Benoît Poelvoorde

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Benoît Poelvoorde
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Benoît Poelvoorde en 2018 au festival du film de Cabourg.
Naissance (59 ans)
Namur (Wallonie)
Nationalité Belge
Profession Acteur, réalisateur
Films notables C'est arrivé près de chez vous
Les Randonneurs
Le Vélo de Ghislain Lambert
Podium
Entre ses mains
Coco avant Chanel
Rien à déclarer
Une place sur la Terre
Le Grand Bain
Séries notables Les Carnets de Monsieur Manatane

Benoît Poelvoorde (/bə.nwa pul.vɔʁd/), né le à Namur (Wallonie), est un comédien et humoriste belge.

Révélé durant les années 1990 par le film culte belge C'est arrivé près de chez vous (1992), la série humoristique Les Carnets de Monsieur Manatane (1997), il est la vedette de la comédie française Les Randonneurs (1997), qui fait plus de 1,5 million d'entrées au cinéma.

Il s'impose ensuite durant les années 2000 comme une valeur sûre du cinéma franco-belge.

Il est ainsi la tête d'affiche des comédies Le Vélo de Ghislain Lambert (2001), Le Boulet (2002) et surtout Podium (2004), qui lui vaut une nomination pour le César du meilleur acteur 2005.

Il confirme ensuite avec des seconds rôles remarqués dans Akoibon (2005) et Astérix aux Jeux olympiques (2008). Mais il porte surtout des comédies plus expérimentales : Du jour au lendemain (2006), Les Deux Mondes (2007) ou encore Cowboy (2007).

Il s'impose parallèlement dans un registre dramatique, d'abord sous la direction de la réalisatrice Anne Fontaine. Il donne en effet la réplique à Isabelle Carré pour la romance Entre ses mains (2005), Audrey Tautou pour le biopic Coco avant Chanel (2009) et Isabelle Huppert pour la comédie dramatique Mon pire cauchemar (2010). Ses performances dans les deux premiers films lui valent de nouvelles nominations aux Césars.

Acteur prolifique, il tourne dans plus de vingt films durant la décennie 2010 : citons les comédies grand public Les Émotifs anonymes (2010), Rien à déclarer (2011), Le Grand Méchant Loup (2013) et Le Grand Bain (2018). Il est surtout la tête d'affiche de plusieurs films d'auteur : L'Autre Dumas (2010), Une histoire d'amour (2013), La Rançon de la gloire (2014), Trois cœurs (2014), Le Tout Nouveau Testament (2015) et Saint-Amour (2016).

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]

Benoît Poelvoorde est le fils cadet d'un père routier et de Jacqueline Pappaert, épicière (que l'on peut voir dans son propre rôle dans le film C'est arrivé près de chez vous). À 12 ans, après la mort de son père, il est placé chez les Jésuites à l'internat de Godinne en Belgique[1]. À 17 ans et demi, Poelvoorde quitte le domicile familial pour suivre des cours d'arts appliqués à l'institut technique Félicien Rops à Namur où il rencontre Rémy Belvaux.

Poelvoorde se passionne pour le théâtre et se fait remarquer grâce à ses interprétations atypiques[Selon qui ?]. Durant ses études de graphisme à l'École de recherche graphique de Bruxelles, il se lie d'amitié avec André Bonzel et, avec Rémy Belvaux, ils réalisent Pas de C4 pour Daniel Daniel[2].

Quatre ans plus tard, en 1992, le trio récidive en réalisant le long métrage : C'est arrivé près de chez vous. Parodiant la célèbre émission belge Strip-Tease, mélangeant cynisme, humour noir et drame et réalisé avec relativement peu de moyens (200 000 francs belges)[3], ce film obtient rapidement un succès retentissant, qui le propulse au rang de film culte. Cette même année, Poelvoorde rencontre sa future épouse, Coralie, alors assistante à la Semaine de la critique au Festival de Cannes[4].

Révélation comique en France (1996-2004)[modifier | modifier le code]

Benoît Poelvoorde au festival de Cannes 2004, où il est membre du jury.

