Saint-Maulvis

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Saint-Maulvis
Saint-Maulvis
L'église domine le village, du haut du plateau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Marcel Malivoir
2020-2026
Code postal 80140
Code commune 80709
Démographie
Gentilé Malvisiens, Malvisiennes
Population
municipale
276 hab. (2021 en augmentation de 4,55 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 54′ 21″ nord, 1° 50′ 11″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 157 m
Superficie 6,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Maulvis

Saint-Maulvis est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Paysage de la commune, vu depuis la butte de l'église.

Le village est situé à environ 25 km au sud d'Abbeville et une trentaine à l'ouest d'Amiens.

Deux vallons parallèles et orientés nord-ouest, sud-est donnent du relief au village. L'un de ces vallons se nomme le fond Féret (ou Duval). Le point culminant se trouve au moulin Féret, à 147 m d'altitude, déjà inhabité en 1899[1].

Un écart où se trouve une petite industrie, la Pannerie ou Panneterie (tuilerie et briqueterie : les pannes sont les tuiles picardes), ne compte plus que trois habitants en 1899[1].

Une couche de craie marneuse, traversée par des bancs de silex, s'étend sous la terre végétale, argileuse et assez épaisse. Au sud-ouest du village, l'argile est d'un aspect ferrugineux. Un chemin en a reçu le nom de « chemin Rouge »[1].

Une nappe d'eau alimentant les puits se trouvait généralement vers 35 mètres de profondeur en 1899. Saint-Maulvis était à cette époque considéré comme complètement déshéritée par la nature qui ne lui avait même pas donné un mince filet d'eau[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 815 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Maulvis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (9,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes S. Mauvil (1271) ; S. Mauvil en Vimeu (1354) ; Sanctus Mauvilius (1301) ; S. Mauvils (1342) ; Sanctus Mauvitius (1301) ; S. Mauvil (1337) ; Saint Maulviz (1507) ; S. Maulvy (1521) ; Saint Mauvis (1646) ; Saint Maunil (1648) ; S. Maulvis (1657) ; S. Mauvais (1764) ; S. Mauluys (1695)[14].

L'hagiotoponyme Saint-Mauvil, Saint-Mauvils, Saint-Mauvilz serait la corruption de Saint-Mesnelé, du nom du patron de la paroisse[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Un casque ancien, trouvé lors de travaux de terrassement prouverait une occupation à l'époque gauloise. Ce casque est déposé au musée de Picardie à Amiens[1].

Le pays a été évangélisé par un abbé d'Auvergne, saint Mesnelé[1].

Durant la guerre franco-allemande de 1870, deux jeunes du village sont morts au combat[1].

Circonscriptions d'Ancien Régime

La paroisse relevait du doyenné d'Airaines, puis d'Hornoy, archidiocèse de Ponthieu, diocèse d'Amiens[15].

Dans l'ordre civil et militaire, le village était sous l'autorité du prévôt de Vimeu, bailliage d'Amiens, élection d'Amiens, intendance de Picardie, du grenier à sel d'Amiens, puis d'Aumale, en 1726[15].

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Panneau d'informations sur l'ordre religieux de Saint-Jean de Jérusalem.

Une importante commanderie appartenant aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem y existait dès avant 1179. Son commandeur était le seigneur de Saint-Maulvis qui exerçait « toutes justices » sur 22 villages[1].

Lors de la guerre de Cent Ans, le village fut totalement incendié (seule la forteresse abritant des gens d'armes en 1350 ne fut pas détruite) et resta inhabité durant seize ans. Dès lors, les revenus de la commanderie s'en trouvèrent tellement réduits que le grand prieur de France, Guillaume de Mailloc, convoqua un chapitre général à Paris en 1357[1].

En 1447, au moment de la trêve entre Français et Anglais, le commandeur, frère Jean du Fay, fit constater dans un censier que toutes les maisons avaient été brûlées[1]. Les coutumes locales sont rédigées le [1]. Florimond de Biencourt fait construire un château en 1540. On le voit encore en 1710[1].

