Levainville

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Levainville
Levainville
Mairie de Levainville.
Blason de Levainville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Michel Darrivere
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28208
Démographie
Population
municipale
377 hab. (2021 en diminution de 4,07 % par rapport à 2015)
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 21″ nord, 1° 44′ 36″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 156 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Levainville
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Levainville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Situé en Beauce, région à vocation agricole, à environ 22 kilomètres au nord-est de Chartres[Carte 1], Levainville est proche du Parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse.

Jusqu'en 2017, Levainville faisait partie, avec 24 autres communes, de la communauté de communes de la Beauce alnéloise.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Plan d'eau de l'ancienne tourbière de Garnet.

La superficie de la commune est de 555 hectares ; son altitude varie entre 117 et 156 mètres.

Le territoire de Levainville s’élève en « amphithéâtre » exposé vers l’ouest, au-dessus de la vallée de la Voise, riche en tourbe. Le sol est calcaire-marneux. Il est découvert à l’est et accidenté et boisé à l’ouest et au sud[1].

Dans le secteur de Garnet, d'énormes blocs de poudingue affleurent le sol. Vieux d'environ 38 millions d'années, ces conglomérats de galets (cailles) témoignent de la présence passée de la mer en ce lieu[2].

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Un des bras de la Voise à Monjudé, commune de Levainville.

Le système hydrographique de Levainville se compose de sept cours d'eau :

  • la Voise porte le nom de la commune où elle prend sa source (à environ 15 km au sud de Levainville). C'est un affluent de l’Eure (localisation du confluent : 28130 Pierres). Sa longueur totale est de 32,9 km[4]. Réalisé en 1995, le "circuit des deux rivières" et ses berges ombragées, permet d'agréables promenades. Il convient d'ajouter :
    • un bras de la Voise, de 0,1 km[5] ;
    • un bras de la Voise, de 0,6 km[6] ;
    • un bras de la Voise, de 0,7 km[7] ;
    • un bras de la Voise, de 1,5 km[8] ;
  • l’Aunay prend sa source à environ 11 km sur la commune de Aunay-sous-Auneau et ne pénètre la commune de Levainville que sur une petite partie de sa pointe sud. C'est un affluent de la Voise[9] ;
  • le fossé 01 des Prés Carrés, de 5,6 km[10].

La longueur linéaire global de cours d'eau sur la commune est de 5,23 km[11]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 624 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Houx à 12 km à vol d'oiseau[14], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 622,1 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

On accède à la commune par la D 910 (ex N 10, dite Voie de la Liberté) au nord, et par la D 116A au sud venant de Auneau.

Il existe une ligne régulière de cars desservant la commune, la ligne 15A reliant la gare de Chartres à la mairie du Gué-de-Longroi avec 3 arrêts à Levainville (Monjudé, Presbytère, Garnet bas). Le trajet depuis Chartres dure environ 50 minutes[18].

La gare SNCF la plus proche est à Auneau (environ 6 km). Il existait une halte "Oinville - Levainville" jusqu'en 1954, sur la commune de Oinville, desservie par la ligne d'Auneau-Ville à Dreux[Note 1].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Levainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose de 70,4 % de terres arables, 18,5 % de forêts, 9,8 % de zones agricoles hétérogènes et 1,3 % de zones urbanisées[11].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 53 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[24] (source : le fichier Fantoir).

Sont compris dans ses limites administratives, les hameaux ou écarts de Garnet[Note 5], la Grange, Monjudé et Moulin de Ville.

Logement[modifier | modifier le code]

En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 171.

Parmi ces logements, 85,2 % étaient des résidences principales, 11,2 % des résidences secondaires et 3,5 % des logements vacants.

La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 91,7 %[25].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Levainville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Voise et l'Aunay. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2016[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Levainville.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[29]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 184 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 123 sont en aléa moyen ou fort, soit 67 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Leven-Fontana (Levana-Fontana) serait le nom primitif de la commune. Leven signifie menhir ou pierre lévée et Fontana évoque les fontaines sacrées des druides. Une autre hypothèse pourrait-être une origine germanique avec le nom : domaine de Lubin (Leubin)[Note 6].

