Bégard
Bégard | |||||
L'église Saint-Méen. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Côtes-d'Armor | ||||
Arrondissement | Guingamp | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Guingamp-Paimpol Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Vincent Clec'h 2020-2026 |
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Code postal | 22140 | ||||
Code commune | 22004 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bégarrois | ||||
Population municipale |
4 839 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 133 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 37′ 43″ nord, 3° 17′ 59″ ouest | ||||
Altitude | Min. 45 m Max. 176 m |
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Superficie | 36,41 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Bégard (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Lannion (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bégard (bureau centralisateur) |
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Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | Le site officiel de la ville de Bégard | ||||
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Bégard [begaʁ] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.
Elle fait partie du pays traditionnel du Trégor (très précisément du Grand Trégor), qui appartient à la partie bretonnante de la région. En breton, le nom de la commune est Bear[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]C'est une commune de grande superficie née à la Révolution de la nationalisation des biens de l'abbaye de Bégard[pas clair], regroupant à partir de 1793 cinq communes issues en 1790 des paroisses d'Ancien Régime.
Situation
[modifier | modifier le code]Bégard est située dans la partie Ouest du département, à égale distance[pas clair] (par la route) de Guingamp au sud-est et de Lannion au nord-ouest (18 km)[2], et à 25 à 30 km du littoral (Tréguier, Perros-Guirec, Trébeurden).
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Prat | Coatascorn | |||
Pluzunet | N | Brélidy | ||
O Bégard E | ||||
S | ||||
Louargat | Pédernec | Saint-Laurent |
Relief et hydrographie
[modifier | modifier le code]Voies de communication
[modifier | modifier le code]Le bourg est traversé par la D767 reliant Guingamp à Lannion, connectée à l'ouest de Guingamp à la RN12 à quatre voies (Rennes-Brest par Saint-Brieuc).
Urbanisme
[modifier | modifier le code]En dehors du bourg, l'habitat est distribué dans de nombreux hameaux : Botlézan (Bodlezan), Guénézan (Gwenezhan), Lanneven, Trézélan (Trezelan), Trévourec (partagé avec la commune de Pédernec).
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 °C), fraîches en été et des vents forts[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 012 mm, avec 14,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Roche-Jaudy à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 887,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bégard est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bégard, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 40 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,4 %), terres arables (23,5 %), zones urbanisées (14,6 %), forêts (6,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %), prairies (0,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est mentionné sous les formes Begar en 1130 et en 1202, Begar / Begard / Beguar / Berguar en 1330, Begar en 1516, Begar en 1630, Begar en 1636, Begars en 1779[1]. Les formes anciennes sont régulières se terminent par -r, sauf une terminaison -rd en 1330. Le d final n'apparaît vraiment qu'à la fin du XVIIIe siècle.
Selon la tradition, l’abbaye de Bégard aurait été fondée sur le lieu d'habitation d'un ermite nommé Begar.
Ce nom n'a pas de rapport avec le mot breton beg (« pointe, extrémité ») (qui correspond au mot français bec, d'origine gauloise). L'étymologie semble le rapprocher de celle du toponyme Baguer, que l'on trouve notamment dans Baguer-Morvan (Bagar en 1181) et Baguer-Pican ([Ecclesia de] Bagar en 1209) en Ille-et-Vilaine), dont l'origine est obscure[16].
Albert Dauzat y voit un nom de personne germanique Big-hart pris absolument, devenu Biard dans les toponymes français Biard et les Biards[17].
Mais il ne cite aucune forme ancienne pouvant soutenir son point de vue et le -d final (-gar-d) apparu tardivement est incompatible avec cette explication. Par ailleurs, Les Biards (Manche, Biarz 1082) remonterait plutôt à un appellatif germanique bigard(ium) « jardin de la maison » cité au Ve siècle dans le glossaire d'Endlicher[18], solution également invraisemblable pour Bégard.
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Les mégalithes de Bégard laissent penser que le secteur était habité à la fin du Néolithique.
Jusqu'au début du XIXe siècle, la commune comptait trois menhirs, mais deux d'entre eux (celui de Pasquiou et celui de Saint-Norvez) ont disparu. Seul le menhir de Kerguézennec est encore en place[19].
