Montgivray

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Montgivray
Montgivray
La mairie en 2008.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement La Châtre
Intercommunalité Communauté de communes de La Châtre et Sainte-Sévère
Maire
Mandat
Michel Blin
2020-2026
Code postal 36400
Code commune 36127
Démographie
Gentilé Montgivrains
Population
municipale
1 556 hab. (2021 en diminution de 4,77 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 15″ nord, 1° 59′ 00″ est
Altitude Min. 187 m
Max. 253 m
Superficie 25,48 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Châtre
(banlieue)
Aire d'attraction La Châtre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neuvy-Saint-Sépulchre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web montgivray.fr

MontgivrayÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le sud-est[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : La Châtre (2 km), Nohant-Vic (3 km), Lourouer-Saint-Laurent (3 km), Lacs (4 km), Le Magny (4 km), Sarzay (6 km) et Chassignolles (8 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : La Châtre (2 km), Châteauroux (32 km), Issoudun (38 km) et Le Blanc (70 km).

Carte
Localisation de la commune de Montgivray

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : l'Avocat, Champeaux, Chavigner, la Fremenelle, la Justice, Lalœuf, les Maisons Brûlées, Preugnarnault, les Ribattes, Pouzelas, Urmont, Vielleville[2],[3].

Géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[4].

Le sous-sol est pour l'essentiel composé de marnes schisteuses. Le territoire communal est arrosé par les rivières Indre[2] et Couarde[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-christophe », sur la commune de Saint-Christophe-en-Boucherie à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 41A, 49, 49A, 72, 73, 940 et 943[11].

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[11], à 33 km.

Montgivray est desservie par la ligne F du Réseau de mobilité interurbaine[12].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[11], à 37 km.

Le territoire communal est traversé par : le sentier de grande randonnée 46[2], le sentier de grande randonnée 654[2] et par le sentier de grande randonnée de pays : Sur les pas des maîtres sonneurs[2].

La commune possède un poste source[13] sur son territoire qui est situé au lieu-dit les Maisons Brulées.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montgivray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Châtre, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[17] et 7 447 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Châtre dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (39,7 %), prairies (37,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), zones urbanisées (5,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[23] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 922
Résidences principales 82 %
Résidences secondaires 7,5 %
Logements vacants 10,5 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 80,7 %

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montgivray est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Couarde et l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1985, 1999 et 2020[26],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montgivray.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 954 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 760 sont en aléa moyen ou fort, soit 80 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[29].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 2002, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

On relève les formes suivantes du nom de Montgivray : Maugivrayo en 1273, Maugivray en 1289 et Montgivret[31] au XVIIIe siècle. Le « mont » de Montgivray ne désigne pas, ici, une hauteur mais est vraisemblablement une altération de « mau » (mauvais). Quant à « givray », il devrait s’agir d’un nom de personne gaulois Gabrius (du gaulois gaboro, chèvre), auquel s'est ajouté le suffixe iacus. L’étymologie désigne donc un lieu (ou une personne) de mauvaise réputation[32].

Ses habitants sont appelés les Montgivrains[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

La première mention connue du nom de Montgivray remonte à 1273.

Voici quelques noms des seigneurs locaux : Guyot de Ceris (1368), Guichard Rossin (1432), Jean Tripet (1457), François de Lignières (1473), Olivier Guérin (1500), Barthélémy de Guéret (1629), François Hernet (1735) et Perault (1789)[34].

Par ordonnance royale du [35], le territoire communal est amputé de onze hectares : « l’hospice et le cimetière de La Châtre, avec les maisons, jardins, terrains et prés adjacents… sont soustraits de la commune de Montgivray et réunis au territoire de La Châtre[36] ».

Le samedi [37], une station du réseau de Météo-France située sur la commune a relevé la valeur exceptionnelle de 42,3 °C. Détentrice du nouveau record absolu de chaleur dans le département de l'Indre, elle est surtout la valeur la plus élevée relevée en France lors de l'année 2012.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'arrondissement de La Châtre, du canton de Neuvy-Saint-Sépulchre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes de La Châtre et Sainte-Sévère[38].

Elle dispose d'une agence postale communale[39].

Montgivray est jumelée depuis 1998, avec la commune de M'Bagne, en Mauritanie.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1941 ? André Demay   Ingénieur agronome, minotier
Nommé membre de la Commission administrative départementale en 1941[40]
juin 1995[41],[42] mars 2014 Jean-Claude Coutier PS Retraité des travaux publics de l’État
mars 2014[43] En cours Michel Blin DVD Conseiller départemental de l'Indre depuis novembre 2016

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

En 2021, la commune comptait 1 556 habitants[Note 3], en diminution de 4,77 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8506558999489941 0101 0651 0661 165
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1201 1701 2201 2941 3351 3881 5211 5231 574
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4141 5201 5061 3651 3441 3481 3901 3541 319
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3361 4791 4651 5171 6611 6811 6721 6961 613
2021 - - - - - - - -
1 556--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Chaque année a lieu la Fête des moissons.

Chaque dernier week-end de juillet, l'ANACR organise une cérémonie d'hommage à trois résistants de la municipalité morts pour la France : Jean Pacton, Pierre Bordas et Julie Lorient[50],[51].

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans l'unité urbaine de La Châtre, dans l’aire urbaine de La Châtre, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de La Châtre[38].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[52].

Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal Solange Sand qui dispose de 70 emplacements[53].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château néo-gothique : l'origine du château remonte jusqu'à 1130. Trente-deux propriétaires se sont succédé de 1227 à 1899. En 1956, il devient la mairie de Montgivray. Comme le dit Thalmann[54], c'est un château « sans histoires, sans tumulte, sans complot ». Après la Révolution, le château appartient, en 1837, à Hyppolite Chatiron, fils de Catherine Chatiron et Maurice Dupin, donc demi-frère de George Sand qui est d'ailleurs élevé avec la future George Sand à Nohant, comme elle l'écrit dans l'Histoire de ma vie. Après son décès en 1848, sa femme Émilie y vit jusqu'en 1870. Le château est vendu à Solange Clésinger, fille de George Sand, en 1875. L'architecte Alfred Dauvergne procède à une transformation importante de l'habitation. Le château est vendu en 1899. La demeure est à l'abandon jusqu'au rachat par la commune en 1956. La mairie en occupe une partie. Enfin en 1980, la commune acquiert des héritiers Aucante aussi la grange et les étables[55].
  • Église Saint-Saturnin : le premier bâtiment de l'église, dédiée à saint Saturnin, remonte au Xe siècle. La construction de l'église actuelle débute dans la deuxième moitié du XIe siècle. L'arcade est du XIe siècle ; l'abside et les chapiteaux sont du XIIe siècle ; les deux premières travées de la nef sont du XIIe siècle. L'abside, en cul-de-four, est percée de trois fenêtres. L'église est inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel[56], notamment pour une console et une statue de la Vierge à l'Enfant. L'église a été remaniée de nombreuses fois, avec adjonction de chapelles seigneuriales. L'abbé Lecomte, peintre amateur, a exécuté des peintures murales au début du XXe siècle[57].
  • Monument aux morts : il est situé juste à côté du château, sur la place devant le chevet de l'église.
  • Vieux pont : la route de La Châtre à Montgivray traverse l'Indre juste à l'entrée du bourg. Les restes du vieux pont sont visibles à côté de la route. Il est qualifié de « pont en ruine », sur l'atlas de Trudaine pour la généralité de Bourges, qui date de la deuxième moitié du XVIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Les coordonnées de cet article :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Hugues-Emmanuel Thalmann, La Châtre et ses environs : Un autre regard, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 160 p. (ISBN 978-2-84910-699-0).
  • Abbé Paul Émile Pascaud, Renseignements statistiques et administratifs sur la paroisse de Montgivray, Revue du Centre, , 160 p. (lire en ligne), p. 49-65, 128-142, 187-201, 241-256, 289-301, 321-329, 386-391, 504-512, 519-539, et tome XI (1889), p. 1-11.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Date de naissance : 23 juillet 1833 - État civil d'Argenton-sur-Creuse - N : 1833-1842 - Cote : 3 E 006/020-21.
  5. Date de décès : 16 novembre 1885 - État civil de Montgivray - NMD : 1884-1892 - Cote : 3 E 127/010.
  6. Eugène Hubert, dans la Revue du Centre de 1888, donne, à tort, pour année de décès 1876.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Indre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c d e et f « Montgivray » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. Eugène Hubert, Dictionnaire historique de l’Indre, Éditions Picard, réédition 1985.
  4. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Montgivray et Saint-Christophe-en-Boucherie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St-christophe », sur la commune de Saint-Christophe-en-Boucherie - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « St-christophe », sur la commune de Saint-Christophe-en-Boucherie - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. a b et c « Montgivray »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  12. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  13. « Un grand défi technique pour ERDF », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ .
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de La Châtre », sur insee.fr (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. Site de l'Insee : Montgivray, consulté le 6 septembre 2016.
  24. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Montgivray », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  27. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  31. Atlas de Trudaine.
  32. Stéphane Gendron, Les Noms de lieux de l’Indre, Académie du Centre et CREDI Éditions, .
  33. « Nom des habitants des communes françaises, Montgivray », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  34. Pascaud 1888.
  35. A.N.-F 2 II Indre 2, plan annexé à la minute.
  36. B. Audebert et J. Tournaire, La Châtre et la Vallée Noire, Limoges, Éditions Souny, .
  37. Site de Ouest-France : 42,3 degrés en Indre : Montgivray porte mal son nom !, consulté le 19 août 2012.
  38. a et b « Commune de Montgivray (36127) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  39. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  40. JORF : Lois et décrets du 18 décembre 1942 sur Gallica.
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  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  48. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  49. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  50. « Hommage aux résistants de la commune », La Nouvelle République, 31 juillet 2020.
  51. « La famille d’un résistant témoigne », La Nouvelle République, 5 août 2019.
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  53. « Camping municipal Solange Sand », sur le site de Berry Province (consulté le ).
  54. Thalmann 2007, p. 98-101.
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  56. Notice no IA36000755, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. Site de la commune de Montgivray : Église Saint-Saturnin, consulté le 24 mai 2013.
  58. Thalmann 2007, p. 109.
  59. La Revue du Centre est alors une revue mensuelle. La publication débute dans le no 2 (15 février 1888) du tome X, page 49, et s'échelonne jusqu'au no 1 du tome XI, 1889 (exemplaire consultable aux fonds patrimoniaux de la bibliothèque de La Châtre). Le texte s'intitule Montgivray. Le titre initialement prévu par l'auteur est : Renseignements statistiques et administratifs sur la paroisse de Montgivray.