Huy

Huy | |
La grand-place vue du fort | |
![]() Héraldique |
![]() Drapeau |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | ![]() |
Communauté | ![]() |
Province | ![]() |
Arrondissement | Huy |
Bourgmestre | Christophe Collignon(PS) |
Majorité | PS- MR- Idhuy |
Sièges MR Ecolo PS PTB DéFIpourHUY idHuy |
27 3 7 12 1 2 2 |
Section | Code postal |
Huy Ben-Ahin Tihange |
4500 4500 4500 |
Code INS | 61031 |
Zone téléphonique | 085 |
Démographie | |
Gentilé | Hutois(e)[1] |
Population – Hommes – Femmes Densité |
21 293 () 48,57 % 51,43 % 446 hab./km2 |
Pyramide des âges – 0–17 ans – 18–64 ans – 65 ans et + |
() 20,03 % 62,42 % 17,54 % |
Étrangers | 5,40 % () |
Taux de chômage | 21,43 % (octobre 2013) |
Revenu annuel moyen | 12 830 €/hab. (2011) |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 31′ nord, 5° 14′ est |
Superficie – Surface agricole – Bois – Terrains bâtis – Divers |
47,74 km2 (2005) 36,81 % 34,26 % 26,38 % 2,55 % |
Localisation | |
![]() Situation de la ville dans l'arrondissement de Huy et la province de Liège | |
Liens | |
Site officiel | huy.be |
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Huy (en néerlandais Hoei, en wallon Hu) est une ville francophone de Belgique située en Région wallonne, chef-lieu d'arrondissement en province de Liège.
Huy est située sur la Meuse au confluent avec le Hoyoux à mi-chemin entre Namur et Liège.
Les habitants de Huy s'appellent les Hutois.
Sommaire
Sections de commune[modifier | modifier le code]
Ben-Ahin, Huy, Tihange et Neuville-sous-Huy qui avait été rattachée à Tihange quelques années plus tôt. Statte est un faubourg de la ville de Huy.
Situation et géographie de la commune[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune de Huy s'étend sur la rive droite et le versant sud de la Meuse qui fait office de limite communale à l'exception des quartiers urbains d'Entre-Deux-Portes, de Saint-Pierre, du Mont Falise et de Statte implantés sur la rive gauche.
La majorité de la commune fait partie du sillon Sambre-et-Meuse et de l'Ardenne condrusienne, sous-région boisée du Condroz. Huy se trouve au confluent du Hoyoux et de la Meuse. D'autres ruisseaux comme la Solières traversent la commune du sud vers le nord pour se jeter dans la Meuse.
L'habitat se concentre principalement dans la vallée de la Meuse mais il existe quelques noyaux d'habitations sur les hauteurs sud de la commune (Saint-Léonard, La Sarte à Ben, Les Longs Thiers, La Sarte) et nord (Mont Falise).
Démographie[modifier | modifier le code]
La commune comptait, au , 21 312 habitants, 10 327 hommes et 10 985 femmes [2], soit une densité de 446,42 hab./km2 pour une superficie de 47,74 km2.
Le graphique suivant reprend sa population résidente au 1er janvier de chaque année[3].

Note : les chiffres des années 1846, 1900 et 1947 tiennent compte des chiffres des anciennes communes fusionnées.
Histoire[modifier | modifier le code]
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Aidée par un climat économique favorable, dû à sa situation de ville-étape de batellerie, Huy multiplie les corps de métiers. Nombreux étaient les étainiers, tanneurs, foulons, chaudronniers, menuisiers... Le corps de métier le plus puissant fut celui des orfèvres. La métallurgie hutoise remonte dans le passé (travail de l'étain depuis le VIIe siècle) et, favorisée par le Hoyoux, affluent de la Meuse, propice à l'établissement de roues hydrauliques, les forges et fourneaux connurent à Huy, dès le Moyen Âge, un âge d'or sans précédent. La technique du battage du cuivre, industrie florissante dans la cité hutoise, se répandit dans toute l'Europe dès le XIe siècle.
