Brantôme en Périgord
Brantôme en Périgord | |||||
L'hôtel de ville, ancienne abbaye. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Dronne et Belle | ||||
Maire Mandat |
Monique Ratinaud 2020-2026 |
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Code postal | 24310, 24460 et 24530 | ||||
Code commune | 24064 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
3 721 hab. (2021) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 21′ 51″ nord, 0° 38′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 92 m Max. 246 m |
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Superficie | 133,33 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Brantôme en Périgord (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | brantomeenperigord.fr | ||||
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Brantôme en Périgord est, depuis le , une commune nouvelle française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle est issue du regroupement des deux communes de Brantôme et de Saint-Julien-de-Bourdeilles[1].
Au , elle est intégrée en tant que commune déléguée au sein de la commune nouvelle (élargie) de Brantôme en Périgord.
Géographie
Au , Brantôme en Périgord est composée des anciennes communes de Brantôme et Saint-Julien-de-Bourdeilles.
Au , son périmètre s'élargit avec l'arrivée de six autres anciennes communes : Cantillac, Eyvirat, La Gonterie-Boulouneix, Saint-Crépin-de-Richemont, Sencenac-Puy-de-Fourches et Valeuil. Avec 133,33 km2, elle devient alors la deuxième commune la plus étendue de la Dordogne, derrière Mareuil en Périgord.
L'altitude minimale, 92 mètres, se situe au sud-ouest, en amont du barrage du Capinet (territoire de Valeuil), là où la Dronne quitte le territoire communal et continue sur celui de Bourdeilles. L'altitude maximale avec 246 mètres est localisée au nord-ouest, au lieu-dit Puyssegné (territoire de Saint-Crépin-de-Richemont).
Communes limitrophes
En 2019, Brantôme en Périgord est limitrophe de quatorze autres communes, dont Mareuil en Périgord en deux endroits disjoints séparés par la commune de Saint-Félix-de-Bourdeilles.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 58 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
Parc naturel
Parmi les huit communes fondatrices de la commune nouvelle, une seule, Saint-Crépin-de-Richemont, fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[15].
Natura 2000
ZNIEFF
La zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I « landes des Trois Pierres » qui s'étend sur 513 hectares est très marginalement comprise dans le territoire de Brantôme en Périgord (ancienne commune de Saint-Crépin-de-Richemont). Le reste fait partie du territoire de Mareuil en Périgord (anciennes communes de Champeaux-et-la-Chapelle-Pommier et de Monsec). Trois espèces déterminantes de rapaces y ont été recensées : le Busard cendré (Circus pygargus), le Busard des roseaux (Circus aeruginosus) et le Busard Saint-Martin (Circus cyaneus) et trois autres de plantes : Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia), Narthécie des marais (Narthecium ossifragum) et Trompette de Méduse (Narcissus bulbocodium)[16],[17]. De plus, quatre espèces de mammifères, 50 d'autres oiseaux et 73 autres plantes y ont été recensées.
Toujours sur le territoire de Saint-Crépin-de-Richemont, à environ un kilomètre et demi à l'est des landes des Trois Pierres, au sud du château de Bagatelle, une autre ZNIEFF de type I, la « zone tourbeuse du Bois d'Enfer »[18],[19], est un site de cinq hectares propice à la pousse d'une espèce déterminante floristique : la Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia). Dans les années 1990 et 2000, quatre espèces de libellules y ont été recensées ainsi que 39 autres espèces de plantes et deux genres de plantes non détaillés.
Sur le territoire de Saint-Crépin-de-Richemont, sur deux kilomètres en amont du château de la Barde, le Boulou, sa vallée, ses coteaux et la partie aval de ses affluents font partie d'une ZNIEFF de type I « Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont » qui concerne également les deux autres communes en amont, Sceau-Saint-Angel et La Chapelle-Montmoreau[20],[21].
