Sainville
Sainville | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Beauce | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Dupré 2020-2026 |
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Code postal | 28700 | ||||
Code commune | 28363 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 029 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 47 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 24′ 58″ nord, 1° 52′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 137 m Max. 161 m |
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Superficie | 21,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auneau | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-sainville.com | ||||
modifier |
Sainville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Géographie
Situation
-
Sainville dans son arrondissement.
-
Carte de la commune de Sainville.
Communes et départements limitrophes
Hameaux et écarts
Boulonville, Manterville, Le Chêne, Le Chêne Viel.
Voies de communication et transports
Voies de communication
- Par la route départementale 24, Sainville est relié à Chartres, à l'ouest, et à Étampes et l'Essonne, à l'est.
- Par la route départementale 17, la commune est également reliée au département de l'Essonne et Dourdan, à l'est, et Bonneval et Courtalain, à l'ouest.
- Le territoire de la commune est traversé par l'autoroute A 10, l'Aquitaine, qui relie Paris à Bordeaux. Elle accueille deux aires de repos : Boutroux (sens Paris-Bordeaux) et Marnières (sens Bordeaux-Paris) entre les sorties n° 11 et 12.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1953 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 0,5 | 2,5 | 4,1 | 7,7 | 10,3 | 12,3 | 12,3 | 9,5 | 7 | 3,4 | 1,3 | 6 |
Température moyenne (°C) | 3,5 | 4,1 | 7,2 | 9,7 | 13,5 | 16,5 | 19 | 18,9 | 15,5 | 11,7 | 6,8 | 4 | 10,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,5 | 7,7 | 12 | 15,4 | 19,2 | 22,7 | 25,6 | 25,5 | 21,5 | 16,3 | 10,3 | 6,7 | 15,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−19,4 17.01.1985 |
−15,3 07.02.12 |
−11,2 07.03.1971 |
−10,1 08.04.1958 |
−1,2 03.05.1967 |
0,6 05.06.1991 |
4,6 04.07.1984 |
3,7 31.08.1986 |
1 19.09.1977 |
−4,6 30.10.1985 |
−12 30.11.10 |
−13,6 29.12.1964 |
−19,4 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15,8 27.01.03 |
21 27.02.19 |
26 31.03.21 |
29,5 20.04.18 |
32,3 07.05.1976 |
37 29.06.19 |
42,9 25.07.19 |
40,3 12.08.03 |
35 15.09.20 |
30,1 01.10.1985 |
21 07.11.15 |
17,5 09.12.1961 |
42,9 2019 |
Précipitations (mm) | 53,2 | 45,9 | 49,8 | 49,5 | 63,4 | 50 | 58,8 | 49,8 | 50 | 65 | 57,7 | 62,5 | 655,6 |
Urbanisme
Typologie
Sainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisées (3 %), forêts (1,3 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sainville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cloche et le ruisseau de l'Ancien étang de Pot de Vin. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[16],[14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 9,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 401 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 19 sont en en aléa moyen ou fort, soit 5 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].
Toponymie
Attestations anciennes
Segetis [Segenis] villa en 1084[19] ; Sainvilla, vers 1130[20] ; Sainville en Beauce en 1380[21] ; Sainville en 1391[22] ; Sainville en 1394[23] ; Sainville en 1401[24] ; Sainville en 1545[25] ; Sainville en 1740[26] ; Sainville au XVIIIe siècle (Carte de Cassini).
Étymologie
Formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural » (appellatif toponymique issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Il est précédé du nom de personne d’origine germanique. La forme Segetis [Segenis] villa en 1084, c’est-à-dire « “domaine”, villa, de la “récolte” », est une latinisation médiévale de la forme romane incomprise ou une erreur de graphie.
Histoire
Époque contemporaine
XXe siècle
- De 1893 à 1939, Sainville est desservie, pour le service des voyageurs, par la ligne de chemin de fer d'Étampes à Auneau-Embranchement. Le trafic fret subsiste jusqu'en 1972, puis la ligne est entièrement déférée entre 1973 et 1977.
Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[27], dont Sainville[28]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[29]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[30].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
Population et société
Démographie
Enseignement
Manifestations culturelles et festivités
Économie
- Agriculture : productions céréalières et stockage en silos;
- Industrie : usine Bostik, The Adhesive Company.
-
Entrée de Sainville.
-
Silos agricoles.
-
Champ et usine Bostik.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Pierre
L'église Saint-Pierre date des XIIe et XVIe siècles.
Son beffroi abrite une cloche de 1549, classée au titre d'objet monument historique[33],[34].
-
Monument aux morts.
Musée Farcot
Investi d'une philanthropie, Eugène Farcot lègue à la commune de Sainville la somme de 40 000 francs-or afin de mener à bien le projet d'une vie : édifier un monument à la mémoire du couple qu'il formait avec Pauline Leblond. Un cartouche d'alliance des deux familles orne à juste titre la tour carrée. La commune de Sainville est tenue de respecter quatre conditions dans l'acceptation du legs en réservant l'accueil d'un médecin, la mise en place du musée et des logements ainsi qu'un poste-vigie nécessaire à l'exercice des sapeurs-pompiers évoqués au travers du symbole de la salamandre. Le programme architectural est confié à M. Emile Vaillant, architecte en chef du département d'Eure-et-Loir, qui s'inspire de deux dessins de la main d'Eugène Farcot. Sinon, la décoration se voit remise entre les mains de Paul Vaillant qui signe de son nom la mosaïque à la salamandre.
Décédé en 1896, Eugène ne verra pas la concrétisation de son œuvre. Son gendre et exécuteur testamentaire, M. Henri Wandenberg, s'emploie à la réalisation de l'horloge monumentale et de la boussole qu'il signe de son nom. C'est à lui que revient le privilège d'inaugurer le musée Farcot en 1903. Privé d'héritiers directs par la mort de ses deux enfants, Charles et Marguerite, Eugène Farcot fait vœu de postérité en laissant derrière lui ce musée accessible à tout un chacun.
Le musée Farcot a ouvert les portes de son cabinet de curiosités en 2016. Horloger et globe-trotter, Eugène Farcot lègue à la commune de Sainville une collection où sciences-techniques, Beaux-Arts et archéologie se côtoient.
Autres lieux et monuments
- Monument aux morts ;
- Château d'eau.
Personnalités liées à la commune
- Marie Poussepin (, Dourdan - , Sainville), fondatrice de la congrégation des sœurs de la charité dominicaines de la Présentation de Tours. Une place de la commune honore son nom.
- Eugène Farcot (, Sainville - , Saint-Maur-des-Fossés), ingénieur aéronaute et l'un des plus célèbres horloger à pendule conique. Le musée ainsi qu'une place de la commune honore son nom.
- Agnès Varda (née en 1928), photographe, réalisatrice de cinéma et plasticienne, a, notamment, tourné en 2002 le film Deux ans après dans plusieurs villages de Beauce eurélienne : Allainville, Barmainville, Oysonville et Sainville[35].
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des musées d'Eure-et-Loir
- Liste de films tournés dans le département d'Eure-et-Loir
- Liste des gares d'Eure-et-Loir
- Liste des communes d'Eure-et-Loir
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Sainville sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 28363001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Sainville », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Archives départementales d'Eure-et-Loir-G, chapitre Notre-Dame de Chartres.
- Bibliothèque nationale de France- Ms Latin 11.063, Cartulaire Saint-Jean-en-Vallée de Chartres.
- Archives nationales-JJ 116, no 140, fol. 82).
- Archives nationales-JJ 140, no 117, fol. 152.
- Archives nationales-JJ 146, no 258, fol. 137.
- Archives nationales-JJ 156, no 189, fol. 115.
- Cartulaire de Saint-Denis en France, LL 1158, t. II, fol.32.
- Bibliothèque municipale d’Orléans, Manuscrit 995, fol. 229.
- Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Cloche de clocher », notice no PM28000564, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Une cagnotte en ligne pour sauver l'église du village de Sainville », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
- « Deux ans après » (tournage et production), sur l'Internet Movie Database.