Castries (Hérault)
Castries | |||||
![]() Photo aérienne de la commune. | |||||
![]() Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Montpellier | ||||
Intercommunalité | Montpellier Méditerranée Métropole | ||||
Maire Mandat |
Claudine Vassas Mejri 2020-2026 |
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Code postal | 34160 | ||||
Code commune | 34058 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Castriotes | ||||
Population municipale |
6 250 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 260 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 40′ 47″ nord, 3° 58′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 154 m |
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Superficie | 24,05 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Castries (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Montpellier (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Crès | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | castries.fr | ||||
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Castries est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Castriotes.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
À vol d'oiseau, Castries est située à 11,8 km à l'est de Montpellier[1].
Communes limitrophes et proches[modifier | modifier le code]
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
La superficie de la commune est de 2 405 hectares ; son altitude varie entre 20 et 154 mètres[3].
Les environs de Castries sont parsemés de carrières. La roche extraite est un calcaire de 20 millions d'années (datant du Miocène) d'une belle couleur jaune pâle. Cette pierre est utilisée à de nombreux endroits du département : la promenade du Peyrou à Montpellier, ou encore à la cathédrale de Maguelone… C'est une pierre riche en fossiles (coquillages, dents de requins, etc.). Au Miocène, le littoral languedocien était sous l'eau, ce qui englobe les régions actuelles de Narbonne, Béziers, Montpellier et Nîmes. La sédimentation des squelettes et coquilles de cette mer donnera cette roche tendre, utilisée comme matériau de construction.
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est traversé par l'ancienne route nationale 110 (Montpellier-Alès) déclassée en janvier 2006 sous le nom de route départementale 610. À cette date, ce sont entre 13 000 et 15 000 véhicules qui traversent le centre de la ville.
Un projet du conseil général de l'Hérault prévoit la construction d'une déviation au sud de Castries, avec enquête publique en 2008[4].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Castries est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Castries, une unité urbaine monocommunale[8] de 6 178 habitants en 2017, constituant une ville isolée[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (45,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (48,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,6 %), cultures permanentes (25,4 %), zones agricoles hétérogènes (13,9 %), forêts (12,5 %), zones urbanisées (9,8 %), terres arables (6,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), mines, décharges et chantiers (1 %), prairies (0,1 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
Logement[modifier | modifier le code]
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 2 505, alors qu'il était de 2 085 en 1999[Insee 1].
Parmi ces logements, 92,7 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 4,0 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,1 % des appartements[Insee 2].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 66,2 %, en légère baisse par rapport à 1999 (69,1 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 6,6 %, en légère hausse par rapport à 1999 (6,0 %)[Insee 3].
Projets d'aménagements[modifier | modifier le code]
Toponymie[modifier | modifier le code]
En occitan, le nom de la commune est Càstias.
Histoire[modifier | modifier le code]
Le site de Castries montre des traces d'une occupation néolithique et chalcolithique (pointes de flèches, silex).
Dès le Ier siècle, un poste de garde romain (castra) est installé au sommet de la colline pour surveiller la voie romaine (via domitia).
Suit une zone d'ombre jusqu'au Xe siècle où le nom de Castra apparaît dans les recueils d'histoire locale. Le premier seigneur connu du château féodal se nomme Dalmace (venu de Catalogne et du Bitérois). La ville comporte deux accès (XVe siècle) : la porte de Sommières et la porte de Montpellier.
Le puissant seigneur Dalmace, chevalier croisé, participe à la 1re Croisade et meurt en Palestine. Le fief de Castries entre alors, par mariage (Ermessende) et testaments, dans la seigneurie de Guilhem VII, seigneur de Montpellier. Aux XIIIe et XIVe siècles : calamités avec la peste, des famines et des guerres. À la fin du XIVe siècle, on comptait à Castries onze feux (cinq personnes par feu, soit 55 personnes).