Vingt-deux espèces déterminantes y ont été répertoriées :
- cinq amphibiens : l'Alyte accoucheur (Alytes obstetricans), la Grenouille rousse (Rana temporaria), le Pélodyte ponctué (Pelodytes punctatus), la Rainette verte (Hyla arborea), le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- un crustacé, l'Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) ;
- quinze espèces d'insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la faucille (Cupido alcetas), l'Azuré du serpolet (Phengaris arion), le Cordulégastre annelé (Cordulegaster boltonii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Fourmilion commun (Myrmeleon formicarius), le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus), le Lepture erratique (Judolia erratica (en)), la Milésie faux-frelon (Milesia crabroniformis), le Miroir (Heteropterus morpheus), Musaria rubropunctata, l'Onychogomphe à crochets (Onychogomphus uncatus), le Petit mars changeant (Apatura ilia) et le Sphinx de l'épilobe (Proserpinus proserpina) ;
- un reptile, l'Orvet (Anguis fragilis).
De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées : six amphibiens, six reptiles, 79 oiseaux, 229 insectes, et dix espèces de plantes.
Le territoire des anciennes communes de La Gonterie-Boulouneix, Saint-Crépin-de-Richemont et Saint-Julien-de-Bourdeilles est arrosé par le Boulou ; sa vallée, la partie aval de ses affluents le Belaygue et le Jallieu, ainsi que leurs coteaux, forment une autre ZNIEFF de type I « Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval », présentant une importante variété faunistique[22],[23].
Trente espèces déterminantes y sont répertoriées :
- dix insectes : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la faucille (Cupido alcetas), l'Azuré du serpolet (Phengaris arion), le Cordulégastre annelé (Cordulegaster boltonii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus), le Lepture erratique Judolia erratica (en), l'Onychogomphe à crochets (Onychogomphus uncatus) et le Petit mars changeant (Apatura ilia) ;
- sept mammifères : la Genette commune (Genetta genetta), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que quatre espèces de chauves-souris : Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), Noctule commune (Nyctalus noctula), Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et Vespertilion de Bechstein (Myotis bechsteinii) ;
- sept oiseaux : le Cincle plongeur (Cinclus cinclus), le Faucon pèlerin (Falco peregrinus), le Hibou moyen-duc (Asio otus), le Moineau soulcie (Petronia petronia), le Pic mar (Dendrocopos medius), le Pic noir (Dryocopus martius) et le Pigeon colombin (Columba oenas).
- les mêmes cinq amphibiens que dans la ZNIEFF amont : l'Alyte accoucheur (Alytes obstetricans), la Grenouille rousse (Rana temporaria), le Pélodyte ponctué (Pelodytes punctatus), la Rainette verte (Hyla arborea), le Sonneur à ventre jaune (Bombina variegata) et le Triton marbré (Triturus marmoratus) ;
- une tortue, la Cistude (Emys orbicularis).
Deux plantes rares : la Colchique d'automne (Colchicum autumnale) et la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), y sont également présentes.
De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées : cinq amphibiens, cinq reptiles, 69 oiseaux, 307 insectes ainsi que 40 plantes.
Ces deux ZNIEFF du Boulou (amont et aval) font partie d'une ZNIEFF de type II plus vaste « Vallée et coteaux du Boulou » représentant la quasi-totalité du cours du Boulou, depuis sa source jusqu'à la route départementale 106, 200 mètres avant sa confluence avec la Dronne[24],[25],[Note 5].
La vallée du Boulou représente « un intérêt national » par la « richesse exceptionnelle » en espèces d'insectes — notamment en Lépidoptères et en Odonates — répertoriées dans ces trois ZNIEFF[24].
Urbanisme
Typologie
Brantôme en Périgord est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[27],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[29],[30].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2014 pour la Dronne — qui traverse les anciennes communes de Brantôme et Valeuil —, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser 350 mètres au nord du moulin de Lombraud, ainsi que l'intégralité de l'île du centre-bourg de Brantôme et la partie aval de son affluent la Côle (les 1 700 derniers mètres)[31],[32].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre la ville de Brantôme et les bourgs proprement dits des sept autres communes fondatrices, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés sur les pages suivantes : Brantôme, Cantillac, Eyvirat, La Gonterie-Boulouneix, Saint-Crépin-de-Richemont, Saint-Julien-de-Bourdeilles, Sencenac-Puy-de-Fourches et Valeuil.
