Donchery
Donchery | |
Donchery. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Ardennes |
Arrondissement | Sedan |
Intercommunalité | Ardenne Métropole |
Maire Mandat |
Christian Welter 2020-2026 |
Code postal | 08350 |
Code commune | 08142 |
Démographie | |
Gentilé | Doncherois, Doncheroises ou Foyans, Foyanes |
Population municipale |
1 989 hab. (2021 ) |
Densité | 73 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 41′ 50″ nord, 4° 52′ 31″ est |
Altitude | Min. 147 m Max. 408 m |
Superficie | 27,36 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Donchery (ville isolée) |
Aire d'attraction | Charleville-Mézières (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Sedan-1 |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
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Donchery, parfois nommé Donchery-sur-Meuse, est une commune française située dans le département des Ardennes en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Bosseval-et-Briancourt, Cheveuges, Glaire, Saint-Menges, Sedan, Villers-sur-Bar, Vrigne-aux-Bois, Vrigne-Meuse et Vrigne aux Bois.
Donchery se trouve sur une boucle de la Meuse, à quelques kilomètres à l'ouest de Sedan, dont elle est limitrophe. Le territoire de la commune a une forme de huit, orienté du nord au sud. Le bourg de Donchery se situe au sud, sur le bord de la Meuse. La partie haute du « huit » est largement couverte par la forêt domaniale des Ardennes. La Meuse constitue la limite orientale de la commune, mais celle-ci s'étend un peu de l'autre côté du fleuve au sud.
La commune est desservie par voie ferrée (gare SNCF de Donchery) et par l'autoroute A203 (sortie 5, Donchery) qui traversent le territoire de la commune d'ouest en est.
Il est traversé par la Claire (rivière).
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Meuse, le canal de l'Est Branche-Nord, le ruisseau la Vrigne, le ruisseau la Claire, le ruisseau de la Falizette, le ruisseau du Terne de la Borne et le ruisseau de Borne du Pilotis[1],[Carte 1].
La Meuse, d'une longueur de 486 km, est un fleuve européen qui prend sa source en France, dans la commune du Châtelet-sur-Meuse, à 409 mètres d'altitude, et se jette dans la mer du Nord après un cours long d'approximativement 950 kilomètres traversant la France, la Belgique et les Pays-Bas[2]. Elle longe la commune sur son flanc est puis la traverse dans sa partie sud d'est en ouest, sur une longueur d'environ 4,4 km.
Le canal de l'Est Branche-Nord, d'une longueur de 141 km, est un chenal et un cours d'eau naturel navigable qui relie Givet à Troussey, où il rejoint le canal de la Marne au Rhin[3]. Il se superpose, dans la commune, à la Meusesur une longueur d'environ 1 km.
Le ruisseau la Vrigne, d'une longueur de 17 km, prend sa source dans la commune de Gespunsart et se jette dans la Meuse à Vrigne-Meuse, après avoir traversé sept communes[4].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 895 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzy », sur la commune de Douzy à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Donchery est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Donchery, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Charleville-Mézières, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,2 %), prairies (32,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,6 %), terres arables (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,3 %), eaux continentales[Note 3] (2,9 %), zones urbanisées (2,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Donchery fut d'abord appelée Castres[18], siège d'un comté de Castres aux Xe et XIe siècles[19].
Donchery, peut-être du bas latin domnus et du nom de saint Cyriacus « saint Cyriaque »[20].
Histoire
[modifier | modifier le code]Le roi Charles le Gros avait en la ville une métairie qu'il a offerte aux moines de Saint-Médard en 887. Elle avait une muraille qui ceinturait la ville au XIVe siècle dans laquelle se trouvaient la porte de France au sud et la porte de Bourgogne au nord vers les états des Pays-Bas. Au XVIIe siècle, la ville est au roi de France et, à la suite de la bataille de la Marfée, les troupes du duc de Bouillon vinrent mettre le siège sous les murs de la ville défendue par le capitaine Antoine de Saint-Sauflieu. La ville capitula le 14 juillet 1641 et fut mise au pillage par les Allemands et les Sedanais.
Siège d'un comté de Castres aux Xe et XIe siècles[19], Pagus Castricius (également appelé pagus Castrensis[21]) est un pagus qui s'étendait sur les deux rives de la haute Meuse, depuis Donchery par Mézières jusqu'au confluent de la Semois. Il était compris dans le diocèse propre de Reims[22].
Guerre franco-allemande de 1870
[modifier | modifier le code]C'est à Donchery qu'eut lieu l'entrevue entre Napoléon III et Bismarck à la suite de la défaite de Sedan le 2 septembre 1870. Napoléon III, souhaitant rencontrer le roi de Prusse alors à Vendresse pour tenter d'atténuer les conditions de la capitulation française, sort de Sedan par la route impériale menant à Mézières. Pour déjouer ce projet, Bismarck vint à la rencontre de l'empereur à la hauteur d'une maison, appartenant à un tisserand, et située à proximité du pont de Donchery. Elle était abandonnée de ses habitants. À la suite d'une conversation houleuse et vaine, ils se dirigèrent vers le château de Bellevue, à Frénois, où fut signé l'acte de reddition de l'armée française, en présence de Napoléon III, Guillaume, roi de Prusse et Bismarck.
Première Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Au début de la Première Guerre mondiale, en août 1914, la ville est victime d'atrocités commises par l'armée impériale allemande, qui massacre la population et détruit une grande partie de la ville[23].