Poelvoorde passe ensuite au café-théâtre, en jouant Modèle déposé de Bruno Belvaux, le frère de Rémy Belvaux, puis se met au service du petit écran avec deux projets humoristiques : Jamais, au grand jamais (série de sketches diffusés en 1996) et les célèbres Carnets de Monsieur Manatane, diffusés sur Canal+. Les textes de ces deux séries ont été publiés en 2009 aux éditions Points.

En 1997, il se fait remarquer au sein de la distribution chorale de la comédie Les Randonneurs, qui perce à 1,5 million d'entrées[5], malgré ses « grosses difficultés »[6] sur un tournage compliqué[5], en Corse, sur le plus sportif des sentiers de grande randonnée[5], le réalisateur Philippe Harel exigeant « moins d’exubérance dans son jeu »[6]. En 1998, il est l'acteur principal d'une autre comédie, une co-production européenne à petit budget, Les convoyeurs attendent, de Benoît Mariage.

Les années 2000 le propulsent en tête d'affiche de comédies populaires : en 2000, sort Les Portes de la gloire, de Christian Merret-Palmair, et en 2001, il retrouve Philippe Harel pour un nouveau projet remarqué : dans Le Vélo de Ghislain Lambert, il évolue dans un monde qui deviendra l'une de ses passions, le cyclisme[7].

En 2002, il partage l'affiche de la comédie d'action Le Boulet avec Gérard Lanvin, sous la direction de Alain Berberian. La même année, il défend un film belge plus modeste, la satire politique La Vie politique des Belges, de Jan Bucquoy. Puis en 2003, il donne la réplique à José Garcia, tête d'affiche de la comédie dramatique Rire et châtiment d'Isabelle Doval.

En 2002, Benoît Poelvoorde se voit attribuer le prix Jean-Gabin, récompensant les meilleurs acteurs en devenir.

Reconnaissance critique (2004-2010)[modifier | modifier le code]

Benoît Poelvoorde invité au Cinéma Imagix en Belgique, en , pour la présentation de Les Deux Mondes.
Et en 2008, à l'avant-première de la superproduction Astérix aux Jeux Olympiques.

L'année 2004 marque un tournant : il est à l'affiche de trois longs-métrages. Il donne la réplique à Vanessa Paradis pour la comédie fantastique décalée Atomik Circus, le retour de James Bataille, de Didier Poiraud et Thierry Poiraud. Puis il tient un second rôle dans la comédie Narco, de Tristan Aurouet et Gilles Lellouche. Enfin, il s'impose en tête d'affiche avec la comédie Podium, premier long-métrage du romancier Yann Moix. L'acteur y incarne le rôle d'un sosie de Claude François, et le film connaît un succès critique et commercial. L'acteur reçoit une nomination pour le César du meilleur acteur.

La même année, il est membre du jury du festival de Cannes, présidé par Quentin Tarantino, qui a affirmé avoir été fasciné par le film C'est arrivé près de chez vous, découvert lors de sa sortie en 1992[8].

Après ce succès, Moix envisage d'engager Poelvoorde pour son second long-métrage, Cinéman, sorti, en 2009. Le scénario ne convient pas au comédien, qui affirme au réalisateur que son « film n'est ni fait ni à faire »[9]. En , Yann Moix annonce le tournage prochain de la suite de Podium, avec Benoît Poelvoorde dans le rôle principal[10],[11]. En , l'intéressé nie l'information, affirmant n'avoir « jamais entendu parler d'un Podium 2 » et jugeant l'idée d'une suite incohérente avec la fin du premier volet[12],[13].

En 2005, il confirme comme valeur sûre du cinéma français en étant au casting de la comédie Akoibon, d'Édouard Baer, puis en partageant l'affiche de la romance Entre ses mains avec Isabelle Carré. La réalisatrice Anne Fontaine lui permet ainsi de surprendre dans un registre dramatique. Sa performance lui vaut une nomination pour le César du meilleur acteur aux Césars 2006.

En 2006, il est la tête d'affiche de la comédie Du jour au lendemain, de Philippe Le Guay, et fait partie du casting masculin quatre étoiles réuni par Nicole Garcia pour son nouveau film choral, Selon Charlie.

En 2007, il est la tête d'affiche d'un film indépendant belge, Cowboy, de Benoît Mariage, et d'une comédie fantastique française, Les Deux Mondes, de Daniel Cohen.

