Quincy Jones
Surnom | Q |
---|---|
Nom de naissance | Quincy Delight Jones Jr. |
Naissance |
Chicago (État de l'Illinois - États-Unis) |
Nationalité | Française |
Activité principale | Musicien, chef d'orchestre, producteur, arrangeur, compositeur et compositeur de musiques de films |
Genre musical | Jazz, pop, funk, soul, big band, swing, bossa nova, hip-hop et dance |
Instruments | Trompette, batterie, voix et claviers |
Années actives | Depuis 1951 |
Labels |
Columbia Records Mercury Records Qwest Records |
Influences | Duke Ellington, Benny Carter et Dizzy Gillespie |
Site officiel | www.quincyjones.com |
Quincy Delight Jones Jr., dit Quincy Jones [ˈkwɪnsi d͡ʒoʊnz][1] et surnommé « Q » [kjuː][1], né le à Chicago (Illinois), est un trompettiste, arrangeur, compositeur et producteur américain. À ce jour, il a remporté 27 Grammy Awards.
Biographie
Né à Chicago, Quincy Jones connaît une enfance difficile : pauvreté, mère internée pour maladie mentale… Après plusieurs déménagements, son père s'installe dans la banlieue de Seattle et c’est là que Quincy Jones fait connaissance avec la musique. Il s’essaie d’abord en autodidacte au piano, puis apprend la trompette à l’école. À treize ans, il reçoit quelques cours de Clark Terry, lors d’un passage de l’orchestre de Count Basie à Seattle. La situation financière de la famille est difficile et, en dehors de ses heures d’école, il exerce l’activité de cireur de chaussures. Il fait la connaissance de Ray Charles, son aîné de trois ans. Les deux amis forment un combo qui se produit dans les clubs de la ville. Quincy Jones fait aussi partie d’orchestres locaux. À dix-huit ans, il obtient une bourse pour poursuivre ses études au Berklee College of Music de Boston.
Carrière
Il quitte vite cet établissement pour intégrer l’orchestre de Lionel Hampton comme trompettiste et arrangeur. Malgré un salaire dérisoire[2], Quincy Jones reste quatre ans dans ce big band avec lequel il fait une tournée en Europe. Il s’installe ensuite un temps à New York où il exerce comme trompettiste mais surtout arrangeur « free lance ». Il écrit des arrangements pour de nombreux musiciens (Tommy Dorsey, Gene Krupa, Sarah Vaughan, Count Basie, Dinah Washington, Cannonball Adderley, Ray Charles).
En 1956, Quincy Jones est engagé par Dizzy Gillespie comme trompettiste et directeur musical de son big band pour une tournée organisée par le Département d’État au Moyen-Orient et en Amérique du Sud. Pendant cette tournée, il fait la connaissance de Lalo Schifrin, pianiste-compositeur-arrangeur-chef d'orchestre. Peu après, il enregistre son premier disque comme chef d’orchestre pour le label « ABC Paramount Records ».
En 1957, Quincy s’installe à Paris où il étudie auprès de Nadia Boulanger, directrice du Conservatoire américain de Fontainebleau, et travaille comme « staff arranger » pour le label d’Eddie Barclay (pour des artistes tels que Henri Salvador, Charles Aznavour, Jacques Brel...). Le groupe Les Double Six enregistre un album consacré à ses compositions. Le temps d’une tournée européenne, il est le directeur de la troupe qui joue la comédie musicale Free and easy d’Harold Arlen. En 1960, il forme un big band avec dix-huit musiciens. Malgré la qualité musicale de l’orchestre, l’expérience se solde par un fiasco financier et pousse Quincy Jones, homme pourtant foncièrement optimiste, au bord de la dépression.
