Aigurande
Aigurande | |||||
L'église Notre-Dame en 2011. | |||||
Blason |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre | ||||
Arrondissement | La Châtre | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Marche Berrichonne (siège) |
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Maire Mandat |
Virginie Fontaine 2020-2026 |
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Code postal | 36140 | ||||
Code commune | 36001 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Aigurandais | ||||
Population municipale |
1 329 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 48 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 26′ 05″ nord, 1° 49′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 284 m Max. 442 m |
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Superficie | 27,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Neuvy-Saint-Sépulchre | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | aigurande.fr | ||||
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AigurandeÉcouter, parfois appelée Aigurande-sur-Bouzanne, est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Aigurande est située dans le sud[1] du département, à la limite avec le département de la Creuse.
Elle est située dans la région naturelle du Boischaut Sud.
Les communes limitrophes[1] sont : Lourdoueix-Saint-Pierre (3 km), Méasnes (4 km), La Forêt-du-Temple (6 km), Crozon-sur-Vauvre (7 km), La Buxerette (7 km) et Montchevrier (8 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Neuvy-Saint-Sépulchre (18 km), La Châtre (21 km), Châteauroux (43 km), Issoudun (58 km) et Le Blanc (62 km).
Aigurande est une commune rurale non polarisée, qui ne fait donc partie d'aucune aire urbaine, ni d'aucun espace urbain[2].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : les Chenillères, Boucamoine et le Bouchard[3].
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[4].
La commune se trouve sur le plateau d'Aigurande, un plateau cristallin du Massif Central[5],[6] dominant le Boischaut Sud, et plus exactement sur une crête. La surface du plateau daterait du Paléogène[7] et est faiblement disloquée avec un champ de failles Nord-Sud[6].
Quant à la crête, culminant vers 400 à 410 m d'altitude, elle serait un monadnock au-dessus du plateau dont les derniers remaniements se seraient produits au Miocène[6].
Aigurande se trouve sur un îlot de granulite qui fait partie d'un ensemble de plissements est-nord-est/ouest-sud-ouest[8]. Des dépôts riches en fer se trouvent également dans l'ouest de la région[6].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est arrosé par la rivière Vauvre[3]. Il possède aussi les sources de la rivière Bouzanne[3].
Les sections Nord-Sud du réseau hydrographique, très encaissé, suivent la pente générale du plateau, tandis que les sections Est-Ouest suivent celle des blocs (en)[6].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 959 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Bonnat à 13 km à vol d'oiseau[11], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 887,3 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Voies routières
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 19, 36C, 73, 73A, 951B et 990[15].
Transports
[modifier | modifier le code]La ligne de La Châtre à Guéret passait par le territoire communal, une gare desservait la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares d'Éguzon[15] (28 km), Saint-Sébastien[15] (31 km) et Argenton-sur-Creuse[15] (33 km).
Aigurande est desservie par les lignes H et I du Réseau de mobilité interurbaine[16] et par les lignes 10, 12 et 13 du réseau TransCreuse[17].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[15], à 56 km.
Réseau électrique
[modifier | modifier le code]La commune possède un poste source[18] sur son territoire qui est situé au lieu-dit le Gachet.
-
Le poste source en 2020.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Aigurande est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19]. Elle est située hors unité urbaine[20] et hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,1 %), zones agricoles hétérogènes (30 %), terres arables (23 %), zones urbanisées (6,2 %), forêts (4,6 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[24] de la commune :
Date du relevé | 2013 | 2015 |
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Nombre total de logements | 1 028 | 1 054 |
Résidences principales | 75,3 % | 72,1 % |
Résidences secondaires | 10,8 % | 8,6 % |
Logements vacants | 13,9 % | 19,3 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 68,1 % | 71,2 % |
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune d'Aigurande est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 20,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 940 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 653 sont en aléa moyen ou fort, soit 69 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Aigurande est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom d'Aigurande procède du toponyme gaulois *egoranda (ou *equoranda[31],[32]) dont l'évolution la plus fréquente en France est Ingrandes.
Egoranda devait fondamentalement signifier « limite » et correspondait souvent à la frontière entre deux peuples gaulois.
Ses habitants sont appelés les Aigurandais[33].
Histoire
[modifier | modifier le code]À l'époque gauloise, Aigurande se trouvait à la frontière entre le territoire des Lémovices et celui des Bituriges Cubes[34],[35], ultérieurement limite entre les anciens diocèses de Limoges et de Bourges, puis entre le Limousin et le Berry, enfin entre les départements de la Creuse et de l'Indre.
Anne-Marie-Louise d'Orléans, la Grande-Mademoiselle, par héritage des Bourbon-Montpensier, fut Dame d'A(i)gurande. Cela explique les armes municipales, qui sont armes de Bourbon.
La seigneurie d'Aigurande est héritée par « Monsieur », frère de Louis XIV de France. Elle est vendue avec les seigneuries de Cluis-Dessous et de Sainte-Sévère en 1697 à Nicolas Léonor de Flexelles, marquis de Brégy, ambassadeur en Pologne et en Suède[36],[37].
La commune a accueilli plusieurs fois des étapes de courses de cyclisme. Le , la commune a accueilli le départ de la 6e étape du Tour de France 2008 de cyclisme[38]. Le , la commune a accueilli le départ de la 8e étape du Tour de France 2011 de cyclisme[39]. Enfin, lors de la 10e étape du Tour de France 2009, la commune a été traversée par les coureurs[40].
