Fourcigny

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Fourcigny
Fourcigny
La mairie et l'école.
Blason de Fourcigny
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jack Warnault
2020-2026
Code postal 80290
Code commune 80340
Démographie
Population
municipale
201 hab. (2021 en augmentation de 9,24 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 45′ 37″ nord, 1° 49′ 36″ est
Altitude Min. 193 m
Max. 214 m
Superficie 4,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Fourcigny
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Fourcigny
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Fourcigny
Liens
Site web https://fourcigny.fr

Fourcigny est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Fourcigny est un village rural picard qui se trouve sur un plateau surplombant le Pays de Bray, au sud-ouest du département de la Somme à quelques centaines de mètres de l'Oise et quelques kilomètres de la Seine-Maritime, à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest d'Amiens, à la même distance au nord-ouest de Beauvais, à 46 km du Tréport et du littoral de la Manche

Son territoire est limité à l'ouest par le tracé de l'ex-route nationale 15bis (actuelle RD 915), il est aisément accessible par l'ex-RN 29 (actuelle RD 1029).

Les villes les plus proches sont Aumale (Seine-Maritime) et Poix-de-Picardie.

En 2019, Fourcigny est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Le hameau de Beaurepaire est rattaché à la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 861 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Arnoult à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fourcigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), prairies (15,2 %), zones urbanisées (5,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village a été désigné sous les noms de Forseignies en 1202[14] ; Fortennies en 1208 ; Forsegnies en 1214[15] ; Fursini en 1232[14] ; Forsignies[15] et Foursegnies[14] en 1251 ; Fourcygnies en 1586 ; Foursigny[15] et Foulsigny en 1710[14] ; Foursigni en 1733 ; Fourcigny en 1729[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

En 1919, G. Beaurain indiquait[14] « Fourcigny dut évidemment son origine au voisinage de la voie romaine de Paris à la mer et de l'importante station de Digeon, mais il dut être d'existence fort précaire jusqu'à l'arrivée des Hospitaliers. au début du XIIIe siècle. Il est douteux qu'il ait eu même auparavant autre chose qu'une simple chapelle à l'usage du seigneur et de ses ouvriers agricoles. La maladrerie, dont le nom subsiste dans une rue et un lieu-dit et qui était encore reliée au XVIIIe siècle à l'église voisine de Morvillers, eut sans doute pour fondateurs au XIIIe siècle les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ».

La commanderie hospitalière de Villedieu-la-Montagne détenait la seigneurie jusqu'à la Révolution française[14].

Sous l'Ancien Régime, Fourcigny relevait[14] :

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Poix-de-Picardie[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, où la commune reste intégrée, est modifié et agrandi.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[17],[18]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[19], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[20].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  juillet 1943[23] Georges Lequesnnoy   Démissionnaire d'office
avant 1995   James Warnault    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jean-Marie Devos    
mars 2008 [24] novembre 2011[25] Luc Vandromme   Démissionnaire
février 2012[26] février 2022 Joël Guilbert   Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Démission[29]

février 2022[30] En cours Jack Warnault    

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune se dote en 2021 de quatre nouvelles éoliennes qui s'ajoutent aux six installées auparavant. Les nouveaux appareils, hauts au total de 130 m, ont chacun une puissance de 2,2 MW.

Selon l'entreprise, la totalité du parc permet d'alimenter 10 000 foyers en énergie renouvelable, mais selon certains, la présence de trop nombreux appareils (150 éoliennes recensées dans un rayon de 17 km) amènerait à une saturation visuelle[31],[32].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 201 habitants[Note 2], en augmentation de 9,24 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
218274478266261258263253252
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
234225228220212199188188171
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
181193200186167150145156177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
163164130131123131166176192
2018 2021 - - - - - - -
198201-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique
L'école.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les villages de Gauville, Morvillers-Saint-Saturnin, Lignières-Châtelain, Fourcigny et Marlers[36]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Jean-Baptiste et monument aux morts.
  • Église Saint-Jean-Baptiste, du XVIe siècle voûtée en bois[37]. Le mur du côté sud est en damier de silex taillé et de pierres blanches; quelques fenêtres d'un beau profil sont sans remplages.
    Elle contient des fonts baptismaux du XIIIe siècle[38] qui rappellent ceux de Fouencamps et Gentelles ; la cuve est maintenue par quatre colonnettes dont les chapiteaux à feuilles de plantain sont alternativement avec et sans crochets[14],[39].
    L'église est ornée d'un couronnement de la Vierge en bois polychrome du XVIe siècle[40].
  • Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours. Sur le chemin de Beaurepaire, érigée au XVIIIe siècle par la famille de Forceville pour héberger, à l'origine, une statuette en grès très ancienne, qui, avant la construction de l'édifice, aurait reposé dans le creux d'un vieux tilleul. En 1919, on signalait un joli retable flamboyant en bois, représentant le couronnement de la Vierge et le Christ ressuscité[14],[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
d'azur aux trois tours d'or.
Ces armes sont issues de la famille De Fourcigny dont la dernière représentante se prénommait Péronnelle, elle disparait avant 1393[42]

.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Trans80, Hauts-de-France », sur trans80.hautsdefrance.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Fourcigny et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Arnoult » (commune de Saint-Arnoult) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e f g h et i Georges Beaurain, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, t. III : Arrondissement d'Amiens : cantons d'Oisemont, Picquigny, Poix et Villers-Bocage, Amiens, Yvert & Tellier, coll. « Société des antiquaires de Picardie », , 721 p. (lire en ligne), p. 421-426.
  15. a b c et d Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 394 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  18. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  19. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  20. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  21. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  22. « Les maires de Fourcigny », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. « Arrêté du chef du gouvernement portant démission d'office », Journal officiel de l'État français, no 170,‎ , p. 1908 (lire en ligne, consulté le ) lire en ligne sur Gallica.
  24. Source : Hebdomadaire Le réveil du 27 mars 2008
  25. « Fourcigny : La commune n'a plus de maire », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  26. « Fourcigny : Joël Guilbert est le nouveau maire », Le Bonhomme picard, no 3172,‎ , p. 34.
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Joël Guilbert présente son conseil », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3291,‎ , p. 29.
  28. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  29. Arrêté préfectoral du 17 décembre 2021.
  30. Modèle:Périodique=Courrier picard
  31. « Débat. Tensions électriques autour d'un projet de parc éolien : Une enquête publique sur l'installation d'un parc éolien est ouverte durant tout l'été. Les opposants, rassemblés en association à Fourcigny, ont décidé de ne rien lâcher », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Pauline Defoix, « Près de Poix-de-Picardie, 10 000 foyers seront alimentés en électricité verte à partir de l'été 2021 : La seconde étape du chantier du parc éolien à Fourcigny, mené par l'entreprise H2air va commencer le 19 octobre 2020. La mise en service des éoliennes est prévue pour l'été 2021. », Le Réveil de Neufchâtel,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Le loto du regroupement pédagogique de Gauville est reporté », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Fourcigny, d'après nature, 1876 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  38. « fonts baptismaux », notice no PM80001464, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. « A) Fonts baptismaux dans l'église de Fourcigny, d'après nature, 9 octobre 1876. B) Fourcigny. Amiens. Imp. Yvert et Tellier. C) Frettemole. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  40. « groupe sculpté : Couronnement de la Vierge », notice no PM80000658, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  41. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 150 (ASIN B000WR15W8).
  42. « La commune dans l'Armorial de France » (consulté le ).