À la Révolution française, les domaines de la commanderie et de la seigneurie sont morcelés et vendus[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie et ancienne école, sur la place communale.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait jusqu'en 2009 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. De 2009 à 2016, elle est intégrée à l'arrondissement d'Abbeville, avant de réintégrer le l'arrondissement d'Amiens[16]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Oisemont[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la petite communauté de communes de la Région d'Oisemont (CCRO), créée au .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[18],[19]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [20], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[21].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [22].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Lyonel Dassonville    
mars 2001 mars 2008 Renée Goffetre    
mars 2008[24] 2020 Jean-Philippe Bauden[25]    
2020[26] En cours
(au 8 octobre 2020)
Marcel Malivoir    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 276 habitants[Note 2], en augmentation de 4,55 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
807768812753798786758697720
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
722684638599574554525502483
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
455431394392371316314303298
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
350293294242205226246259268
2021 - - - - - - - -
276--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune a été associée avec Fresneville au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal[30]. En matière d'enseignement primaire, les enfants du village relèvent depuis 2014 du regroupement pédagogique concentré organisé à l'école publique d'Oisemont destinée à accueillir 300 élèves. La compétence scolaire est mise en œuvre par la communauté de communes Somme Sud-Ouest[31],[32].

Équipements communaux[modifier | modifier le code]

La commune a racheté en 2011 les locaux d'un ancien café et l'a rénové pour en faire une salle des fêtes de 450 m2, qui a été livrée en 2018[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Maulvis.
  • Chapelles familiales funéraires, route d'Épaumesnil :
    • familles Calippe-Pruvost, en brique, datée de 1872 ;
    • famille Delamotte, de 1872.
  • Chapelle de dévotion et funéraire, route de Fresnoy-Andainville, datée de 300 ans. Dédiée à Notre-Dame de la Bonne Mort, elle est bâtie en brique et torchis. Un chirurgien y a été inhumé en 1849[38].
  • Bois de la Corroie, qui aurait été un lieu de sabbats au Moyen Âge et à la Renaissance[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Le Pierre l'Ermite de Gédéon de Forceville à Amiens.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre-Louis Limichin, Le canton d'Oisemont, histoire et archéologie, édit. Vague Verte, collection Jusant, 178 pages, . (ISBN 978-2-913924-93-2)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l m et n Notice historique et géographique réalisée par l'instituteur, M. Toulet, en 1899, Archives départementales, Amiens
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Maulvis et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 274 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. a et b Gaëtan de Witasse, Géographie historique du département de la Somme : état religieux, administratif et féodal des communes et de leurs dépendances, t. II, Abbeville, impr. de Lafosse, , 719 p. (lire en ligne), p. 560-561.
  16. « Arrêté du Préfet de région du 23 décembre 2016 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme », Recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-France, no 200,‎ , p. 321 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  19. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  20. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  21. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  22. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  23. « Les maires de Saint-Maulvis », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  25. Lucy Embark, « Somme. Le maire de Saint-Maulvis Jean-Philippe Bauden poursuit son combat contre les pesticides : Jean-Philippe Bauden, maire de Saint-Maulvis, avait pris un arrêté pour interdire les pesticides à 150 mètres de sa commune, en août 2019. Une décision rejetée par la Préfecture », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Site de la mairie.
  31. « Première rentrée des classes au RPC : Lundi 3 novembre, le regroupement pédagogique concentré d’Oisemont a vécu sa première rentrée des classes. Deux mois après avoir repris le chemin de l’école, près de 250 élèves », L'Informateur - L'Éclaireur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Émilie Da Cruz, « Une cantine et une maternelle pour 2018 à Oisemont : Les projets de la communauté de communes de la région d’Oisemont seront repris par la nouvelle Intercommunalité. Entre autres, la construction d’équipements scolaires », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. L. E., « Une salle des fêtes spacieuse et équipée », Le Réveil, édition unique Pays de Bray Bresle - Oise Somme, no 3652,‎ , p. 29.
  34. « L'église Saint-Mendé », notice no PA00116242, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Oswald Macqueron, « Calque : Eglise de Saint-Maulvis, canton d'Oisemont, d'après nature, 24 avril 1870. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  36. « Saint-Maulvis. Tour de l'église. - Héliogravure P. Dujardin. - Extrait de "La Picardie historique et monumentale". », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  37. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Fonts baptismaux dans l'église de Saint-Maulvis (canton d'Oisemont), d'après nature, 24 avril 1870. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  38. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 90 (ASIN B000WR15W8).
  39. Panneau d'informations en galerie de photos.