Il retourne aux États-Unis où, grâce à l’aide d'Irving Green, il devient arrangeur puis directeur musical du label Mercury. C’est dans ce cadre qu’il va arranger des dizaines d’albums de jazzmen mais aussi, et surtout, d’artistes comme Frank Sinatra, Barbra Streisand ou encore Tony Bennett. En 1964, il est nommé vice-président du label. La même année il écrit sa première musique de film le Prêteur sur gages (The Pawnbroker) de Sidney Lumet. Dans les années qui suivent, il en écrit de nombreuses autres (voir annexe). Il travaille aussi pour la télévision : musiques de L'Homme de fer (Ironside), Sanford and son et du Bill Cosby Show. Il milite dans de nombreux mouvements anti-racistes et sociaux auprès de Martin Luther King ou du Révérend Jesse Jackson (fondateur du « People United to Save Humanity ») (PUSH). Il aide financièrement l'IBAM (« Institute for Black American Music ») et est un des fondateurs du « Black Arts Festival » de Chicago. En 1973, Quincy Jones coproduit pour CBS Duke Ellington, We Love You Madly, une émission télévisée en hommage à l’œuvre du Duke à laquelle participent Sarah Vaughan, Aretha Franklin, Peggy Lee, Count Basie, Joe Williams, et le groupe Chicago. En parallèle à son activité de producteur et de compositeur, Quincy Jones continue à enregistrer des disques, pour plusieurs labels, sous son nom, souvent plus proches du rhythm and blues, du funk ou de la pop que du jazz.
En août 1974, il est victime d’une rupture d'anévrisme et subit deux importantes opérations. Après six mois d’arrêt, il reprend une intense activité. Il est le directeur musical du film The Wiz pour le compte de la mythique maison de disques Motown. C'est sur le tournage qu'il rencontre le jeune Michael Jackson qui est à la recherche d'un nouveau producteur pour lancer sa carrière solo. Il produit ainsi en 1979 Off the Wall, le cinquième album de Michael Jackson mais son 1er album en tant qu’adulte et son 1er chez le label Epic Records. Cet album est un succès commercial mais l'apothéose vient en 1982 avec le suivant, Thriller, qui reste à ce jour l'album le plus vendu de tous les temps avec plus de 60 millions d'exemplaires vendus. Après un troisième album, Bad, qui est encore un succès, Michael Jackson se sépare de Quincy Jones, mais la fortune de ce dernier est définitivement assurée. Sa situation financière lui permet d'acheter les droits d’édition de compositions de nombreux musiciens (il possède actuellement les droits sur environ 1 600 titres). Elle lui permet aussi d'être, en 1985, coproducteur du film de Steven Spielberg La Couleur pourpre (The Color Purple). La même année, il est coorganisateur de l'enregistrement de We Are the World, titre « humanitaire » contre la famine en Éthiopie (1984-1985). En 1988, il remixe Blue Monday de New Order. Quincy Jones n'oublie pas pour autant le jazz. En 1991, par exemple, il dirige au festival de Montreux l'orchestre qui accompagne Miles Davis pour la reprise des arrangements écrits par Gil Evans. En 1993, Quincy Jones et David Salzman organisent le concert d'investiture du président Bill Clinton.
Jones et Salzman fondent la compagnie « QDE » (Quincy Jones/David Salzman Entertainment) qui produit aussi bien de la musique, des pièces de théâtre, des films, des émissions télévisées - dont Le Prince de Bel-Air (The Fresh Prince of Bel-Air) pour NBC-TV - et d'autres produits multimédias. QDE - dont Quincy Jones est le PDG - édite aussi le magazine Vibe. Quincy Jones fonde son propre label, Qwest Records. En 2001, Quincy Jones est fait Commandeur de la Légion d'honneur par Jacques Chirac. Malgré son âge, Quincy Jones est toujours aujourd’hui très actif.
Il est le père du compositeur Quincy Jones III.
Il est aussi le père de la styliste Kidada Jones, de l'actrice Rashida Jones qu'il a eues avec Peggy Lipton. Enfin, sa fille Kenya Kinski-Jones est née d'une brève union avec l'actrice Nastassja Kinski, fille de Klaus Kinski.
En 2017, Quincy Jones et le producteur français Reza Ackbaraly ont lancé Qwest TV, le premier service de vidéo à la demande par abonnement (SVOD) consacré au jazz et à ses musiques affiliées du monde entier. La plateforme propose une sélection de concerts, d'interviews, de documentaires et de contenus originaux et exclusifs, sans publicité [3].