En 1066, l'évêque d'alors, Théoduin de Bavière, décide de reconstruire la collégiale Notre-Dame. Pour financer son projet, il demande aux Hutois la moitié de leurs biens meubles. En échange, il leur accorde la première charte de liberté d'Europe occidentale. Huy fut une des « Bonnes Villes » de la principauté de Liège de 985 à 1789.
La première croisade survient 30 ans plus tard (1096-1099) avec l'arrivée à Huy de Pierre l'Ermite[4], fondateur selon la légende de l'abbaye du Neufmoustier en 1101.
Au XIIe siècle se détache la personnalité d'Ivette de Huy (ou Juette) (1158-1228) : contrainte d'épouser à 13 ans l'homme que lui avait choisi son père alors qu'elle voulait se consacrer à Dieu, elle en eut trois enfants dont un mourut au berceau. Veuve à 18 ans, défiant l'autorité paternelle, elle préféra se retirer dans un minuscule réduit accolé à l'église de Huy et se consacrer au soin des lépreux avant de se cloîtrer dans la léproserie.
Au XVe siècle, le château est peu à peu transformé en véritable forteresse. Bâti sur une colline surplombant la Meuse, il fera la fierté des hutois et deviendra l'emblème de la ville. Huy est alors une ville bourgeoise de plaisir où se plaît à séjourner la Cour de Bourgogne. Malheureusement, du fait de sa position stratégique, Huy voit sa destinée se ternir et subit de nombreuses attaques. La forteresse est attaquée douze fois en trente ans. La cité connaît massacres, pillages et incendies.
En l'an 1717, la destruction du « Tchestia » (château en wallon) est décidée. La destinée hutoise va alors en être modifiée. Le château-citadelle sera démonté pierre par pierre, soustraites par les citadins. Huy connait alors enfin l'essor et les activités se multiplient : papeterie, orfèvrerie, métallurgie, etc.
Au XIXe siècle, l'industrialisation permit à plusieurs familles hutoises de connaître la fortune (citons Nestor Martin, les Delloye, les Godin)[4]. La Ville de Huy fut alors surnommée « La Ville aux Millionnaires »[5].
En 1818, la construction du nouveau fort débute. Il ne servira jamais de position d'attaque, mais nombreux sont les civils à y avoir souffert durant les guerres de 1914-1918 et 1939-1945.
Pendant la Première Guerre mondiale, l'armée allemande pris possession du Fort et y établit un camp de discipline pour ses propres troupes, réfractaires ou déserteurs.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, dès septembre 1940, le fort devint un camp de détention pour civils belges et étrangers et ensuite un bagne où séjournèrent plus de 7 000 opposants au régime de l'occupant. Le , les détenus qui n'avaient pas été envoyés vers les camps de concentration en Allemagne furent libérés. La Résistance occupa le fort et, le , le Ministère de la Justice y installa un centre d'internement pour inciviques et collaborateurs.
Depuis 2007, un nouvel espace détaille le parcours de vie des différentes catégories de détenus au Fort de Huy et présente des témoignages. En 2010, deux nouvelles salles seront inaugurées, l'une consacrée à Huy sous l'occupation et l'autre à la libération de la Ville dont on a fêté, en 2009, le 65e anniversaire.
De 1983 à 2009, Anne-Marie Lizin est bourgmestre de Huy. Sa gouvernance suscite de vives oppositions au cours des années 2000. Mise en minorité au sein de son parti, soupçonnée de malversations et en proie à des problèmes de santé, elle quitte ses fonctions en février 2009[6]. Micheline Toussaint lui succède en mars de la même année. Elle choisit de laisser la place à Alexis Housiaux le 12 juillet 2010. Début 2016, Christophe Collignon succède à Alexis Housiaux.
Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville de Huy est jumelée avec [7]:
Compiègne (France) depuis 1959
Vianden (Luxembourg) depuis 1964
Arona (Italie) depuis 1966
Natitingou (Bénin) depuis 1987
Vélingara (Sénégal) depuis 1993
Tienen (Belgique) depuis 1993
- Pactes d'amitié
Port-Bouët (Côte d'Ivoire) depuis 1984
Seosan (Corée du Sud) depuis 1984
Bury St Edmunds (Royaume-Uni) depuis 1995
Montagano (Italie) depuis 1996
Krujë (Albanie) depuis 1999
Taizhou (Chine) depuis 2002
Personnages célèbres[modifier | modifier le code]
- Jean de Coune, (1909-1997) magistrat et homme de lettres, « Huy, fille de Meuse », c'est à lui qu'on peut attribuer l'appellation.
- Pierre l'Ermite né à Amiens vers 1050, serait mort à Huy dans le couvent de Neufmoustier en 1115. .
- Arlette de Huy, la mère de Guillaume le Conquérant, elle a sa statue près de la grand place.
- Théoduin de Bavière, enterré à la collégiale Notre-Dame de Huy depuis 1066, qu'il fit construire.
- Renier de Huy, orfèvre mosan, auteur probable des fonts baptismaux de la collégiale Saint-Barthélemy de Liège est né à Huy au XIIe siècle.
- Godefroy de Huy, nommé aussi Godefroy de Claire, orfèvre mosan, né à Huy au XIIe siècle.
- Jean Colin-Maillard, guerrier Hutois ayant combattu le comte de Louvain au Xe siècle.
- Sainte Ivette de Huy (1157-1228), veuve, recluse et mystique.
- Denis Coppée (ca 1580 - ca 1630), marchand, dramaturge et poète ;
- Arnold de Ville, né le 15 mai 1653, mort en 1772 à Modave, est un bourgeois et entrepreneur liégeois.
- Patrick Sarsfield (irlandais:Pádraig Sáirséal), né vers 1660 à Lucan (Irlande), mort peu après la bataille de Neerwinden (29 juillet 1693) à Huy, est un militaire irlandais du parti jacobite.
- Jean-Joseph Merlin, né le à Huy, mort le à Londres, est un inventeur.
- Joseph Lebeau (1794-1865), homme politique à qui l'on doit l'élection de Léopold de Saxe-Cobourg-Gotha au trône de Belgique.
- Joseph Colmant, docteur en médecine (1903-1944), figure de la résistance.
- André Thirifays, né à Huy en 1903 et décédé en 1992, figure de la cinéphilie belge. Principal fondateur de la Cinémathèque belge.
- Le père Dominique Pire, né à Dinant le , mort à Louvain le , prix Nobel de la paix en 1958 résida au couvent de la Sarte à Huy.
- Maurice Tillieux, né à Huy en 1922, mort en 1978 : dessinateur et scénariste de bandes dessinées.
- André Malherbe, ancien champion de motocross.
- Eric Legnini, pianiste de jazz belge.
- Anne-Marie Lizin (1949-2015), femme politique et féministe.
- Marcel Dossogne (1944-), acteur.
- Jean-Marie Degèsves (1945-1999), réalisateur et acteur.
- Alain Coumont (1961-), cuisinier et restaurateur belge y est né.
- Clément Mathieu, né à Theux en 1940, pédologue, Citoyen d'honneur de la ville de Huy en 1986.