Seconde Guerre mondiale
[modifier | modifier le code]Le dans l'après-midi, pendant la bataille de France, Donchery est prise par les Allemands de la 2. Panzer-Division de Rudolf Veiel, qui doit y passer la Meuse[24] sur laquelle repose la ligne principale de résistance de l'armée française. La veille, le pont a été détruit par les Français[25], aussi les Allemands doivent-ils traverser à l'aide de canots pneumatiques. Les Français du III/147e régiment d'infanterie de forteresse (chef de bataillon Crousse) situés sur la rive gauche, appuient notamment leur défense sur des casemates. Mais les chars allemands, agissent depuis Donchery, en utilisant le remblai de la voie ferrée pour se mettre en défilement de tourelle[24], et « sont si nombreux que tous les blocs peuvent être simultanément pris à partie par quatre chars à la fois. »[26]. Malgré tout, la défense française reste suffisamment intense pour faire faire échouer une première tentative[24],[27]. Une seconde tentative finit par établir une tête de pont et élimine plusieurs casemates[27], mais la traversée reste difficile à cause de l'artillerie française, « les pertes sont nombreuses »[28]. La situation est critique pour les assaillants passés sur la rive gauche, cependant le Schützen-Regiment 1 (de la 1. Panzer-Division) a traversé avec succès à Floing et enfoncé les défenses françaises jusqu'à Cheveuges, provoquant en début de soirée le repli des défenseurs menacés d'être pris à revers[27].
Au soir du le XIX. Armee-Korps (mot.) (dont fait partie la 2. Panzer-Division) de Heinz Guderian vient ainsi d'établir une large tête de pont qui entraîna la percée de Sedan, provoquant elle-même l'effondrement des armées alliées en Belgique et dans le Nord de la France dans les jours qui suivent.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Zone industrielle Ardennes Azur de la Chambre de commerce et d'industrie des Ardennes.
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].
En 2021, la commune comptait 1 989 habitants[Note 4], en évolution de −9,67 % par rapport à 2015 (Ardennes : −3,2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Donchery se blasonnent ainsi : de gueules aux deux râteaux démanchés d’or, soutenus de la lettre D capitale du même[40]. |
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le hameau de Montimont.
- Chapelle Saint-Onésime de Cheveuges.
- Église Sainte-Onésime, classée au titre des monuments historiques en 1911[41].
- Église du Dancourt. Située dans le hameau du même nom, cette église, qui date du XIIIe siècle, fut en partie détruite lors d'un bombardement allemand pendant la Première Guerre mondiale.
- Donchery est médiatiquement connue dans le cadre de l'affaire Fourniret car le château du Sautou se trouve sur le territoire de la commune. Ce petit manoir du XIXe siècle, isolé et entouré par 15 hectares de terrain et par la forêt ardennaise a été la propriété du tueur en série. Les restes des corps de Jeanne-Marie Desramault et d'Élisabeth Brichet, deux de ses victimes, disparues respectivement le 18 mars 1989 à Charleville-Mézières et le 20 décembre 1989 à Saint-Servais en Belgique, y ont été retrouvés le 3 juillet 2004. Michel Fourniret avait pu acheter ce château grâce au magot du gang des postiches sur lequel il avait réussi à mettre la main.
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Église du Dancourt.
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La mairie de Donchery.
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Vue ancienne de Donchery.
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Château du Sautou.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Léo Fontan (1884-1965), artiste-peintre né à Donchery, a entre autres réalisé des fresques décoratives pour des paquebots comme l'Île-de-France.
- Joël Muller (1952- ), footballeur, puis entraîneur de l'équipe de Metz, puis de Lens, y est né.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Donchery » sur Géoportail (consulté le 15 mai 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Fiche communale de Donchery », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « la Meuse »
- Sandre, « le canal de l'Est Branche-Nord »
- Sandre, « le ruisseau la Vrigne »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Donchery et Douzy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douzy », sur la commune de Douzy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Douzy », sur la commune de Douzy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Donchery », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Charleville-Mézières », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Voir Revue historique des Ardennes, Vol. 5, éd. par Edmond Sénemaud.
- Voir Upper Lotharingia, nobility. Ch. 4, Comtes de Castres.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Genève, Droz, , p. 417.
- À ne pas confondre avec le Castrensis voisin du Parisis.
- Vanderkindere 1902, t. II, p. 377.
- Philippe Nivet, La France occupée 1914-1918, Paris, Armand Colin, 2011 (ISBN 978-2-200-35094-9), p. 187
- Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 240 à 242
- Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 203
- Rapport de Crousse (commandant à l'époque le III/147e régiment d'infanterie de forteresse) cité par Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 242
- Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 250-251
- kriegstagebuch (journal de marche) de la 2. Panzer-Division, cité par Jean-Yves Mary, Le Corridor des Panzers, t. I, Bayeux, Heimdal, , p. 251
- [PDF] Les maires successifs de Donchery, sur donchery.fr
- Annuaire des Mairies des Ardennes (08)
- « Christian Welter veut mettre le cap sur l'économie s'il est réélu maire », La Semaine des Ardennes,
« Maire de Donchery depuis 2005, Christian Welter a surtout travaillé sur les activités à destination des jeunes. » - « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- « Christian Welter a été réélu maire », La Semaine des Ardennes, no 239, , p. 15
- « À Donchery, Christian Welter se représente : Le maire se représente avec notamment d’importants travaux de voirie dans son programme », L'Ardennais, (lire en ligne, consulté le )
- Camille Gaubert, « Christian Welter est réélu maire de Donchery », L'Ardennais, (lire en ligne)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Banque du Blason
- Notice no PA00078429, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture