Le Translay

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Le Translay
Le Translay
La mairie du Translay.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jean de Beaufort
2020-2026
Code postal 80140
Code commune 80767
Démographie
Population
municipale
241 hab. (2021 en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 58′ 13″ nord, 1° 40′ 35″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 139 m
Superficie 5,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Abbeville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Le Translay est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Ce village agricole picard est situé sur le plateau dominant la rive droite de la Bresle, au carrefour des anciennes routes nationales 28 et 336 (actuelles RD 928 et 936). Il est aisément accessible par l'autoroute A28.

Transports routiers[modifier | modifier le code]

La localité est desservie par la ligne d'autocars no 1 (Mers-lès-Bains - Oisemont - Amiens) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 864 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Translay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Abbeville, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %), zones urbanisées (4,6 %), prairies (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Translata via (.....) ; Translel (1138) ; Transleel (1205) ; Translet (1231) ; Estranlaus (1239) ; Estranlau (1386) ; Estranliaus (1230) ; Estranslaus… ; Tranleel (1278) ; Transletum (1292) ; Le Tranllel (1300-1323) ; Tranlel (1301) ; Trenleel (1337) ; Tranloy (1337) ; Le Translet (1371) ; Le Transleel (1426) ; Le Trenleel (1429) ; Translez (1567) ; Transle (1657) ; Le Tranlé (1710) ; Tranlé (1750) ; Traslay (1753) ; Le Translay (1757) ; Le Traslay (1764) ; Tranlai (1766) ; Tranlay (1778) ; Tremlay (1771) ; Translay (1836) ; Le Tranlay (1840) ; Transletz (17..)[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune, instituée lors de la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Busménard[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait jusqu'en 2016 dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme, avant d'intégrer le l'arrondissement d'Amiens[16]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Gamaches[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la petite communauté de communes de la Région d'Oisemont (CCRO), créée au .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[17],[18]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en [19], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[20].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1834 après 1836 Joseph Hyacinthe Christosome Barbier    
    M. Heffort[Note 3]    
Les données manquantes sont à compléter.
1947 mars 1971 Louis Descamps    
mars 1971 1977 Michel Dégardin    
1977 1995 Pierre Tuncq    
juin 1995 mars 2008 Frédéric Tuncq    
mars 2008[23] avril 2014[24] Engilbert Bouvet    
avril 2014[25] En cours
(au 8 octobre 2020)
Jean de Beaufort   Réélu pour le mandat 2020-2026[26],[27]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 241 habitants[Note 4], en augmentation de 1,69 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
285276317306285279314333312
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
308309285269280289297305269
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
267262255238214192207196196
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
202201202198200182197235245
2021 - - - - - - - -
241--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Jusqu'au , les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement Pédagogique Intercommunal créé en 1975 et qui concerne, depuis 2014, les communes de Framicourt et du Translay. En effet, les communes de Biencourt et Ramburelles ont alors quitté le RPI qu'elles géraient en commun avec Framicourt et Le Translay, et créé leur propre regroupement scolaire[31].

Framicourt et Le Translay seront intégrées au regroupement pédagogique concentré d'Oisemont, probablement à la rentrée 2018. L'établissement comptera à terme 300 élèves environ[32].

L'école ferme définitivement le . Les enfants seront scolarisés à Oisemont, en septembre, au sein du regroupement pédagogique concentré géré par la communauté de communes[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Jean-Baptiste, de brique et de blocs de craie.
  • Chapelle Saint-Martin de Busménard.
  • Château de Busménard, du XVIIIe siècle[34] et son parc[35].
  • Motte féodale de plan carré.
  • Le monument aux morts comporte le nom des victimes de la Première Guerre mondiale mais aussi ceux de tous les mobilisés ayant participé au conflit[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Son nom figure sur le monument aux morts.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Translay et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duAbbeville », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 348 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Arrêté du Préfet de région du 23 décembre 2016 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme », Recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-France, no 200,‎ , p. 321 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  17. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  18. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  19. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  20. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  21. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  22. « Les maires de Translay (Le) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  23. [xls] « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  24. Blandine Thoreux, « Quels maires du canton seront candidats en mars prochain ? : Dans bientôt deux mois, les électeurs devront passer aux urnes afin d'élire leur nouveau conseil municipal. Sur le canton de Gamaches, plusieurs maires sortants seront candidats », L'Informateur - L'Éclaireur,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Engilbert Bouvet a été élu maire du Translay en 2008, un peu par hasard. « À la base, je m’étais présenté en tant que conseiller » se souvient-il. En mars prochain, “pour des raisons strictement personnelles”, il ne se représentera pas, “ni comme conseiller, ni comme maire”. Il est âgé de 67 ans ».
  25. Blandine Thoreux, « Jean de Beaufort élu maire : Au Translay, une cinquantaine de personnes a assisté à l’élection du maire. Jean de Beaufort, conseiller depuis 12 ans, a été élu maire et succède ainsi à Engilbert Bouvet », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean de Beaufort, conseiller municipal depuis douze ans a été élu maire et succède ainsi à Engilbert Bouvet ».
  26. Xavier Togni, « Le maire candidat à sa succession au Translay : Jean de Beaufort, élu en 2014, souhaite poursuivre sa mission à la tête du Translay. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Blandine Thoreux, « Le Translay : Jean de Beaufort reste maire : Installé le 23 mai 2020, le conseil municipal du Translay, dans la Somme, a réélu Jean de Beaufort au poste de maire. Il entame ainsi son deuxième mandat à la tête de la commune », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Blandine Thoreux, « Une classe de maternelle rénovée au RPI : Après leur exclusion du RPI qu'elles formaient avec Framicourt et Le Translay, Biencourt et Ramburelles ont créé leur propre regroupement scolaire, et réalisé des travaux », L'Informateur - L'Éclaireur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Émilie Da Cruz, « Une cantine et une maternelle pour 2018 à Oisemont : Les projets de la communauté de communes de la région d’Oisemont seront repris par la nouvelle Intercommunalité. Entre autres, la construction d’équipements scolaires », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « La commune va récupérer l'école et la transformer », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 14.
  34. « Le château de Busménard », notice no PA80000044, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Jardin d'agrément du château de Busménard », notice no IA80000755, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. [* Le monument aux morts comporte le nom des victimes de la Première Guerre mondiale mais aussi ceux de tous les mobilisés ayant participé au conflit Mémoire des soldats de ma commune.]