Autres
Récemment, les marques d'accessoires audio AKG ainsi que JBL lui ont proposés d'éditer sa propre ligne d'accessoires audio[4],[5].
On a pu le voir en caméo dans l'épisode 9 de la saison 1 de la série Le Prince de Bel-Air. Il fait aussi une apparition dans le film The Wiz et dans Austin Powers 3 de Mike Myers.
Le compositeur japonais Joe Hisaishi (de son vrai nom Mamoru Fujisawa), compositeur des films de Hayao Miyazaki et de Takeshi Kitano a choisi son pseudonyme en hommage à Quincy Jones. En effet, Le kanji pour « Hisaishi » pourrait être lu comme « Kuishi », qui est proche de la prononciation japonaise de « Quincy », et « Joe » vient naturellement de « Jones ».
Le concert pour son 75e anniversaire a eu lieu en Suisse au Festival de Jazz de Montreux 2008[6].
On a pu le voir au côté de Johnny Hallyday dans une publicité pour une célèbre marque de lunettes française dans les années 2000.[réf. nécessaire]
Un concert événement pour célébrer son 85e anniversaire a eu lieu au Festival de Jazz de Montreux le dimanche 8 juillet 2018. Avec notamment Ibrahim Maalouf, Nate Smith Kinfolk, Jade Elliott, Nik West, Ezra Collective, Richard Bona, Jacob Collier, Alfredo Rodriguez, Talib Kweli, Jowee Omicil et bien d'autres...
Filmographie
- We Are The World (1985) ... Producer
- Le Prince de Bel-Air (1990) ... Himself
- Yakety Yak, Take it Back (1991) ... Himself
- Trash Talk (1992) ... Himself
- Fantasia 2000 (1999) – Himself (segment "Rhapsody in Blue")
Discographie
Albums studio
- 1956 : This Is How I Feel About Jazz
- 1957 : Go West, Man!
- 1959 : The Birth of a Band
- 1959 : The Great Wide World of Quincy Jones
- 1960 : I Dig Dancers
- 1961 : Around the World
- 1961 : Newport'61
- 1961 : The Great Wide World of Quincy Jones Live (in Zurich!)
- 1961 : Quintessence
- 1962 : Big Band Bossa Nova
- 1963 : Quincy Jones Plays the Hip Hits
- 1964 : Golden boy
- 1964 : I Had a Ball
- 1964 : Quincy Jones Explores the Music of Henry Mancini
- 1965 : Quincy Plays for Pussycats
- 1965 : Quincy's Got a Brand New Bag
- 1969 : Walking in Space
- 1970 : Gula Matari
- 1971 : Smackwater Jack
- 1972 : You've Got It Bad, Girl
- 1974 : Body Heat
- 1975 : Mellow Madness
- 1976 : I Heard That
- 1977 : Roots
- 1978 : Sounds...and Stuff Like That!!