L’institution de Levainville ne date que de 1536[1].

Il n'y a pas de gentilé concernant les habitants de Levainville[Note 7].

Histoire[modifier | modifier le code]

De l’Antiquité au Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Sous Charlemagne, on retrouve la possession du lieu de Levainville par l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Ce bien, à l’origine donné par Charles Martel, est mentionné dans le polyptyque d'Irminon, abbé de Saint-Germain vers l'an 800. Cette œuvre dénombrait les manses, serfs et revenus de l'abbaye sous le règne de l'Empereur.

En 1300, Levainville dépendait de la paroisse de Bleury et de la mairie d’Ymeray ; par ailleurs la dîme du grain et du vin y était levée par le chapitre de Chartres.

En 1344, le chevalier Robert de Vieux-Pont et de Courville amortit quatre muids et demi de terre[Note 8] au terroir de Levenville[Note 9] au profit de la chapelle Saint-Louis d’Auneau[1].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

Au XVIIe siècle, le domaine de Levainville appartenait à Charles III de Rohan, prince de Guéménée, époux de Charlotte Élisabeth de Cochefilet (1657-1719), puis fut vendue en 1786 à M. Péchiné, procureur au Parlement. Il se constituait du château de Levainville, mais aussi d'une ferme comprenant un logement pour le fermier et de divers bâtiments nécessaires à l'exploitation de la dite ferme, trois pressoirs (Garnet, Angle et au Gué-de-longroi), de terres labourables (33 muids) et de divers bois (Masteau, Chesnes, Gazon, Haute-Maison).

Garnet au XVIIIe siècle était une seigneurie, avec le titre de châtellenie. Le hameau de Moulin-de-Ville était également une seigneurie, dont le manoir fut détruit en 1793[33].

A la Révolution, le domaine fut démembré et le château détruit en partie[Note 10].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La gare de Oinville-Levainville

En 1801, la commune s'appelait Le Vainville.

En 1818, une délimitation est réalisée de Bleury d’avec Levainville et Saint-Chéron-du-Chemin par Ordonnance Royale du [34].

En 1827 fut bâtie une auberge nommée "La Girafe", une rue porte actuellement ce nom. La ferme de Levainville et ses dépendances étaient alors la propriété de la famille de Saint-Loup. Madame Renouard de Saint-Loup à son décès en fit don par testament à l'Hôtel-Dieu de la ville de Chartres.

La ville fut envahie et occupée par les Prussiens du au . Monsieur Carreny, maire de l'époque rapporte que le passage et le séjour des troupes ne fut que maraudage et pillage [35].

De 1892 à 1938, Levainville bénéficiait d'une gare commune avec Oinville-sous-Auneau, permettant aux voyageurs d'emprunter la ligne d'Auneau-Ville à Dreux via Maintenon.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Élections nationales[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales[modifier | modifier le code]

Lors du scrutin de 2014, il y a eu un seul tour de scrutin (11 sièges pourvus sur 11 au premier tour). Le taux de participation a été de 70,22%[39].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 René Loize    
mars 2008 En cours Michel Darrivère[40],[41]   Cadre administratif et commercial d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

En 2021, la commune comptait 377 habitants[Note 11], en diminution de 4,07 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
390341362375377351346333322
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
319324324309305288283262252
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
252258235201230230197203157
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
129158172202264292324343396
2014 2019 2021 - - - - - -
395382377------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Il n'y a plus d'établissement scolaire à Levainville.

Le bâtiment, tel qu'il existe aujourd'hui, date de 1857. Il accueillait environ 46 enfants.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs associations à Levainville susceptibles d'organiser des manifestations[46].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 147 représentant 425 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 070 [25].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 44, occupant 204 actifs résidants (salariés et non-salariés).

Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 84% contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 11,1%. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés 8,2%, retraités ou préretraités 4,9%, autres inactifs 3%[25].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre d’établissements actifs était de trente-cinq dont cinq dans l’agriculture-sylviculture-pêche, un dans l'industrie, six dans la construction, dix-huit dans le commerce-transports-services divers et cinq étaient relatifs au secteur administratif.

