Saint-Simon (Charente)
Saint-Simon | |||||
La mairie est aussi la maison des gabarriers. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Cognac | ||||
Maire Mandat |
Jean-Jacques Delage 2020-2026 |
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Code postal | 16120 | ||||
Code commune | 16352 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Simoniens ou Saint-Simonais | ||||
Population municipale |
226 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 39′ 02″ nord, 0° 04′ 29″ ouest | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 53 m |
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Superficie | 3,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Champagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Saint-Simon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Saint-Simoniens et les Saint-Simoniennes, ou les Saint-Simonais et les Saint-Simonaises[1].
C'était la pépinière où se recrutaient la plupart des matelots du fleuve Charente. On y rencontrait des charpentiers constructeurs de gabares.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et accès
[modifier | modifier le code]Saint-Simon est située à 6 km au nord et en aval de Châteauneuf-sur-Charente et 18 km à l'ouest d'Angoulême, sur la rive droite de la Charente.
À 1,5 km de Vibrac, Saint-Simon qui s'appelait autrefois Saint-Sigismond, échelonne ses maisons le long du fleuve. Son bourg est aussi à 8 km à l'est et en amont de Jarnac et 20 km à l'est de Cognac[2].
La route principale de la commune est la D 22, route de Châteauneuf à Bassac et Jarnac par la rive droite. La D 155 franchit le fleuve à l'ouest de la commune, en direction de Saint-Amant-de-Graves et Saint-Même-les-Carrières[3].
La gare la plus proche est celle de Châteauneuf, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Cognac, Saintes et Royan.
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Un gros hameau de la commune, Juac, est situé également sur la rive droite de la Charente, à l'ouest du bourg, en direction de Bassac.
L'Épineuil, est un petit hameau touchant Juac, près de la Guirlande.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Le sol de la commune est calcaire et appartient au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique supérieur, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse.
Au sud de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la zone inondable est couverte par des alluvions du Quaternaire. Des alluvions moins récentes occupent une basse terrasse alluviale entre le bourg et Juac[4],[5],[6].
Le relief est celui d'une plaine légèrement inclinée vers le sud-ouest et la vallée de la Charente qui occupe le sud de la commune. Le point culminant est à une altitude de 53 m, situé sur la limite nord-est au Couret. Le point le plus bas est à 15 m, situé le long du fleuve. Le bourg, situé près de la Charente, est à 22 m d'altitude[3].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charente, la Guirlande, canal de terre-neuve et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La commune est située sur la rive droite de la Charente dans sa portion entre Châteauneuf et Jarnac, qui fait la limite sud.
La Guirlande, qui vient de Vaux-Rouillac, limite la commune à l'ouest[3].
Gestion des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
[modifier | modifier le code]Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Simon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,2 %), terres arables (34,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,3 %), forêts (3,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Simon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) Saintes-Cognac-Angoulême, regroupant 46 communes concernées par un risque de débordement du fleuve Charente (34 en Charente et 12 en Charente-Maritime), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[18]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de l'hiver 1779, de 1842, de 1859, du du , du , de mars-avril 1962, du et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1993 et 1999[20],[16].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 170 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 170 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom est attesté sous la forme ancienne, en latin, Sanctus Sigismundus au XIVe siècle[23].
Sigismond, roi des Burgondes, est mort en 524[24]. Simon peut aussi représenter un des 12 apôtres[25],[Note 1].
Pendant la Révolution, Saint-Simon s'est appelé Simon-Charente[26].
Histoire
[modifier | modifier le code]L'Antiquité a laissé quelques vestiges. À Juac, un vieux gué faisait peut-être partie d'un chemin antique nord-sud. Près de ce gué, une épée de la fin du second âge du fer (rare exemple d'épée de cette époque) a été trouvée. Sur les rives de la Guirlande, des monnaies de Dioclétien ont été mises au jour[27].
Le logis seigneurial de Saint-Simon était à l'entrée du bourg, venant de Vibrac, à l'endroit appelé Hautemoure. Cette seigneurie, après avoir appartenu pendant le XVIe siècle et le commencement du XVIIe siècle à la famille de Montalembert, fut cédée, le , par Jean et Guy de Montalembert à un échevin de la ville d'Angoulême, Jean Thomas. Les héritiers de ce dernier vendirent à Jean-Louis Le Musnier, sieur de Moulidars, le fief de Saint-Simon, qui fut acquis en 1707, par Pierre Navarre, sieur du Cluzeau, conseiller à la Maison de ville d'Angoulême. La famille Navarre posséda Hautemoure pendant la plus grande partie du XVIIe siècle, et le fief fut aboli à la Révolution. Aujourd'hui le domaine est morcelé et appartient à divers propriétaires.