- 1981 : The Dude
- 1985 : USA For Africa
- 1989 : Back on the Block
- 1995 : Q's Jook joint
- 1999 : From Q with Love
- 2000 : Basie and Beyond (avec Sammy Nastico et son orchestre)
- 2001 : Q The Musical Biography of Quincy Jones
- 2010 : Soul Bossa Nostra
Anthologie
- The Quincy Jones ABC/Mercury Big Band Jazz Sessions (sorti en 2008)
- disque 1 : This Is How I Feel About Jazz et Quintessence
- disque 2 : The Birth of a Band et The Birth of a Band (bonus tracks)
- disque 3 : The Great Wide World of Quincy Jones et I Dig Dancers
- disque 4 : The Zurich Concert et Zurich Jam Sessions
- disque 5 : The Newport Concert et We Had a Ball
- Jazz Round Midnight, Quincy Jones, chez Verve (314 537 702-2)
- Quincy Jones's Finest Hour, chez Verve (490 667-2)
- Strike Up the Band, chez Mercury (830 774-2)
- Genius + Soul = Jazz, avec Ray Charles, chez Rhino (R2 72814)
- Back on the Block, 1989
Musiques de films
- 1961 : Le Garçon dans l'arbre (Pojken i trädet) de Arne Sucksdorff
- 1964 : Le Prêteur sur gages (The Pawnbrocker) de Sidney Lumet
- 1965 : Mirage de Edward Dmytryk
- 1965 : Trente minutes de sursis (The Slender Thread) de Sydney Pollack
- 1966 : Rien ne sert de courir (Walk don't run) de Charles Walters
- 1966 : MI5 demande protection (The Deadly Affair) de Sidney Lumet
- 1967 : Dans la chaleur de la nuit (In the Heat of the Night) de Norman Jewison
- 1967 : Banning de Ron Winston
- 1967 : De sang-froid (In Cold Blood) de Richard Brooks
- 1967 : L'homme de fer (Ironside) de Don Weis
- 1968 : Maldonne pour un espion (A Dandy in Aspict) de Anthony Mann
- 1968 : Les Complices (Jigsaw) de James Goldstone
- 1968 : Mon homme (For Love of Ivy) de Daniel Mann
- 1968 : Tous les héros sont morts (The Hell of Heroes) de Joseph Sargent
- 1968 : Le crime, c'est notre business (The Split) de Gordon Flemyng
- 1969 : Of Men and Demons de John Hubley
- 1969 : L'Or de MacKenna (McKenna's Gold) de J. Lee Thompson
- 1969 : L'or se barre (The Italian Job) de Peter Collinson
- 1969 : L'Homme perdu (The Lost Man) de Robert Alan Aurthur
- 1969 : Bob et Carole et Ted et Alice (Bob & Carol & Ted & Alice) de Paul Mazursky
- 1969 : John et Mary (John and Mary) de Peter Yates
- 1969 : Fleur de cactus (Cactus Flower) de Gene Saks
- 1970 : Mother de Don Joslyn
- 1970 : Last of the Mobile Hot Shots de Sidney Lumet
- 1970 : Escapade à New York (The Out-of-Towners) de Arthur Hiller
- 1970 : Appelez-moi Monsieur Tibbs (They Call Me Mister Tibbs!) de Gordon Douglas
- 1971 : Bang Bang de Andrea Tonacci
- 1971 : Brother John de James Goldstone
- 1971 : Le Dossier Anderson (The Anderson Tapes) de Sidney Lumet
- 1971 : Honky de William A. Graham
- 1971 : Dollars ($) de Richard Brooks
- 1972 : Dig de John Hubley
- 1972 : Les Quatre Malfrats (The Hot Rock) de Peter Yates
- 1972 : Les flics ne dorment pas la nuit (The New Centurions) de Richard Fleischer
- 1972 : Guet-apens (The Getaway) de Sam Peckinpah
- 1978 : The Wiz de Sidney Lumet
- 1985 : Lost in America de Albert Brooks
- 1985 : Match à deux (The Slugger's Wife) de Hal Ashby
- 1985 : La Couleur pourpre (The Color Purple) de Steven Spielberg
- 1985 : Listen Up : the Lifes of Quincy Jones de Ellen Weissbord
- 2003 : Kill Bill de Quentin Tarantino
- 2005 : Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') de Jim Sheridan
- 2013 : Le Majordome (The Butler) de Lee Daniels
À titre de curiosité, le thème du générique des trois films de la série Austin Powers est en fait Soul bossa nova, un titre tiré de l'album de Quincy Jones Big Band Bossa Nova (1962). Quincy Jones apparait brièvement dans son propre rôle dans l'épisode trois (Austin Powers dans Goldmember).
Récompenses
Il obtient le prix Polar Music en 1994.