Toponymie
Histoire
La création de la nouvelle commune, entérinée par l'arrêté du 14 décembre 2015[33], est effective le , entraînant la transformation des deux anciennes communes, Brantôme et Saint-Julien-de-Bourdeilles, en communes déléguées.
Au , la commune fusionne avec six autres communes pour former la commune nouvelle (élargie) de Brantôme en Périgord[34]. À cette date, les sept communes fondatrices deviennent communes déléguées.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
À sa création en 2016, la commune de Brantôme en Périgord dépend de l'arrondissement de Périgueux puis est rattachée en 2017 à l'arrondissement de Nontron[35],[36].
Sur le plan électoral, elle est le bureau centralisateur du canton de Brantôme[37] qui prend le nom de canton de Brantôme en Périgord en 2020, et dépend de la 3e circonscription législative[38].
Intercommunalité
À sa création en 2016, Brantôme en Périgord fait partie de la communauté de communes Dronne et Belle[37].
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
En janvier 2016, le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des deux anciennes communes (dix-neuf pour Brantôme et sept pour Saint-Julien-de-Bourdeilles, soit un total de vingt-six)[33]. Le maire de la nouvelle commune est élu début 2016. Les maires des deux anciennes communes deviennent maires délégués.
En janvier 2019, avec l'arrivée de six nouvelles communes, le conseil municipal est composé de 54 conseillers[34] répartis de la façon suivante :
- 25 pour Brantôme en Périgord (commune de 2016),
- 7 pour Valeuil,
- 5 pour Eyvirat et pour La Gonterie-Boulouneix,
- 4 pour Cantillac, Saint-Crépin-de-Richemont et Sencenac-Puy-de-Fourches.
La population de la commune étant comprise entre 3 500 et 4 999 habitants au recensement de 2017, vingt-sept conseillers municipaux auraient dû être élus en 2020[39]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers élus est celui de la strate supérieure (théoriquement vingt-neuf)[40], mais qui ne peut être inférieur au tiers de l'addition des conseillers municipaux élus lors du précédent renouvellement général des conseils municipaux, conformément à l'article L. 2121-2, dans chaque commune regroupée avant la création de la commune nouvelle, arrondi à l'entier supérieur et augmenté d'une unité en cas d'effectif pair[41], ce qui se traduit par 31 conseillers municipaux[42] (détail : 19 conseillers pour 1 commune + 11 conseillers pour 6 communes + 7 conseillers pour 1 commune = 92, divisé par 3 = 30,66, arrondi à l'unité supérieure = 31).
Communes fondatrices
Fondée au à partir des deux communes de Brantôme et Saint-Julien-de-Bourdeilles, Brantôme en Périgord s'élargit au par l'adjonction de six autres communes.
Nom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
---|---|---|---|---|---|
Brantôme (siège) |
24064 | CC Dronne et Belle | 34,65 | 2 156 (2015) | 62
|
Saint-Julien-de-Bourdeilles | 24430 | CC Dronne et Belle | 5,95 | 85 (2015) | 14 |
Cantillac | 24079 | CC Dronne et Belle | 8,12 | 189 (2016) | 23 |
Eyvirat | 24170 | CC Dronne et Belle | 17,95 | 292 (2016) | 16 |
La Gonterie-Boulouneix | 24198 | CC Dronne et Belle | 11,79 | 249 (2016) | 21 |
Saint-Crépin-de-Richemont | 24391 | CC Dronne et Belle | 25,58 | 222 (2016) | 8,7 |
Sencenac-Puy-de-Fourches | 24530 | CC Dronne et Belle | 10,79 | 234 (2016) | 22 |
Valeuil | 24561 | CC Dronne et Belle | 18,50 | 352 (2016) | 19 |
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Brantôme en Périgord relève[46] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.
En 2021, la commune comptait 3 721 habitants[Note 7].