L'année suivante, il revient aux grosses productions en incarnant Brutus dans l'attendu Astérix aux Jeux Olympiques, puis en retrouvant Philippe Harel pour la suite du film qui l'a lancé, Les Randonneurs à Saint-Tropez. Cependant, il tient aussi un second rôle dans le film indépendant acclamé par la critique Louise-Michel, de Gustave Kervern et Benoît Delépine.

En 2009, si la comédie dramatique La Guerre des miss, de Patrice Leconte, dont il tient le premier rôle, passe inaperçu, il se distingue en prêtant ses traits à Étienne Balsan dans le biopic Coco avant Chanel, d'Anne Fontaine, où il fait face à Audrey Tautou. Sa performance lui vaut en France une nomination au César du meilleur acteur dans un second rôle et en Belgique le prix du public aux Magritte du cinéma, ainsi qu'une nomination pour le Magritte du meilleur acteur dans un second rôle.

En 2010, il continue sur cette lancée en faisant face à Gérard Depardieu pour le film biographique L'Autre Dumas, de Safy Nebbou, où il incarne Auguste Maquet. Il reste aux côtés de l'acteur français pour la comédie noire Mammuth, de Benoît Delépine et Gustave Kervern. Il retrouve ensuite Isabelle Carré pour la comédie romantique Les Émotifs anonymes, de Jean-Pierre Améris. Enfin, il est l'affiche du thriller belge Kill Me Please, de Olias Barco.

En , Poelvoorde annonce son intention d'arrêter d'être comédien, tout en envisageant de continuer la production et l'écriture[14]. L'année suivante, il enchaîne pourtant les projets.

Diversification (2011-2019)[modifier | modifier le code]

Benoît Poelvoorde en 2013 à une avant-première du film Une place sur la Terre.
L'acteur à la première du Grand Bain, avec sa compatriote Virginie Efira, au Festival de Cannes 2018.

En 2011, il fait son grand retour à la comédie populaire en partageant l'affiche de Rien à déclarer, avec Dany Boon, également réalisateur. Puis il retrouve la réalisatrice Anne Fontaine, qui l'oppose cette fois à Isabelle Huppert pour la comédie dramatique Mon pire cauchemar. En 2012, le duo Gustave Kervern / Benoît Delépine lui confie enfin un premier rôle : celui de la comédie noire acclamée par la critique Le Grand Soir. La même année, l'acteur est dirigé par l'acteur Jean-Paul Rouve pour la comédie dramatique Quand je serai petit, qui passe quant à lui inaperçu.

L'année suivante, l'acteur fait un grand écart artistique : il partage l'affiche du drame psychologique Une histoire d'amour avec Laetitia Casta, devant la caméra d'Hélène Fillières. Puis il fait partie du trio d'acteurs comiques réunis par Nicolas & Bruno pour la comédie noire Le Grand méchant loup. Le film est un flop. Passionné de littérature, Benoît Poelvoorde crée en 2013 l'Intime Festival au Théâtre de Namur. Il lance une invitation à chacun pour découvrir une sélection littéraire personnelle et singulière (S. Tesich, J.C. Oates, B. Constant), pour explorer des textes avec des écrivains (Tom Lanoye, Laurent Gaudé, Olivia Rosenthal, David Vann, Louis-Henri de La Rochefoucauld) et des acteurs (Édouard Baer, Catherine Frot), pour découvrir les intersections avec le cinéma, la photographie, l’illustration ou encore la musique.

La même année, l'acteur tourne en Belgique la comédie dramatique Une place sur la Terre, de Fabienne Godet, puis Les Rayures du zèbre, de Benoît Mariage. L'année 2014 est marquée par la sortie de deux collaborations avec des grands cinéastes français : il partage l'affiche de Trois cœurs, de Benoît Jacquot, avec Chiara Mastroianni, puis donne la réplique à Roschdy Zem pour La Rançon de la gloire, de Xavier Beauvois. En 2015, il joue dans deux comédies : Une famille à louer, son deuxième long-métrage avec Jean-Pierre Améris, qui l'oppose à sa compatriote Virginie Efira, puis l'expérimental Le Tout Nouveau Testament, de Jaco Van Dormael, où l'acteur incarne Dieu.