- Quentin Grolman, né à Tihange en 1994, Rapeur et Duc de Huy, vous pourrez le voir zoner en Merco
Bourgmestre :
- Adolphe Vrancken: 27/12/1919 - 11/02/1927[8]
- Paul Carré: 11/02/1927 - 11/11/1936[8]
- Pierre Jadoul: 1er échevin ff de bourgmestre - 11/11/1936 - 05/03/1937[8]
- Emile Vierset: 05/03/1937 - 21/01/1947[8]
- Jacques Grégoire: 21/01/1947 - 30/09/1963[8]
- Fernand Gustin: 1er échevin ff de bourgmestre - 01/10/1693 - 14/11/1963[8]
- Fernand Parmentier: 15/11/1693 - 31/12/1970[8]
- Eugène Lecoq: 01/01/1971 - 03/03/1979[9]
- Fernand Hubin: 1er échevin ff de bourgmestre - 03/03/1979 - 12/04/1979[8]
- Fernand Hubin: 12/04/1979 - 23/02/1983[10]
- Anne-Marie Lizin: 23/02/1983 - 23/03/2009[11]
- Micheline Toussaint: 23/03/2009 - 12/07/2010[12]
- Alexis Housiaux: 12/07/2010 - 19/01/2016[8]
- Christophe Collignon: 19/01/2016 - présent
Patrimoine[modifier | modifier le code]
Les quatre merveilles de Huy[modifier | modifier le code]
Des « quatre merveilles» de la ville de Huy, seules deux subsistent encore aujourd'hui :
- Li Bassinia, fontaine dont la partie la plus ancienne remonte au XVe siècle. Elle est située au centre de la Grand-Place (on peut y voir quatre personnages en bronze et l'aigle bicéphale autrichien) ;
- Li Rondia : la rosace, d'un diamètre de 9 mètres, de la Collégiale Notre-Dame récemment restaurée.
Les deux autres merveilles étaient :
- Li Tchestia (le château-fort des princes-évêques, détruit en 1717 à la suite du Traité de la Barrière, est remplacé de 1818 à 1823 par les Hollandais qui construisent l'actuel fort sur son emplacement) ;
- li Pontia : l'ancien pont, détruit par la guerre qui est remplacé aujourd'hui par le pont Baudouin.
À voir aussi[modifier | modifier le code]
Le musée communal[modifier | modifier le code]
Installé dans les bâtiments et le cloître de l'ancien couvent des Frères mineurs (XVIIe siècle), contient d'importantes collections illustrant l'histoire et le folklore local : intérieur régional orné d'une belle cheminée en grès de 1621, pièces archéologiques, estampes de la ville, céramiques fabriquées à Huy au XIXe siècle, étains, objets d'art religieux parmi lesquels on remarque le Christ du XIIIe siècle nommé « le beau Dieu de Huy ».
La maison Batta[modifier | modifier le code]
Située sur la rive gauche en face du fort de Huy, est un exemple du style renaissance mosan. Cet édifice est un ancien refuge des moines de l'abbaye du Val-Saint-Lambert[13].
Le bâtiment principal de l'ancienne abbaye Saint-Victor[modifier | modifier le code]
Abbaye fondée au XIIe siècle par des Bénédictines et vendue comme bien national en 1798. Le bâtiment date de 1724 et, parfaitement restauré, il abrite une école d'agriculture[13]. Il est précédé par un porche monumental de la même année[13].
Vestiges du Neufmoutier[modifier | modifier le code]
Il s'agit d'un prieuré fondé par Pierre l'Ermite, élevé au rang d'abbaye en 1208[13]. Il n'en reste presque aucune trace.
Plusieurs repères de crues[modifier | modifier le code]
Ils ont été apposés dans la ville. Ils indiquent soit les crues de la Meuse de 1926 ou 1880, soit la crue du Hoyoux du (ces trois crues étant reconnues par la ville de Huy comme importantes car ayant atteint le Bassinia). Quelques emplacements de repères de crue à Huy :
- sur la taverne le Vieux Huy ;
- sur la maison Batta ;
- de chaque côté d'une impasse rue l'Apleit ;
- sur la façade de l'église rue des Foulons ;
- au coins de la rue des Barreurs et rue des Sœurs Grises.
Les Septennales[modifier | modifier le code]
En 1656, une grave sécheresse met en péril les récoltes hutoises. Le 15 août, les habitants organisent alors une procession et descendent la Vierge de la Sarte avec une grande piété et la placent dans la Collégiale. Alors qu'on rapporte la statue dans sa chapelle sur les hauteurs de la ville, la sécheresse prend fin. Les autorités décident alors, en remerciement, de rééditer la procession l'année suivante et ensuite tous les sept ans. Les fêtes septennales sont nées. Les dernières se sont déroulées le [14].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1942, la fête septennale n'a pas eu lieu, mais après la libération de la ville le et la capitulation de l'Allemagne le , on a décidé de compenser cette annulation par une procession de reconnaissance à Notre-Dame de la Sarte le et une descente de la statue miraculeuse. La suivante fut organisée à sa date normale, c'est-à-dire en 1949.