À la suite du redécoupage cantonal de 2014[41], la commune n'est plus chef-lieu de canton.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]La commune dépend de l'arrondissement de La Châtre, du canton de Neuvy-Saint-Sépulchre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes de la Marche Berrichonne[20].
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Instances judiciaires et administratives
[modifier | modifier le code]La commune dispose des services suivants :
- un Trésor public[47] ;
- un bureau de poste[48] ;
- un bureau de tourisme[49] ;
- une gendarmerie[50] ;
- un centre de secours ;
- un centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil départemental de l'Indre[51].
-
La saleuse du centre d'entretien et d'exploitation de la route en 2019.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].
En 2022, la commune comptait 1 329 habitants[Note 1], en évolution de −7,39 % par rapport à 2016 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Aigurande dispose tout au long de l'année[58] le vendredi matin d'un marché primeur fermier et deux fois par mois d'une foire.
À la Pentecôte, il y a une fête foraine, un défilé de chars illuminés (dimanche), une grande foire (lundi) et le pèlerinage de Notre-Dame de la Bouzanne.
En août, le premier weekend, il y a la fête du vieil Aigurande et le dernier dimanche de ce mois la fête de l'Écrevisse.
Équipement culturel
[modifier | modifier le code]La commune dispose d'une médiathèque[59].
Santé
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Cultes
[modifier | modifier le code]Culte catholique
La commune d'Aigurande dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné du Boischaut Sud[60] et de la paroisse d'Aigurande. Le lieu de culte est l'église Notre-Dame.
Économie
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d’Aigurande[réf. nécessaire].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]La commune ne compte qu'un monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques[61] et huit objets répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel[62],[63]. Il existe aussi des lieux touristiques non classés tes que le monument au morts sur la grand-place.
Dolmen du Grand Pontet ou du Champ Liame
[modifier | modifier le code]Le dolmen est situé à l'ouest-sud-ouest du hameau du Grand Pontet, à environ 5 km au nord du centre-bourg du village. Il date probablement du Néolithique[64].
Église Notre-Dame
[modifier | modifier le code]L'église Notre-Dame (XIe et XIVe siècles) est un large édifice avec un clocher-porche en pierre de taille, daté du XVIe siècle ; dôme octogonal surmonté d’un clocheton. Nef sans transept de six travées, voutée d’ogives, datée du XVe siècle. Chœur avec chevet plat du XIVe siècle, avec fenêtres de style flamboyant. Maitre-autel en bois sculpté et doré de style régence. Deux chapelles latérales du XVIe siècle. Vestiges de fortifications[65].
Autres monuments
[modifier | modifier le code]- Château de Planet (XIXe siècle)
- Chapelle Notre-Dame de La Bouzanne (XVIIIe siècle)
- Vestiges du château féodal
- Moulin de Planet
- Monument et sanctuaire de la Bouzanne
- Lavoir
- Monument aux morts
- Croix de bois
-
Le sanctuaire de la source de la Bouzanne en 2011.
-
La croix de bois en 2008.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Anne-Marie-Louise d'Orléans
- Philippe Barbarin[66]
- Eugène Charasson (1874-1939) : peintre, né et mort à Aigurande.
- Jean-Marien Messant (1775-1854) : chirurgien et vaccinateur[67]
Tournage
[modifier | modifier le code]La campagne aigurandaise a servi en 2000 de lieu de tournage pour Balafola, un court-métrage de Mohamed Camara[68].
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | D'azur semé de fleurs de lys d'or, à la cotice cousue de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Logotype de la commune d'Aigurande : |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- Aigurande sur le site de l'Institut géographique national
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Indre »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
- Site de l'Insee : Aire urbaine de Châteauroux et Bourges, consulté le 26 août 2012.
- « Aigurande » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
- « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
- (en) Jackie Despriée, Robert Gageonnet, Pierre Voinchet, Jean-Jacques Bahain, Christophe Falguères, Jean Duvialard et François Varache, « Pleistocene fluvial systems of the Creuse river (Middle Loire Basin - Centre Region, France) », Quaternaire, Association Française pour l’Étude du Quaternaire/CNRS, vol. 15, nos 1-2 « Fluvial Archives Group. Clermont-Ferrand 2002 », , p. 78-86 (DOI 10.3406/quate.2004.1756, lire en ligne).
- Gérard Moreau, « Le Boischaut. Étude morphologique régionale », Bulletin de l'Association de géographes français, vol. 30, no 231, , p. 19–30 (DOI 10.3406/bagf.1953.7402, lire en ligne, consulté le ).
- La source indique l'ancien nom du Paélocène, l'Éocène.
- Jean Dautry, « Structure et relief des plateaux anciens à l'Ouest du fossé du Cher », Bulletin de l'Association de géographes français, vol. 27, nos 212-213, , p. 157–163 (DOI 10.3406/bagf.1950.7323, lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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- Décédé avant la fin de son mandat.
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
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- Gérard Coulon, Guide des dolmens et menhirs de l'Indre, Châteauroux, La Bouinotte, (ISBN 9782915729313, OCLC 784306851, lire en ligne), p. 50-52.
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