Moyen Âge
[modifier | modifier le code]L'abbaye de Bégard, abbaye cistercienne, est fondée en 1130. Le noble breton Alain de Penthièvre (dit Alain le Noir, vers 1107–), a été inhumé à Bégard.
Époque moderne
[modifier | modifier le code]-
Sentence de condamnation de Pierre Bodrimon (1660)[Note 2].
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Période de la Révolution française (1789-1799)
[modifier | modifier le code]En janvier 1790, au début de la Révolution, les cinq paroisses de Botlézan (Bodlezan), Guénézan (Gwenezhan), Lanneven, Saint-Norvez (Sant-Norvez) et Trézélan (Trezelan) deviennent des communes du département des Côtes-du-Nord et du district de Guingamp.
L'abbaye de Bégard est saisie comme bien national, comme tous les biens détenus par des institutions ecclésiastiques, et compte tenu de sa grande valeur, mise aux enchères dans tout le royaume. C'est Étienne Leboutteux-Dumousseaux qui l'emporte avec une enchère à 165 300 livres.
Ce riche Parisien joue un rôle central dans la constitution de la commune, souhaitant créer un centre urbain à côté de l'abbaye. Pour cela, il devient membre, puis président du conseil du district.
En 1792, les cinq paroisses sont rassemblées en une seule, puis en 1793 (sous la Première République instaurée en septembre 1792) les cinq communes de 1790 deviennent la commune de Bégard[20].
Guerres du XXe siècle
[modifier | modifier le code]Le monument aux morts fait état de 279 soldats morts pour la France[21] :
- 241 pendant la Première Guerre mondiale ;
- 37 pendant la Seconde Guerre mondiale ;
- 1 pendant la guerre d'Algérie.
Économie
[modifier | modifier le code]Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats électoraux
[modifier | modifier le code][24].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à Bégard depuis cette date :
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,3 % la même année, alors qu'il est de 32,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 358 hommes pour 2 450 femmes, soit un taux de 50,96 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,7 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Langue bretonne
[modifier | modifier le code]Le nom breton de la commune est Bear.
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le .
À la rentrée 2023, 85 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue (soit 24% des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[35].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune compte cinq sites inscrits ou classés monuments historiques :
- l'église Sainte-Geneviève de Guénézan, avec son portail Renaissance ;
- l'église Saint-Méen de Lannevent, porche en clocher avec tour, statue d'un marchand drapier à l'angle du transept sud ;
- la chapelle de Botlézan, XVe, XVIIe et XVIIIe siècles. Rénovée en 2004. Inscrite en 1964 et Classé MH (1981)[36] ;
- le menhir de Kerguézennec, classé par liste de 1889[37] ;
- la croix de chemin du XVIIe siècle, Inscrit MH (1925).
-
Chêne bonsaï de Bégard.
-
Église de Guénézan.
-
Église Saint-Méen de Lanneven.
-
Chapelle de Botlézan.
-
Menhir de Kerguézennec.
-
Croix de chemin du XVIIe siècle.
La commune abrite également :
- l'abbaye de Bégard, sauvée de la ruine grâce à l'arrivée des religieuses du Bon-Sauveur de Caen en 1857 ;
- le manoir de Sall Gwen, inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[38].
- les manoirs de Trévourec (XVIe – XVIIIe siècles), et de la Roche-Huon ;
- le manoir de Coatgouray (vers 1400)[39]. Le manoir de type logis-porche, dont la porte charretière a été murée, conserve deux tours d'escaliers avec à l'étage noble une chapelle domestique[40] ;
- le colombier de l'ancien manoir de Kernaudour[41], dans le parc de loisirs Armoripark ;
- le bois de Gwerun et le festival biennal (années impaires), la Java dans les Bois, créé en 1998[42] ;
- l'église paroissiale du Saint-Nom-de-Marie ;
- un chêne pédonculé classé comme Arbre remarquable est visible à Bégard. Il a participé au concours « Arbre européen de l'année » pour la France en 2014[43] et est situé dans le quartier de Guénézan (Gwenezhan) près de la D 767 dans l'Armoripark.
Personnalités liées à Bégard
[modifier | modifier le code]- Placide Guillermic dit Tadig Kozh (1788-1873), célèbre curé exorciste, décédé à Bégard.