Culture[modifier | modifier le code]
Le Centre culturel de l'Arrondissement de Huy[modifier | modifier le code]
Le Centre culturel de l'Arrondissement de Huy est un opérateur culturel important sur le territoire communal et sur l’arrondissement de Huy/Waremme. Il n'est ni un théâtre ni un centre dramatique. L’équipe du Centre culturel travaille sur Huy et sur quatorze communes affiliées. Ce qui veut dire une équipe avec des missions inscrites dans un décret (lois régionales).
Sports[modifier | modifier le code]
- Huy fut traversée à quatre reprises par les cyclistes du Tour de France: 1995, 2001, 2006 et 2015.
- C'est à Huy qu'arrive la classique cycliste la Flèche wallonne. Depuis plusieurs années, l'arrivée est jugée au sommet du Mur de Huy (chemin des Chapelles).
- En novembre, a lieu une épreuve automobile comptant pour le championnat de Belgique de rallye : le rallye du Condroz-Huy. Cette épreuve a fêté sa 40e édition en novembre 2013.
- En février, a lieu la traversée hivernale de la Meuse à la nage. En 2013, cette traversée en est à sa 46e édition.
- Depuis 2010 il y a également un triathlon a Huy, triathlon qui fait partie du championnat de Belgique
- Royal Football Club Huy
- Le Hesby Rugby Huy est le club de rugby à XV de Huy.
- Le Royal Hockey Club de Huy est le club de hockey sur gazon de Huy fondé en 1933.
- SL Huy, ancien club de handball
Films tournés à Huy[modifier | modifier le code]
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- 1985 : Hôtel particulier, de Thierry Michel, documentaire sur la prison de Huy.
- Un épisode de la série Maigret a été tourné à Huy.
- Plusieurs scènes (et une partie de l'action principale) du film A dix minutes de nulle part se déroulent à Tihange.
- La saison 1 de The Missing, série britannique tournée en 2013.
- Des scènes du film Raid dingue de Dany Boon sont tournée à la piscine de Huy.
La centrale nucléaire[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- Jean Germain, Guide des gentilés : Les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 52.
- [PDF] http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
- 3_Population_de_droit_au_1_janvier,_par_commune,_par_sexe_2011_2014_G_tcm326-194205 sur le site du Service Public Fédéral Intérieur
- « Historique — Site de huy », sur huy.be, (consulté le 30 décembre 2017).
- « Huy: Le Livre du Millénaire (Collectif) », sur bibliomania.be (consulté le 30 décembre 2017).
- Anne-Marie Lizin est décédée, La Libre Belgique, .
- Jumelages
- Hôtel de ville de Huy - plaque commémorative
- « Eugène (Emile) Lecoq | Connaître la Wallonie », sur connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le 6 août 2018)
- « Fernand Hubin | Connaître la Wallonie », sur connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le 6 août 2018)
- « Anne-Marie Lizin | Connaître la Wallonie », sur connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le 6 août 2018)
- « Michèle Toussaint-Richardeau | Connaître la Wallonie », sur connaitrelawallonie.wallonie.be (consulté le 6 août 2018)
- Joseph Delmelle, Abbayes et béguinages de Belgique, Rossel Édition, Bruxelles, 1973, p. 78.
- Lily Portugaels, Noël, l’ermite de La Sarte, La Libre Belgique, .
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Sonia Raschevitch, Le patrimoine de Huy, Agence Wallonne du patrimoine, coll. « Carnets du patrimoine » (no 94), , 56 p. (ISBN 978-2-87522-035-6)
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Mont Mosan, parc d'attractions
- Cercle artistique de Huy, sgraffites Art nouveau
- Joseph Colmant, médecin et grande figure de la résistance belge, enterré au cimetière de la Sarte.