L'année suivante, il retrouve Depardieu, Gustave Kervern et Benoît Delépine pour le road-movie Saint-Amour. Il participe aussi à un segment du film à sketchs Ils sont partout, d'Yvan Attal.

En 2017, il défend le drame indépendant 7 jours pas plus, écrit et réalisé par Héctor Cabello Reyes, et tourne trois films attendus : tout d'abord la comédie de bande Le Grand Bain (2018), de Gilles Lellouche, puis le plus indépendant Au poste ! (2018), de Quentin Dupieux, et enfin fait confiance au jeune acteur Félix Moati, passé à la réalisation pour Deux fils (2018). L'année suivante, il est également à l'affiche dans Blanche comme neige (2019), d' Anne Fontaine[15]. Il enchaîne les films à un rythme soutenu dans Raoul Taburin (2019), Adoration (2019) de Fabrice du Welz ou encore Venise n’est pas en Italie (2019)[16].

Années 2020[modifier | modifier le code]

Dans la comédie Effacer l'historique (2020), Benoît Poelvoorde apparait en second rôle en tant que livreur acculé au burn-out du tandem français Gustave Kervern et Benoît Delépine[17]. Il joue également en tant que super-héros dans le blockbuster Comment je suis devenu super-héros de Douglas Attal (2020). Présenté au Festival du film américain de Deauville en septembre 2020, pour cause de Pandémie de Covid-19, il est finalement envoyé directement sur Netflix[18]. Benoît Poelvoorde retrouve le réalisateur Jean-Pierre Améris, qui adapte sur grand écran le roman de Sorj Chalandon, Profession du père (2020). Benoît Poelvoorde incarne un père dérangé et violent dans le film[19].

En , il est signataire de la tribune en soutien à Gérard Depardieu alors accusé de viol, agression sexuelle et harcèlement sexuel[20]. La maison de Benoît Poelvoorde est taguée le 29 décembre de l'inscription : « Depardieu, on l’aime pas, c’est un gros porc »[21]. Le graffiti est rapidement effacé[22].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Lors de ses interventions médiatiques, Benoît Poelvoorde ne cache pas son décalage avec l'univers des médias. Il compte d'ailleurs focaliser les promotions de ses films sur Internet, qu'il juge plus interactif que la télévision, trop formatée selon lui, « extrêmement ringarde et répétitive »[23]. Interrogé par Mouloud Achour en 2016, il explique que, selon lui, « la télévision, c'est la mort de l'imagination. Il n'y a plus rien (...) Tout est simplifié alors que la vie est beaucoup plus complexe »[24].

En novembre 2008, l'acteur souffre de dépression et est hospitalisé brièvement à sa demande dans l'unité psychiatrique du CHR de Namur[25]. Il reprend néanmoins le tournage de Coco avant Chanel d'Anne Fontaine et, en décembre, fait partie du jury pour l'élection de Miss France[26].

Benoît Poelvoorde est en couple avec Coralie entre 1992 et 2014, qu'il avait rencontrée au Festival de Cannes alors qu'elle y effectuait un stage. Il serait en couple depuis 2014 avec Chiara Mastroianni, rencontrée sur le tournage de Trois cœurs[27],[28], même s'il reste très proche de son ex-femme[29].

Filmographie[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Courts métrages[modifier | modifier le code]

Longs métrages[modifier | modifier le code]

Années 1990[modifier | modifier le code]
Années 2000[modifier | modifier le code]
Années 2010[modifier | modifier le code]
Années 2020[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Jeu Vidéo[modifier | modifier le code]

Web série[modifier | modifier le code]

Publicités[modifier | modifier le code]

Benoît Poelvoorde a prêté sa voix à de nombreuses reprises pour des spots publicitaires radiophoniques, notamment pour Décathlon ou McDonald's[32],[33].

