14,7 
60-74 ans
17,3 
24,8 
45-59 ans
25,0 
17,9 
30-44 ans
19,1 
16,2 
15-29 ans
13,8 
20,1 
0-14 ans
16,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Réparsac présente une grande stabilité de sa population sur les deux derniers siècles.

Économie[modifier | modifier le code]

La fromagerie.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole.

La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[34].

Industrie[modifier | modifier le code]

La SAS Grand'Ouche, une importante unité de fabrication de fromages emploie environ 200 personnes pour la fabrication de divers produits laitiers dont certains portent les marques commerciales Tartare et Chavroux.

Commerces et artisanat[modifier | modifier le code]

La commune comporte des pépiniéristes viticoles, un producteur d'engrais et une grande surface de vente de matériel agricole pour les agriculteurs et les particuliers.

Les artisans sont un coiffeur, un plâtrier-carreleur, un menuisier, un couvreur, un plombier-chauffagiste et un garagiste.

Il y a trois artisans d'art, un ferronnier, une graveuse sur verre et une tisserande.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Il existe deux familles d'agriculteurs qui proposent des chambres d'hôtes.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école publique est un RPI entre Houlette et Réparsac. Réparsac accueille l'école élémentaire, avec deux classes, et Houlette l'école primaire. Le secteur du collège est Cognac (Félix-Gaillard)[35].

Autres services[modifier | modifier le code]

Il y a une agence postale.

Médecins, pharmacie, infirmières et tous les autres types de service sont sur les communes voisines.

Vie associative[modifier | modifier le code]

  • Entente sportive Nercillac-Réparsac ;
  • Société de chasse ;
  • Parents d'élèves ;
  • Comité des fêtes.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.

L'église paroissiale Saint-Pierre est une ancienne vicairie perpétuelle de l'ancien diocèse de Saintes qui était unie au prieuré de Montour, lequel se trouvait sur son territoire. L'église date des XIIe et XIIIe siècles ; elle a été réparée en 1720, restaurée en 1742, puis en 1893. Elle est à plan allongé avec un seul vaisseau, en pierre de taille en voûte d'ogives et voûte en berceau. Il y a des sculptures de fleur de lys au niveau de la clef de voûte du chœur et d'atlantes aux culots à la retombée de la voûte du chœur. Le toit est à longs pans, à pignon découvert avec une couverture de tuiles. Il y a un escalier en vis sans jour[36],[37]. Un moulin et de nombreuses fermes forment un important patrimoine rural datant en majorité du milieu du XIXe siècle[38].

La salle des fêtes a été une des premières de Charente, construite au début du XXe siècle par le propriétaire de la laiterie.

Le monument aux morts.

Son monument aux morts est surmonté d'un coq gaulois.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Réparsac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Réparsac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Cognac, Charente (16), 30 m - [1961-1990] », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Réparsac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Réparsac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 443
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 518,563.
  26. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 280
  27. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 137
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Réparsac (16277) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  34. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  35. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  36. « Église Saint-Pierre », notice no IA00049623, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  37. Jean Nanglard, « Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. I », dans Bulletin et mémoires de la société archéologique et historique de la Charente, t. II-IV, Angoulême, imprimerie Chasseignac, 1892-1894, 683 p. (lire en ligne)
    Publié sur trois années ; en 1892: p. 1-324, lire en ligne sur Gallica ; en 1893: p. 1-291, lire en ligne sur Gallica ; en 1894: p. 1-66, lire en ligne sur Gallica.
  38. « Réparsac », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]