En 1495, la famille de La Croix achète la baronnie de Castries à Jean de Pierre de Pierrefort. Vers 1520, l'ancien château fort est rasé et reconstruit sur les bases du château actuel, dont l'histoire pendant cinq siècles va être étroitement liée à celle du village.
Suivirent des années de paix fragile et de guerres brutales jusqu'à l'année terrible de 1622 où le duc de Rohan, chef des Églises réformées ordonne la démolition des murailles et le comblement des fossés, pour mieux défendre Montpellier, place de sûreté protestante, dont les troupes de Louis XIII s'approchaient.
En 1985, le château, classé monument historique depuis 1966, est légué à l'Académie française, sur décision du propriétaire, René de Castries.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le , un bombardier américain B-24 fait un atterrissage forcé dans une vigne située sur la commune. L'avion avait été touché par la flak au-dessus de la commune d'Avignon. Sur neuf membres d'équipage, deux étaient encore dans l'appareil lorsqu'il se posa sur le ventre à Castries, les autres ayant sauté en parachute. Il s'agissait du lieutenant co-pilote, James Zimmerman qui fut fait prisonnier par les Allemands et du sergent mitrailleur Willis Harless qui, décédé des suites de ses blessures provoquées par la flak, fut enterré dans le cimetière du village[14].
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armoiries de Castries se blasonnent :
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Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Castries est jumelée avec :
Volpiano (Italie) depuis 2010[20]. Dans le cadre du jumelage avec la ville italienne située dans le Piémont, des représentants de l'association humanitaire castriote « Castries Village Solidaire » sont en contact avec l'association humanitaire italienne « Dona Con Amore » afin d'élaborer des projets humanitaires communs[21].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2018, la commune comptait 6 250 habitants[Note 3], en augmentation de 5,31 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
- Le collège Les Pins ;
- L'école primaire Marcel-Pagnol ;
- L'école élémentaire et maternelle de La Guesse ;
- L'école maternelle Le Chat Perché ;
- L'école Sainte-Marie.
Économie[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
La commune compte quatre monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[26], dont le Château de Castries et aucun lieu et monument répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[27]. Par ailleurs, elle compte 81 objets répertoriés à l'inventaire des monuments historiques[28] et un objet répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[29] :
- le pont sur la Cadoule, inscrit depuis le [30] ;
- les vestiges de l'ancienne église paroissiale, classés depuis le [31] ;
- le domaine de Castries, classé depuis le [32] dans lequel est situé le château de Castries reconnaissable de fort loin à ses tours coiffées de hautes toitures à la mansard ou brisis récemment restituées couvertes de tuiles vernissées ;
- l'aqueduc alimentant le château réalisé par Pierre-Paul Riquet, classé depuis le [33].
Outre ces monuments, on peut également citer :
- la vieille église Saint-Étienne[34] ;
- l'église paroissiale de la seconde moitié du XIXe siècle typique de l'architecture néo-gothique surmontée d'une haute flèche de pierre. Elle abrite une cloche datant de 1664, classée MH, du fondeur Lonar Bordes ;
- le moulin à huile ;
- le square Coste (rue du Château) ;
- le château de Fontmagne ;
- le mas de Roux et son site archéologique d'un ancien village médiéval qui vient d'être fouillé en bordure de l'autoroute A9 et les mas de Moulinas, de Fondespierres, de Fontmarie, de Cadenet, Naud, de Bannière et de Saint-Antoine ;
- la médiathèque de Montpellier Méditerranée Métropole Françoise Giroud construite en 2007 à l'emplacement de l'ancienne cave coopérative ;
- la première tuilerie et le four à chaux ;
- le pont des Tourilles ;
- le pont du Bérange et ses élégantes demeures bourgeoises en bordure de route. Grand parc avec un impressionnant et long alignement de platanes autour d'un ancien canal d'irrigation. Non loin se trouve l'ancien ermitage Saint-Léonard, chapelle romane à chevet plat, dont la façade est un placage du XIXe siècle ;
- le pont de Bannière ;
- les carrières de pierre ;
- la voie secondaire romaine entre Castries et Sussargues ;
- l'ancienne gare PLM-SNCF.