- René Kerambrun (1813-1852), poète et folkloriste de langue bretonne, né à Bégard.
- Goulven Mazéas (1895-1981), militant breton, décédé à Bégard.
- Thérèse Debains (1897-1974), peintre, décédée à Bégard.
- Marsel Klerg (1912-1984), prêtre catholique, écrivain de langue bretonne (nom de plume Klerg Llydaw), décédé à Bégard.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
Écartelé : au 1er et au 4e d'argent plain, au 2e et au 3e d'azur à la quintefeuille d'or.
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Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Michel Lagadou, Bégard d'hier à aujourd'hui, Bégard, éd. Association pour le bicentenaire de la commune, , 316 p. (ISBN 2-9507534-0-X, SUDOC 161487114).
- Tomaz Bernard, Trésors et mystères au cœur du Trégor, Le catalogue du patrimoine, éd. Embann Ar Vro, 2015, 650 p.[44]
- Tomaz Bernard, Que Belen soit avec toi ! (roman dans le Bégard médiéval) éd. Embann Ar Vro, Coop Breizh Diffusion, 220 p.[45],[46].
- Hervé Le Goff, Begard le petit Cîteaux de l'Armorique, Guipavas, Kelenn, , 394 p.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Pierre Bodrimon était un bandit de grand chemin appartenant à la bande de Kersaliou, coupable de nombreux vols et viols, qui fut soumis à la question préalable et torturé, vant d'être pendu aux fourches patibulaires de Bégard (Archives départementales des Côtes-d'Armor ; exposition au château de Kerjean en 2013).
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « KerOfis, base toponymique de l'office public de la langue bretonne » (consulté le ).
- Itinéraire ViaMichelin : 17,5 pour Guingamp, 18,6 pour Lannion. Guingamp est encore un peu plus proche à vol d'oiseau.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bégard et La Roche-Jaudy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pommerit-Jaudy » (commune de La Roche-Jaudy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pommerit-Jaudy » (commune de La Roche-Jaudy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bégard », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lannion », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne : plus de 1200 noms expliqués, Paris, Christine Bonneton Éditeur, , 231 p. (ISBN 2-86253-283-5), p. 119.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 61ab.
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 80.
- Loïc Langouët, Les Mégalithes de l'arrondissement de Guingamp, Institut Culturel de Bretagne, , 92 p. (ISBN 978-2-86822-101-8), p. 15.
- Michel Lagadou (dir.), Bégard d'hier à aujourd'hui, Association pour le bicentenaire de la commune, , 316 p. (ISBN 2-9507534-0-X), p. 67.
- « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
- site Armoripark|Begard
- site Fondation Bon Sauveur
- « Bégard - Municipales 2020. Cinderella Bernard candidate à son tour », sur Le Telegramme, (consulté le ).
- Notice CLECH François par Christian Bougeard, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 8 août 2021
- « Nécrologie. Yves Le Pichouron ancien maire », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Bégard. Décès brutal du maire Gérard Le Caër », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
- « Bégard. Seul candidat, Vincent Clec'h élu maire », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
- « PCF. La section de Bégard s'exprime sur la succession de Gérard Le Caër », Le Télégramme, (lire en ligne).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bégard (22004) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département des Côtes-d'Armor (22) », (consulté le ).
- http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm
- Notice no PA00089018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00089022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00002869, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA22000059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Châteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 115.
- Notice no IA00002871, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le site officiel de l'association Gwallspered (Festival Java dans les Bois).
- 2014 - Chêne bonsaï de Bégard.
- « Tomaz Bernard édite "Trésors et mystères au cœur du Trégor" », sur actu.fr (consulté le ).
- Chloé Rebaudo, « Tomaz Bernard, une passion pour l’histoire en roman », Ouest France, (lire en ligne).
- « Tomaz Bernard signe un roman historique », sur Le Telegramme, (consulté le ).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes du Trégor
- Liste des communes des Côtes-d'Armor
- Anciennes communes des Côtes-d'Armor
- Communauté d'agglomération Guingamp-Paimpol Agglomération
- Gare de Belle-Isle - Bégard
- Abbaye Notre-Dame de Bégard
Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site officiel