Café-théâtre[modifier | modifier le code]

Discographie[modifier | modifier le code]

Publication[modifier | modifier le code]

  • Benoît Poelvoorde, Pascal Le Brun, Les Carnets de Monsieur Manatane, Paris, Points, , 288 p. (ISBN 9782757806586)

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Décoration[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Prisma Média, « Benoît Poelvoorde - La biographie de Benoît Poelvoorde avec Gala.fr », sur Gala.fr (consulté le ).
  2. AlloCine, « Benoît Poelvoorde », sur AlloCiné (consulté le ).
  3. Jacques Mandelbaum, « Benoît Poelvoorde : démentiellement vôtre », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  4. « Benoît Poelvoorde et sa Coralie : “Je me suis battu, et c'est toujours ma femme” », PurePeople.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. a b et c "Les Randonneurs : les vacances… en marche", par Olivier De Bruyn, dans Les Echos le 11 août 2021[1]
  6. a et b Pourquoi Benoît Poelvoorde a éprouvé de grosses difficultés sur le tournage des Randonneurs", par Proximus, le 25.10.21 [2]
  7. Sophie Grassin, « Poelvoorde pédale dans Le Vélo de Ghislain Lambert », L'Express,‎ (lire en ligne)
  8. Alain Grasset, « Béart et Poelvoorde seront jurés à Cannes », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  9. Kevin Boucher, « Yann Moix revient sur l'échec de "Cinéman", son "film malade" », ozap.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. Kevin Boucher, « Yann Moix prépare "Podium 2" », ozap.com,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. Nicolas Crousse, « Michel Polnareff jouera dans Podium 2 », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le )
  12. « Benoît Poelvoorde : "Je suis plus apaisé, j'ai l'impression" », sur www.europe1.fr (consulté le ).
  13. « Benoît Poelvoorde : "Je suis plus apaisé, j'ai l'impression" - vidéo Dailymotion », sur Dailymotion, (consulté le ).
  14. Eric Libiot, « Benoît Poelvoorde: "Je suis condamné à être un homme de cirque" », L'Express,‎ (lire en ligne)
  15. « BLANCHE COMME NEIGE d’Anne Fontaine : la critique du film », sur mondocine.net, .
  16. « Benoît Poelvoorde, cash sur ses problèmes d’alcool : “Je suis un pochetron” », sur gala.fr.
  17. « «Effacer l’historique»: les rouages de l’enfer.com », sur ledevoir.com, .
  18. « Benoît Poelvoorde (Comment je suis devenu super-héros) : "On aurait pu être ridicules !" », sur cineserie.com, .
  19. « INTERVIEW. Benoît Poelvoorde est un père dérangé et violent dans le film « Profession du père » », sur paris-normandie.fr, .
  20. « Accusé de violences sexuelles: Une tribune de soutien à Gérard Depardieu qui crée le malaise », sur L'indépendant, (consulté le )
  21. « La maison de Benoît Poelvoorde, signataire de la tribune pro-Depardieu, taguée », sur Le Point, (consulté le ).
  22. « La maison de Benoît Poelvoorde taguée à Jambes - Sudinfo Vidéos », (consulté le )
  23. Interview
  24. « Clique x Benoît Poelvoorde - Clique.tv », sur Clique.tv (consulté le ).
  25. « Benoît Poelvoorde en psychiatrie, à sa demande », Libération.fr,‎ (lire en ligne)
  26. « Benoît Poelvoorde est sorti de l'hôpital de Namur », LeFigaro.fr,‎ (lire en ligne).
  27. « Benoît Poelvoorde : "Avec Chiara Mastroianni, on est en couple" », Premiere.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. « Benoît Poelvoorde parle pour la première fois de son divorce », sur RTL Info, (consulté le ).
  29. Laurence Desbordes, « Benoît Poelvoorde à l'interview, c'est pas triste… », sur pressreader.com / L'Illustré, (consulté le ).
  30. Snuls - Allo les Américains par Benoît Poelvoorde
  31. Crédité sous ce pseudonyme au générique
  32. Jean-Philippe Danglade, Marketing et célébrités : comment les marques utilisent les stars pour communiquer, Paris, Dunod, , 208 p. (ISBN 978-2-10-058482-6, lire en ligne), p. 63
  33. « Le CV de Benoît Poelvoorde », Le Soir,‎ (lire en ligne)
  34. « Portail FW-B - Portail de la Fédération Wallonie-Bruxelles », sur www.federation-wallonie-bruxelles.be (consulté le ).
  35. « Qui a été distingué ? | Connaitre la Wallonie », sur connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Documentaire[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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