Récompenses aux Grammy Awards
Année | Catégorie | Nom | Album/Single/Morceau | Résultat |
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1964 | Meilleur arrangement orchestral | I Can’t Stop Loving You | Morceau | Vainqueur |
1970 | Meilleure performance jazz instrumental | Walking In Space | Morceau | Vainqueur |
1972 | Meilleure performance pop instrumental | Smackwater Jack | Album | Vainqueur |
1974 | Meilleur arrangement instrumental | Summer In The City | Morceau | Vainqueur |
1979 | Meilleur arrangement instrumental | The Wiz Main Title (Overture, Part I) | Morceau | Vainqueur |
1981 | Meilleur arrangement instrumental | Dinorah, Dinorah | Morceau | Vainqueur |
1982 | Meilleure performance R&B | The Dude | Album | Vainqueur |
Meilleur arrangement instrumental pour voix | Ai No Corrida | Morceau | Vainqueur | |
Producteur de l'année | Vainqueur | |||
1984 | Meilleur album | Thriller | Album | Vainqueur |
Meilleur enregistrement | Beat It | Single | Vainqueur | |
Meilleur album pour enfants | E.T. The Extra-Terrestrial | Album | Vainqueur | |
Producteur de l'année | Vainqueur | |||
1985 | Meilleur arrangement instrumental | Grace (Gymnastics Theme) | Morceau | Vainqueur |
1986 | Meilleur enregistrement de l'année | We Are The World | Single | Vainqueur |
1989 | Trusteed Awards | Lauréat | ||
1990 | Meilleur album de l'année | Back On The Block | Album | Vainqueur |
Meilleur arrangement instrumental | Birdland | Morceau | Vainqueur | |
Meilleure performance jazz-fusion | Birdland | Morceau | Vainqueur | |
Meilleur arrangement instrumental pour voix | The Places You Find Love | Morceau | Vainqueur | |
Meilleure performance de rap | Back On The Block | Morceau | Vainqueur | |
Producteur de l'année | Vainqueur | |||
1991 | Grammy Legend Award | Lauréat | ||
1994 | Meilleur ensemble de jazz | Miles & Quincy Live At Montreux | Album | Vainqueur |
2002 | Meilleur album parlé | Q: The Autobiography Of Quincy Jones | Album | Vainqueur |
Notes et références
- Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
- 17 dollars la soirée selon ses mémoires.
- « Qwest TV : quand le jazz veut aussi son Netflix - Les Echos », sur www.lesechos.fr (consulté le )
- AKG - Quincy Jones
- La gamme Quincy Jones
- Concert retransmis sur la chaîne de télévision Mezzo le 23/09/2011
Bibliographie
- (fr) Quincy Jones. Quincy'. Robert Laffont, 2003, ouvrage traduit par Mimi Perrin (fondatrice des Double Six)
- (en) Quincy Jones. Q: The Autobiography of Quincy Jones, Harlem moon, 2002
- (en) Lee Hill Cavanaugh. Quincy Jones : Musician, composer, producer. Enslow Publishers, 1998
- (en) Stuart A. Callen. Quincy Jones'. Abdo Pub Co, 1996
- (en) Courtney Ross. Listen up: The lives of Quincy Jones. Warner Books Inc., 1990
- (en) Raymond Horrick. Quincy Jones. Spellmount, 1986
Annexes
Liens externes
- Ressources relatives à la musique :
- (en) Site officiel
- (en) Quincy Jones Interview - American Academy of Achievement, 28 octobre 2000
- (en) American Masters - Quincy Jones - PBS
- Le grand Quincy Jones à Lausanne - Archive de la Télévision suisse romande, juillet 1960, 19 min 15 s [vidéo]
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Qwest TV[1]
- Portail du jazz
- Portail du cinéma américain
- Portail des Afro-Américains
- Portail de l’Illinois
- Portail de Chicago
- (en-US) « Qwest TV: Journey into jazz and beyond », sur Qwest TV (consulté le )
- Producteur de musique américain
- Trompettiste de jazz américain
- Compositeur américain de jazz
- Arrangeur musical américain
- Compositeur américain de musique de film
- Élève du Berklee College of Music
- Naissance en mars 1933
- Naissance à Chicago
- Musicien de smooth jazz
- Commandeur de la Légion d'honneur
- Oscar d'honneur
- Docteur honoris causa de l'université de Princeton
- Hollywood Walk of Fame
- Lauréat de la National Humanities Medal
- Musicien afro-américain
- Artiste de Bell Records
- Artiste de Verve Records
- Lauréat d'un Ivor Novello Award