Entre le bourg et le village de Juac, s'élevait le logis de la Rocque, ancienne métairie noble du fief d'Hautemoure. Il fut rasé au début du XIXe siècle et remplacé par une maison bourgeoise et de vastes magasins. Ce logis acquis au XVIe siècle par François Le Musnier, sieur de Lartige et de Rouffignac, fut cédé à François Aigron, sieur de Combizan[28], qui fut lieutenant-général à Cognac et vice-sénéchal d'Angoumois, Aunis et Saintonge. Son fils le vendit à Pierre Rambaud, sieur de Mareuil[Note 2], conseiller du roi.
Cette famille Rambaud, très anciennement établie à Châteauneuf, s'était enrichie par le négoce. Elle conserva la Rocque jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, époque à laquelle, par le mariage de Marie Mauricette Rambaud avec Philippe Marett, de Cognac, la Rocque devint la possession de ce dernier, qui fit abattre le logis.
La famille Rambaud de La Rocque a été représentée par Marcel Rambaud de La Rocque, conseiller général du canton de Jarnac au début du XXe siècle, dont le père a été longtemps le président de l'assemblée départementale.
Les plus anciens registres paroissiaux remontent seulement à 1705[29].
L'ancien port de gabares était situé sur la Charente.
Administration
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Saint-Simon est jumelée avec la commune française d'Eguelshardt, en Moselle.
Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2021, la commune comptait 226 habitants[Note 3], en évolution de +13 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 97 hommes pour 112 femmes, soit un taux de 53,59 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Équipements, services et vie locale
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Patrimoine religieux
[modifier | modifier le code]- Église paroissiale Saint-Sigismon : cette petite église, du style roman de transition le plus pur, paraît, d'après son architecture, appartenir à deux campagnes différentes, mais presque de la même époque: la nef, de la fin du XIIe siècle ; la coupole et le chevet, du commencement du XIIIe siècle. Autrefois cette coupole était surmontée d'une tour carrée, dont il ne reste plus qu'un côté, aménagé en campanile à deux ouvertures, dont l'une renferme la cloche. Les quatre groupes de colonnes qui portent la coupole appartiennent à un édifice plus ancien[29],[38]. Elle est classée monument historique depuis 1974[39].
- Le portail du cimetière (1855)[40] et quatre tombeaux du XIXe siècle sont inscrits à l'inventaire topographique des monuments historiques.
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La façade de l'église.
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Le portail du cimetière.
Patrimoine civil
[modifier | modifier le code]- Musée des gabariers de Saint-Simon, impasse de la Forge, ainsi que diverses traces de l'existence des gabariers, disséminées au long d'un parcours de découverte à travers le village.
- Les quais de la Charente.
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Le Musée des gabariers.
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Porte et enseigne de calfat (XVIIe siècle).
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Gabarre et quais depuis le pont de Juac.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Blasonnement :
D’argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules, tenant une torche d’or enflammée de gueules.
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Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Selon A.Dauzat, les 12 communes françaises portant le nom de Saint-Simon appartiennent à l'un ou l'autre de ces deux types.
- D'après Jean-Marie Ouvrard, « Pierre Rambaud, sieur de Mareuil - Blasons de la Charente », (consulté le ), Pierre Rambaud a pris le titre de "sieur de Mareuil" d'après un fief nommé les mas de Mareuil qu'il possédait sur les paroisses de Douzat et Moulidars, acquis des seigneurs de Vibrac qui étaient les de Mareuil, qui possédaient aussi au début du XVe siècle Villebois, Angeac, Bourzac et Mareuil (Dordogne).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Simon » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Saint-Simon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Simon », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « cartographie des risques d'inondations du TRI Saintes-Cognac-Angoulême », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Simon », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 284,387
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 629.
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 111
- Jean-Marie Ouvrard, « Aigron - Blasons de la Charente », (consulté le ).
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 352
- frère du président François Mitterrand
- belle-sœur du président François Mitterrand
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Simon (16352) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Église Saint-Sigismond (notice) », notice no IA00041868, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Église Saint-Sigismond », notice no PA00104511, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cimetière », notice no IA00041853, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Village gabarrier de Saint-Simon
- « Saint-Simon », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Saint-Simon », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
- Catillus Carol, « Saint-Simon », (consulté le )