L'importante augmentation de population constatée entre 2016 et 2017 tient au fait que la première année, seules les anciennes communes de Brantôme et Saint-Julien-de-Bourdeilles sont concernées, alors qu'ensuite le recensement englobe les six autres anciennes communes intégrées en 2019.
Économie
Emploi
En 2018[48], sur le territoire correspondant à Brantôme en Périgord dans sa configuration de 2019, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentaient 1 560 personnes, soit 42,3 % de la population municipale. Il y avait 173 chômeurs, soit un taux de chômage de cette population active de 11,1 %.
Établissements
Au , sur ce même territoire, il y avait 525 établissements[49], dont 317 au niveau des commerces, transports ou services, 73 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 60 dans l'industrie, 46 dans la construction, et 29 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[50].
Entreprises
Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Euroflash impression » (fabrication de cartonnages) située à Brantôme en Périgord se classe en 48e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 4 347 k€[51].
Installée à Brantôme depuis 1978, l'entreprise « Font Vendôme » fabrique des fourgons aménagés et emploie 270 personnes début 2021, dont une soixantaine d'intérimaires. En 2020, 43 % de sa production a été exportée[52].
Tourisme
À compter du et pour une durée de cinq ans, Brantôme en Périgord est déclarée commune touristique, en même temps que cinq autres communes de la communauté de communes Dronne et Belle (Bourdeilles, La Chapelle-Faucher, Mareuil, Saint-Crépin-de-Richemont et Villars)[53].
Culture locale et patrimoine
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des communes nouvelles créées en 2016
- Liste des communes nouvelles créées en 2019
- Brantôme (Dordogne)
- Saint-Julien-de-Bourdeilles
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La ZNIEFF de type I du Boulou aval impacte le territoire de Léguillac-de-Cercles sur environ quatre hectares, alors que la ZNIEFF de type II l'impacte sur environ une dizaine d'hectares supplémentaires sur le coteau, au sud et à l'est du lieu-dit les Genièvres.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « Commune de Brantôme en Périgord (24064) », sur le Code officiel géographique de l'Insee (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Brantôme en Périgord et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Brantôme en Périgord et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- FR8000035 - Périgord-Limousin, INPN, MNHN, consulté le .
- [PDF] « Landes des Trois Pierres », INPN, consulté le 17 février 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720012866, INPN, consulté le 17 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] « Zone tourbeuse du Bois d'Enfer », INPN, consulté le 26 février 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720020052, INPN, consulté le 26 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont, INPN, consulté le 11 février 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720020050, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval, INPN, consulté le 15 mars 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720020047, INPN, consulté le 15 mars 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- [PDF] Vallée et coteaux du Boulou, INPN, consulté le 15 mars 2021.
- Carte de la ZNIEFF 720020051, INPN, consulté le 15 mars 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- [PDF] Rivière la Dronne - Brantôme et Valeuil – Plan de prévention du risque inondation, p. 2 et 18, DREAL Aquitaine, consulté le 13 avril 2019.
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- [PDF] La loi « Communes Nouvelles » expliquée aux élus Qu'est-ce qui change ?, août 2019, p. 3.
- Article L. 2113-8 du code général des collectivités territoriales
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
- Claire Lussac-François, « Monique Ratinaud est élue maire », Sud Ouest édition Périgueux, 11 janvier 2016, p. 19.
- Composition du conseil municipal, Brantôme en Périgord, consulté le 8 juin 2020.
- Claire Lussac-François, « La commune nouvelle a élu son maire et ses adjoints », Sud Ouest édition Périgueux, 16 janvier 2019, p. 21.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Dossier complet - Commune de Brantôme en Périgord (24064) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 11 janvier 2022.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Brantôme en Périgord (24064) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 octobre 2019.
- « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
- Grégoire Cherubini, « Font Vendôme file sur la route du succès », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 12.
- Préfecture de la Dordogne, « Arrêté no 2016-0159 du prononçant dénomination commune touristique 6 communes membres CC Dronne Belle », Recueil des actes administratifs de la Dordogne normal no 3, août 2016, p. 272-274.