Galerie[modifier | modifier le code]
Vue de la façade ouest vue du château de Castries en 2015.
Vue d'une course camarguaise, en 2007, dans les arènes.
- Ouvrages d'art
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- La famille du duc de Castries de la maison de Castries est une famille issue de la noblesse ;
- Jacques Marie Cyprien Victor Coste (1807-1873), naturaliste.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 14 avril 2021). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
- LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
Références[modifier | modifier le code]
- « Orthodromie entre Castries et Montpellier », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le 20 novembre 2013).
- Distances vers : Saint-Drézéry, Saint-Jean-de-Cornies, Sussargues, Restinclières, Saint-Geniès-des-Mourgues, Gallargues-le-Montueux, Lunel-Viel, Valergues, Saint-Brès, Baillargues, Étang de l'Or, Vendargues, Le Crès, Jacou, Montferrier-sur-Lez, Teyran, Assas, Le Triadou, Guzargues, Sainte-Croix-de-Quintillargues et Montaud, publié sur le site fr.distance.to (consulté le ).
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- Castries. Le contournement routier de la ville dévoilé, édition montpelliéraine du quotidien Midi libre, . Ce projet de déviation doit s'inscrire dans le paysage du château de Castries ; les Architectes des bâtiments de France ont donc été consultés.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 27 mars 2021).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 27 mars 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 27 mars 2021).
- « Unité urbaine 2020 de Castries », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 27 mars 2021).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 27 mars 2021).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le 27 mars 2021).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le 27 mars 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 27 mars 2021).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statitiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 14 avril 2021)
- « L'histoire du crash de Castries », sur le site personnel de Robin Koskas (consulté le 20 novembre 2013).
- André Tiano, Le progrès au village : Castries depuis la Révolution.
- Résultats des élections municipales et communautaires dans l'Hérault, publié le sur le site du Conseil départemental de l'Hérault (consulté le ).
- Claudine Vassas-Mejri élue maire de Castries, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le )
- Annuaire des élus : Claudine Vassas Mejri, publié sur le site du Conseil départemental de l'Hérault (consulté le )
- Résultats des élections municipales 2020 Castries, publié sur le site Actu.fr (consulté le )
- « Castries : dix ans de jumelage », MMMag', Montpellier, Montpellier Méditerranée Métropole, no 56, , p. 2 sur 3 (résumé, lire en ligne [PDF], consulté le 4 septembre 2020).
- Jumelage Castries-Volpiano : une nouvelle étape, publié le sur le site du Midi-Libre (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Liste des monuments historiques de la commune de Castries », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Castries à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets historiques de la commune de Castries », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Liste des objets de la commune de Castries à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Pont sur la Cadoule », notice no PA00080032, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale (vestiges de l'ancienne) », notice no PA00103411, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Domaine de Castries », notice no PA00103410, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Aqueduc alimentant le château », notice no PA00103409, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Vestiges de l'ancienne église paroissiale de Saint-Étienne
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Richard Pouget, La baronnie de Castries.
- René de La Croix de Castries, Castries : notice historique et descriptive, Malakoff, H. Laurens, coll. « Petites monographies des grands édifices de la France », , 47 p.
- André Tiano, Le progrès au village : Castries depuis la révolution française, Castries (Hérault), Office du Tourisme de Castries, , 299 p.
- Augustin Villemagne, Sentence arbitrale entre les châteaux de Castries et de Castelnau-le-Lez au sujet des tènements Puech-Cabrier, Malmari au XIVe siècle, Montpellier, L. Valat, coll. « Plaquettes castelnoviennes » (no II), , 17 p.
- René de La Croix de Castries, Papiers de famille, Montpellier, Ed. Espaces 34, , 294 p.
Fonds d'archives[modifier | modifier le code]
- Fonds : Archives communales de Castries (1495-1962) [0,45 ml]. Cote : 58 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault. (présentation en ligne)