Cette même année, une entreprise a été créée[25].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Gilles[modifier | modifier le code]

L'enceinte de l'église Saint-Gilles inclut le cimetière et le monument aux morts de la guerre 1914-1918.

Château de Levainville[modifier | modifier le code]

Le château de Levainville, presque en totalité détruit, est situé à l'angle de la rue des 4-Chemins et l'impasse du Clos-des-Gardes. On peut voir une échauguette et ses fines ouvertures qui permettaient de faire le guet.

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Lavoir au hameau de Garnet sur la D 122, sur le bord de la Voise (il en existait 5 dans la commune) ;
  • La croix de Garnet : en fer forgé sur un socle de pierre où est inscrit "O crux ave" (Ô croix, je te salue)[2] ;
  • Les pompes de la rue des Acacias, dont une est dotée d'un abri au toit pentu ;
  • La pompe de la rue de la Mairie ;
  • Ancien moulin à eau à Moulin-de-Ville.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune est propice à la marche et aux activités de plein air et propose une randonnée pédestre "De la Voise à la Rémarde"" par les méandres de la Voise, à travers marais et tourbières, zones humides favorables au développement de la faune et d’une flore riche.

En chemin, les randonneurs pourront admirer le moulin de Poissac[Note 13] et le moulin de Lonceux (visitable)[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Mi-parti: au 1er de sinople à deux lions léopardés d'or l'un au-dessus de l'autre, au 2e de sinople à six besants d'or ordonnés 3, 2 et 1, au filet d'or en orle et pal brochant sur le tout.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le journal de Chartres du 28 octobre 1852 rapporte l'existence d'un "train de plaisir" entre Auneau et Gallardon, particulièrement fréquenté pour se rendre aux foires, notamment celle de la Saint-Côme.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. Nom provenant de « ganne » signifiant en bordure de rivière (ici la Voise).
  6. Selon l'abbé Villette dans son ouvrage : "Les noms des villes et des villages en Eure-et-Loir" paru en 1991.
  7. Mairie consultée le 31 mars 2014.
  8. Surface de terre labourée que l'on pouvait ensemencer avec un muid de grains.
  9. Orthographe du texte de la charte dans l‘annuaire de 1867, Historique de la Baronnie dAuneau.
  10. Voir l'histoire de la seigneurie du Château de Levainville
  11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  12. a et b Cette photographie comporte une annotation.
  13. Reconstruit en 1730 à l’emplacement d’un ancien moulin qui aurait brûlé. Le canal qui l'alimente a été creusé en l’an 1000..

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. « Localisation de Levainville » sur Géoportail (consulté le 10 juin 2018)..
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Documents historiques sur les communes du canton d‘Auneau par Edouard Lefèvre, tome II.
  2. a et b Ouvrage : Promenade à Levainville - octobre 2003, bibliothèque de Levainville.
  3. « Plan séisme consulté le 2 juillet 2016 ».
  4. Site Gralon
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - bras de la Voise (H4062501) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - bras de la Voise (H4063501) ».
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - bras de la Voise (H4064001) ».
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - bras de la Voise (H4063001) ».
  9. Inventaire National du Patrimoine Naturel
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé 01 des Prés Carrés (H4065000) ».
  11. a et b Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 10 juin 2018
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. « Orthodromie entre Levainville et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. Site Transbeauce
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  25. a b c et d Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).
  26. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Levainville », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  29. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Levainville », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  33. a et b Ouvrage "L'Eure et Loir, les 403 communes" de Daniel Delattre, page 112.
  34. Archives nationales-F 2 II Eure-et-Loir 1, plan annexé à la minute.
  35. Invasion prussienne dans Eure-et-Loir, page 14.
  36. Résultats de l’élection présidentielle 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  37. Résultats de l’élection présidentielle 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur
  38. Résultats de l’élection présidentielle 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur
  39. Résultats des élections municipales 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur
  40. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  41. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Associations de la ville de Levainville